01/01/2013, www.outright.orgAlealam Ealaa Alnaar, le monde enflammé."Les guerres se multiplient en Eurysie, en Afarée et au Paltoterran.
Les tensions entre les grandes puissances n'ont jamais été aussi grandes.
Les pays émergents, jamais aussi friands d'armements.
Et le monde s'enrichit de cette poudrière engrossée de propagandes.
Alealam Ealaa Alnaar, le monde enflammé."
qari Baya n Ifilku, lors d'une interview à la sortie d'une session à la FCAN (Décembre 2023)Les paroles de notre qari ont résonné dans les media et les réseaux sociaux à travers le monde, comme une vérité sous le prisme d'un biais Althaljir, mais surtout comme un avertissement sur la sinécure internationale dans cette course à l'armement explosive.
Outright adhère à ce prisme pacifique et bienveillant des Tamurt n Althalj et dénonce, par cette étude de longue haleine, la volonté des nations de rentrer dans le rang des grandes puissances militaires, comme l'objectif pénultième avant une gloire d'une victoire au combat, de la rentrée dans l'Histoire d'un nom, d'un évènement et d'un symbole.
La recherche constante de cette renommée à travers l'acte militaire, par l'entremise d'une image de pourfendeur, d'abnégation ou de résilience, démontre un visage sombre de l'humanité, de ce qui est enfoui au plus profond de notre âme, cet instinct de se démarquer et d'être respecté par le biceps et la force.
Les contextes géopolitiques donnent une partie de compréhension et diagnostic de cette situation explosive. En apprenant plus sur les tensions entre pays et blocs idéologiques, il y aurait presque une volonté de justifier la course à l'armement lorsque un parti est choisi ou qu'une affection particulière est renforcée par des convictions et un émotionnel.
Nulle ne reste indifférente face à la guerre civile au Prodnov, en Okaristan ou au Gondo. C'est avec le coeur que nous réagissons de prime abord et c'est avec raison que nous nous devons de décider.
Faut-il rester indifférente face à la tragédie ? Lorsque toutes les solutions diplomatiques et raisonnables sont épuisées, n'est-il point nécessaire d'agir physique, de contrer l'injustice ou atteindre l'objectif ? Enfin le raisonnable pourvu de raison, est-il compatible avec l'action militaire dite raisonnée ?
Les Tamurt n Althalj ne sont pas sans un historique de conflits ou de crises nécessitant le déploiement et l'utilisation de la Force Matriarcale Ilahmique.
Il convient, dés lors, de prendre le temps de réflexion et de l'autocritique des suites de cette introduction.
Outright rappelle une fois de plus sa position vis à vis de la situation internationale et, par l'étude qui suit, ainsi partager et renforcer l'alerte de la qari Baya n Ifilku : "Alealam Ealaa Alnaar, le monde enflammé."
Outright a effectué une étude et des calculs d'estimations sur les capacités militaires des nations, sans empiéter sur le prochain numéro sur les capacités de déploiement des forces majeures au sein de notre globe.
Les productions d'armements sont extrêmement fortes et représentent 4.9% du PIB mondiale (estimations sur la base de données de 45 états) et les ventes et achats inter-nations ne disposent de transparence que leur bonne volonté. Dans des articles précédents de nos confrères Althaljirs, il était de même estimé que les données financières nationales des nations, et même des plus transparentes, ne prenaient aucunes considérations du fruit des ventes en sous main d'armements et que ce marché opaque le resterait malheureusement sur le long terme.
Les productions (et estimations) d'armements et les stocks d'équipements (officiels et estimés) permettent de donner un indice de "puissance militaire".
La taille des armées, la qualité des équipements, les avancées technologiques et les quantités déployées et déployables à terme sont autant d'éléments d'intérêts lorsque des études stratégiques sont effectuées avant d'opposer des forces militaires ou lors de discussions géopolitiques ; sommes-nous aussi sereines lorsqu'une puissance militaire majeure transmet un ultimatum à une nation avec peu de moyens militaires ?
Les données suivantes donne un panorama à travers des graphiques simples et pour une compréhension générale.
Les experts arboreront des lectures différentes et avec matière à détailler et débattre. Nous prendrons le parti de la simplicité, tout à fait opposable à la complexité du sujet.
