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02/08/2009 Icemlet



L'Appel à la raison de la Grande Dame


Les caméras, les téléphones portables et les micros des radios nationales n'ont pas manqué le rendez-vous.

Ce discours a été annoncé il y a de cela quatre jours. Les media ont immédiatement répondu présent.
Pour les Tamurt n Althalj (les Peuples de la Neige), la Qari Ijja Shenna est la mère à toutes et à tous.

Il est presque impensable pour certaines générations que la Qari ne soit plus la Qari Ijja Shenna, Voix de l'Althalj et de ses peuples.
C'est un fait indéniable dés lors que la Qari Ijja Shenna a été la Voix qui a permis l'unification des six régions historiques en une seule nation.
Autrefois considéré par la communauté internationale comme un même pays, et peut être un pays qu'il est de bon aloi d'oublier tant il inspire la méfiance et une condescendance vis à vis des normes sociétales internationales, les Tamurt n Althalj étaient autrefois appelés les Territoires Matriarcaux. Ce nom officieux était aussi dû à un raccourci, une vérité pourtant, partie d'une mécompréhension des Tamurt n Althalj. La volonté des régions historiques était de travailler de paire, mais de garder une autonomie et de peur de perdre des valeurs traditionnelles régionales propres. Ce frein historique fut traduit par la Qari Ijja Shenna à travers moultes discours, écrits et conversations avec les qaris et qqaris et peut être résumé par l'expression aujourd'hui populaire au sein des Tamurt n Althalj : "Entre les Althajirs et les Althaljirs, la différence n’est pas grande ; sauf si nous sommes sourdes et aveugles."
Les fiertés de différences culturelles mineures écartées pour une plus grande fierté et aspiration à une nation commune, la Bienveillance d'Ilâhat aura alors joué un rôle central quant aux opportunités et possibilités d'épanouissements personnels et de véhiculer une vision Althaljir juste.


De ce fait, lorsque la Qari Ijja Shenna souhaite s'adresser à la nation, aux Tamurt n Althalj, à l'Althalj Alkabir ou aux peuples et institutions outre-Althalj, alors le monde écoute.

Et c'est 2 Août 2009, 19 jours avant le Ramadan, que la Qari Ijja Shenna utilisa une fois de plus le terme de "responsabilité" afin de nous rappeler aux réalités de l'Afarée ou du monde.


"... donnons des leçons alors que la Force Matriarcale Ilâhmique n'a rien à envier à d'autres nations.

Il y a néanmoins une différence notable qui se doit d'être considérée par toutes et tous :

Les Tamurt n Althalj n'écouleront pas les moyens de tuer comme de simples stocks de cumin sur la scène internationale.

Chaque pays a le droit de se défendre !... les plus vertueux le clameront haut et fort.

Et bien non, NON, ceci est inacceptable !





Nous voici à l'aube d'un nouveau millénaire où l'accélération de découvertes technologiques impactera amplement le secteur militaire, façonnera des moyens de mort qui seront déterminés par des termes d'un monde des affaires, où la performance, l'optimisation et l'effacement des contraintes géographiques deviendront une maîtrise de tout bord.

Et avec cette nouvelle génération se transposera la vieille génération, obsolète, dont l'inconvenance financière pourra facilement être un moyen de stimuler les économies et peut être assoir des bases relationnelles parties d'un contexte fortement connoté.


Les conflits se multiplient et les victimes aussi.
Ceci est un drame qui a traversé les âges en faiblissant que ponctuellement.

L'ignorance, le dédain, les complexes de supériorité, les choix sociaux et économiques,
Tous ces éléments contribuent à envenimer un environnement qui cherche un équilibre.

Ces dernières années, la Voix, la discussion, la négociation a été favorisée face à la prise d'armes et c'est dans ce sens, certes moins fantasmé, que les peuples trouvent un terrain d'entente, diminuent les tensions et cherchent à protéger, conserver et surtout épargner les affres de la guerre.

Le nombre de conflits a fortement diminué depuis la fin du siècle dernier, toutefois le nombre de victimes ne semble pas décroître.
Et la raison en est pourtant claire et est la même depuis plusieurs générations maintenant ;
Les armes, dîtes obsolètes, des nations souveraines du monde, sont revendues et distribuées à qui peut se le permettre et à vrai dire... à certaines nations qui ne peuvent pas se le permettre avec le prix à payer sur des dizaines d'années à venir.
Ces armes ont un potentiel de plus en plus destructeur et morbide et par ce fructueux commerce international vient le satisfecit d'un choix rationnel.

Et nous le voyons tous les jours.
Lorsque les armées paradent dans la région Prodnovienne, pensez-vous que les armées disposent de munitions produites sur place ?
Lorsque le Varanya plongea dans la guerre, quelle était la marque de fabrique des fusils mitrailleurs ?
Lorsque la guerre civile éclata au Pontarbello, de quelle nationalité étaient les armes des deux bords ?
Devons-nous mentionner la multiplicité des armées privées et mercenariales qui affichent sans discernement des équipements autrefois dans les mains des forces nationales ?


Les nations souveraines distribuent comme des petits pains, renouvelant leurs capacités à produire plus et mieux, plus sanglant et toujours plus auto-satisfaisant.

Je dénonce, en tant que Qari des Tamurt n Althalj et en tant que mère, le cercle néfaste à la paix mondiale, l'ignominie d'un commerce qui ne peut pas se cacher et qui malheureusement se révèle être moteur d'une course à l'armement mondiale, d'un chaos bercé de cette douce relativité distancielle.

Je dénonce les nations qui commercent la mort.
Je dénonce les nations dont la liberté est d'ignorer le mal engendré.
Je dénonce les nations qui par faiblesse ou hubris acceptent cette danse comme une compétition enfantine.

Car ces choix d'aujourd'hui impactent le présent et le futur avec naïveté et une arrogance insupportable.

La responsabilité des nations n'est pas que vis à vis de ses citoyennes respectives, mais bien, dans un contexte mondialisé, face aux peuples du monde.
La responsabilité des nations, c'est aussi faire preuve de courage et arrêter cette montée en puissance des esprits dont la haine n'a rien de bienveillante, orchestrée par la cupidité et la vanité idéologique."



La Qari Ijja Shenna a prononcé un discours très clair et stricte vis à vis de nations toutes désignées.
Les rapports des ONGs comme Humain Life Watch, sur le trafic d'armes et le type d'armement retrouvé et utilisé lors de conflits de ces six dernières années, font trembler les coeurs et les esprits.


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La couleur dorée des yeux…

17/08/2009 Icemlet







La génétique et la sélection « naturelle » jouent leur rôle


Nous le savons toutes, les yeux des Althaljirs, ou de celles et ceux qui partagent un historique génétique, sont plus à même d’arborer cette teinte dorée très caractéristique et qui les différencie assurément dans la soupe et mixture génétique de plusieurs milliers d’années.

Cette coloration fait dorénavant partie de la classification officielle des couleurs de l’iris.
Le marron et le bleu ont été les deux seules couleurs officielles depuis à présent plusieurs générations de livres et documents scientifiques, reléguant les, tout aussi, belles couleurs de vert et gris à des nuances des deux couleurs officielles.

La couleur bleue, par exemple, est bien documentée par la communauté scientifique et serait apparue il y a de cela à peu près 40,000 ans à travers une mutation d’un gène (HERC2). L’hypothèse de la dispersion de cette mutation serait dû à une sélection sexuelle dans certaines zones géographiques où la peau claire et les yeux bleus auraient été alors favorisés. Les mélanges se sont multipliés avec le temps et des nuances de bleu vert, bleu gris, marron vert ont alors vu le jour permettant à terme une survivance et diversification d’un panel génétique mondiale.

Le doré, quant à lui, n’est ni lié à cette mutation « bleue » de l’origine « marron » et est apparue dans une zone géographique spécifique, tout comme ce fut le cas de la mutation du gène HERC2, il y a de cela 40,000 ans.

Le doré serait apparu aux environs du début du millénaire et a été très peu partagé à l’internationale depuis, restant une caractéristique endémique de la zone Althaljir. Les mêmes phénomènes de préférence sexuelle peuvent avoir joué, mais d’autres facteurs historiques et sociologiques doivent été pris en compte quant à cette distribution faible à l’internationale.

  • Relativement jeune, cette mutation génétique est survenue dans la zone géographique qui est aujourd’hui les Tamurt n Althalj.

  • Dans ce faible laps de temps, la distribution géographique a aussi été limitée par un phénomène d’exclusion, de réclusion sociétale et culturelle. En effet, la culture matriarcale Althaljir n’a pas « attiré » une société d’ordinaire, et traditionnellement, dirigée par les hommes. Ainsi les mélanges ont été moins importants qu’en Eurysie où la couleur bleue a pu être partagée largement, avec moins de contraintes de "frontières culturelles".

  • Le point ci-dessus est aussi à préciser ; en effet, les études génétiques sur le patrimoine Althaljir montre une grande diversité historique, toutefois la culture matriarcale unique n’a pas incité au départ et a ainsi préservé l’apport outre-Althalj pour en être mélangé avec le « gène Doré », sans pour autant lui permettre de sortir de cette "région originelle".

  • Se pose la question d’un rejet outre-Althalj des personnes présentant cette caractéristique génétique, assimilation établie avec les femmes Althaljirs, ces femmes d'une société matriarcale, étudiée par l’Université d’Icemlet, soulignant les pogroms en Afarée de l’Ouest, en Eurysie des deux siècles derniers. La dissipation du gène aura été plus forte que d’ordinaire si celui-ci avait quitté la région originelle.

  • Le gène Doré semble disposer de similitudes en termes de récessivité avec le gène bleu par rapport au gène marron, toutefois est un gène dominant sur le gène bleu.
Le nouvel Althaljisme (ouverture à l’international), à contrario de l’ancien Althaljisme, profite d’un mélange génétique intéressant et pourrait voir ainsi augmenter la couleur Dorée au sein de la communauté internationale et la création d’une nouvelle diaspora Althaljir identifiable par la couleur de ses yeux, en partie. Du fait de sa dominance sur la couleur bleue, il serait plus probable qu’une augmentation se fasse de manière plus importante dans les régions où cette couleur bleue est plus présente.





Une couleur, mais pas seulement


Ce qui est étonnant, c’est que la couleur d’une iris n’a de spécificité que sa coloration. Elle ne modifie en rien les caractéristiques de visuelle ou de confort de la personne.

« J’ai mal aux yeux, il y a trop de soleil pour moi. Bah oui, j’ai les yeux bleus… »

Bon cette phrase est peut-être familière à certaines, toutefois elle n’a rien de scientifique. L’iris, partie colorée, ne contribue aucunement à un éblouissement ou une sensibilité accrue, la pupille jouant son rôle de coordination et temporisation face à la charge de la lumière et la rétine traduisant le message lumineux. La coloration de l’iris est superficielle et l’iris dispose d’une deuxième couche qui protège l’œil quel que soit la pigmentation de la première couche (visible). A l’exception des personnes albinos, les yeux « clairs » n’ont pas de sensibilité accrue à la lumière, si les personnes sont en bonne santé.

La couleur Doré n’est toutefois pas la seule caractéristique de cette mutation génétique, contredisant la couleur... n'engage aucune autre spécificité génétique.
Les chercheurs de l’Université d’Icemlet, travaillant de pair, avec la communauté scientifique de Lacrima di Perla ont pu confirmer dans leur article du « Lanceur », que la mutation avait un effet supplémentaire, sur le spectre lumineux visible.

En prenant en considération le fait que la Femme dispose d’un spectre lumineux extrêmement restreint par rapport à la multitude d’ondes / fréquences du spectre connu, la mutation « Dorée » a sensiblement modifié une partie de la rétine et du réflexe photomoteur de la pupille. Les deux nerfs, optiques et photomoteurs, disposent d’une latitude de fonction légèrement différente. Les traductions au cerveau semblent jouer sur les couleurs et luminosités principalement.

Nous relevons plusieurs phénomènes mesurés à ce jour. Voici quelques exemples qui seront plus faciles à comprendre :

  • Une interprétation de vision nocturne accentuée
  • Des nuances lumineuses, de faible intensité, mais mesurable, qui ne seraient pas décelables par un œil ne disposant de cette mutation, sont alors interprétées par le cerveau et donnent forme à une image, là où d’ordinaire rien ne serait « imagé ».

  • Une coloration de l’environnement (de toutes choses) décalée, plus prompte à la vivacité et attirée par les nuances de couleur d'ultraviolet
  • Les enfants Althaljirs ont tendance à utiliser les couleurs primaires « vives » par rapport à leurs congénères outre-Althalj. Une différence culturelle a été écartée dés lors que les tests ont été effectués au sein de la diaspora Althaljir à travers le Nazum, l’Eurysie, l’Aleucie et le Paltoterra, avec autant d'élimination de biais que possible. Les conclusions sont suffisantes pour être interprétées.




L’eau unique Althaljir


Les effets de la mutation ont été identifiées à travers les études ci-dessus.
Un phénomène d’amplification est de plus visible au sein même des Tamurt n Althalj.

Les perceptions des couleurs, les effets de luminescence nocturne ou d’interprétation sont plus fortes dans certaines régions de l’Althalj que partout ailleurs. (quelque soit l'âge du porteur)
Un mapping de différents niveaux et effets mesurés ont permis de recouper une prédominance dans les régions de l’Altilal Almujamada et jouxtant celles-ci. Les cartes montrent clairement une juxtaposition avec la consommation de l’eau provenant de ses rivières.

Plusieurs équipes de l’Université d’Icemlet travaillent sur le contenu en soufre (raccourci quant à la couleur dorée et le jaune sulfuré), mais aussi des oligo-éléments (plus sérieux) et tester une possible corrélation entre les effets accentués de la présence du gène Doré et la consommation de l’eau de l’Altilal Almujamada.

Des équipes de volcanologues des Corporations d’Acilmum sont allées plus loin en identifiant la présence de volcans actifs dans la région, les tracés hydriques des deux derniers millénaires et les mappings établis préalablement sur la présence du gène Doré.
Cette hypothèse est survenue lors de la découverte de la teneur particulière et unique de l’eau en différents sels minéraux en provenance des volcans actifs de l’Altilal Almujamada ou par l’érosion de certaines parties de la chaîne de montagne permettant à certaines couches minérales d’apparaître, s’éroder et véhiculer un contenu unique aux Althaljirs.

Lorsque la source aura été identifiée, se posera alors la question de la spécificité de celle-ci et si elle a favorisé la mutation (potentiel cancérogène, « mutatique » (terme Alt), radiologique etc.) ou éviter un corollaire réducteur ; la source d’accentuation des effets peut être absolument sans mesure la source de la mutation initiale.
Les preuves manqueront assurément et il n'y aura alors qu'une hypothèse basée sur un potentiel seulement.







Des impacts sociétaux depuis 1500 ans



L’anthropologue et Docteur Ilaman Ag Echerif mentionne, dans ses études sur la « bienveillance » naturelle Althaljir, que le spectre de lumière, et la perception des couleurs avec une vivacité et un contraste autre, du fait du gène Doré, peut avoir fortement influencé la « positivité » Althaljir, son sens artistique et mystique.

