Missive à l’adresse de la Nation Communiste Loduarienne.
Victor Max, représentant de son Altesse Louis VI d’Antérinie, empereur d’Antérinie, roi d’Afarée, grand duc d’Aleucie et directeur honorifique de l’Union des compagnies commerciales nazuméennes.
Au
Camarade Geraert-Wojtkowiak Lorenzo, secrétaire général de la Loduarie communiste.
Camarade,
Je ne peux que vous remercier de votre volonté manifeste de soutenir des échanges diplomatiques entre nos deux nations, cela étant bien évidemment hors de tout cadre eurysien.
Sachez d’ailleurs que lors des négociation pour instaurer la « Pax Euryisana » notre représentant se montrera le plus conciliants possible avec vos propos.
Je tiens aussi à vous dire qu’une ambassade se situera au 50 avenue de l’Empire à Antrania et que nous attendons avec impatience votre représentant.
Je me permet aussi de vous demander si vous accepteriez de bien vouloir accepter de relier nos aéroports pour faciliter nos communications, nous espérons aussi que cela ne vous dérangera de bien vouloir laisser la liaison aux mains de notre compagnie aérienne gouvernementale.
Nous tenons aussi à vous remercier pour le soutien que vous nous témoigner lors de ce sombre incident qui lie l’Empire et la dictature diambéenne mais je me vois obliger de vous dire que nos deux états sont actuellement en train de négocier une sortie de crise qui permettra à nos deux nations de maintenir une paix si fragile.
Sachez aussi que nous vous soutiendrons diplomatiquement parlant en cas de tensions avec certains états, même si nous savons que vous êtes un homme raisonnable qui préfère utiliser la diplomatie au lieu d’user bêtement de la force militaire brute…
Nous nous permettons aussi de vous rappeler que les modifications apportées par sa Majesté Valandil sont parfaitement reconnues et approuvées par notre gouvernement.
Je souhaiterai d’ailleurs qu’une rencontre entre nos deux chefs d’état à savoir Louis VI et vous même afin de négocier des accords plus poussés dans les domaines économiques et diplomatiques.
Nous comprendrons parfaitement votre refus, en effet vous êtes un homme d’état communiste et Sa Majesté est un homme libéral, de plus notre rapprochement reste très récent et cela pourrait paraître précipité.
Bien cordialement.