Une estimation de la puissance déployée est calculée en fonction des capacités de nuisance, de destruction et de léthalité d'un type d'armement et de la "génération". La performance d'un chasseur (avion) construit dans les années 1960 est comparé celle d'un chasseur récent et en fonction de calculs standards internationaux, une "nuisance" est cataloguée pour un modèle de chasseur. Les volumes du type de chasseur multipliés par la "nuisance" produit une "nuisance totale" ou une puissance militaire en prenant en compte une armée professionnelle par défaut.
Vous comprendrez que les graphiques suivants font essentiellement référence aux équipements en stocks.
Puissance militaire par type d'armementLes grandes puissances économiques affichent largement des capacités militaires proportionnelles.
Il y a néanmoins des nuances et exceptions en fonction de la doctrine ou des spécialisations.
Les armées avec des investissements dans la marine se distingueront largement des nations "non maritimes".
Une volonté d'équilibre est aussi rapidement standard à travers les stocks actuels. Les nations souhaitent diversifier les capacités militaires dans les domaines Terre, Mer, Air.
Carnavale sort du lot avec une spécialisation unique qui sera abordée par la suite : les missiles.
Distribution et Spécialisation du type d'équipements militiairesSans prendre en considération la puissance totale, la distribution sur une base 100 (même échelle) permet d'identifier des armées spécialisées.
La doctrine joue un rôle majeur, mais pas seulement.
En effet, certaines nations ont fait le choix de la spécialisation afin de défendre leurs intérêts militaires, mais il ne faut pas oublier le coût considérable de production, technologique et donc financier que nécessite l'équilibre des armées.
Investir dans une marine est un programme sur le très long terme et obtient régulièrement une possible obsolescence avant même la finalisation des nouveaux bâtiments des chantiers navals.
Les priorités sont d'ordinaires comme suit :
- Armée de Terre (besoin immédiat)
- Armée de l'Air (défense, support et agilité)
- Marine (défense et dimension pérenne de portée)
Puissance militaire - TerreLa technologie joue un rôle majeur dans les classements.
L'exemple des Tamurt n Althalj est édifiant, car en effet la Force Matriarcale Ilahmique est la 6e puissance militaire terrestre au monde, principalement due à sa technologie en armement et équipements de ses fantassins tout comme l'Aquitagne qui présente des armes légères de bonne facture et en quantité.
Puissance militaire - AirLes contextes jouent bien entendu sur le choix de l'armement.
Saint-Marquise s'est pourvue en quantité de chasseur-bombardiers afin de faire front à une menace maritime.
Tout comme le Carnavale qui aligne 175 chasseur-bombardiers, soit autant que l'Alguarena à une génération différente, du fait d'une exposition aérienne du fait de sa configuration géographique.
Tout à fait étonnant, l'Empire Karpok dispose d'une puissance comparable en terme de chasseurs que la Loduarie Communiste.
Puissance militaire - MerLa marine fascine.
Le mystère et la furtivité des sousmarins, la construction de bâtiments de plus en plus gros ou la recherche de l'autonomie et le rayonnement, tous ces aspects ne sont pas spécifiés dans ce graphique, toutefois il est à noter que la force sousmarine de l'Alguarena est deux fois plus puissante que celle du Pharois Merirosvo et que les deux flottes sont presque équivalentes au global du fait d'un investissement massif dans les flottes militaires de support et de vedettes extrêmement léthales et efficaces Pharoises alors que l'Alguarena dispose de deux fois plus de porte-avions et porte-hélicoptères.
La marine augmente considérablement la puissance totale d'une armée avec une faible quantité de bâtiments à comparer avec l'aviation militaire ou les équipements terrestres. Toutefois elle est aussi un facteur important de perte de puissance si un bâtiment est coulé.
La marine impose, mais elle est l'apanage des puissances riches, ce qui en fait une priorité en terme de communication à l'internationale comme lors de la sortie des chantiers navales du dernier croiseur Loduarien.
Puissance militaire - Autre (Missiles, Mines etc.)La spécialisation de Carnavale en fait un acteur tout à fait redoutable de l'Océan d'Espérance.
Il ne faut pas oublier la portée considérable des missiles balistiques de Carnavale. Nous estimons à proche de 800 missiles balistiques les stocks de la principauté dont la moitié atteindrait la moitié Nord des pays bordant le DeltaCruzando voir pouvant atteindre le Paltoterra dans son entierté.
