11/05/2017
23:02:24
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[AFFAIRES ETRANGERES] Commissariat aux affaires extérieures - Page 24

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Matilde Boisderose
Ministre des relations étrangères
342 Pont des Amours
Bourg des Mahoganys
Sylva
Actée Iccauhtli
Commissariat aux Affaires Extérieures
Communes Unies du Grand Kah



Chère Actée Iccauhtli,

C'est en de bien funeste circonstance que je reprends contact avec vous, à ma grande peine. Alors que le globe est à nouveau troublé, cette fois-ci en Afarée, voilà que se répètent les catastrophes en Paltoterra. Ce que certains cyniques qualifieraient de "trois Communaterra" s'est produit chez nos voisins indirects, la Troisième Confédération Itzamatuli. Comprendrez-vous que nous ne sommes en mesure d'appliquer la moindre initiative après les enseignements laissés par les komunteranos, raison pour laquelle je me suis permise de citer cette macabre comparaison. Sylva ne saurait tolérer l'émergence d'une nouvelle menace enragée et mortelle et nous avons la certitude de ne pas être les seuls à adopter cette posture.

Le Grand Kah étant un partenaire de confiance et revêtant d'une certaine crédibilité et implication dans les affaires du continent, nous prenons le temps de vous informer de nos positions pro-actives quant à la résolution de ce qui semble s'initier comme une crise (un massacre de trente milliers d'âmes, avec les implications idéologiques et matérielles, les factions et autres approvisionnements d'armes ne pouvant présager rien de bon) et de notre volonté de tuer dans l'œuf ce qui pourrait éclater en une nouvelle période d'instabilité.

C'est pourquoi nous commençons par prendre contact avec la Troisième Confédération Itzamatuli pour leur proposer notre aide sur un ensemble de plans (forces d'intervention, de renseignements...) pour interrompre ce début de crise. Mais nous devons faire preuve d'un certain réalisme : le massacre de trente mille personnes implique une crise à un niveau déjà très avancé, qui commence tout juste à éclater à la face de Paltoterra. C'est pourquoi nous anticipons déjà une intervention internationale pour régler cette question. Que ce soit pour crédibiliser une telle intervention d'une délicatesse indéniable, faire valoir la responsabilité de l'ensemble des nations membres de Paltoterra, ou faire valoir une forme de collégialité qui évitera les dérives d'une telle intervention pour amener à des résultats réellement constructifs, il est vital d'internationaliser une telle manœuvre.
Mais, là encore, cela implique d'impliquer tous les acteurs majeurs de notre continent, y compris des Îles Fédérées de l'Alguarena et ce Quelles que soient les rivalités. Nous avons pleinement conscience des éventuels freins à une telle coopération, mais ne pouvons que soulever l'importance de s'y plier pour avoir une intervention paltoterrane cohérente s'extirpant des luttes d'influence pour se focaliser sur l'état final recherché que nous devons tous ambitionner ici : la fin immédiate des massacres.

Sera également informé le Shogunat de Maronhi, autre acteur incontournable de la paix en Paltoterra si des difficultés sont rencontrées à résoudre la crise d'Itzamatul. Nous ferons par ailleurs appel à votre expérience pour savoir s'il est pertinent de nous référer aussi à la Sérénissime République de Fortuna, pareillement présente dans notre continent.

Dans l'attente de votre réponse, nous vous témoignons de notre volonté de mener conjointement à terme les instabilités qui se profilent en Paltoterra,

Matilde Boisderose

La fédération d'Antegrad



Sujet: Réponse.

Bonjour, bonsoir, cher représentant des affaires étrangère des Communes Unies du Grand Kah.

En tant que Ministère des Affaires Étrangères de la Fédération Centrale d’Antegrad, j'annonce que nous acceptons votre proposition d'installation mutuelle d'ambassades et de la mise en place de programmes conjoints de collaborations universitaires et de recherches archéologiques. Nous pensons également que ces initiatives permettront de valoriser nos patrimoines culturels et d'encourager les échanges académiques entre nos institutions. C'est une excellente manière d'apaiser et de renforcer les relation entre nos deux pays surtout après les récentes tensions qui ont pu survenir entre nos deux nation.

