16/11/2017
08:58:36
Index du forum Continents Nazum Jashuria

Activités étrangères au Jashuria - Page 4

Voir fiche pays Voir sur la carte
0
logo presse fédérale

7 septembre 2016 - Martha Fulton, future présidente de l'Organisation des Nations Commerçantes?


https://i.postimg.cc/Lsry6VZD/martha-fulton.png
Quatre ans après son départ à la retraite, Martha Fulton réinvestit le champs médiatique et politique, dans lequel elle entend décrocher la présidence de l'Organisation des Nations Commerçantes.


Son départ à la retraite était un évènement remarqué, moins de cinq ans après celui-ci, Martha Fulton fait volte face pour, je cite, "ressusciter l’Organisation des Nations Commerçantes" et provoquer plus que jamais les adhésions à "cette merveilleuse organisation porteuse de la dissuasion mondiale et de la prospérité partagée". C'est un dinosaure, au sens anthologique du terme, qui se présente aux portes de l'ONC et de sa présidence.

Une vie politique active rétablie, pour laquelle Martha Fulton entend se tenir comme la figure tutélaire d'un ancien monde dont elle s'est faite en quelque sorte la sage-femme, assistant et construisant plus d'une décennie de diplomatie alguarena. Mais si fin de carrière il devait y avoir, le cap est maintenant donné et connu, ce sera au terme d'une mandature en qualité de présidente de l'Organisation des Nations Commerçantes. Un acte de consécration, dont elle n'entend pas se priver, pas tant pour des ambitions personnelles qu'elle avait déjà convenu de mettre au placard, mais considérant l'agonie environnant une institution qui s'est faite le pilier de la sécurité mondiale et du droit au libre-échange de la décennie passée.

Désignée en avril 2016 dernier, comme la représentante permanente de la Fédération d'Alguarena auprès de l'Organisation des Nations Commerçantes (ONC), l'ancienne figure de proue de la diplomatie alguarena entend bien officialiser une candidature prochaine à la présidence de cette même organisation, pour lui éviter la déshérence et l'inscrire dans les enjeux géopolitiques contemporains qui la concernent, à l'heure où les effervescences diplomatiques alimentent une rcomposition géopolitique et géoéconomique globale. Une candidature voulue, une candidature attendue, une candidature naturelle.

Ce qui avait duré des mois et s'était fait un subtil murmure dans les couleurs feutrés des plus hautes institutions du pays, court aujourd'hui derrière les actes de sa concrétisation, modélisant un narratif pour laquelle la presse locale affiche déjà un engouement desp lus certains.

Portée par une expérience dont personne au sein des institutions fédérales ne peut prétendre rivaliser, comptabilisant pas moins de seize années à la tête de la diplomatie fédérale, Martha Fulton espère profiter d'un crédit sans égal et parfosi encensé par la presse étrangère elle-même, la désignant parmi les femmes les plus influentes en 2012. Si son retour en avril dernier avait été suivi d'un enthousiasme et avait ravivé l'espoir d'un renouveau stratégique pour l'organisation marquée d'une perte de vitesse, l'annonce de sa candidature à la présidence de l'ONC en septembre prend plus d'une personne au dépourvu malgré un soutien et une approbation réelle del a classe politique. "Une feuille de route ambitieuse mais cohérente" nous confie l'un d'eux dans les couloirs du département aux affaires étrangères, couvert d'anonymat.

Au travers de sa candidature, Martha Fulton ne propose rien de moins que son énergie et sa disponibilité, pleine et entière, dans la reconstruction des leviers diplomatiques de l'organisation, au carrefour d'un monde en mutation.

Dans sa ligne de mire, la volonté de travailler de concert l'ensemble des volets, économique, scientifique et politique, pour réaffirmer les lignes rouges de l’organisation qui lui permettront d'avoir une diplomatie intelligible à chacun.

Domaine scientifique : Valoriser l'innovation et la coopération
  • Focalisation des projets internationaux sur les domaines à haute valeur ajoutée (aérospatial, santé publique, défense), concrétisés d'états d'avancement périodiques donnés à certains programmes de recherches porteurs d'amélioration sur les champs précités. Les projets pourront être relancés au travers du Bureau des Aides au Développement, afin de lui procurer seconde vie.
  • Formalisation des accords de coopération scientifiques, déplacements périodiques de chercheurs, chargés de visiter un pays membre pour la poursuite d'un projet scientifique nourri sous la forme d'un groupe de travail.
(Bénéfices hrp : axes de développement RP à l'accroissement des influences étrangères partagées).