Cette spécialisation permet à la Principauté une dissuasion forte en faisant craindre le spectre d'une destruction instantanée d'armées hostiles.
Ce n'est qu'à travers son aviation efficace que le Carnavale pourra par la suite défendre le pays.
La doctrine Carnavalaise est celle de l'éclair si la dissuasion (ou menace) ne fonctionne pas.
Taille des armées - Effectifs
Taille des armées - Effectifs ProfessionnelsLa taille des armées est souvent prise en considération, escomptant qu'un soldat est forcément convenablement équipé et donc une force de léthalité.
Les nations entraînent ou gardent en réserve des effectifs en fonction de leur doctrine, objectifs et/ou de la culture nationale.
Le Shuharri dispose de 2.3% de sa population dans l'armée, presque entièrement une armée professionnelle tandis que le Pharois Merirosva 4.5% dont les 4/5e sont des réservistes.
Il faut ainsi se méfier de la manière dont sont comptabilisés les effectifs militaires. Attaquer le Pharois, c'est attaquer un peuple qui, comme les Tamurt n Althalj, dispose en son sein une société culturellement prête à prendre les armes.
Industries Militaires - Capacités de production nationalesLa taille du secteur de production militaire est extrêmement stratégique.
Les armées nécessitent des munitions, un entretien régulier des équipements et il faut des services attenants qui vont permettre la bonne facture.
C'est aussi les capacités entre disponibles du secteur qui permettent de montrer un futur immédiat du potentiel militaire d'une nation.
Le top 4 est terme de taille du secteur militaire n'utilise ses capacités d'entretien des armées qu'à 50%. Il reste dés lors 50% entre de capacités d'augmenter la taille des armées si le secteur ne grossit pas.
A noter que l'inflation au Carnavale est très importante et pourrait laisser penser à une stagnation de ce secteur, tandis que les grandes puissances économiques disposent d'autres priorités structurelles qui augmentent le coût d'investissement du secteur militaro-industriel.
Nous en venons à un concept subjectif, celui de l'efficacité.
Il convient toutefois d'établir un rapport entre la puissance militaire affichée et l'utilisation de son industrie militaire pour "l'entretien" de ses armées.
Efficacité (Puissance totale / Industries d'entretien)Le choix des technologies, du type d'armement, les faibles coûts d'entretien... les facteurs d'efficacité peuvent être nombreux.
Certaines anomalies surgissent, lorsque la marine a été, de manière précoce au standard économique et militaire, une priorité, tel le Mamiwa.
Nous revenons sur le fait que la marine fait grossir largement la puissance militaire et l'efficacité de certains acteurs militaires majeurs.
Capacité Maximale (Puissance Militaire)En prenant en considération l'efficacité des choix actuels (le stock des armées actuelles) et donc une industrie qui ne grossit pas (dans le cadre de cet exercice), il est possible d'utiliser le ratio d'industries encore disponibles pour calculer la puissance maximale d'une nation.
Ainsi, la différence n'est pas grande avec le premier graphique, mais elle donne une échelle des contre-poids actuels dans le monde sur le seul plan militaire.
Il faut rester attentif au fait que plus un nombre important d'industries est disponible, plus la production d'armements est importante (rapide).
Cela signifie aussi que le marché est constamment alimenté par des nations qui ont fait des industries militaires leur gagne pain.
Les petits acteurs essayant de vendre des stocks obsolètes seront bien en peine face aux géants dont les marques et modèles grossissent les rangs des armées internationales.
Cette course à l'armement n'est pas celle de la défense nationale ou d'idéaux géopolitiques propres.
Cette course à l'armement est un marché juteux qui continue de faire fulminer l'irresponsable pour ses desseins égoïstes glorifiés.
Cette course à l'armement est plus utile aux économies des grandes puissances qu'à régler les problèmes internationaux.
Cette course à l'armement est LE marché du riche et le restera tant que les industries disponibles resteront à leur niveau, tant que les "petits" pays achèteront des armes plutôt que d'investir dans leur industrie civile et les besoins de leurs populations.
50.4% des industries dans le monde sont dites "disponibles".
25% de ces industries appartiennent aux 5 premières nations aux plus grands parcs militaro-industriels.
80% des exportateurs d'équipements militaires disposent de plus de 50% de leur parc militaro-industriel en "disponible".
Puissance Militaire par organisations internationales