Cordialement, le ministère des affaires étrangère Anteriène.

République d'Ouwanlinda


Drapeau


Commissaire, levez vous pour le message vidéo de l'Amiral-Président !


Drapeau


*Lorsque la vidéo démarre, ce n'est pas l'Amiral-Président qui apparaît un l'écran, ni le ministre des affaires étrangères, mais Barnabas...encore*

Mes bien chers camarades kah tanais,

Pardonnez moi si je vous importune encore une fois, mais je ne puis retarder ce message, qui se fait dans l'urgence. Nous craignons en effet que les initiatives de l'Antegrad ne constituent que le premier acte d'un conflit larvé au sein duquel l'Ouwanlinda sera la proie des avances de son puissant voisin antégrien. Nous sommes ainsi sous-armés et sur exposés à ses volontés des plus belliqueuses, alors même que l'opération ouwanlindaise au Gondo est le fruit d'une volonté de préservation des afaréens vis à vis de prédations héritées de la période coloniale.

Nous vous faisons ainsi la demande d'un don gracieux d'armement en surplus dont vous disposeriez, de tout type, y compris des engins balistiques. Cette requête peut paraître abrupte, mais nous craignons qu'elle soit nécessaire à assurer la survie d'une nation ouwanlindaise libre.

Sur ce, je vous souhaite une bonne fin de journée.
sigle

Communication cryptée sur la situation au Gondo

A l'intention de la Citoyenne Actée Iccauhtli, de la Commission aux Affaires Extérieures

Excellence,

Que la Paix de Dieu soit sur vous, et sa miséricorde, et sa bénédiction.

Je vous remercie pour les mots forts que vous avez posés en soutien à notre démarche pour le retour aux accords d'Icemlet entre les factions belligérantes au Gondo. Nous les pesons avec une considération particulière.

Nous avons constaté l'annonce du déploiement des forces navales kah-tanaises et leur effet prompt, qui a entraîné le retrait de l'armée antegraine du Gondo, quelques jours après que son entrée dans le pays ait été annoncée par Destint. L'Azur n'avait pas été informé de ce geste soudain, imprévu et incompris, et considère que le résultat de votre action a empêché la situation au Gondo de dégénérer davantage vers le chaos. En cela, nous vous remercions. Nous espérons que les mêmes causes auront le même effet de repousser la bravache entreprise du Président de l'Ouwanlinda, qui, pour des motifs qu'il ne nous appartient pas de juger, a décidé de s'ingérer dans le conflit gondolais.

Les multiples ingérences sont en effet vues par l'Azur comme des signes néfastes si elles ne sont pas motivées par des objectifs politiques clairs et précis. Nous constatons que la force de dissuasion dont dispose le Grand-Kah est de nature à apporter cette clarté d'esprit aux divers intérêts extérieurs et, fidèles à notre tradition de défense de la souveraineté des peuples, nous nous en félicitons.

Excellence, l'Azur ne doute pas que l'action du Grand-Kah s'inscrive dans une vision rigoureuse et construite des relations internationales, comme le prouve la grande tradition de votre pays depuis les Révolutions, qui ont amené à une structuration politique de votre pays à un haut niveau de compréhension des enjeux de liberté, de démocratie et de souveraineté. Cependant, je me dois de vous informer que certains en Azur et dans l'Afarée, certes méconnaissant les subtilités de la politique kah-tanaise, pourraient ne pas interpréter cette avancée de la flotte kah-tanaise comme un facteur d'apaisement. Je me permets de suggérer à votre Excellence qu'un communiqué officiel, à destination de la presse et de tous les citoyens du monde, pallie aux manquements de la compréhension de certains. Davantage de précisions seraient les bienvenues quant aux modalités d'arrivée et de départ de la flotte kah-tanaise dans les eaux régionales.

Cette précision pourrait à notre sens être apportée par l'établissement d'un cadre de concertation commun à toutes les parties véritablement désireuses de faciliter l'instauration d'une paix durable au Gondo, non pour y avancer les pions d'agendas particuliers, mais pour faire prévaloir la volonté souveraine de la population gondolaise. Si les Accords d'Icemlet, qui réunissaient aussi bien l'Armée Démocratique que le régime présidentiel, nous échappent définitivement, alors un autre cadre meilleur doit y être substitué. L'Azur ne souhaite pas que ce qui a été construit dans le consensus international soit défait, sans quoi seul le pur rapport de force règlera les différents. En tant que nation historiquement victime de la logique de la pure force, nous ne pourrons accepter une solution construite par cette logique.