Avec un « regard » autre sur l’environnement et la Femme, les Althaljirs ont culturellement une vision protectrice et aimante de toutes choses. Le Matriarcat peut avoir découlé en partie de cette « vision des choses », de cette volonté de préserver et embellir.

Admettons que le gène Doré ait pu influencer ou être à l’origine de l’approche Althaljir, le Docteur Ilaman Ag Echerif extrapole les premières données scientifiques sur l’apparition (niveau décelable et mesurable) de ce gène lors de la moitié du premier millénaire.

Ilaman Ag Echerif fait ici mention d’une concordance avec la montée de l’Islam et surtout du tournant assez rapide vers l’Ilâhatisme.
En effet Ilâh, ou Ilâhat, diffère en quelques points de l’Islam traditionnelle, Sunnite ou Chiite pour simplifier, car il porte un amour accru à la nature et à la nécessité de sa préservation.
La dévotion Althaljir pour Ilâh est marquée par le recueillement et une philosophie de l’observation de son entourage. Il est fortement culturel de prier à l’extérieur pour les prières de l’aube, Salat Fajr, et des deux prières du coucher du soleil et du crépuscule, respectivement Salat Maghrib et Salat Icha : les températures le permettent, mais aussi la beauté des couleurs et de la signification éloquente du début et de la fin seraient des moments d’autant plus privilégiés que le changement de luminosité et de rayons / fréquences envoyés par le soleil laisse toute latitude d’appréciation.




La société Althaljir aurait été influencée par le gène Doré sur des facettes multiples de son quotidien qui ont façonné une société unique, mais aussi une philosophie de la vie qui n’a pas son pareil. Le gène Doré n’est pas le gène des supers pouvoirs, il ne permet qu’au porteur d’avoir un œil plus averti à certains détails et facettes méconnues au et du regard des autres.

Les études en cours ont une approche unanime sur l’éviction immédiate de toute théorie raciale ou génomique qui feraient renaître les spectres d’un passé, bien sombre ou de jalousie sur un aspect aussi remarquable que le roux des cheveux, le niveau de mélanine des peaux foncées ou une déficience de déshydrogénase.
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12/09/2009



Les Dossiers Chispas de Guerra - Les germes de la guerre et le sourire des industriels de l'armement



Les sources des données ne peuvent pas être à 100% précises.
Grâce aux sources gouvernementales ou par la presse locale, internationale et une forte coopération entre ces dernières et les ONGs regroupées dans cette initiative, les Dossiers Chispas de Guerra sont le fruit d'une étude de longue haleine dans un univers opaque et dont la confidentialité pèse sur la liberté de la presse ou la sécurité individuelle.

L'anonymat a été envisagée afin de protéger l'identité et l'intégrité des personnes ayant mené à bien ce projet. La décision a fait l'unanimité toutefois : le courage est entremêlé avec la crédibilité et c'est dans un environnement potentiellement hostile qu'il est d'antan plus important de faire face et d'afficher sans crainte des conclusions notables.



Les nations disposent d'un droit à l'autodétermination, à un respect de leur identité et de leurs frontières.
Cette phrase prend en considération que les populations ne souffrent pas, que la direction nationale oeuvre dans un carcan de bienfaisance sociale, économique, politique, libertaire et sécuritaire.

Dans un monde bouleversé par des changements conjoncturels, politiques et géopolitiques, les directions nationales, ou la gouvernance des états, ont une obligation de prodiguer une sécurité et protéger l'intégrité de ses populations respectives.


  • La sécurité intérieure, par l'usage d'une police, d'une gendarmerie ou d'un système de maintien de l'ordre pour le bon fonctionnement de la société
  • La sécurité "extérieure", afin de se prémunir de tout danger provenant de l'extérieur des frontières étatiques


Cette seconde facette est généralement sous la responsabilité d'une force dirigée directement ou indirectement par les armées.
Le corps militaire doit à la nation d'être à la hauteur des dangers impartis. La dissuasion, la préparation et l'action seront des maîtres mots dans le jargon de ces institutions.
Divers secteurs des armées sont à distinguer. Ils ne le sont pas toujours dans l'organisation des armées elles-mêmes, toutefois il y aura une distinction faîte entre les armées de Terre, les armées de l'air et les forces navales (armées de mers et océans).
Afin de permettre une opérationnalité et efficacité dans son rôle d'armée, les ressource sont primordiales :


  • Les ressources humaines
  • Les organisations et structures
  • Les équipements
  • Les infrastructures
  • Le financement
  • L'expérience
  • La visibilité et crédibilité


Et bien que l'image des armées soit assimilée principalement au combat et à l'action militaire, les armées passeront une bonne partie de leur vie sans combattre. En effet, la préparation et surtout la dissuasion seront aussi importantes que l'efficacité opérationnelle.
Nous insistons sur ce dernier point, car c'est à travers ce prisme de "raison" que les armées favoriseront la dissuasion par la disponibilité des ressources et surtout d'un aspect visibilité : les équipements (véhicules terrestres, avions, navires, armements individuels, missiles, mines etc.).


Les états pensent que la crédibilité ou la dissuasion militaire passe par le stockage quantitatif et qualitatif des équipements.
Plus les nations disposent de chars, d'avions militaires et de navires, plus les armées pourront atteindre des objectifs si d'ordinaire un conflit venait à éclater ou une intervention extérieure fut nécessaire.
Ce principe engendre de stocker, produire ou acheter toujours plus, tandis que les voisins, non alliés et potentiellement un danger pour la nation, en feront autant.
Les stocks augmentent et avec les niveaux de létalité et de destruction qui auront une corrélation directe avec les niveaux technologiques et volumes disponibles, sous forme de courbe exponentielle.


Se pose la question du bien fondé de cette stratégie d'engraissage des armées et de la réelle sécurité vis à vis de l'"extérieur".
Si les armées ont pour rôle de protéger la nation des dangers dits externes et si la course à l'armement "naturelle" (ci dessus) engendre un danger encore plus grand, est ce que les armées approchent le problème de la sécurité de la mauvaise manière ?
Est-il nécessaire d'instaurer un palier afin que le danger ne suive pas une courbe exponentielle, mais soit plafonnée pour que le danger soit plutôt logarithmique.

Il n'y aura que peu de nations, comme Saint-Marquise qui prendront la décision d'une armée réduite, privilégiant la diplomatie, le dialogue et la dissuasion sous les couleurs du pacifisme.


Les Dossiers Chispas de Guerra n'ont pas vocation à trouver des solutions à la confrontation mondiale qui se joue en silence, aux étincelles de la guerre qui émergent à travers les continents.
Les Dossiers Chispas de Guerra dénonceront néanmoins la diffusion et de l'incitation à outrance à la course à l'armement, à la courbe exponentielle du danger et à la faillite annoncée des armées qui suivent cette stratégie, cette doctrine de l'engraissage.


30% de la production mondiale d'équipements militaires, d'armements, provient du top 6 des nations avec le plus fort Produit Intérieur Brut (PIB).
15% de la production mondiale pour le top 2, soient les Iles Fédérées de l'Alguarena et le Pharois Syndikaali.
Avec un budget de 6.2% et 6.1% de leurs PIBs respectifs, 204 milliards d'unités monétaires standards passent chaque année dans ce secteur qui ne comptabilise ici aucunement le fruit de leurs ventes d'armements, qui reste un domaine inaccessible ou illisible dans les comptes officiels annuels.


90% des ventes d'armements (volume et létalité) sont effectuées à destination de l'Eurysie seule, le reste étant principalement envoyé vers l'Afarée. (exception faîte du Pontarbello par manque de transparence)
90% des ventes d'armements (volume et létalité) sont effectuées par le même top 2 avec une prépondérance notoire pour l'Alguarena.

$500 millions minimum par an, de ventes ou transferts d'armements, soit 1/3 du PIB du Grand Kah.
Les valeurs ne sont que des estimations, toutefois cette industrie ne déclare pas ses ventes et seule sa production est lisible et mesurable à travers les registres et comptes officiels.
Il y a un monde opaque où l'argent circule sans être visible. Les marges et valeurs ajoutées seraient estimées à minimum deux fois le prix de production. A l'échelle de 6.2% du PIB (production seulement) pour l'Alguarena, soit $106 milliards par an... $212 milliards ne seraient donc pas comptabilisés dans le PIB et passeraient comme plus value grise, voir noire.


Comment tout cela est-il mesuré et mesurable ?

Certaines transactions sont officialisées à des fins politiques et dans la même démarche de dissuasion et crédibilité par les volumes et la létalité.
Toutefois la plupart des transactions ne sont pas officielles et nécessitent diverses moyens indirectes, détournés, afin de produire ces statistiques.
Les défilés, les photos officielles, les photos obtenues par la presse sur le terrain ou lors de conférences ou d'expositions, les registres gouvernementaux officiels et les témoignages physiques ou non officiels des réseaux sociaux et dont l'information a été recoupée et prouvée par les experts des Dossiers Chispas de Guerra.


Les nations grossissent leurs stocks et la létalité en achetant cher les équipements Alguarenos, qui permet toutefois une disponibilité presque immédiate afin de satisfaire l'exigence du moment.
Le marketing sera grandement employé afin de faire valoir des équipements derniers cris, tant par des concours et simulations de combats aériens lors d'expositions, des industriels décomplexés ou alors relayés par des organes de presse nationaux.

L'augmentation des ventes ou de la diffusion d'équipements militaires est aussi dû à une obsolescence de ceux-ci au sein du top 6 (PIB mondiaux) qui utilisera un moyen d'alléger les comptes de fin d'années tout en usant de cette stratégies financières comme outil de la géopolitique et de la diplomatie.


L'Organisation des Nations Commerçantes a amplement soutenu cette diffusion d'équipements au sein de ses nouveaux membres. Les raisons louables de cette diffusion, ou vente, seront affichées par les parties prenantes comme péremptoires dés lors que la considération d'un message de menace vis à vis de la stabilité instable de l'Eurysie aura été largement ignorée.

La multiplication des entreprises privées de sécurité aura tôt fait d'accélérer une consommation qui était autrefois étatique exclusivement. Ces entreprises privées ne font pas les fonds de tiroir et se doivent de présenter le meilleur de leurs équipements afin de vendre leurs services au plus offrant ou alors dont l'idéologie étatique ou politique s'aligne à la leur. Les exemples Alguarenos, Lofoten et Pharois sont les premiers résultats de recherche sur Internet pour "sécurité privée" et "paramilitaire" et tous affichent des équipements aux technologies avancées.
La "libre" circulation de matériels et équipements militaires s'est de même amplifié avec les derniers conflits en date, dont le Top 6 a entièrement été contributeurs directs et indirects.


Les données disponibles de transactions militaires et de collectes d'information sur le suréquipement des nations par l'Alguarena et des nations industrielles de l'armement seront partagées à la Presse internationale.




Une industrie au service de la nation, les Iles Fédérées de l'Alguarena, premier producteur et exportateur d'équipements militaires
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01/10/2009 Icemlet




La Sororité à l'écoute de la Musique



La musique opère une magie sur le corps et l’esprit qui a longuement été étudiée à travers les âges, les civilisations, les érudits et les artistes.


D’où provient la musique ? Comment a-t-elle été créée ?

Nul n’arrive à répondre à cette question de manière concrète, toutefois l’observation de la nature et ses bruits, ses fluctuations et temporalités phoniques, ses chants animaliers, tous ces éléments laissent à penser que la Femme a acquis ce don, cet art à travers le temps et peut être de manière accélérée lors de l’usage de la parole, d’un langage.


Et pourquoi la musique ?

L’élément de séduction, érotique est considéré, toutefois certains sonorités, vibrations, paroles et portées touchent notre être, créer de l’émotion, une envie ou une tristesse, une pensée régressive ou d’inspiration. La musique est un art que la Femme connaît depuis toujours et prend différentes formes à travers le temps, à travers les civilisations, les communautés, les zones géographiques, les cultures et les générations.



La question est aujourd’hui portée sur la musique et un parallèle conjoncturel et sociétal.

Quelque soit le type de musique, la « santé » sociétale se répercute sur celle-ci et le phénomène inverse est aussi mesuré.

Les Tamurt n Althalj disposent d’un patrimoine musicale traditionnel important. Pendant des siècles, la musique reflétait un moment de joie communautaire. Les résidus de ces siècles sont toujours décelables lors de fêtes de villages, de mariages où les rythmiques et les danses favorisent une virilité masculine qui plaisait à une société matriarcale. Les hommes dansaient face aux femmes principalement lors de ces fêtes. La musique était un outil puissant de séduction et de liens entre communautés Althaljirs.

Avec le développement exponentiel des sociétés d’Eurysie, d’Aleucie et du Paltoterra du siècle dernier, les Tamurt n Althalj ne prirent le virage de croissance à temps. Les années 70-80 auront été difficiles pour les peuples Althaljirs qui subiront une génération où le doute, le manque et la pauvreté s’installaient. La musique, dés lors, jusque dans les années 90, prit un tournant mélancolique, où la souffrance de la jeunesse et l’inquiétude larvaient les esprits.

Aujourd’hui, la musique reste un indicateur stupéfiant.

Le type de musique peut être beaucoup plus révélateur que d’autres sur les conditions économiques, sociales et politiques d’une nation, mais au-delà du type, les paroles et l’émotion recherchée et véhiculée sont bien plus explicites.



Prenons le top 6 (pays avec les PIBs les plus élevés),

Une vaste diversité de musique y est concentrée.

La musique dite traditionnelle, classique, la pop, le rock, le rap, le jazz, le blues, la musique électronique, new age… une foultitude de différenciations et sous divisions de ces divisions et spécialisations se multiplient à l’infini. Nous ne passerons pas sur les origines des types de musique citées, un mélange historique et multiculturel ayant permis une internationalisation de celles-ci à travers le dernier siècle notamment. Vous êtes tous au fait de ces types de musique à travers cette internationalisation accélérée, la mondialisation culturelle.


Lors des périodes de forte croissance et de développement initial vers l’ère moderne (https://geokratos.com/?action=viewTopic&t=1188&p=1#m17935), les paroles des chansons sont orientées vers le plaisir du quotidien, vers l’inspiration de ce que donne la vie et ce que peut être la vie d’opportunité et de richesse. La pensée est positive et elle est liée à une musique où la danse est excitante, donne une impression de joie, de « feel good » comme les Aumérinois les qualifient.
Puis les sociétés en devenir et moderne perdirent de leur vigueur à travers une chute de leur croissance, des inégalités produites lors de la phase de croissance précédente ou de décisions et traditions sociétales.


La paupérisation des sociétés modernes est un facteur commun qui ne trouve de solution à travers les prismes idéologiques, libertaires, capitalistes, communistes ou de tout autre bord. Sans rentrer sur le sujet du pourquoi, comment et de la solution, la musique reflète une souffrance sociétale lors de ces fractures sociétales.

Le rap est un exemple changeant et typique qui dispose de maintes vies à travers différentes générations. Rythm And Poetry, le rap affiche une facette moins critique de la société et du « système » que nous pouvons lui connaître aujourd’hui. Outil de communication, il est aussi utilisé comme instrument d’identification social. Le rap ira jusqu’à parler des maladies de la société jusqu’à la haine d’un voisin ou de l’autorité. Employé par les jeunes comme les générations nées dans les années 70-80, la puissance du message et la violence souhaitée dans le son est accentuée lors des crises économiques et sociales en Eurysie, en Aleucie et au Paltoterra principalement.