Domaine économique : Amorcer la transparence et la compétitivité des forces et faiblesses économiques de l'organisation.
  • Mise en place de rapports économiques récurrents sur les flux d’import-export, contre subvention de l'organisation, sous réserve d'une restitution rigoureuse.
  • Compilation harmonisée des dispositions légales nationales (droit du travail, normes sociales, salaires) pour évaluer la compétitivité de chaque économie.
  • Mise en relation des états membres avec un organisme de prêts bancaires à taux préférentiels, doté de garanties interétatiques adaptées aux besoins des pays membres en développement.
  • Annuaire stratégique des grandes entreprises multinationales, pour renforcer la lisibilité et la gouvernance économique mondiale.
(Bénéfices hrp : intégration des pays membres aux supports et aides annexes à la plateforme : la carte des imports/exports de Mesolvarde,
Vue d'ensemble sous un formulaire des visions économiques, sociales, religieuses de chaque état membre,
dépoussiérage de la Banca Pasatiàs,
Développement du lore économique national via les entreprises stratégiques, par exemple comme il en est question en Alguarena sous le volet économique).

Domaine politique : réaffirmation des mandats et lignes rouges.
  • Evaluer les impacts des mesures de l'ONC sur ses Etats membres, pour restaurer l'adhésion autour des décisions collectives ou les révoquer si nécessaire.
  • Redéfinir des objectifs à l'ONC, avec l’identification des lignes rouges diplomatiques et clarification si nécessaire des mécanismes d'action de l'organisation. En l'absence d'adhésion à ces lignes rouges, il sera peut-être nécessaire d'évoquer les conditions dans lesquelles un état membre souhaite définitivement se retirer de la présente coopération.
  • Dialogue structuré et liaisons privilégiées avec les grandes organisations internationales, notamment l'OND et le Liberalintern pour normalisation les relations et rationaliser à chacun les enjeux et les objectifs de nos organisations respectives.
  • Commande d'une étude autour des capacités militaires de chaque état membre, pour identifier les moyens de dissuasion actuels et ses lacunes.

Avec Martha Fulton comme présidente de l'organisation, nul doute que l'ONC peut s'offrir les moyens d'un leadership affirmé et au rayonnement puissant, au service d'une feuille de route destinée à restructurer l'organisation dans son fond. A 79 ans, Martha Fulton ne semble avoir rien perdu de son dynamisme et de sa volonté, tranchante et ne fuyant aucune discussion, elle a d'ores et déjà indiqué que les ambitions escomptées pour l'organisation ne pourraient souffrir de la tiédeur et du scepticisme de ses états membres dont le changement de gouvernance a pu redéfinir ds caps différents. Respectée pour son indépendance de pensée, elle incarne à travers ces premiers éléments de langage, une diplomatie sans fioriture, lucide et résolument tournée vers la coopération pragmatique. Son retour sur le devant de la scène mondiale intervient dans un contexte où l'ONC a cruellement besoin d’une voix forte, simultanément technicienne, stratège et visionnaire.

Pour le nouveau président fédéral Luis Saragoza-Medina, sa présence est un atout stratégique majeur : elle lui offre un relai naturel et d'expérience vers les cercles diplomatiques mondiaux tout en conférant à son jeune gouvernement une assise crédible et expérimentée. "Martha Fulton, c'est la Mazeri Abrogara que Luis Saragoza-Medina aurait aimé avoir durant son mandat, sous forme de tuilage..." explique un député du MPF.

Une aide, un atout et une réponse? Une réponse en tout cas espérée aux défis mondiaux, qu'il soit question de ceux croissants dans la Paltoterra, ou bien de l'état du commerce mondial et des institutions internationales décriées et inaudibles. "On voit de plus en plus les gouvernements agir sous bannière seule, les organisations internationales ne sont plus audibles. La redynamisation de l’Organisation des Nations Commerçantes donnerait assurément le "La" d'une dynamisation générale des autres institutions, posées en miroir à celle-ci.

Martha Fulton, sa candidature, le cap, notre vision.

Au-delà des réformes préalablement exposées, Martha Fulton entend porter ou rapporter une philosophie, celle d'un multilatéralisme, éclairé, solidaire, mais ferme dans les positions qu'il aura souhaité établir. Une fermeté et un sens de la promesse donnée encore mis à mal aujourd'hui par l'échec militaire de la défense du Prodnov, face à une force communiste invasive et contre laquelle une partie des gouvernements alliés ont fait preuve, selon les termes de Mazeri Abrogara à l'époque, de déloyauté envers les engagements politiques et militaires formulés auprès de la République du Prodnov Libre.