Nous, le Califat constitutionnel d'Azur, ne prétendons à aucune autre légitimité que de celle d'avoir maintes et maintes fois appelé les factions à l'entente et au retour aux accords d'Icemlet, à ce jour seul cadre légitime pour la paix. L'Althaj dispose aussi d'une légitimité importante à être associé à un tel cadre, de part la présidence que la Khaïma a assumé lors des conférences d'Icemlet. Au niveau local, nous tenons à ce que le M.L.L. soit associé aux discussions visant à faciliter la mise en place d'une solution définitive pour le Gondo, s'il devait bel et bien y avoir un autre cadre à substituer aux Accords.

Excellence, ma question est donc la suivante : quelle est la position du Grand-Kah sur les Accords d'Icemlet, et quelle alternative proposez-vous aux pays afaréens qui assistent impuissants à la ruine du Gondo ?

Message secretInformation secrète réservée aux personnes autorisées

Fraternellement, signature
Houria Ben-el-Teldja
Ambassadrice d’Azur à Axis Mundis
07.07.2015
A Citoyenne Actée Iccauhtli au nom du Commissariat aux Affaires Extérieures
Objet : Poignée de main amical et socialiste


Camarade,

La République Heureuse et Socialiste d'Abou-Yamen est d’autant plus ravie de trouver un allié dans ce monde d’oppresseurs et d’exploiteurs. Nous considérons le Grand Kah comme un pays frère, avec lequel nous pouvons unir nos forces pour lutter en faveur de la libération des masses enchaînées.

Nous partageons votre vision d’une Afarée encore et toujours exploitée par les régimes despotiques et capitalistes. Nous aspirons à faire respecter le droit des peuples à se libérer du joug du fusil et de l’argent, pour qu’ils puissent nous rejoindre sur le chemin baigné par le soleil rougeoyant du socialisme.

À la suite d’un débat qui fut économe en papier et en encre, car bref, la Commission des Échanges Collectifs et des Idéaux Exportables est en accord avec l’ensemble de vos propositions :

  • Le partage des expériences en matière de planification économique et de développement des infrastructures.
  • La mise en place de programmes d’échanges techniques et éducatifs.
  • La création de corridors commerciaux entre le nord de l’Afarée et le Paltoterra.
  • Une alliance culturelle pour promouvoir les idéaux décoloniaux et socialistes sur tout le continent afaréen.

Nous sommes bien évidemment prêts à recevoir votre délégation. Le thé et le café sont déjà chauds, et les banderoles sont prêtes à défiler. Nous enverrons également une commission diplomatique pour faciliter et assurer les échanges entre nos deux pays.

Nous sommes conscients que la lutte est encore longue, mais nous sommes déterminés à la mener ensemble, en coopération et de manière multilatérale, afin que l’ensemble des masses libérées puisse enfin vivre en paix.

Avec nos salutations les plus égalitaires et socialistes,
Commission des Échanges Collectifs et des Idéaux Exportables
République Heureuse et Socialiste d’Abou-Yamen
Missive adressée à l’intégralité des états Afaréens.

Son Excellence Aimé Bassé, représentant de son Excellence Aimé Bolila, Premier Ministre du Royaume de Marcine et de Sa Majesté Louis VI d’Antérinie, Roi de Marcine.
A
L’intégralité des ministères des affaires étrangères afaréens.

Vos excellences, secrétaires à la diplomatie ou ministres des affaires étrangères.