L’inquiétude parentale, vis-à-vis de l’écoute des jeunes générations d’un rock dit « hard » ou de musiques électroniques fortes et dissonantes de l’habitude générationnelle (parentale), est lisible dans la presse, transmise à la radio et à la télévision. Si la jeunesse écoute des paroles et des sons « violents » et dont le message incite à rompre avec la société actuelle, la musique pourrait transformer des opinions basés sur une éducation familiale et systémique en un trouble, une anormalité dangereuse et qui rejette l’intégration (système).


Les Tamurt n Althalj sont extrêmement vigilants quant aux tendances musicales et « messagères » passées et écoutées à la radio par les jeunes Althaljirs. La Maktaba établit un constat régulier sur les impacts de sa croissance forte de ces dernières années sur les inégalités et les fractures sociales qui peuvent en découler. Les traditions restent un facteur de lien entre les Althaljirs, toutefois la « modernité » implique cette dissonance déjà mentionnée, où de nouvelles souffrances se créent et s’accumulent.


La liberté d’expression au sein de l’Althalj est forte, bien qu’un respect unanime du système semble régir des limitations naturelles à cette première.

La musique est d’autant plus libre, qu’elle est un art supra et transgénérationnel qui est fortement présent au sein des Tamurt n Althalj. Les influences Alguarena, Pharoises, Kahtanaises, Loftènes, Jashuriennes et Fortunéennes bercent la transformation de la nouvelle musique Althaljir et c’est dans ce sens que la Sororité entend écouter l’entreligne sociétale et s’assurer que la proactivité imaginée, planifiée ne soit pas le seul vecteur décisionnel des têtes pensantes des Tamurt n Althalj.
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21/01/2010, www.outright.org


Les Léviathans de l'armement



La situation internationale est toujours un point d'inspiration pour les plumes les plus acérées afin de mettre en exergue les complexités de la géopolitiques et surtout établir des leviers de négociations ou d'influence entre les partis prenantes, concernées.

Une longue phrase afin d'introduire ce nouvel article qui se focalisera principalement sur les capacités de production d'armement militaire actuels des différentes nations de ce monde.
Nous utilisons les données disponibles sur les sites étatiques, statistiques, de tierces parties ou par l'intermédiaire de recherches avec le concours d'économistes et de consultants du secteur.
Les données utilisées manqueront dans certains cas de précisions du fait de l'opacité de l'information du fait d'un manque de circulation de celle-ci, pour différentes raisons politiques ou de ressources pour mesurer et enregistrer. Certaines estimations seront à considérer afin de pondérer d'autres données qui peuvent avoir été gonflées sur les registres officiels.


La Leucytalée est actuelle le havre d'exercises militaires "grandeur nature" où différentes forces idéologiques et armées bombent le torse afin d'assoir leur position.
Des dizaines, des centaines de navires de guerre, d'avions militaires, de troupes sont engagées dans un ballet qui peut à tout moment faciliter le trébuchement et les responsabilités qui en découlent.

Certains pays auront tôt de s'en inquiéter, car tout conflit armé est un désastre en tant que tel.
Nul besoin de rentrer dans des considérations justificatrices, un conflit armé est la dernière solution après que toutes les autres aient été tentées, si les dirigeants des pays concernés ont une approche "responsable", "raisonnée" (et non raisonnable ?).

Certains pays s'inquièteront, mais savent que derrière les flatulences d'un potentiel adversaire, la foudre sur le court et long terme enflammera ce dernier... quoiqu'il arrive.
En effet, les capacités économiques et militaires de certains pays ont atteint un tel niveau que la mouche qui cherche la selle aura tôt fait d'être écrasée.
Nous ne parlons, une fois de plus, pas des dégâts collatéraux qui résultent d'un conflit armé.


Deux indicateurs sont intéressants à distinguer et analyser, qui font tout ou partie du budget militaire :

  • L'entretien militaire
  • Celui-ci nous renseigne sur les moyens actuellement engagés afin d'entretenir les ressources militaires actives ou passives. Cela va du coût d'entretien d'un véhicule, au coût de salaires militaires, à l'achat régulier de stocks de pièces de rechange, aux services engagés pour les armées (études) etc.

  • La capacité de production
  • Utilisée à plein régime ou non, cette capacité de production est l'ensemble des ressources à disposition permettant de produire des équipements, des véhicules, des navires, des avions etc.

La premier indicateur est facilement mesurable. Il fait généralement partie intégrante du budget des armées et permet de ce fait d'être consulté, pour la plupart des nations. Certaines estimations, une fois de plus peuvent être nécessaire afin de pondérer les données officielles de certains pays "loquaces".

Le second est plus difficile à mesurer.
Certains moyens de production des équipements militaires font partis de l'armée, toutefois, dans un monde nécessitant de plus en plus de rationalisation de l'économie militaire, les industries privées sont de plus en plus prisées afin de sous-traiter la production ou parce qu'elles en ont fait leur expertise propre, spécialisation. Vengerberg Enterprise est un exemple parfait de ces entreprises qui doivent être considérées dans les capacités de production nationales.
Quid des entreprises, dîtes étrangères, qui produisent pour le compte du pays. Elles ne seront pas prises en considération ici. La nationalité de la maison mère sera prise en considération et toute complexité de structure légale sera sciemment ignorée. En règle générale, l'industrie de l'armement dispose d'une identité nationale forte et ainsi n'adhère aucune difficulté supplémentaire.


Capacités de Production Militaire
(Capacité Militaire Totale en milliards d'unités monétaire, standard international)


Un palier naturel est visible, une fourchette entre $30mi et $40mi, avec les 2/3 d'entretien militaire et 1/3 de capacité de production.
L'équilibre s'établit grâce à un investissement initial fort et un entretien du budget en % du PIB à un niveau stable au fur et à mesure de la croissance organique (ou non) du pays.
Le 1/3 gardé en capacité de production permet de disposer d'un régime de renouvellement des équipements dit normal en fonction des avancées technologiques et techniques, mais aussi afin de permettre de la flexibilité dans la ligne de production. Il est possible de changer le type d'équipements à production, au risque de devoir changer les moyens de production ou source de production, ce qui peut prendre du temps.

A partir de $40mi, l'entretien est plus important, principalement du fait des moyens armés proportionnels à l'économie, justifiant ou pour justifier des desseins géopolitiques. Les équipements sont plus nombreux ou plus chers à l'entretien. Les Iles Fédérées de l'Alguarena affiche des équipements aéro-navals pointus tout en formant, en quantité, l'une des plus grosses flottes mondiales.
Ce qui est notable, néanmoins, est que la règle des 2/3 & 1/3, n'est plus applicable à ce niveau. Le suréquipement coûte cher et le délestage des anciens stocks ou leur vente représente une large partie de l'économie sous-jacente qui est difficile à lire à travers les indicateurs économiques classiques, comme spécifié dans nos numéros précédents.
Les capacités de production deviennent si importantes, qu'elles permettent des lignes de production continues et contigues des équipements les plus chers et long à produire sans être inquiétés d'un enlisement de la production face à une urgence ou une réadaptation situationnelle et conjoncturelle.

Trois autres cas à distinguer par ailleurs :

  • Les nouveaux entrants et nations en réarmement,
  • La Manche Silice, l'Empire Burujoa ont investi massivement afin de se positionner sur un budget militaire similaire à la tranche "standard" budgétaire.
    Leurs armées sont encore "faibles", mais l'investissement initial impactera leurs capacités à se réarmer rapidement si nécessaire.

  • Le Carnavale,
  • Affiche une économie principalement orientée sur l'exportation d'équipements militaires,
    Ainsi elle estime qu'une armée conséquente n'est pas nécessaire, toutefois les capacités de production de Carnavale disponible est la plus importante au monde, actuellement orientée sur de la production civile principalement.

  • Les nations à petit budget,
  • La Shuharri et les Tamurt n Althalj disposent d'armées proportionnelles à leurs desseins géopolitiques. Les Tamurt n Althalj, par exemple, misent sur le qualitatif seulement et ont limité le budget militaire du fait d'une stratégie axée sur la Recherche & Préservation (R&P). A cet effet, l'Althalj accepte de faibles capacités de production bien que les dernières tensions Afaréennes puissent remettre en question cette ligne directrice afin de parfaire ses capacités de projection de la Bienveillance et de l'Athalj Alkabir.

Dernier point à considérer est le fait que l'entretien militaire ne donne aucunement un niveau d'efficience des armées.
Une grande armée d'équipement obsolètes ne fait pas le poids face à une petite armée d'équipements derniers cris ?
L'analyse de ce jour ne donne pas de conclusion. Certains retours d'expérience et conclusions lors de conflits précédents ou évènements exceptionnels peuvent être pris en considération, mais jamais un conflit de très grande envergure n'a eu lieu ces dernières années, afin de juger sur le long terme d'un postulat.


Soyons plus clairs,
En excluant le Carnavale de l'analyse (explicité plus en amont),

Les capacités de production de,
  • l'Alguarena,
  • du Pharois Syndikaali,
  • du Grand Kah,
  • de l'UPL,
  • de la Cémétie,
  • de Fortuna,
... est égale à l'ensemble de la tranche "standard" de budget militaire, soit 19 pays allant du Walserreich au Gallouèse.

Les capacités de production de,

... l'Alguarena = PIB Total du Pontarbello

... du Pharois Syndikaali = PIB Total de la Mandrarika

... de la liste des 6 nations citées précédemment = PIB Total du Valheim ou PIB Total de la République Sociale du Prodnov ou PIB Total République Libre du Prodnov

L'entretien militaire de l'Alguarena à lui seul = Entretien + capacités de production du Kronos

Le budget militaire total des 6 nations citées précédemment = 75% du budget militaire total des 19 nations "standard" allant du Walserreich au Gallouèse



Ainsi, lorsque les nations se font face en Leucytalée, certaines devraient lire Outright avant de prendre des décisions motivées par l'émotion.
Les statistiques peuvent apporter quelques fraîcheurs d'esprit en quelques perspectives sur le myth Novi de David contre Goliath.


David et Goliath
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Les Politiques Keynésiennes et l'Idéal qui Supplante la Raison

03/02/2010 Icemlet



Les Tamurt n Althalj sortent d'une période économique morose et moribonde au siècle dernier à un décollage dans les années 90 et en ce début du siècle.
Aujourd'hui les Tamurt n Althalj font parti du trio de tête des économies et nations "développées" d'Afarée avec la République Directe du Banairah et la Principauté de Cémétie, mais aussi font parti du classement, contestable en terme de "niveau de développement", du top 10 des plus grands PIB (produit intérieur brut) au monde.

L'Althalj, c'est 6 millions de citoyennes au référencement de 2009. Comment un si petit pays peut atteindre des sommets aussi rapidement, mais aussi sans utiliser la triche économique mondiale qui est celle des hydrocarbures, car en effet les Tamurt n Althalj n'utilisent pas ou très peu leurs ressources en pétrole et en gaz naturel.

Riche en phosphate et en cuivre, cette seule économie primaire ne peut élever une nation dans un secteur minier dont la chaîne de valeur est en bout de chaîne et non en amont.

Une partie de la réponse se porte sur le contrôle de sa croissance et une synergie engrangée par la culture Althaljir unique, celle de la restriction qualitative par des normes de respect de l'environnement et sociale.
L'AG (Althalj Garantie) est un organisme gouvernemental qui n'autorise qu'une certaine qualité et traçabilité des matières et équipements à l'importation.
La fusion économique des Tamurt n Althalj lors de l'unification officielle des années 90 n'a pas créé une croissance par l'augmentation d'une consommation à l'occidentale. Les Althaljirs n'acceptent pas d'acheter si les équipements ne sont pas garantis de durer ou ne peuvent pas être mutualisés. Un exemple type, les véhicules automobiles ne sont pas utilisés par la famille seulement, ils sont un moyen pour la communauté et le voisinage de profiter d'un moyen de transport, si adapté (pas en ville, la bicyclette y est culturellement privilégiée).

Ce frein culturel impose alors à la Sororité de se tourner vers une économie de services et en partie d'industrie de transformation qualitative.
Afin de faciliter la circulation des cerveaux Althaljirs, de permettre à l'économie de pourvoir dans le futur à une augmentation de la consommation d'énergie et au potentiel immense de nouvelles terres arables et d'une faible population, la Sororité se tourne alors vers les Grands Travaux Publics.

Vulgarisation de la politique Keynésienne :

A comparer avec les approches économiques classiques ou néoclassiques, Juan Mainord Keynes, Economiste Alguarenos,

Si l'Etat intervient en investissant une partie des dépenses publiques dans de grands projets nationaux,
Les entreprises privées en profitent pour saisir le train en route et investir de même,
Celles-ci embauchent plus pour pourvoir à l'augmentation de leurs activités,
Ce qui génère plus de salaires, en quantité ou en qualité (salaires plus hauts),
La population consomment alors plus, car elle en a les moyens et l'envie,
Et la demande augmente,
L'Etat dispose de plus de revenus fiscaux et peut augmenter les dépenses régaliennes et/ou réinvestir dans de nouveaux grands projets.

Cette roue vertueuse de Juan Mainord Keynes est à la base de la politique économique Keynésienne où l'Etat est catalyseur de la virtuosité économique et sociale d'une nation.

Une fois que nous avons expliqué des principes généraux, elle se dessine déjà des problèmes ou nuances pour les Tamurt n Althalj, dont la Sororité est bien consciente.
L'Althalj a massivement investi, ces deux dernières décennies, dans la rénovation de ses habitations, des équipements publics et dans le patrimoine culturel et religieux. De ce fait, certaines dépenses régaliennes ne le sont plus, car la population a contribué massivement au "développement" de la structure éducationnelle, de santé, de la voierie et aussi en assainissement.
En effet, les Althaljirs portent une attention toute particulière à la bienfaisance locale, une solidarité qui se veut par le geste, mais aussi de manière fiduciaire. L'Althaljir dépense peu en équipements "superflus" et elle sera très rare de trouver des jouets en plastique ou des bibelots autres que traditionnels et fabriqués par les artisanes locales. Cela implique un grossissement de l'épargne Althaljir. Celle-ci est toutefois "consommée" en donation aux autorités locales afin de parfaire la commune, pour le bien de la communauté. Ce trait culturel peut rappeler un aspect d'régime communiste ou d'utopie locale qui s'imbrique dans le système du Matriarcat Althaljir. Cette autonomie locale (traditionnelle de l'époque du système "communautaire qqarien") n'agite toutefois aucunement la centralisation du pouvoir national Althaljir au sein de la Maktaba et la Sororité.
De ce fait, de par cet investissement des "consommatrices" sur des dépenses régaliennes, le cercle vertueux dispose d'une boucle interne qui aura permis de rattraper un niveau de "développement" aux standards Paltoterranes.