Indépendamment de ce qui adviendra de sa candidature au sein de l’organisation, celle-ci trouve déjà à l'échelle de l'archipel, un certain soutien plurisectoriel entre l'opinion publique et la classe politique, toutesl es deux prêtes désireuses de rallier un projet aux heures fades de la nostalgie d'une situation ébranlée par les mutations d'une époque rendue insaisissable à ses états-membres.
6488
Personnages présents dans la scène

Personnages présents


Xinyue Li
Xinyue Li
Ambassadrice du Baïshan à Agartha

Xinyue est une jeune brillante diplomate, formée à Haijing. Remarquée par le Secrétariat aux Affaires Étrangères, le parti a décidé de l'envoyer en tant qu'embassadrice à Agartha. Depuis un an, elle travaille aux côtés de ses homologues Jashuriens à établir des liens solides et pacifistes entre les deux nations.


Musheng Yao
Musheng Yao
Ex-chanteur vedette du Baïshan

Musheng Yao était, jusqu'en mars 2016, le chanteur le plus connu du Baïshan. En début d'année, une chanson polémique promouvant l'homosexualité le contraint à faire une pause dans sa carrière. Souhaitant pouvoir vivre son homosexualité plus librement, il met en scène son propre suicide fortement médiatisé au Baïshan et fuit le pays sous une nouvelle identité, Gaoming Ling.



    10 décembre 2016
    Agartha


    Xinyue aimait passer par ce petit parc pour rentrer chez elle. Les fleurs apportaient de jolies couleurs qui lui semblaient être typique de la culture colorée du Jashuria. Même en décembre, le parc revêtait ses teintes dignes des plus beaux tableaux. Il fallait dire que les saisons étaient beaucoup moins contrastées qu'au Baïshan. L'hiver notamment, était plus doux qu'à Haijing. La vie, de manière générale, lui paraissait plus douce ici qu'à Haijing.
    Depuis sa nomination à Agartha, Xinyue vivait comme dans un rêve éveillé. Passionnée par la culture du Jashuria, elle avait pu apprendre davantage la langue et les coutumes du pays. Elle avait réussi à se faire quelques amis en fréquentant les bars et les boîtes de la capitale, lorsque son boulot le lui permettait. C'est que la baïshanaise était très occupée à l'Ambassade. Notamment ces derniers mois avec les tensions en mer d'Azur. Elle se réjouissait d'ailleurs que le Baïshan et le Jashuria s'alignent sur les mêmes positions.

    Alors qu'elle se baladait, son regard fut attiré par une enfant qui courait dans l'allée et qui passa à côté d'elle. Elle n'avait rien d'une enfant jashurienne. Ses yeux bridés, son teint plus pâle, et ses longs cheveux noirs et raides qui flottait dans sa course ; elle lui rappelait ses filles du Baïshan qui sortaient de l'école et couraient jusque chez elle pour aller manger ou faire leurs devoirs. Il ne lui manquait que le petit foulard rouge autour du cou.
    Puis elle posa les yeux sur l'homme, plus loin, qui l'accompagnait. Son père, sûrement. Et là, la diplomate s'arrêta, comme si elle venait de rencontrer un fantôme. Et ce n'était pas si peu dire. L'homme lui rappelait le défunt chanteur, décédé en début d'année, et dont elle avait écouté toutes les chansons. Encore aujourd'hui, il lui arrivait de passer ses musiques lorsque son pays natal lui manquait.
    Elle s'approcha de lui, les yeux grands ouverts comme s'il s'agissait d'un mirage.
    — 请问...... Excusez-moi...
    L'homme se tourna vers elle, visiblement surpris qu'on l'aborde en mandarin.
    — 您是不是...... vous êtes...
    Elle s'arrêta. Ce n'était pas possible que ce soit lui. Il était décédé, après tout.
    — 我的意思...... 您真的看起来像木生姚,那个白山很有名的歌手啊...... Je veux dire... vous ressemblez vraiment à Musheng Yao, le célèbre chanteur baïshanais...


    Cela faisait plus de six mois que Musheng s'était installé dans ce pays. Les débuts avaient été compliqués : Jinhai devait pleinement subvenir à leurs besoins. Musheng, lui, se cachait, par peur d'être reconnu dans la rue. Après tout, il était la vedette d'un pays, et sa mort avait peut-être était racontée au-delà des murailles du Baïshan. Puis, petit à petit, il était sorti. La découverte du Jashuria avait été un soulagement pour l'ancienne vedette. Dans ce pays où il n'était pas connu, il n'était qu'un simple étranger. Les regards se posaient sur lui, non pas parce qu'il était le chanteur connu, mais parce qu'il était cet homme venu d'ailleurs qui était inconnu. Les gens ici lui paraissaient beaucoup plus souriants et chaleureux, ils étaient beaucoup plus doux qu'à Haijing. La vie, de manière générale, lui paraissait plus douce ici qu'à Haijing.