Je vous adresse aujourd’hui cette missive dans l’optique de créer une sorte d’alliance afaréenne, en effet l’actualité, bien trop sombre, bien trop sanglante endeuille l’Afarée, pourtant connue pour sa stabilité et les relations cordiales entre les états la composant. En effet, la guerre reprends de plus belle, au Gondo, entre l’Antegrad et l’Ouwalinda, de nouvelles tensions au Varanya et au Mandrarika. Bien sur, cela n’est rien comparé aux conflits qui agitent les états eurysiens, entre missiles balistiques et prises d’otages en mers. Mais malheureusement, ces conflits, qu’ils soient en Afarée ou en Eurysie font chaque jour des veufs, des veuves, des orphelins, des amputés, des traumatisés, autrement dit, des victimes, alors que beaucoup (comme en Eurysie) semblent considérer la vie humaine comme dérisoire par rapport aux intérêts des grandes puissances coloniales et néo-coloniales. Et ce manque de considération, aussi terrifiant et sidérant soit-il, est monnaie courante, notamment au Gondo.

Mais malheureusement, en plus de voir que le monde reste inactif, se désintéresse au plus haut point de la situation locale déplorable, les grandes puissances s’ingèrent dans ce conflit, elles continuent à appauvrir le pays tout en se rendant coupable de colonialisme, la Clovanie s’en vante au travers du cinéma, certains états tentent de rester discrets, mais nous savons tous que les états afaréens soutenant les puissances à l’origine de ces ingérences sont nombreux, et nous tacherons de taire le nom de ces derniers, qui se reconnaîtrons, nous en sommes certains. Ainsi l’Afarée doit rester unie et indépendante, surtout elle ne peut et ne doit tolérer les atteintes faites à sa souveraineté, qui se traduisent par la possession de colonies,l’ingérence dans les affaires internes ou encore la soumission de certains états à des Métropoles qui n’ont rien à envier aux antiques protectorats du XIXe siècle.

Afin de lutter efficacement contre le fléau colonial, qui réduit en esclavage bon nombres d’états, il nous paraît nécessaire, notamment au P.P.A (le parti pan afaréen marcinois qui vient de gagner les élections royale) d’unir l’Afarée, dit comme cela, beaucoup d’entre vous, estimés collègues, penseront que nous agiront comme de vulgaires impérialistes détournant le droit des peuples à leur profit… Mais je vous rassure, l’objectif n’est en rien d’unir l’Afarée autour d’un état, au contraire d’ailleurs, nous souhaitons que l’Afarée reste un continent multipolaire, pour des raisons bien évidemment politique mais aussi culturelle, notre Mère a toujours été un continent multiculturel et imposer une idéologie, une croyance, en plus de relever de l’impérialisme, trahit l’histoire millénaire de l’Afarée. Par conséquent, il faut que toutes les puissances afaréennes, indépendantes, semi-indépendantes, puissent se réunit autour d’une table et qu’elles puissent négocier ensemble.

Ces négociations, si elles veulent avoir un poids diplomatique digne de ce nom, afin d’éviter que Clovaniens et aleuciens puissent à nouveau s’immiscer dans des situations aussi terribles, ainsi nous proposons à toute les puissances afaréennes, quelque soit leurs orientations politiques, religieuses, ethniques, nous voulons rassembler et non pas diviser, ainsi les états afaréens sont conviés à Marcine pour une conférence sur la paix au Gondo, l’objectif de cette dernière sera de désigner la seule partie légitime de cette terrible guerre civile qui frappe actuellement le Gondo, cette désignation et par extension la reconnaissance du nouvel état gondolais devra être faites par toutes les puissances afaréennes s’engageant dans cette conférence pour permettre au continent de conserver son unité et d’éviter les malheureux débordements qui causent encore plus de victimes. Ainsi cette conférence n’a qu’avant tout un objectif diplomatique, excluant toute intervention militaire.

Bien sur cette conférence peut marquer le début d’une coopération afaréenne marquée dans les affaires diplomatiques, qui permettrait de restabiliser le Continent tout en luttant contre les ingérences étrangères, si propices au colonialisme. Nous espérons ainsi que nombreux seront vos états à répondre favorablement à cette proposition de conférence qui souhaite rétablir la paix au Gondo en apportant un soutien diplomatique à l’état reconnu comme légitime par les états participants à cette conférence, qui se veut, je le répète, universelle et ouverte à tout les états afaréens.