Tout ceci n'explique pas forcément l'entièreté du succès Althaljir.
L'Althalj a fait un virage assez important vers la Recherche afin de servir ses desseins culturels de préservation, de respect social et environnemental, principalement à travers la culture de la Bienfaisance qui est liée à la religion Althaljir, l'Ilahmisme.
Cette Recherche et Préservation (R&P) est aujourd'hui soutenue activement par un système de Corporation R&P, mais surtout de l'acceptation lors des années 80 et 90 de la faiblesse de son système éducatif.
Poussant à marche forcée les jeunes générations vers des études à l'étranger et notamment au sein de la République Sérénissime de Fortuna, l'épargne Althaljir est suffisante et majoritairement insufflée dans l'éducation de ses enfants, au delà des donations aux autorités locales.
Et les effets sont visibles dés le début du siècle ; les jeunes Althaljirs veulent revenir aux Tamurt n Althalj, mais ont surtout des compétences et diplômes qui valorisent les infrastructures éducationnelles bâties dans les nouvelles écoles et universités nationales. L'expérience acquise à l'étranger permet de mettre à la tête de Corporations en R&P une jeune génération de professionnelles actives et motivées.

Le pari fonctionne et les Tamurt n Althalj sont de plus en plus crédibles sur la scène internationale.

La fiscalité aura aussi joué un rôle important.
Après une fiscalité primaire, adaptée à un système économique et social d'un société qarienne prédéveloppée, la Sororité a établi des normes fiscales favorables aux entreprises investissant des quantités importantes de leurs investissements en R&P, attirant des succursales d'entreprises internationales en son sein afin de bâtir les réseaux de think thank et de centres de recherches aujourd'hui moteurs dans de nombreux domaines de sciences et d'arts, de l'anthropologie et sciences humaines, à l'ingénierie, à l'agriculture, à la chimie, la santé, les transports et en partie au militaire Althaljir.
Le pays dispose toutefois de taxes douanières importantes sur des produits disposant du label AG, toutefois non essentiels ou "superflus". Les véhicules automobiles sont des biens fortement taxés par exemple, de même que les circuits imprimés classiques favorisant la production et l'utilisation des tubes à vide et notamment la nouvelle génération de micro tubes à vide.
Le système Althaljir emploie un système de taxation des hauts revenus et de redistribution revalorisé chaque année afin de parfaire un équilibre bienfaisant vis à vis de la population.
Les donations, une fois de plus, permettent d'en diminuer l'amplitude, et le Coffre aura investi ces dernières années dans des services imposants de contrôle de ces flux afin d'éviter les fraudes fiscales des entreprises et des citoyennes.

Dés lors, l'Althalj investit massivement dans de grands projets de travaux publics afin d'insuffler une part de la roue vertueuse de Juan Mainord Keynes, et de ce fait de permettre au pays de disposer des infrastructures nécessaires à la continuité de sa croissance.
En utilisant une image, un branding Althaljir unique, le pays a su attirer et conserver sa puissance intellectuelle et force de travail. Le secteur primaire est supplanté par un secteur tertiaire grandissant et un secteur secondaire sélectif et surtout qualitatif.
L'unicité de la culture consommatrice Althaljir lui permet "d'équiper la nation avant la maison" (Qari Ijja Shenna), ce qui prodigue un sentiment de beauté traditionnelle et naturelle à l'Althalj, éloignée et enclavée par le Sahra'.
La géographie et notamment les innombrables montagnes et sources hydriques lui permettent l'accessibilité à une denrée stratégique et un avantage économique régional et local indéniable.

De ce fait, le pays accède à de nouvelles sphères d'influence politiques et sociétales internationales qui peuvent entrainer une brisure culturelle générationnelle.
Les Conservatrices de la Sororité prennent toute la mesure de la chose et imposent que les valeurs Althaljirs soient respectées malgré son internationalisation (nouvel Althaljisme), à travers des règlementations de consommation strictes et une fiscalité qui en découle.
Les économistes sont nombreux à parler d'un frein moteur Althaljir, qui au delà d'un manque de synergie économique en Afarée de l'Ouest, ne permettrait pas à l'Althalj de rattraper à terme les grandes économies du Paltoterra, d'Eurysie, du Nord de l'Aleucie ou de la République du Jashuria.
La Sororité a confirmé, dans une conférence à Icemlet le 13 Janvier 2010, que "la politique d'investissement Paltoterrane [Keynesienne] est une réflexe économique des nouvelles nations en devenir, car facile à implémenter et visible au sein de la société, toutefois il est nécessaire de regarder au delà de la logique de "la croissance à tout prix" sans orchestrer un changement sociétal raisonné".
La Sororité aura affiché de nouveaux chantiers, notamment la remise en cause du système de transmission du patrimoine, l'adaptation sociétale et infrastructurelles à la nouvelle expertise et d'usage informatique Althaljir, l'augmentation démographique et le développement urbain, de même que le projet chéri par la Maktaba afin de générer un havre de prospérité économique de l'Althalj Alkabir qui pourrait impliquer des investissements colossaux dans les Travaux Publics (le Grand Aqueduc), le développement de moyens de communication et malheureusement d'une force armée dimensionnée.

Il est rare de trouver des contestations vis à vis du pouvoir centrale, toutefois une Conservatrice de la Sororité aura glissé que le projet de l'Althalj Alkabir "pouvait remettre en question le consensus [mis en place lors de la crise de l'Aricie] entre les Conservatrices et Eclairées" et que de nouveaux bras de fer pourraient avoir lieu à huit clos, comme le tradition l'exige, quant à la Trajectoire Althaljir.



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21/01/2010, www.outright.org


L’immaturité et la naïveté tuent


De tout temps, les causes des conflits sont auto déterminées par les belligérants.
Le nerf de la guerre se situe dans les ressources employées et notamment deux ressources distinctes :

  • Les ressources humaines
  • Les ressources matérielles

Dans un contexte de guerre, les armées se doivent de se doter de suffisamment d’effectifs militaires mobilisés afin de subvenir à la stratégie défensive et offensive, faire face à la contrainte géographique (vaste champ opérationnel), mais avant tout à la puissance léthale des armements.
Les nations emploient différentes feuilles de routes quant à la taille de leurs armées, terrestres, navales et aériennes, et prochainement informatiques, et de ce fait il est judicieux de distinguer deux, voir trois types d’armées et leurs caractéristiques :

  • Armée conventionnelle et de réserve
  • Massification des effectifs par l’enrôlement de la population
    Massification des équipements
    Coût d’entretien substantiel
    Capacité opérationnelle pour tout type de conflit
    Organisation et structure potentiellement lourde
    Doctrine employant l’avantage numérique

  • Armée spécialisée et/ou professionnelle
  • Effectifs réduits ou spécialisation (terrestre, navale ou aérienne)
    Equipements adaptés à la taille et objectifs opérationnels
    Coût d’entretien réduit, sauf si utilisation de technologies et armements avancés
    Capacité opérationnelle limitée en cas de conflit de haute intensité
    Organisation et structure plus flexible et versatile
    Doctrine employant l’avantage de la spécialisation et/ou des technologies et armements avancés

  • Armée intermédiaire
  • Effectifs réduits + mobilisable rapidement
    Equipements adaptés aux effectifs réduits + réserves importantes
    Coût d’entretien important
    Capacité opérationnelle pout tout type de conflit avec latence de mobilisation pour conflit de haute intensité
    Organisation et structure mixte
    Doctrine mixte


Les nations n’ont pas la nécessité de disposer d’armées importantes en tout instant. La géographie, les alliances et la posture diplomatique générale vont influencer la décision d’armer ou non le pays.
Prenons par exemple les Tamurt n Althalj,
Le pays dispose d’objectifs clairs à travers l’Althalj Alkabir, visant à protéger ses frontières, mais avant tout de poser les bases d’une bienveillance et stabilité au sein de l’Afarée de l’Ouest. Elle ne dispose toutefois pas des moyens de ses ambitions, tant par sa culture interne (qui va favoriser des investissements civils de prime abord) ou de par la taille de sa population (limitation naturelle d’effectifs militaires). La Sororité a mentionné dans son rapport d’investissements militaires une limite naturelle de 120 000 effectifs militaires soit 2% de la population directement sous la coupe des Forces Matriarcales Ilâhmiques, sans que l’économie civile ne soit affectée par un déséquilibre de la force de travail active / effectifs militaires.
L’Althalj se tourne dés lors vers une spécialisation de ses armées, armée professionnelle par tradition et compte sur ses avancées technologiques afin de substituer à des effectifs potentiellement réduits.

Un autre exemple type est celui des îles Fédérées de l’Alguarena,
La nation dispose des plus hautes avancées militaires en termes d’équipements, mais aussi d’effectifs militaires avec plus de 200 000 soldats dans ses rangs.
L’Alguarena ne devrait pas avoir à déployer autant d’effectifs afin de défendre son territoire, au carrefour, certes, du plus important pôle économique mondiale, néanmoins sa posture diplomatique avec le voisin Kahtanais ne lui permet pas de désemplir ses rangs.
Et d’autant plus que l’Alguarena est la pointe de l’épée d’une alliance économique, militaire et idéologique qui se caractérise par son interventionnisme récent. Les desseins de l’Alguarena la forcent à déployer des effectifs importants et versatiles, ce qui en fait un exemple atypique, qui sera retranscrit par le Grand Kah, là où le Pharois Syndikaali et les Provinces-Unies du Lofoten auront favorisé respectivement une spécialisation et l’intermédiaire et ce, malgré des effectifs actifs très importants.


Cette première partie nous amène au cœur du sujet du jour, qui est celui des armements.


Un soldat sans armes efficaces apportera une forte probabilité d’échec militaire.
Depuis des temps immémoriaux, l’innovation technologique et militaire a permis aux nations de se distinguer sur le champ de bataille et gagner des guerres.
L’accélération de la technologie civile, et en parallèle son application militaire, du siècle dernier a aussi accentué la léthalité des armes.
Il est plus que nécessaire de bien équiper ses soldats et de leur permettre d’avoir à portée de main les équipements adaptés aux situations (inclues géographiques et climatiques) et aux matériels militaires de l’ennemi.
Cette accélération a pris une dimension nouvelle il y a de cela une vingtaine d’année avec les nouveaux matériaux manufacturés et de l’ingénierie et l’utilisation de l’électronique et des applications digitales modernes.

Une course aux armements novateurs semble avoir pris place dans les années 2000 lorsque les nations se sont rendues compte de la vétusté de leurs armées, comme si les armements légers et l’artillerie pouvait encore suffire face à l’agressivité et la léthalité des nouvelles technologies.
Les générations de chasseurs et chasseurs bombardier ont, en l’espace de quelques années, monté les escaliers deux par deux.
Les navires construits dans les années 90 sont tellement obsolètes qu’il semble qu’un vide militaire complaisant (malheureusement révolu) ait duré pendant un siècle, avec une utilisation de canons conventionnels comme armement principal jusqu’à la transformation Fortunéenne de la guerre navale avec des designs favorisant les très longues distances, la défense automatisée et la furtivité, plutôt que la confrontation brute de la canonnade.
Les armées terrestres sont à présent dotées de véhicules d’infanterie, de soutien héliportés et d’artillerie automatisée et mobiles. Les chars d’assaut semblent moins favorisés face à la recrudescence des technologies portables pour l’infanterie permettant un coup moindre et une léthalité importante.

Le rapport qualité / coût sera toujours au cœur des préoccupations.
Est-ce que le pays a les capacités de production nécessaires afin de produire des équipements militaires dimensionnés à l’objectif et la doctrine nationale ?
Est-ce le pays a la technologie permettant de produire un équipement de dernière génération ?
Le dilemme n’est pas nouveau.
Faut-il mobiliser une économie et investir dans un secteur réputé extrêmement coûteux afin de produire en interne les armes et munitions pour son armée ?
Ou faut-il acheter les stocks disponibles sur le marché de l’armement et ainsi obtenir des quantités et une qualité qui servira les objectifs nationaux ?


Les nations avec les plus gros PIB font parties des nations productrices et qui vendent ces équipements à forte valeur ajoutée.
Les nations en devenir ou intermédiaire auront un mix de stratégie de production nationale et d’achats.
L’aviation et les équipements navales sont les plus longs et coûteux à produire et la technologie est généralement un facteur limitant. De ce fait, les nations achètent généralement ces matériels et équipements.

Les fruits des ventes de ces marchés sont extrêmement opaques avec de nombreux doutes quant à leur transparence dans les chiffres officiels gouvernementaux. Il est d’ores et déjà impossible de mesurer avec précision les volumes et les échanges financiers inhérents.


Ce qui est sans équivoque néanmoins, est la quiétude gouvernementale face à la grogne des états-majors du monde.
En effet, si les achats semblent rassurer les chefs de gouvernement quant à leurs capacités opérationnelles, comme une liste de course qui remplit un frigo, il y a une déconnexion totale avec la réalité du terrain et opérationnelle des armées.
Les achats et ventes se font à travers des transactions uniques qui soldent les devoirs des parties prenantes.
Ce serait oublié que les armements ne sont pas utilisables qu’une fois et que les munitions et pièces détachées sont nécessaires à leur utilisation dans la longueur. Les entreprises de production d’armements se frottent les mains « il n’y a pas eu de conflit majeur depuis plusieurs générations, de ce fait, les nations oublient l’élémentarité de la logistique militaire », confirme le CEO des Avionics Aumérinois.
Les nations achètent des équipements, sans se soucier de la maintenance et surtout de la nécessité de renflouer les stocks de munitions.
« Exactement comme des enfants inconscients, les pétards sont pointés l’un vers l’autre et une fois que le pétard est parti, on jette ou alors on a l’air bête. », commente l’ancien général Le Duc des armées Fransciquiennes.


Ce qui aura d’autant plus frustré les états-majors à travers le monde : l’incompatibilité inter-armées.

Le même CEO d’Avionics Aumérinois abordait le sujet avec ses clients qui ne semblaient pas avoir le choix sous la pression politique et gouvernementale.
Les équipements vendus manquent de compatibilité avec ceux de la nation dite acheteuse.


l’incompatibilité inter-armées.


Les barrières sont nombreuses et pourtant ignorées :

  • L’utilisation d’une langue et logique étrangère (lecture et système de mesure)
  • Le calibre des munitions différents en fonction d’un standard national à un autre
  • Le manque de connaissance mécanique, technologique et ainsi de formation à l’emploi ou maintenance

Le plus marquant sera la vente de missiles avec un manuel Alguarenos (traduit en Francisquien et Portugais avec les petits onglets différenciés comme la machine à laver ?) ou l’utilisation d’une aviation militaire de pointe, tel un bombardier stratégique, comme si les nouvelles technologies pouvaient être employées comme pour voler avec un long courrier sans un minimum de formation spécifique ou la compréhension d’un tableau de bord en Portugais ou en Pharois d’une vedette ou corvette.
Heureusement (malheureusement), certaines nations disposent de formations avec l’utilisation de nouveaux drones, mais on pourrait se poser la question de vendeurs peu scrupuleux qui vendent à tire larigot des missiles ou équipements avancés sans se soucier de leur compréhension ou maîtrise.


Et pourquoi se plaindre ?
Il n’y a aucune raison d’y voir un mal, car les nations de ce monde foncent tête baissée sur le marché le plus fructueux, le plus prolifique, visible et le plus vertueux pour les nations dirigeantes du monde, sans se soucier du piège militaire et économique qui en découlent.