Bien cordialement et au plaisir de lire vos réponses.
logotype de l'AD


Destinataire : camarade Marc Moke, caporal au sein du corps des volontaires internationaux de l'Armée démocratique du Gondo
Objet : relations du Gondo libre avec la République d'Ouwanlinda


Mon Caporal,

J'ai l'honneur de vous informer des réserves du grand conseil de guerre au sujet de l'envoi par la République d'Ouwanlinda d'un contingent de 7 000 hommes sur le sol du Gondo libre et démocratique. La première raison de ces réserves résident dans l'aspect unilatéral de cette décision, qui n'a même pas été communiquée au Commandement de l'armée ni au Conseil de Décision. Elle vous a été adressé, ce qui n'est pas une faute en soi, mais permet d'éveiller des soupçons quand aux réelles intentions d'Ateh Olinga. D'autant plus que dans ce message, M.Olinga ne vous demande pas plus votre avis que le mien. Évidemment, cet homme ne porte pas la cause démocratique dans son cœur. L'une des raisons les plus probables est qu'il souhaite obtenir quelque chose au Gondo, et j'estime que cette chose, quelle qu'elle soit, ne peut lui être donnée sans porter préjudice à l'État gondolais à venir.

Je souhaite donc vous demander votre avis sur la nécessité d'avoir un tel allié à nos côtés. Son apport militaire est considérable, mais justement, peu être un peu trop. Il n'est pas impossible qu'une fois sur place, nous n'ayons plus le contrôle des opérations. L'armée d'Olinga pourrait gangrener notre entreprise. C'est pourquoi je souhaiterait envisager avec vous la possibilité de renvoyer l'armée de la République d'Ouwanlinda d'où elle vient, ou de limiter son influence. Votre voix compte au sein des conseils militaires de notre armée, et je l'estime. J'attends votre retour.

Pour entrer dans des considérations plus personnelles, je vois Ateh Olinga comme une menace insidieuse qui tait son nom. Vous me connaissez, je suis un patriote, et il ne m'a pas échappé que la République d'Ouwanlinda avait déclaré la guerre à mon pays. Comme il ne donne pas ses intentions, impossible de savoir si ce n'est pas un ennemi du Gondo.

Par ailleurs, je vous informe des décisions que le grand conseil de guerre à d'ores et déjà prise au sujet de l'Ouwanlinda. Les ouwanlindais présents sur place feront l'objet d'une surveillance constante par des agents civils, surtout Ateh Olinga. De plus, il a été décidé que les soldats ouwanlindais seraient divisés au sein de l'AD et intégrés à la chaîne de commandement de notre armée. Il ne doit pas leur être laissé une quelconque capacité d'initiative stratégique. La question de l'initiative tactique est encore en discussion.

Mes respects,

Général Yahnik Sangaré,
Commandeur de l'Armée démocratique du Gondo
image

Ce message à était envoyé par le gouvernement de la république populaire de Rosevosky

Sujet : Demande.
Bonjour, bonsoir cher représentant au affaires étrangères de la Communes Unies du Grand Kah

ermettez-moi de me présenter en bonne et due forme, je suis Madame Édite Piafs, actuellement en fonction en tant que ministre des Affaires étrangères de la République populaire de Rosevosky. À travers cette correspondance, je tiens à vous informer que nous, la République populaire de Rosevosky, souhaitons rapprocher nos deux nations sur le plan diplomatique. En effet, bien que nos deux pays soient géographiquement éloignés, nous aspirons à établir des relations solides et amicales, fondées sur nos idéologies proches.

Nous souhaitons également vous faire part d'une demande de notre part : nous avons reçu un message de révolutionnaires en Ramrouchie partageant des idéologies similaires aux nôtres, et nous pensons que votre grande et puissante nation pourrait nous aider à soutenir leur cause. Pour en venir au fait, nous vous sollicitons pour nous aider à transporter le matériel que nous souhaitons envoyer dans ce pays afin de les soutenir. De plus, nous espérons que vous pourriez également nous assister pour d'autres transports vers des nations telles que le Gondo, afin de soutenir les forces démocratiques. En échange, non seulement nous vous en serons profondément reconnaissants, mais nous vous accorderons également un accès à l'un de nos ports pour vos navires militaires et commerciaux pendant une durée qui pourras varié.