Ne vaudrait-il pas mieux favoriser une posture diplomatique moins agressive et dés lors le dialogue afin de ne point léser les populations civiles ? Faut-il rappeler la catastrophe économique et inflationniste de l’Empire Colonial de Listonie ?

Nous nous soucions de la mécompréhension de ces concepts et des raccourcis politiques et décisionnaires qui reflètent amplement une nouvelle et jeune génération d’impatients, avides d’action, de légendes et d’héroïsme romantique.

La Loduarie Communiste s’arme massivement comme pour justifier l’existence de son régime.
Si le régime est bienveillant, pourquoi est ce que les nations du monde souhaiteraient la renverser ?
Pourquoi est ce que Prima dispose d’un des plus grands stocks de mines anti-personnel et antichars au monde ?
Parce que la Loduarie Communiste est voisine ? Parce que la Clovanie et Fortuna sont des nations hyper-agressives et risquent de s’y engager militairement ?


Les nations ont toutes des justifications politiques (intégrité, défense proactive, desseins idéologiques et bienfaiteurs), l’Althalj incluse, mais nous faisons face à une continuité d’un marché internationale de l’armement qui semble porteur et de facilitation de décisions conflictuelles.
Il semble tellement simple d’acheter des équipements étrangers, de dimensionner une armée et d’appuyer sur le bouton de la guerre.
Avec un patchwork d’armées, la satisfaction de l’ego est pleine.


Ces immaturité et naïveté tuent.



Cette immaturité et naïveté tuent.

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La Communauté Internationale subit les travers Eurysiens et outre-Deltacruzando


La communauté internationale est en alerte maximale.

Tandis que des combats de titans, pour savoir qui est dans le vrai ou le juste, déferlent sur les côtes Afaréennes, aux abords du détroit de la Leucytalée, les victimes s'amoncèlent.
Tant militaires que civiles, les impacts sont considérables et nul ne peut escompter positiver sur la faillite diplomatique des grandes organisations de puissances mondiales.
Tend la joue que je te l'arrache, comme le précise un dicton Eurysien, voilà auquel se résumera le consensus relationnel et politique dorénavant.

Les conclusions sont catastrophiques :

  • Des milliers de victimes militaires en l'espace de quelques heures seulement
  • Des politiques se refusant à la réalité géopolitique et contextuelle mondiale
  • Des appels à un sacrifice national régi par l'égocentrisme
  • Une jurisprudence interventionniste sans agrément des parties prenantes régionales
  • Un impact écologique majeur et durable affectant les populations civiles, à dimension transfrontalières

4000 militaires portés disparus, blessés, tués et le compte n'est pas encore officialisé et ne le sera peut être jamais.
Voici les dernières estimations de l'ONG Human Life Watch de cette semaine, basée sur les données disponibles des forces armées de l'UNCS et les données officielles de l'ONC.
Il aura fallu que quelques heures pour que les côtes Afaréennes soient jonchées de cadavres gonflés de ces marins et militaires qui auront été, malgré eux, au centre d'un épineux problème de concours, très masculin, de virilité moyenâgeuse.
Soyons plus sérieuses, les militaires de chaque bord auront été endoctrinés au son du clairon que la défense nationale est une primauté qui nécessite le sacrifice de soi. Et c'est normalité militaire que des jeunes générations perdent leur vie permettant à la société et la culture chérie, laissée derrière eux, à plusieurs lieues de là, de perdurer et aux familles de survivre aux changements et aux pressions de convictions d'autrui.
L'Althalj ne déroge pas à cette manne impitoyable.


Ce qui gêne réside généralement, pour les yeux extérieurs, qui peuvent tenter de prôner une vue holistique sans biais, dans la portée réelle d'un fait militaire, d'une décision purement politique de mettre en danger des milliers de jeunes soldats et marins afin de satisfaire quelques agendas politiques ou personnels.
Il est peut être dommageable de ne pas coordonner, s'entraîner, s'allier, se préparer à ce qui pourrait menacer, déstabiliser ou renverser.
C'est peut être et sûrement sous cet initiative que l'UNCS a rassemblé une flotte très importante au sein ou aux abords de la Leucytalée. C'est toutefois sans contrefaçon que la communication agressive et les actes répréhensibles, par la communauté internationale, répétés, sous couvert de disposer d'une vérité sociale et politique unique, a atteint un niveau tel que l'ONC a mobilisé les deux tiers de son potentiel militaire maritime afin de confronter une fois pour toute la pensée offusquée de régimes fiers, aux méthodes douteuses, monopolisés par une faction autocratique non-empathique, non-bienfaisante.
Nous pouvons en déduire une paranoïa institutionnelle qui donnera le "la" des mauvaises décisions qui ont précédé, par seulement la catastrophe du 3 Février 2010, mais aussi les mois et années précédentes.
Ainsi, sous la peur de voir les régimes changer, d'évoluer et converger vers d'autres idéologies, les alliés de l'UNCS ont forcé une économie de l'autodéfense afin de pouvoir se mesurer à certaines grandes puissances, qui représentent en partie une idéologie antagoniste, sous l'égide d'un blason commun, l'Organisation des Nations Commerçantes.
Il ne sera pas inavouable de penser que le LiberalIntern aurait quelques affections à voir le caillou dans la chaussure de l'ONC former une cloque, mais une certaine naïveté serait apparente, si l'UNCS comptait sur une intervention du LiberalIntern afin de plonger le monde dans un désarroi global pour la simple raison que des régimes fiers et paranoïaques sentent le vent en poupe.
Et c'est dans ce contexte international que l'initiative entreprise par l'UNCS est fortement critiquable.

Qu'importe le vrai et le juste.
Des milliers de morts en quelques heures et à venir sont les conséquences d'une lecture inadéquate, populiste de la situation mondiale, des leviers de puissance et dans le seul but de paraître légitime à la têtes de nations de surcroît malades de cette paranoïa incestueuse.


Faut-il baisser les bras dés qu'une défaite militaire advient ?
Non, il n'est pas logique de penser qu'une bataille définit forcément la suite logique d'une guerre ou politique.
Toutefois, bien que ce ne soit pas systématiquement le cas, certaines batailles sont telles qu'elles rompent toute action future tactique et stratégique suivant un standard ou une doctrine identique à la précédente.
Certaines pertes, humaines ou matérielles, sont telles qu'une nation ne dispose plus des moyens de ses ambitions.
De ce fait, un changement d'approche est nécessaire : Il peut être diplomatique ou militaire.
Le réflexe de la raison, celui que nous souhaitons avant toutes choses, est celui propre au pacifisme et à la bienfaisance Althaljir ; la diplomatie doit pouvoir réussir là où précédemment elle a failli ou permettre aux parties engagées de se désengager d'un commun accord.
Dans la situation actuelle, les nations de l'UNCS ne sont pas en danger. Avec une flotte aussi immense que celle de l'ONC, les estimations de la presse internationale ne font pas état d'une force d'invasion suffisante afin de basculer les régimes actuels.
De ce fait, un jusqu'au-boutisme militaire n'est pas mesuré.
Les appels Loduariens, propagande ou non d'un suivi civil, à un sacrifice national, semblent affirmer la perception internationale de ces régimes outranciers, disposés à amonceler des pertes civils afin de rester au pouvoir et légitimer leurs mauvaises décisions.


Tandis que l'UNCS se targuait le 2 Février 2010 de son influence sur la scène internationale, ce qui fut le cas au vu de l'intervention de l'ONC, la communauté internationale a de quoi s'inquiéter de cette crise et de l'escalade militaire.
L'ONC intervient afin de protéger ses intérêts en Leucytalée, en Eurysie et défend le statu quo régional. Ce point positif est indéniable dés lors que l'investissement militaire est utilisé à bon escient, confortant une communauté internationale aux moyens bien moindres, tant humains, matériels qu'organisationnels.
L'intervention militaire dans le cadre d'une escalade, perçue comme imposée, rappellera aussi le fait que la diplomatie a subi une défaite majeure.
L'Alguarena a depuis plusieurs mois retiré ses diplomates du Kronos.
La rupture diplomatique, utilisée comme un moyen de pression ou de protestation, n'est jamais à prendre à la légère. L'impossibilité de discuter plus amplement des suites d'actions ou d'annonces gouvernementales, de rassurer, de contrevenir à des mécompréhensions et mésententes, toutes ces contraintes peuvent rapidement mener à des actions franches et rompant avec le devoir empathique de la diplomatie internationale.
La critique de cette rupture n'est aucunement notre, car elle peut être nécessaire dans des cas très particuliers.
La critique se tourne en inquiétude dés lors que nulle tentative de temporisation n'a été visible ou communiquée publiquement par les acteurs bilatéraux.

Soyons franches,
L'ONC est rentrée dans le lard de l'UNCS dans une démonstration de force sans précédent.
Aucune subjugation des armées de l'UNCS, l'ONC a littéralement annihilé la force maritime et aéronavale de l'UNCS en quelques heures.

C'est dans un contexte de guerre au Prodnov, des suites des cendres encore fumantes au Pontarbello, que l'ONC impose une ligne de conduite diplomatique, se refusant à considérer une sortie moins impressionnante, mais plus louable et riche en valeurs.
Les Tamurt n Althalj et la communauté internationale seront attentives à cette nouvelle donne impérieuse et fauconnière.
L'UNCS méritait-elle que les diplomates s'attardent à rattraper ce qui peut l'être après tant d'efforts et peu de gratification en réciprocité respectable et raisonnable ?
Peut être pas... néanmoins les peuples sous le joug de dictatures égocentriques, de même qu'une partie non négligeable des populations côtières de l'Afarée de l'Ouest subira un geste preste des amirautés de l'ONC sur le bouton rouge.



L'équivalent en kérosène et fuel lourd de,
20 000 barils de pétrole par navire en moyenne,
23 navires de moyenne et grande taille,
460 000 barils de pétrole ont plongé dans l'océan et se déversent à travers les coques percées ou s'écoulera au fur et à mesure des carlingues se détériorant avec le temps, et ce pendant des générations à venir,
3 180 000 litres de pétrole, la marée noire est la plus grande, depuis la découverte du pétrole et son industrialisation il y a de cela 2 siècles.
Les inquiétudes se tournent vers le croiseur et les portes hélicoptères coulés. Les estimations actuelles ne peuvent confirmer l'ampleur du désastre, ne sachant si les cuves étaient pleines ou partiellement entamées par les exercices militaires de l'UNCS. A leurs échelles, une différence, si petite soit-elle, de remplissage aura des conséquences majeures sur le décompte.





Les estimations de la Force Matriarcale Ilâhmique quant à la marée noire à venir ne laissent rien présager de positif.
L'ensemble de la Leucytalée pourrait être touchée si une action de ségragation de la marée noire n'est pas établi immédiatement.
Et même sans cela, les courants marins de la Leucytalée devraient emporter les éléments de fuel lourd qui vont se disloquer de la masse formée actuellement à l'emplacement de la bataille navale.
L'Eurysie du Sud Ouest devrait subir un drame substantiel, l'Arcanie, la Listonie, Kronos, Milouxitania et Fortuna en première ligne de ce désastre, jusqu'à la Clovanie et Carnavale.
Le Paltoterra devrait être lui aussi grandement touché par ces déversements. L'Alguarena, le Grand Kah, le Yuhanaca, mais aussi les territoires et nations du Sud glacé.
Le retour des courants chauds du DeltaCruzando feront remonter une nasse de boulettes désagrégées et visqueuses au sein de la Mer d'Emeraude et le Sud de l'Afarée.

Les pêcheurs doivent être mis au courant, tout comme les civils et touristes.
Le fuel lourd, tout comme le pétrole, est considéré comme cancérogène par les autorités médicales internationales.
Les biomes seront fortement impactés par cette catastrophe et les Tamurt n Althalj annoncent d'ores et déjà l'envoi de navires sur zone afin de contenir et pomper ce qui peut l'être.

Les effets de cette bataille, de cette défaite diplomatique à grande échelle, rappelle à quel point les conséquences de décisions de l'UNCS tout comme de l'ONC ne sont pas à hauteur des engagements politiques et géopolitiques seulement et que la communauté internationale subira les dommages collatéraux de l'irresponsabilité.





La Maktaba semble avoir contacté les deux organisations belligérantes pour pouvoir accéder à la mer souillée avec une flottille désarmée à la va-vite, en partance de Tifuzzel, et ce avant même d'avoir obtenu un accord de ceux-ci.

  • 3 vedettes
  • 2 patrouilleurs
  • 1 remorqueur
  • 1 pétrolier ravitailleur
  • 1 navire cargo

"Nous n'avons plus de temps, cette catastrophe n'est pas qu'Afaréenne, nous espérons qu'ils comprendront...", a confirmé la qari Sofines Berek.
"La priorité actuellement est d'assurer la survie écologique, sociale et économique de toute une région."
La Maktaba a précisé qu'elle emploiera une technique éprouvée afin de contenir le gros de la marée noire : le pompage, mais aussi l'utilisation de cheveux d'Althaljirs afin d'éponger. En effet les cheveux disposent de cette particularité qu'ils attirent les huiles et s'y accrochent. Les volontaires Althaljirs se multiplient afin de récupérer des cheveux et des nattes afin d'aider à l'effort... de guerre.
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26/10/2010



La Culture au service de l'Image Nationale


Les Althaljirs n'ont jamais disposé, d'après les sondages Altsos, d'un fort engouement pour les concours de beauté à l'occidentale.
Il y a cette impression que ces concours de beauté apportent une dé-personnification de la Femme (femme ou homme), une approche sexiste, ringarde qui rappellent les coutumes de jadis lorsque, en Eurysie par exemple, les femmes étaient affichées par la famille comme un bien de consommation ou un investissement financier.

La période n'est pas si éloignée pour l'Althalj où les familles qariennes faisaient de même pour les hommes, les femmes vérifiant la bonne tenue et santé des prétendants comme le feraient les Althaljirs en achetant des chevaux.
Ces coutumes archaïques n'ont pas besoin d'être liées à l'observation de ce qui est beau, de ce qui est considéré à travers les âges comme un symbole du sublime du physique et pour faire semblant, à travers des présentations et questions réponses artificielles, de l'être, de la personne en elle même.
Cette compréhension des goûts, spécifiques, et de son évolution est pourtant un sujet de discussion récurrent au sein des universités et disciplines anthropologiques Althaljirs, car en effet ces changements et tendances reflètent un aspect d'intérêt quant à la société et son approche de la vie.

"Voyez, autrefois l'Homme beau était musclé, sec et avait la peau ambrée. Le travail et labeur étaient ainsi reflétés dans ce physique ; un gage de confiance dans la famille, l'homme était de taille pour subvenir à la famille.
De nos jours, les femmes cherchent des hommes qui vont les stimuler intellectuellement et la force physique est de moins en moins un critère de beauté prioritaire. Bien entendu les instincts et attirances sont d'importance. L'attirance physique jouant sur les formes, le galbe des fesses de l'homme, les formes dessinées de muscles sur les épaules et de belles mains, toutefois l'intellect supplante peu à peu les critères des Althaljirs quant au choix de l'homme.
Avec la suspension officielle du mahr, il y a de cela 5 ans, et la mise à égalité femme-homme de la Maktaba, la société Althaljir effectue une transformation accélérée. Les influences internationales avec le retour des étudiantes de leurs années à l'étranger nivèlent certains critères nationaux et la Sororité ne souhaite pas freiner cette tendance, qui valorise l'homme et est fortement bénéfique aux Tamurt n Althalj en tant que synergie sociale et économique.