En attente de votre réponse, cordialement, madame Edite Piafs, ministre des affaires étrangère de la république populaire de Rosevosky
logotype de l'AD


Destinataire : camarade Marc Moke, caporal au sein du corps des volontaires internationaux de l'Armée démocratique du Gondo
Objet : relations du Gondo libre avec la République d'Ouwanlinda


Mon Caporal,

Je vous remercie pour votre réponse rapide et votre dévouement pour notre entreprise. Puisque nous sommes tombés d'accord sur les risques que peuvent représenter la présence de l'armée ouwanlindaise sur le sol du Gondo libre, le Conseil de Décision ne pourra que valider votre projet de départ appuyé par le Grand Kah. Il faut aussi que nous songions à remercier Ateh Olinga pour son déploiement, afin de le garder dans notre camp malgré leur retrait opérationnel. L'Ouwanlinda aura au moins le mérite de retenir les forces d'Antegrad chez lui, alors que ces derniers avaient tenté un temps d'aider le camp du despote.

Vos remarques concernant les gains considérables que représentent cette opération pour l'image du mouvement, sont pour moi la preuve de votre compétence et vous rendent indispensable au grand conseil de guerre. Sachant que je puis vous accorder une pleine confiance pour représenter le corps des volontaires internationaux, je refuse votre démission et vous demande de rester caporal de ce même corps. Je sais que vous ferez votre devoir. Aucun de nos alliés ne m'a signifié son souhait de vous voir rétrogradé, mais si cela devait être le cas, je m'y opposerai. La chaîne de commandement fait corps, il est impensable de faire tomber un officier pour préserver l'État-Major.

Mes respects,

Général Yahnik Sangaré,
Commandeur de l'Armée démocratique du Gondo
Ministère des Affaires Étrangères - République Démocratique Libre du Gondo

À l’attention des membres du Commissariat à la Paix des Communes-Unies du Grand Kah

Madame, Monsieur,

Je dois commencer ce courrier, le premier que la IVe République gondolaise adresse aux Communes-Unies, en vous remerciant pour votre dévouement pour la paix. Je mentionne ici votre intervention pour empêcher la République d'Ouwanlinda d'envahir le Gondo sans raison apparente. J'insiste sur le fait que la guerre déclenchée par Ateh Olinga est criminelle et doit faire l'objet de sanctions sévères de toute la communauté internationale, au risque de créer un précédent dévastateur d'impérialisme.

Je dois aussi évoquer votre choix d'envoyer des navires de guerre dans nos eaux territoriales. Bien sûr, cette manœuvre est conforme au droit gondolais. L'usage est cependant que je vous rappelle les règles auxquelles devront se tenir vos bâtiments, à savoir n'ouvrir le feu qu'en cas de nécessité (tout coup de feu tiré fera l'objet d'une enquête, et s'il est injustifié, d'un procès), et ne pas arraisonner les navires croisant dans nos eaux pour se livrer au commerce. La République impériale pétroléonienne de Clovanie, qui déploie aussi des navires dans la région, s'est vue rappeler les mêmes règles.

Enfin, je ne puis décemment écrire à un comité kah-tanais sans mentionner les rapports alarmants qui font été de trafics et livraisons d'armes entre des territoires des Communes-Unies et les factions rebelles illégitimes qui prennent le Gondo libre et démocratique en otage. Je vous demande donc de me confirmer que le Grand Kah n'est pour rien dans ces trafics et fera tout pour y mettre un terme. Même si nous ne partageons pas la même idéologie, nous souhaitons entretenir des liens apaisés avec toutes les nations du monde.

monsieur Denis Nkessa, ministre des affaires étrangères de la R.D.L.G.
Ceci est un courier confidentiel émis par le gouvernement de la RDLG. S’il se trouve une erreur de destinataire, merci de prévenir les services gondolais le plus rapidement possible. Si le destinataire légitime est une banque eurysienne, merci de prévenir directement le palais présidentiel.
sigle

Communication diplomatique sur la situation au Gondo

A l'intention de Madame la Commissaire Actée Iccauhtli

Excellence,

Que la Paix, la Bénédiction et la Miséricorde de Dieu soient sur vous.