L'archaïsme d'un tel concours à l'occidentale se dévoile être en sujet d'étude de plus en plus populaire et bien que les Althaljirs n'y voient guère d'intérêt à choisir et voter, les étudiantes d'Icemlet précisent que l'année 2011 risque d'être une année très spéciale.
En effet, les deux nations candidates au concours de Miss et Mister Mondial 2011 ne sont autre que la république Ptolémaïque et le Royaume Vieux Catholagnais de Prima.
La nouvelle république Afaréenne s'est engagée à plein régime dans l'ouverture à l'internationale et, sous la coupe du Centron, souhaite le développement d'un pays à grands pas.
C'est avec admiration que l'Afarée dispose de son candidat et les étudiantes d'Icemlet mentionnent le piège de la popularité continentale où le candidat Eurysien disposerait de plus de soutiens "affectifs".
L'exotisme peut néanmoins jouer en la faveur de la nation Afaréenne bordant la Leucytalée, attachée à faire valoir le pays comme apte à organiser et tenir des évènements internationaux prestigieux. Le pays est par ailleurs voisin de la Principauté de Cémétie et il s'avère que la tendance touristique dans cette partie de la Leucytalée est à la hausse malgré les évènements malheureux rencontrés par la république Ptolémaïque le 2 Septembre de cette année.

La curiosité se tourne de même vers le Royaume Vieux Catholagnais de Prima, un des pays les plus fermés au monde.
La vie primaine est celle d'un âge d'antan, où spéculations vont bon train sur le bonheur d'un peuple qui vit sous la coupe d'une organisation sociétale soucieuse du changement. Une étude statistique théorique de 2009 entreprise par Human Life Watch sur le risque sanitaire Eurysien et mondial face aux normes du Royaume Vieux, établissait qu'une population de 70 millions de primains ne disposant d'une couverture vaccinale ou sanitaire adéquate serait un foyer d'épidémies substantielles malgré les fermetures des frontières. Pour rentrer dans des statistiques grinçantes, l'étude statistique théorique faisait part d'une diffusion de maladies vénériennes substantielle à travers la population, notamment la gonorrhée, appelée plus communément la "chaude pisse".
Comment est ce que le concours pourrait être organisé sans infrastructures de communication aux standards internationaux ? (aucunes antennes de téléphonie mobile ou d'Internet). Comment est que les participants pourront s'adapter aux règles et conditions strictes de Prima sans dénaturer le concours et le transformer en concours de robes traditionnelles sur la thématique du XVIII siècle ? Est-il possible que les instances dirigeantes de Prima acceptent un afflux d'influences étrangères en son sein sans que le concours n'en soit entravé ?



Sandra Helias, Miss Mondiale 2005
Sandra Helias, Miss Mondiale 2005



Dés lors, sommes-nous face à une volonté d'ouverture internationale de Prima ?
Le pays a souvent été le trou noir de l'Eurysie, une région inaccessible et non convoitée par ses structures complexes et us et coutumes immobiles dans le temps, néanmoins l'objectif semble ressembler à celui de la république Ptolémaïque afin de montrer une crédibilité face à l'exigence internationale. Les concours de stock-car, la mise en avant de l'ecclésiastique traditionnel et à présent le concours de beauté ; Prima cherche une nouvelle voie et voix.

Les nations se portent candidates pour un concours d'ordinaire snobé et pourtant les enjeux sont bien plus complexes qu'ils n'y semblent.
Le Royaume Vieux Catholagnais de Prima ou la république Ptolémaïque, les deux destinations
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L'Althalj roule avec !


L'évènement international du Gran Premio Archipiélago ne fait pas parti d'ordinaire suivi par Althalj Alnaas.
En effet, les Althaljirs considèrent les courses d'automobile, de moto, de bateaux ou d'avions, comme le symbole d'une société qui ne se soucie guère des priorités environnementales, avec des représentations grotesques de l'opulence financière internationale.
Pourquoi dépenser tant d'argent pour poursuivre un objectif de performance à l'extrême dans une trajectoire polluante, sans impacts positifs sur la société et les convoitises de bien être et de symbiose avec la nature.

Il y a néanmoins un virage qui s'est produit avec la participation du fleuron Alther et son écurie Alther Dynamics.



Alther et son département de R&P sur l'Hydrogène
Alther et son département de R&P sur l'Hydrogène, "le futur envisagé pour l'Althalj", qari Sofines Berek


L'engouement est tel que les qqaris locales ont du organiser des écrans géants dans certains espaces aménagés pour les grandes occasions.
De ce fait, l'esplanade Jamila Ilahât d'Icemlet devrait attendre plusieurs milliers d'Althaljirs pour cette course exceptionnelle.
Les spectatrices pourront profiter pleinement de la diffusion de la course sur écran géant, sachant que la télévision n'est pas standard ou commune au sein des foyers et que la télévision est généralement regardée au sein des petites restaurations ou cafés. Nous avons toutes regardé les dessins animés assis à une table recouverte d'une nappe tâchée de sauce ou avec quelques grains de semoule éparses ici et là ou les informations télévisées assis autour d'un service à thé au troquet du coin.

Non seulement Alther est l'entreprise la plus recherchée sur les moteurs de recherche afin d'obtenir les dernières informations sur les avancées des recherches de l'entreprise, mais elle est aussi la plus convoitée par les jeunes étudiantes, Alther étant à 85% l'entreprise à candidater comme choix prioritaire et envisagé.
QEO Tusman Sanie Alqarar aura propulsé cette entreprise au plus dans les strates des succès Althaljirs et permet au Tamurt n Althalj de rentrer dans la compétition internationale des hautes technologies tout en gardant la trajectoire de valeurs Althaljirs.

Ce pari osé de mettre en avant une marque qui se veut écologique, à travers des matériaux alternatifs et une motorisation à hydrogène, qui n'a pas encore prouvé une production de masse efficace et propre pour le secteur des transports, est risqué. La marque Alther jouit d'une image immuable depuis 2007, prônant la nécessité d'une transition sociétale vers la modération ou l'utilisation de technologies à l'impact environnemental minimale.
Lors de la course, du Gran Premio Archipiélago, Alther entre dans le jeu de ces évènements disposant de valeurs tout ou partie à l'opposé de celles de l'entreprise.

Le but recherché est transparent néanmoins.
Avec la possibilité de mettre en avant Alther et la vision Althaljir, la QEO Tusman Sanie Alqarar veut toucher les coeurs de l'international, mais aussi montrer que les modèles économiques peuvent inclure une dimension respectueuse de l'environnement, en changeant le statu quo et le dictat des hydrocarbures, en essayant autant que possible de recycler ou utiliser des méthodes de production respectueuses de l'environnement.
Toutefois le risque est grand. Si Alther Dynamics ne convainc pas, ce ne sera pas juste un coup d'épée dans l'eau, il est possible que la crédibilité économique Althaljir soit impactée.
L'attrait du pays réside principalement sur sa Recherche et Préservation (R&P) et une décrédibilisation lors d'un malheureux évènement de course automobile pourrait perturber l'image de marque nationale et reléguer l'Althalj a un pays qui a de grands souhaits, mais ne peut guère les réaliser ou impacter le monde et de ce fait inspirer les jeunes générations.

Ainsi, Hamsa al Ifilku, prodige des courses automobiles, fait face à une pression immense.
Si la voiture s'avère performante, les compétences de notre héraldesse nationale seront mises à rude épreuve face à des expériences multinationales.
Tant bien même que les candidatures de certains pays dont les technologies automobiles restent arriérées, il y a une vraie méfiance vis à vis de comment ces écuries ont été qualifiées et retenues pour la course. Les voitures primaines, par exemple, disposent sûrement d'une motorisation sous-traitée à l'international. La nation dispose de trois écuries avec des histoires au folklores soulevant de nombreuses questions, quant à leur sérieux ou si nous ne faisons pas face tout simplement à une immense campagne de communication. Les compétences des pilotes joueront fortement lors de la course, nous ne pouvons que nous douter de leurs talents du fait de leur qualification.

L'Althalj regarde ainsi, peut être pour la première fois, une course automobile, avec en tête les enjeux nationaux, mais aussi une volonté de voir le drapeau de la nation briller là où la discrétion fut de mise pendant des générations.
De manière similaire, la Maktaba avait annoncé des investissements plus importants dans les sports nationaux afin d'augmenter leur représentation à l'international.
Ces évènements deviendront assurément plus nombreux, l'Althalj goûtant au plaisir de participer et peut être... qui sait... de gagner !




Publicités lors de la course du du Gran Premio Archipiélago diffusées à la télévision Althaljir et Alguarenos.



AlthaljAir


AltHydro
3988


06/10/2011 Icemlet




Les fleurons technologiques et militaires de l'Afarée


Les Tamurt n Althalj longent un petit coin de paradis aux abords du Sahra'.
Eau, terres arables, eaux poissonneuses, vent constant et fort, position un peu éloignée des grands axes de transports internationaux, à l'écart des conflits, l'Althalj sort de sa torpeur dans les années 90, lorsque les différentes régions Althaljirs acceptent de s'unir sous la coupe de ce que nous connaissons aujourd'hui comme les Tamurt n Althalj.

La suite, nous la connaissons bien à présent.
La Sororité et la Maktaba font un pari fou, celui d'attirer non pas des capitaux étrangers, mais les cellules grises des nouvelles générations.
Comment séduire ? Véhiculer et potentiellement exacerber le message de Bienveillance et de respect de la Femme et de l'environnement, prôner l'exceptionnalité du Matriarcat et cette expérience unique en Afarée traditionnelle et aspirant à combiner l'antan avec le moderne.

L'Althajisme qui signifiait autrefois le protectionisme et repli sur soi est à présent utilisé pour désigner l'élan de l'Althalj vers l'international, cette ouverture d'esprit qui, conjuguée avec la Bienveillance, est une réelle image de marque nationale.
L'Althajisme, c'est aussi des concepts architecturaux qui gardent l'esprit et le savoir des aïeules et de l'appliquer aux nouveaux modes de vie et contraintes environnementales.
L'Althajisme, c'est aussi une doctrine militaire qui favorise la spécialisation à la massification.

Et c'est ce dernier point est un choix de la Sororité de favoriser les industries civiles et de Recherche et Préservation (R&P).
A travers les avancées substantielles des Tamurt n Althalj dans le domaine de la Recherche, les applications au militaire sont nombreuses... très nombreuses.

Les Tamurt n Althalj disposent, d'après les études Alguarena et Pharoises de Novembre 2010 de la presse spécialisée, du troisième équipement léger d'infanterie le plus performant et technologiquement avancé... au monde.
En effet, après l'Alguarena et les technologies du Grand Kah, les armements de la soldate Althaljir sont extrêmement compétitif et performants, au dessus de ceux du Pharois Syndikaali, du Jashuria, du Lofoten ou de Fortuna.

De l'autre côté du continent, le Banairah affiche, tout autant que l'Althalj, des technologies très avancées en matière d'aéronautique et dans le domaine naval.
Le Grand Frère et la Petit Soeur a eux deux combinent des innovations technologiques militaires qui feraient envier plus d'un pays Eurysien.
Tandis que les armées de l'Ouest Eurysien se targuent de leurs effectifs et de leurs nouvelles postures internationales, leurs amirautés ont des sueurs froides face à un voisin Fortunéen à la doctrine militaire, pourtant axée principalement sur la puissance maritime, et aux capacités suffisantes pour terminer un hypothétique conflit en une petite semaine.
Toutefois les nations "en retard" rattrapent avec la nouvelle mondialisation technologique et il serait fort mal avisé de penser que ce fossé immense restera dans les prochaines années.


Le commerce mondiale prend de l'ampleur avec la formation de l'ONC et du LiberalIntern et le marché de l'armement des années 90 et jusqu'à 2009 accélère la diffusion de technologies et "envies" sécuritaires.

Et pourtant le Triumvirat Afaréen ne compte pas sur ce marché de l'armement et retrousse ses manches.
Sans obtenir d'émulsion de ce phénomène d'accélération par le marché de l'armement, l'Afarée trouve sa propre voie militaire, définit ses propres lignes directrices et utilise les avancées technologiques Afaréennes (par l'intermédiaire de la mondialisation estudiantine) afin de donner sa candence.

La Principauté de Cémétie est la gardienne de la Leucytalée, disputée par Novigrad, avec la première flotte navale et aérienne opérationnelle dans ces eaux.
La République Direct du Banairah dispose, tout comme la Cémétie, d'importants effectifs. Cette armée multifonctionnelle est très adaptable à toutes circonstances conflictuelles et la mise en chantier d'une aviation de pointe ne laisse aucun de point de faiblesse dans son dispositif militaire.
Les Tamurt n Althalj misent sur son aviation et une armée de terre mobile et légère.

Les fleurons Afaréens le sont du fait de leur capacités systémiques et ainsi une budgétisation en ligne avec des économies fleurissantes et des sociétés stables.

Bien éloignée cette période de faste de l'Eurysie et d'un Tiers monde à genoux.

L'Afarée est peut être le 2e continent le plus puissant au monde après le Palto-terra.





Conception Althaljir - Artillerie mobile adapté au théâtre Sahranne
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La Maktaba s'inquiète de la montée du nouvel Impérialisme Eurysien en Afarée


"... l'Afarée aux Afaréennes est certes une tournure obsolète, néanmoins cet adage reste un réflexe de pensée continentaliste. Nous regardons avec diligence les évènements qui, par l'entremise d'un romantisme Eurysien révolu, éveillent méfiance et, sous couvert d'un boniment bienfaiteur ou de candeur, risque d'amplifier les fractures et l'instabilité régionale."

La qari Sofines Berek a montré sa raideur face aux situations multiples qui s'éveillent dans le bras CentrAfararéen Occidental.
Désignée par la Sororité et Maktaba afin de permettre aux Tamurt n Althalj de clarifier une situation de plus en plus délétère, la qari Sofines Berek planifie de se rendre sur place dans une optique symbolique et opérationnelle qui nous rappelle au discours de la Reponsabilité de la Qari Ijja Shenna.
En effet, les Tamurt n Althalj ont depuis le début des années 2000 affiché une posture protectrice et concernée quant à la stabilité et au développement économique et sociale régionale.
Le nouvel Althaljisme qui a accentué ou découle du succès Althaljir (les économistes et préservatrices débâtent encore de ce phénomène de la "poule et de l'oeuf" des Tamurt n Althalj) a par la même occasion permis une nouvelle assurance et crédibilité sur le plan continental et outre-Afarée.
La "petite soeur" Afaréenne ne cache plus ses desseins de Bienfaisance, qui, malheureusement, peuvent encore restés incompris à l'étranger : la philanthropie Althaljir, liée à l'Ilahmisme en partie, peut provoquer un sentiment de mascarade ou d'ambiguité.