Je m'adresse à votre Excellence pour vous informer des remerciements du Diwan suite au communiqué officiel publié par le Grand-Kah, précisant les contours de la présence de ses forces militaires au large du Gondo. Le retrait de l'armée de Son Excellence le Président Olinga, dont l'annonce avait pris de court les chancelleries afaréennes, est également une excellente nouvelle et nous nous réjouissons que la flotte kah-tanaise puisse, par sa présence, garantir la sécurité de Son Excellence Présidentielle et dissuader des mesures de rétorsion à son égard qui, à n'en pas douter, auraient significativement aggravé la situation locale.

Dans une missive précédente, vous faisiez part à ma collègue Madame l'Ambassadrice Ben-el-Teldja que, selon vous, "sans pressions extérieures fortes, le Gondo ne se réformera pas" ; nous interprétons le récent retrait de l'Ouwanlinda comme l'effet de la pression extérieure forte, diplomatique, conduite par l'ensemble des Etats ayant appelé à la mise en oeuvre d'une solution négociée, facilitée certes par le poids dissuasif des forces militaires kah-tanaises. Dès lors, nous interprétons que des premiers signes se manifestent pour qu'un embryon de solution émerge.

Cet embryon s'annonce à nos yeux par divers signes. Ceux qui se trouvent dans les étoiles ou dans les rêves sont, à nos yeux azuréens, aussi précieux que la plus concrète des preuves, mais je ne vous ferais pas ici une dissertation sur l'interprétation traditionnelle et théologique des indices divins ; j'irais à l'essentiel.

Les pays afaréens qui se préoccupent de la situation au Gondo sont de plus en plus nombreux. Les tentatives d'intervention par la force brute ont déjà été par deux fois éconduites : l'Antegrad et l'Ouwanlinda devraient se retirer. Au contraire, le besoin d'un dialogue est de plus en plus présent.

Nous avions abordé la question d'un nouveau cadre de transition, dans les conditions probables sur lesquelles je ne reviendrais pas, pour le déploiement d'une solution stable et négociée au Gondo. Certes l'Armée Démocratique y occupe le haut terrain ; encore le Mouvement de Libération Likra tient l'est du pays. Qu'une solution négociée entre eux, à défaut qu'elle inclue le camp présidentiel qui l'a maintes fois refusée, s'annonce, et nous la soutiendrons. Une telle hypothèse est selon nous de nature à recueillir le soutien de ces pays afaréens que nous avons mentionné et qui, force lente mais sûre, manifesterons bientôt leur impatience à voir cette guerre atroce durer plus longtemps.

D'ici là, nous, l'Azur, souhaitons travailler à coordonner les pays afaréens entre eux et avec le Grand-Kah qui, du fait de la position de sa marine, doit selon nous être intégré au cadre de discussions sur l'avenir du Gondo. La bonne coordination entre les Etats favorables à une solution pacifique pour le Gondo qui ne fait pas de la survie politique du parti présidentiel un enjeu central est, pour nous, la voie juste vers l'advenue de cette solution. Nous formons le vœu que notre entente de vue sur l'établissement concret d'un cadre diplomatique solide et durable, à même de se substituer à celui des Accords d'Icemlet, perdure et se renforce.

Avec mes salutations, Excellence,

A votre écoute,
allo
Jamal al-Din al-Afaghani
Ministre des Affaires étrangères
28.07.2015
Entête du Ministère des Affaires Etrangères antarien, missive envoyée par l'Office Postal Antarien

Chère Excellence Actée Iccauhtli, ministre des affaires étrangères du Grand Kah,

Il nous a été notifié il y a quelques mois de cela que notre commande en lance roquettes multiples à l'une de vos industries d'armement (Danger Systems) s'est malheureusement faite intercepter par des exactionnaires qui se sont emparés de la totalité de la cargaison. Nous vous portons nos plus sincères excuses et espérons que vous pourrez résoudre l'éventuel conflit.

En ce qui concerne notre matériel, je vous écris pour savoir si nous pouvions en recevoir à nouveau, cette fois-ci en incluant une escorte éventuelle ou bien en utilisant des navires sous pavillon antarien. Comme le virement a déjà été effectué, nous estimons qu'une garantie est valable et nous n'aurons pas à payer d'avantage, sauf si certaines de vos conditions en spécifient autrement.

Nous sommes navrés pour le retard de cette relance mais plusieurs circonstances nous ont malheureusement tenus occupés pendant ces derniers mois. Veuillez agréger, je vous en prie, de mes plus sincères salutations distingués.

Très bonne journée à vous, et que prospérité s'en suive !

Cordialement,

Signature de Clara Malmaison, Ministre des Affaires Etrangères

République d'Ouwanlinda


Drapeau


Commissaire, levez vous pour le message vidéo de l'Amiral-Président !


Drapeau


*Lorsque la vidéo démarre, ce n'est pas l'Amiral-Président qui apparaît un l'écran, ni le ministre des affaires étrangères, mais Barnabas...encore*

Mes bien chers camarades kah tanais,

Je me permets par le présent appel de répondre à votre courrier, que je reçois avec soulagement. *Barnabas, suant à grosses gouttes, s'essuie le front avec un mouchoir.* Je tiens à vous remercier, par votre manœuvre, à avoir calmer les ardeurs de notre illustre Amiral-Président, qui de fait ne se mettra pas inutilement en danger, et par la même, ne mettra pas l'équilibre politique ouwanlindais en danger par sa disparition.

L'Amiral-Président a été fort ému et enjoué à la lecture que j'ai faite de votre courrier. Nous vous remercions donc, en plus d'avoir assagit notre Amiral-Président, de l'attention que vous portez à l'égard de la nation ouwanlindaise. Les troupes ouwanlindaises devraient donc être rapatriées dans le plus grand des calme. Toutefois je tenais à vous adresser la demande suivante: laissez donc l'Amiral-Président et notre service de propagande prendre quelques photos de la zone de conflit. Le peuple ouwanlindais a besoin de fierté, c'est important.

Nous nous attendons également à recevoir l'armement qui nous a été promis afin de nous défendre de représailles possibles des puissances impérialistes, et des nations afaréenes dont le jugement aurait été faussé par la collaboration avec des gouvernements dont les méthodes ressemblent au colonialisme d'antan.

Pour finir, si vous vous êtes tenus au courant de la dernière prise de parole de notre Amiral-Président, celui-ci a un grand projet à cœur: à savoir un grand programme de mise en état d'un réseau d'adduction d'eau capable de subvenir aux besoins de la population ouwanlindaise. Un projet noble, mais le problème étant que nous ne disposons pas des moyens techniques et financiers de le concrétiser. Ce faisant, je solliciterai de votre part, en plus des armes, l'envoi d'experts pouvant faire un premier état des lieu concernant la faisabilité de ce projet. *Barnabas continue de transpirer*

Sur ce, je vous souhaite une bonne fin de journée.
.

Message officiel du Conseil aux Relations Internationales de la Fédération des Communes de Kartvélie :

Nos plus cordiales et respectueuses salutations, camarades.

Suite à la Révolution Brune en Février 2015, la Kartvélie a changé de régime politique et est devenue récemment une fédération de communes autogérées. Ce modèle, très inspiré du modèle estalien, reste largement inspiré des idéaux libertaires et compte tenu de l'importance du Grand Kah dans le monde libertaire, le nouvellement créé Conseil aux Relations Internationales de notre Fédération a décidé de relancer votre pays sur la possibilité d'établir des relations plus amicales avec le Grand Kah. En effet, sous la République, si nos relations n'étaient pas foncièrement mauvaises, elles restaient cantonnées à du simple marchandage militaire et ne reflétait aucune vision stratégique commune du fait des idéologies strictement différentes entre nos deux nations.

Maintenant que la société socialiste et libertaire a atteint le cœur des Kartvéliens, nous pensons qu'il est désormais temps pour nos nations de dépasser le stade de simples partenaires commerciaux de circonstance et d'encourager une politique bilatérale plus aboutie visant à la libération des peuples à l'échelle mondiale à laquelle la Kartvélie souhaite activement participer comme vous. Nous vous proposons donc la stabilisation de nos relations diplomatiques par la mise en place d'ambassades dans nos deux capitales respectives.

Veuillez, Mesdames et Messieurs du Commissariat aux Affaires Extérieures du Grand Kah, agréer à nos plus sincères remerciements.
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