Le Gondo est dans le collimateur de tous les media, qu'ils soient Afaréens, Ouest-Eurysiens ou Aleuciens.
L'Afarée a de tout temps été un terrain de chasse des nouvelles puissances, comme un joyau nécessaire afin de parfaire un statut international et rentrer dans la cours des "grands".
Cet attrait pour les ressources inexploitées, les friches Afaréennes, le potentiel de croissance, l'agrandissement d'un réseau d'influence outre-métropole, était une approche désuète qui restait à l'échelle de l'opportunisme corporatiste. Avec la montée de l'influence du Triumvirat Afaréen (Cémétie, Banairah, Althalj) et surtout une Afarée mature et auto-déterminée, les conquêtes colonialistes se sont tournées vers le renforcement ou le renversement des gouvernances en difficulté afin de disposer d'un pied à terre indirect et pourtant d'une influence franche et clairement visible.
Sainte-Loublance connaissait une accalmie des affres du siècle dernier depuis environ une décennie et l'inactivité internationale aurait peut être permis un retour à la table des négociations afin de trouver des terrains d'entente, dans un processus de fin d'une guerre civile meurtrière qui, nous l'avons déjà constaté, prend des générations à se résoudre.
La naïveté de l'Almutasawilin aura été ébranlée lorsque le Président Désiré Flavier-Bolwo a choisi la Seigneurie Impériale Pétroléon V afin de régler l'épine sous le pied et les questions sont à présents nombreuses :

  • Est ce que le Président de la IVe République Gondolaise dispose de bonnes intentions ?

  • Quelles sont les contreparties réelles du mercenariat Impérial Clovanien ?

  • Est ce que le Président Désiré Flavier-Bolwo a réellement essayé toutes les approches raisonnables et rationnelles avant de remettre le pays à feu et à sang ?

Un autre aspect intéressant est celui de l'avènement extraordinaire des ONGs internationales au sein du Gondo.
L'Ordre des Clarisses et de la Charité (OCC) n'est pas passée inaperçu au sein des campagnes et de Sainte-Loublance.
Cette organisation Primaine (du pays Prima) est sûrement l'étalon marketing outre-Prima, d'une nation aux moeurs traditionalistes. L'influence de Volignon est omniprésente, tout comme la volonté de préserver des coutumes ancestrales. Le parallèle avec les Tamurt n Althalj est flagrant sur maintes aspects et il ne serait pas inconvenant de comparer les deux nations en termes de traditionalisme nouveau. Une différence notable se situe dans l'ouverture à l'international qui est une manne Althaljir depuis le début du siècle tandis que nous ne connaissons que bien peu de choses sur Prima, sauf les apparentes toilettes (l'art de s'habiller et se comporter dans la société bourgeoise), l'ecclésiastique puissant féminin et les quelques bribes xénophobiques. Néanmoins, Prima montre un nouveau visage depuis sa participation et aux succès au Gran Premio Archipiélago, de même que l'extension et visibilité non négligeable de l'OCC à l'étranger. Prima sort peut être une oreille du sable et nous y voyons des prémices d'une nouvelle politique nationale de redorer une image de nation percluse.

La présence de l'OCC au Gondo ne sera pas sans conséquences, bonnes comme discutables.
L'influence grandissante de Prima au Gondo à travers l'extension de Volignon laisse à penser que cette bataille de conversion religieuse n'est que la face visible d'un rocher d'une guerre ancestrale entre les éminences de Catholagne, de Volignon et dans une certaine mesure de Carnavale. Le Gondo entre dans une phase de perte de repères et de violences et le retour à la spiritualité est d'importance afin de faire face et de garder un cap d'équilibre et de santé de l'âme. Les confusions que peuvent apporter un conflit d'idéologie spirituelle viennent s'ajouter au conflit idéologique politique.
Tout n'est pas sombre néanmoins, l'OCC aide la population dans le besoin là où les autres ONGs ne disposent pas de suffisamment de ressources afin de couvrir l'ensemble du pays. Soyons honnêtes, les bras aux manches retroussées ne sont pas de trop, surtout lorsque l'OCC paye pour la construction d'infrastructures de santé et des logements pour les démunis.
Les informations à date (à confirmer par l'OCC) sont la construction de 4 hôpitaux, une dizaine d'orphelinats, entre 20 et 40 écoles et potentiellement la construction d'ateliers afin d'aider les pertes d'emploi liés au conflit.
L'Altimusawilin est fortement impressionnée par cet investissement Primain au sein du Gondo. Nous savons que les standards Afaréens peuvent être moindres que ceux du Paltoterra par exemple, toutefois la construction des hôpitaux peut se chiffrer à plusieurs millions en fonction de leur taille et capacité. Les équipements importés et la maintenance sont des budgets qui nécessitent au Gondo d'élargir un budget déjà restreint par ses propres contraintes internes. Si d'ordinaire le personnel de santé était Primain, il y aurait l'aspect intéressant du bénévolat et du nombre de volontaires de l'OCC au sein du Gondo.
La question se tourne donc vers l'entreprise Primaine au Gondo et si la bataille spirituelle et du coeur sur le long terme est le visage masquée de l'altruisme véritable exposé par l'OCC.

Mise à part l'action bienfaitrice de l'OCC, la haute société Gondolaise aura goûtée aux représentations de l'élégance à la Primaine.
Les représentations bourgeoises se sont accentuées dans les grandes villes du Gondo, chèrement subventionnées, afin de véhiculer une culture toute Eurysienne traditionaliste.
Ces évènements ont principalement visé les hautes sphères du Gondo aspirant à rejoindre ce romantisme Eurysien désuet.
Prima investit sur le petit peuple et dans la haute bourgeoisie Gondolaise comme pour justifier de l'arrivée de ce nouvel impérialisme de l'UMT.
Dans le plus grand faste Primain, l'affiche marketing continue vers la toilette Primaine et le savoir vivre de la haute société.
Il y a dans cette seule affiche visible à l'étranger un nouveau sujet qui est soulevé : comment vit le Primain moyen ?
La tribu des Kwamalele auront pu goûter à la grandeur de l'altruisme Primain et à la gratuité de l'enivrement tandis que les rues se transformaient en immense fête des suites de la représentation de la Dame aux Magnolias.

La campagne se convertit, les villes sont enivrées.
La contradiction repose toutefois sur une stratégie de communication élaborée et dont l'investissement financier et diplomatique n'est pas anecdotique, particulièrement en Afarée.
Les Gondolais font face à des changements assez surprenants et qui étonnement ne soulèvent aucun ressentiment véhiculé par les media, comme une acceptation toute naturelle des critères culturels et de beauté Primains.


Nous ne pouvons focaliser notre attention sur Prima seule et sa volonté d'internationalisation. Chaque nation souhaite naturellement partager et afficher le meilleur et le plus beau.
L'opportunisme s'effectue lorsque le pire surgit et c'est en cela que le préjudice est tenace.


La Clovanie aura été en première ligne de l'accélération des évènements Gondolais. La signature Pétroléonienne avec le Président Désiré Flavier-Bolwo aura été effectuée avec l'arrivée de proche de 10 000 soldats impériaux en Afarée.
La République Impériale Pétroléonienne a de surcroît fait ses calculs. La guerre doit être gagnée rapidement afin de permettre au retour sur investissement plus rapide.
10 000 soldats, traversant en ligne droite 12 000 kilomètres, nécessitent une logistique très importante. Une tel déploiement nécessite une dépense entre $150 000 et $300 000 par an par soldats en unité monétaire internationale.
Avec le rapatriement récent de 4 000 soldats, nous pouvons estimer une moyenne de 7 500 soldats er personnels annuels sur place au Gondo.

Les chiffres sont à l'échelle d'une telle opération, rien qu'en terme de consommation de fuel.
Une estimation de $50 millions pour le transport des troupes au Gondo et le rapatriement d'une partie.
Des prévisions rapportent une consommation de fuel journalière à hauteur de $13 millions pour les véhicules déployés.

Extrait d'un rapport d'estimation des coûts de l'opération au Gondo (source : FMI - Analyses et Prévisions)
Unité monétaire internationale utilisée/

Section - Consommation de Fuel (simplification et estimation de volumes d'équipements déployés faibles) a écrit :

  • Transports de troupes - Utilisation de transports aériens tactiques

  • Pour 10 000 soldats et personnels militaires,

    Distance - 12 000 km
    Coût opérationnel - 15 000 $ par heure
    Vitesse moyenne - 500 kmh
    Heures de vol sans escale - 24 h
    Capacité d'emport extrapolée - 200 individus sans véhicules
    Coût opérationnel par voyage (aller) - 360 000 $
    Nombre de vols nécessaires - 50 allers
    Nombre de Transporteurs aériens tactiques - 13 avions
    Nombre d'allers retour nécessaires - 7.7 allers retours
    Coût opérationnel total = $36 000 000

    Rapatriement des 4000 soldats et personnels militaires,

    Nombre de vols nécessaires - 20 allers
    Nombre de Transporteurs aériens tactiques - 13 avions
    Nombre d'allers retour nécessaires - 3.0 allers retours
    Coût opérationnel total = $14 400 000
    Estimation du coût total de la logistique aérienne pour les soldats et le personnel miltiaire = $50 400 000


  • Consommation simple de véhicules militaires déployés au Gondo,

  • Nombre de véhicules militaires déployés - 100 véhicules moyens (camion militaire)
    Consommation - 0.3 Litre par kilomètre
    Nombre total de litres consommés - 30 litres par kilomètre pour 100 véhicules moyens
    Nombre de kilomètres parcourus par jours - 1000 km pour 100 véhicules moyens
    Prix du diesel - 150 $ par litre
    Coût opérationnel = $4 500 000

    Nombre de hélicoptères déployés au Gondo - 10 transporteurs moyens
    Consommation moyenne - 2000 litres par heure
    Nombre d'heures de vol par jour par véhicule - 3 heures
    Prix du diesel - 150 $ par litre
    Coût opérationnel = $9 000 000

    Consommation de litres par jour pour 100 véhicules moyens (camions militaires) = 30 000
    Consommation de litres par jour pour 10 véhicules moyens (hélicoptères) = 60 000




  • Tankers - transport de fuel
  • L'hypothèse d'estimation est que la Clovanie a sûrement transporté par la voie maritime les véhicules et les équipements nécessaires aux opérations au Gondo. Le pétrolier aura sûrement été utilisé par de fournir le fuel nécessaire à l'armée Impériale Clovanienne.

    Capacité d'emport des pétroliers militaires Clovaniens (type T2-SE-A1Tanker) - 22 000 000 litres de fuel
    Vitesse de déplacement moyenne - 28.7 km par heure
    Distance à parcourir sans escale - 12 000 kilomètres
    Voyage - 2.5 semaines sans escale
    Consommation moyenne d'un pétrolier - 9 929 litres par heure
    Litrage consommé par voyage (aller) - 4 151 555 litres
    Prix du fuel lourd - 0.9 $ par litre
    Coût total simplifié d'un aller au Gondo = $3 736 399

    Restant de fuel disponible par pétrolier à l'arrivée - 18 000 000 litres de fuel
    Consommation journalière de l'armée Clovanienne au Gondo sans extrapolations = 90 000 litres par jour
    Nombre de jours de consommation pour les capacités ci dessus - 200 jours de fuel disponible par pétrolier pour 100 véhicules moyens de type camion militaire et 10 hélicoptères de transport moyen.

    Nombre de pétroliers militaires disponibles - 3


    Les calculs simples ne prennent pas en considération les salaires des militaires estimés à $2 000 par jour en moyenne.
    Les calculs ci dessus ne prennent pas le coût initial des équipements, les munitions et renouvellements, les vivres, le transport de ceux-ci, les moyens déployés inadéquatement comptabilisés par manque de transparence de l'armée Clovanienne.
    Les coûts opérationnels sont considérables dés lors que la distance et le théâtre d'opération sont des facteurs autres que basés sur une consommation de fuel.


Si les armées impériales restent une année entière au Gondo, la facture serait de l'ordre de $5 milliards, soient 0.8% du PIB Clovanien.
De ce fait, la Clovanie ne regarde pas sur une contre-partie réputationnelle seule, mais bien d'une position économique substantielle afin de récupérer un coût initial conséquent.

L'Eurysie et l'UMT investit donc massivement dans le Gondo afin d'assoir un nouveau modèle qui utilise toutes les facettes de l'influence moderne et traditionnelle.
Le militaire, la religion, le culturel, l'économique et le social sont tous impactés et la Maktaba l'a bien signifié précédemment : les résultats n'ont aucune certitude d'être ceux escomptés sur papier et en façade.
La prévision de ces nations est que l'aide et la stabilité du Gondo passent par des chocs physiques et culturels violents et non plus par le dialogue comme traditionnellement la naïveté moderne le stipulerait.
Il sera par ailleurs judicieux de saluer, tout comme l'OCC d'une certaine manière, l'action non négligeable des Chevaliers du Devoir qui souhaite aider au développement du Gondo, frontalière de l'Empire du Nord.



Comment va réagir la population ? Voici la plus grande des questions.
Un peu d'alcool gratuit et puis ça passera...


Le Juste Retour du Bâton
L'Afarée n'oublie jamais, oeuvre de Fatima el Rabiat (2002) exposée à la Galerie Des Arts de Valmount à Saint-Marquise
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Cartographie Althaljir, une expertise prisée à l'international

11/04/2011 Icemlet



La cartographie est un art ancien qui nécessite des explorateurs aguerris, une lecture géographique savante et innée et des outils à disposition.
Bien entendu, n'importe qui peut étudier les contours de ce qui fait un monde ; les montagnes, les forêts, les maisons et villages, les routes... Oui facile de dessiner tout ça tel que l'oeil le voit, mais la vision cartographique par le ciel, vue d'en haut, comme si nous avions les yeux d'Ilah, n'est pas à la portée de toutes.

Depuis l'antiquité, les peuples ont commencé à dessiner des routes, des croquis des forêts et des reliefs qu'il valait mieux éviter. Il était fort aisé de suivre des directions dessinées que des indications données dans une langue étrangère. Le commerce et surtout par la suite les guerres auront accéléré l'art de la cartographie et notamment lors de l'âge moderne où les généraux souhaitaient disposer correctement les canons et l'artillerie afin de disposer d'un avantage sur l'ennemi : l'art de la cartographie au service de l'art de la guerre.

La Maktaba dispose à son actif d'un peuple qui adore l'exploration, monter, grimper les montagnes de la Dorsale Glacée ou regarder dans les fonds marins de la Mer d'Emeraude.
L'Althalj est un peuple de cartographes.

Et c'est l'exploration marine qui a fait son entrée ces dernières années au sein de ce vide d'expertise international.
La cartographie terrestre, l'Althalj est en compétition avec nombre de topographes, toutefois la cartographie des fonds marins...


Et l'Althalj y trouve un intérêt très particulier.
La cartographie Pharoise, la cartographie Lofotène, la cartographie du DeltaCruzando, l'Althalj est reconnue pour une expertise tout nouvelle et il y a fort à parier que vous utilisez à l'heure actuelle des données transmises par les navires Althaljirs.




L'utilisation de sonars perturberait la faune marine et de ce fait, l'Althalj cherche de nouvelles technologies, moins invasives et permettant une cartographie précise et utile des fonds marins.
L'hypothèse de l'utilisation de technologies spatiales est à l'ordre du jour.


"En effet, c'est très utile pour identifier et comprendre la tectonique lithosphérique. J'aime aussi à penser que certaines catastrophes naturelles pourraient être éviter. Nous avons identifier des reliefs extrêmement pentus à l'orée d'îles fortunéennes et je peux vous assurer que leur effondrement formerait un ras de marée digne des légendes Kahtanaises", confirme la capitaine Shaheded du navire de cartographie marine au service de la Sororité.
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Radio Kuntinintal



27/08/2010


*Voix féminine suave*
Alsabt fi 'iidhaeat Kuntinintal, la radio d'Icemlet et de l'Althalj !

*Scratch scratch*

La radio LIIIVVVEEE !

Et c'est parti pour l'évènement de la saison !
Le Gran Premio Archipiélago attire une foule incroyable ! Et je ne parle pas de la foule de l'Alguarena !

Non ! Je parle bien de cette foule massée sur les places d'icemlet, Acilmum et Asefsaf et toutes celles qui nous écoutent et regardent la diffusion de cette course sur les télévisions de vos épiciers et cantines locales !

Ca y est, vous voyez les voitures alignées pour le départ, il y a une foultitude de nationalités représentées et Alnaas Althalj en fait partie, pour la première fois de la grande course d'automobile de l'année !

Tout à fait Titrit, les écuries sont tellement nombreuses pour cette session que les organisateurs ont dû refuser pas moins de 30 écuries candidates. En effet les critères de sélection ont été très stricts, passant de la performance automobile, au professionnalisme des équipes et de la conductrice, jusqu'à certains aspects financiers permettant d'éviter toutes drôles de surprises avant la course.

On peut voir que tous les continents sont représentés et il serait presque inconcevable de ne pas mentionner l'improbable de certaines représentations !

Prima sort du lot avec plusieurs écuries alignées, comme si elle voulait se donner plus de chances d'obtenir la victoire !

Attention Eli, les conducteurs Primains ont une réputation qui transcende les frontières et il ne serait pas inenvisageable de les voir sortir du lot.
N'oublions pas que Prima est peut être le pays le plus densément peuplé d'Eurysie et avec un réseau routier assez étriqué et pourtant étendu à l'ensemble du pays. On pourrait presque comparer la conduite Primaine avec celle des Jashuriens !

HAHAHA ! Oui carrément, Titrit, vous faites bien de me reprendre sur ce sujet. Les doutes émis quant à la voiture Primaine subsistent, toutefois les préjugés sont monnaie courante.

Tiens regardez ça !
La célèbre Black Wolf Racing et sa voiture noire et or, une beauté ! L'expertise Lofotène n'est plus à faire et les courses automobiles, comme vous le savez, sont culturelles ! Les ambitions de la Black Wolf Racing sont indéniables en ce jour !

Ah, là, sur le côté, des confrères Afaréens de la Mandrarika avec la Magarusu ! Soyons honnêtes, ce fut une réelle surprise de la voir passer les sélections et pourtant l'Afarée est pleine de surprises ! Et j'ai envie de dire, et bien c'est mé-ri-té ! La Mandrarika dispose d'une voiture avec une accélération sans précédent !

Et oui, l'Afarée dispose de beaucoup de potentiels, Eli, la compétitivité de nos nations est reconnue sur la scène internationale et cette course affiche des enjeux qui vont outre la "simple" course automobile.

Bon, on voit quatre écuries de Prima sur les lignes de départ, soit un quart des participants à la course, autant vous dire que cette affiche est une volonté tout autre que juste de notoriété sportive.

Vous avez raison de revenir sur Prima, Titrit. Les écuries de Prima disposent de longues histoires, qui en disent long sur la culture et la structure Primaine, une fascination internationale. Comment est ce que Prima à réussi à aligner de telles voitures pour une course aussi compétitive et nécessitant des technologies avancées et largement à la pointe au niveau critère et standard internationaux ?

Ecoutez Eli, on voit bien que ce ne sont pas des voitures du siècle dernier ou des nonnes en motocyclettes. On est bien loin du dessin animé "Les Fous du Volant". Il y a clairement eu des échanges avec l'internationale afin d'aligner les performances et connaissances avec ce qui se fait de mieux, notamment au Paltoterra et en Aleucie.

Tout comme en Afarée, nous arrivons avec un bagage d'à priori et notre vedette nationale, Hamsa al Ifilku, fait son entrée !!

Oh Ilah ! J'entends la foule dans les rues d'Icemlet crier son nom ! C'est magnifique !

Hamsa al Ifilku, notre plus chère pilote d'automobile a longtemps fait ses preuves dans les circuits du Lofoten, c'est un avantage certains face à la concurrence et l'expertise Ouest Eurysien et Aleucienne.
Elle est la pilote la plus jeune du Grand Prix et roule pour notre fierté nationale !

Alther Dynamics nous offre une toute nouvelle perspective dans cette course, souhaitant prouver au monde que les énergies et motorisation alternatives peuvent rivaliser avec les classiques de la combustion interne. Non mais regardez ça !!! Cette voiture est digne d'Alther et de l'Althalj !

L'investissement d'Alther dans ce Grand Prix est très significatif, une vitrine de la culture de R&P Althaljir ! Nous avons les meilleures cerveaux de la planète qui travaillent dans notre plus belles coopératives et corporations Althaljirs, la recherche Althaljir représente encore 7%... OUI, 7% de notre PIB et la Maktaba ne cesse d'entretenir ce secteur qui délivre largement dans tous les secteurs connus et ce, dans l'axe des valeurs Althaljirs !

C'est une sauce Althaljir, un succès, Eli, qui a tout d'anodin dés lors que notre nation est si petite et si humble sur la scène internationale !
Je pense que c'est parce que nos boreks sont les meilleurs au monde !!

HEHEHE !

La foule applaudit et crie encore le nom de l'héraut de la nation ! C'est majestueux, nous en sommes émues toutes les deux !

La course est sur le point de commencer !
Nous sommes fières de cette participation, il ne va sans dire que de bons résultats seraient d'autant plus prometteurs ! La nation regarde le petit écran et les yeux du monde sont rivées sur l'Alguarena !

Ilah nous sourit.


Hamsa Il Ifilku
Hamsa Il Ilfilku, pilote automobile pour Alther Dynamics, Gran Premio Archipiélago 2010
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La Transformation Sociétale Althaljir à Travers la Musique

22/07/2011 Icemlet



La société Althaljir n'a jamais connu un bien-être aussi important dans un contexte d'Althaljisme assumé.
L'ouverture des frontières et le choix des Conservatrices de prendre la voie d'une Althalj au coeur de l'Afarée de l'Ouest ne s'est pas avérée un franc succès régional, mais bien une fierté nationale à travers une volonté de préserver la culture Althaljir et la recherche du bon vivre.
Les influences alliées à des choix stratégiques économiques et de circlusion des marchés a prouvé au monde qu'une nation d'à peine 5 millions d'habitantes, il y a de cela quatre années, peut obtenir les planètes alignées, un cocktail réel de synergies de bons choix.
Et ces éléments catalyseurs du décollage contrôlé Althaljir sont nombreux et au coeur d'un débat national et outre-althaljir quant à leurs impacts tangibles sur l'éclat de l'Emeraude de l'Afarée de l'Ouest.


L'ouverture à l'international n'est pas nouveau en soit.
Voilà de nombreuses années et plusieurs générations qui sont envoyées en années d'études au sein de pays et universités partenaires afin de parfaire une compréhension et adaptation à un monde bien différent de celui du Matriarcat et aussi afin de former l'excellence Althaljir au sein d'établissements compatibles avec la pensée et l'esprit d'Alnaas Althalj.
Fortuna a été et reste centrale dans l'ouverture Althaljir et le perfectionnement des talents de notre nation.
Il est indubitable que les milliers d'étudiantes passées par Fortuna ou Lacrima di Perla sont revenues avec un pedigree académique et culturel indispensable à la construction technique et scientifique des Tamurt n Althalj. Grâce aux études en électronique, en anthropologie, en mécanique des fluides, les fleurons nationaux ont disposé d'un avantage certains dans une Afarée de l'Ouest subventionnée par un académisme Banaraih principalement. Les étudiantes prennent toujours le chemin d'Abunaj afin d'obtenir des curriculum vitae aux références reconnues sur le marché du travail.
Toutefois, les hautes études privilégiées ne sont pas les seules à faire mouche et les années de césure, en étude ou travail à l'étranger ont permis à la jeunesse de retour au pays de partager les recettes du meilleur, sauce Althaljir.
85% des étudiantes Althaljirs partent au moins une année à l'étranger au sein de divers programmes académiques ou de leur propre chef et cela grâce à une spécificité très Althaljir : l'épargne forte. En effet les familles, peu consommatrices misent sur les études et les voyages de la jeunesse presque sans compter là. Les débats vont bon train sur cette fuite massive de capitaux, difficilement quantifiable, toutefois avec un retour sur investissement non négligeable. 90% des Althaljirs partant à l'étranger pour des études ou en année de césure reviennent aux Tamurt n Althalj dans les quatre années ayant suivi leur départ ; une statistique impressionnante compte tenue de la conjoncture Afaréenne générale.

AlthaljAir et Alther précisent que 80% de leurs effectifs ont étudiés à Fortuna, au Banairah, à Saint-Marquise ou au Pharois Syndikaali (aujourd'hui Pharois Merirosvo) à travers les prestigieuses cités universitaires d'Albigärk. Les nouvelles destinations et tendances se multiplient avec une communauté de plus en plus présente au Jashuria, aux Provinces Unies du Lofoten et au Grand Kah. La Maktaba a mentionné des discussions préalables avec la Shuharri et Novigrad et divers programmes liés respectivement à l'aerospatial et la maitrise d'oeuvre en ouvrages d'art.


La Sororité a ainsi dévoilé un programme ambitieux de R&P à travers les Coopératives et Corporations Althaljirs afin d'attirer les jeunes académiciennes, jeunes diplômées et entreprises cherchant de moindres taxes par rapport à l'Aleucie, le Paltoterra, l'Eurysie et le Sud du Nazum.
Assez rapidement, les entreprises ont afflué, intéressées par l'émulsion étudiante et de jeunes diplômées se rassemblant sous la coupe de cette structure novatrice et permettant une R&P par sujet orchestré par la Sororité et non partitionnée par la confidentialité et la compétition d'entreprise.

La Maktaba fit l'annonce d'investissement massifs en infrastructures pour la R&P, de l'aménagement (à l'Althaljir) des nouvelles forces de recherche au sein des pôles principaux du pays (Icemlet, Acilmum, Asefsaf, Ifilku, Tifuzzel) et enfin de subventions importantes dans un secteur dont la réputation de secteur à la poche percée reste un frein "naturel" outre-Althalj.

Ainsi, l'ouverture à l'étranger, les études et voyages des Althaljirs combinées à des choix de la Sororité de miser sur la R&P, donnent un cocktail attractif à des entreprises et communautés attirées par un retour sur investissement certes, mais aussi une culture exotique et peut être adaptée aux aspirations internationales.

L'Ilahmisme a grandement influencé et est toujours au centre de la Bienveillance Althaljir comme une autoroute éclairée dans la pénombre des manifestations internationales.
Certaines valeurs de la religion peuvent être citées et se mélangent dans un terme parapluie : la Bienveillance.
  • Le respect de la Femme et de la nature
  • L'altruisme et la charité
  • Le Bien de manière générale
  • La recherche de la Plénitude personnelle
  • etc.
Ainsi, chaque chose au sein des Tamurt n Althalj est regardé sous un prisme de la Bienveillance, de cette recherche du bien-être pour soi et la communauté.
Cette recherche n'est pas spécifique à l'Ilahmisme, toutefois il semblerait, sous notre regard et culture biaisées, qu'Alnaas Althalj ont réussi à intégrer la religion et cette composante avec plus de sincérité que certaines nations embourbées par sa nécessité de subsistance et de préservation sous couvert de la vérité ou de l'honnêteté. Simulata sanctitas est duplex iniquitas.

Nous ne pouvons pas oublier de parler de celles et ceux qui ont franchi le pas et ont rejoint les Tamurt n Althalj, en provenant des pays outre-Althalj et notamment d'Afarée.
Alnaas Althalj grandit et s'enrichit, par l'esprit, pour soi, pour la communauté.

Et c'est ainsi que la musique est un indicateur extrêmement précieux, toujours étudié par la Sororité afin de comprendre l'évolution du changement et les directions nécessaires à la continuation du succès de l'Althaljisme.
Après des années de renaissance des chants et musiques traditionnelles, les Althaljirs et jeunes générations s'essayent au lyrisme, au chant et au nouveau genre de musique.
Les Althaljirs puisant dans des origines Afaréennes, des origines Fortunéennes, des influences Gondolaises, des influences Saint-Marquoises et Lofotènes.

Et la nouvelle génération transforme la musique vers une instrumentalité neuve et variée, avec des basses, des guitares, synthétiseurs et des saxophones à outrance, recherchant le mouvement des danses, la couleur dans la tonalité, une nouvelle élégance et une modernité acquise à travers l'Althaljisme nouveau.
Le pays a vu fleurir tout un secteur de la confection d'instruments sous le label AG.
Les coupes de cheveux se bouclent et se frisent, se libèrent, les vêtements toujours aussi colorés se cintrent aux jambes et le maquillage au henne se trouve une nouvelle beauté.
Les artistes affluent et les posters, dessins et peintures irriguent les flots de danseuses et danseurs convenablement habillés pour les soirées aux abords des terrasses et bars dansants.




Impressions artistiques Althaljirs - Funka
Couverture d'albums ou impressions artistiques Althaljirs de la Sadhaja et Funka (2010 - 2011)




Le Funk Althaljir (la FunkA) utilise l'Alth, le Saint-Marquois, le Lofotène et le Pharois principalement.
La récréative Althaljir exacerbe la spiritualité et vice versa, conjuguées au melting pot de facteurs exposés ci dessus.
Diffusées massivement sur les télévisions des espaces publiques (épicier, restaurant et terrasse) pour leurs couleurs et danses modernes et agréables, les radios ont rapidement prises d'assaut par le FunkA.
Les Tamurt n Althalj découvrent par la même occasion que sa musique est prisée par les étudiantes et travailleuses étrangères des R&P.

Les Althaljirs traversent une période insoupçonnée de joie et de réussite.
La Sororité est consciente que cette donne ne peut être soutenue sur le long terme sans une analyse importante de ses décisions et que toute tentation de dévier de la Bienveillance pourrait à terme disloquer cette Sadhaja (la Naïveté) nationale, cette insouciance qui libère les esprits.

La libération des esprits, des corps depuis ces dernières années n'a pas enfreint les règles de l'Althaljisme ancien, celles de l'Althaljisme nouveau. Les Conservatrices restent silencieuses face à cette nouvelle transformation de la société.
Nous saluons leur sagesse et leur patience en ces heures de bonheur.








Radio Kuntinintal



22/07/2011


*Voix féminine suave*
Alsabt fi 'iidhaeat Kuntinintal, la radio d'Icemlet et de l'Althalj !

*Scratch scratch*

La radio LIIIVVVEEE !

Et aujourd'hui la FUNKAAA d'Icemlet avec les célèbres Akhawat (soeurs) d'Ilah !


*Voix féminine suave et sexy* OOWWW YEAH !
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