    Il arrivait parfois que Lün, sa fille, lui rende visite. Elle et sa mère étaient les seules au Baïshan à savoir que le chanteur avait fui le pays. Il regrettait de ne pas pouvoir les voir plus souvent, mais c'était le sacrifice qu'il avait décidé de faire pour vivre pleinement sa vie. Et puis, il se rendait compte que les moments passés avec Lün étaient devenus des moments sincères et plus qualitatifs. Ils étaient devenus plus proches, et les larmes de plus en plus nombreuses à chaque fois qu'ils se quittaient à nouveau.
    — 爸爸,我可以去买一个冰淇淋吃吗?Papa, je peux aller m'acheter une glace ?
    — 可以啊。Oui, vas-y.
    Le chanteur plongea sa main dans ses poches et en ressortit une paire de billets qu'il tendit à sa fille.
    — 谢啦,爸爸!Merci, papa !
    Lün prit l'argent et courut dans les allées du parc en direction du marchand de glaces. Alors qu'il la regardait s'éloigner, une femme vint lui parler... En mandarin. C'était bien la première fois qu'on lui parlait dans sa langue, et il fut persuadé d'être démasqué. Ce n'était d'ailleurs pas loin de la vérité
    — 您真的看起来像姚木生,那个白山很有名的歌手啊...... Vous ressemblez vraiment à Musheng Yao, le célèbre chanteur...
    — 呃...... Bredouilla-t-il d'abord. 不是,我叫令高明。不好意思,我没时间,小姐,再见。Euh... Ce n'est pas moi. Je suis Gaoming Ling. Désolé, je n'ai pas le temps. Au revoir, mademoiselle.
    Musheng s'éloigna de la jeune femme et rappela sa fille.
    — 小吕恩!快来吧!Lün, viens vite !


    — 小姐,再见。Au revoir, mademoiselle.
    L'homme venait de mettre fin à la discussion subitement, comme si la frêle diplomate représentait une menace. Xinyue essaya de retenir l'homme.
    — 先生,等一下!Monsieur, attendez !
    Mais l'homme ne se retourna pas. Quelle étrange interaction...

    Xinyue rentra dans son studio. Elle pensait encore à cet homme qu'elle avait prise pour Yao Musheng. C'est vrai qu'il lui ressemblait beaucoup. Mais elle le savait aussi : il n'y avait aucun moyen que ce soit lui.
    La baïshanaise se laissa tomber dans son fauteuil et sortit son téléphone portable. Elle ouvrit Kongque, application qu'elle utilisait pour parler avec ses amis du Baïshan. Elle ne parvint pas à résister à la tentation d'en parler à sa meilleure amie.
    « 妹!我刚刚遇到一个白山人!他长得跟木生姚一模一样!» « Mei ! Je suis tombée sur un baïshanais, il ressemblait comme deux gouttes d'eau à Musheng Yao ! » Lui envoya-t-elle.
    Cela la faisait rire autant qu'elle commençait à sentir coupable d'avoir embêter ce pauvre homme. Elle ouvrit une application de recherche et tapa le nom de Musheng Yao pour avoir une photo. Peut-être que sa mémoire lui jouait des tours et qu'ils ne se ressemblaient pas du tout, en plus. Mais les photos qu'elle trouva lui confirmèrent qu'elle venait bien de trouver un sosie du chanteur. Pas n'importe quel sosie : une copie exacte, au trait près. Cela perturba Xinyue. Elle parcourut la fiche du chanteur sur l'encyclopédie Maotou, et y trouva : « [...] une fille, prénommée Lün, née le 5 janvier 2006. ».
    Lün... Lün... C'était le nom de la fille de l'homme dans le parc aussi... Et 10 ans, ça colle avec l'âge de l'enfant... !
    Le sang de Xinyue se glaça. Elle était de plus en plus persuadée qu'elle venait de rencontrer le vrai Musheng Yao. Mais pourquoi était-il à Agartha ? Pourquoi l'avait-on fait passer pour mort ?
    La diplomate ouvrit sa boîte mail et entreprit d'écrire un message à Xudao Shao, son maître de thèse, un grand expert proche du gouvernement. Lui aurait sûrement des informations.


« Cher Xudao,

J'ai rencontré un homme baïshanais à Agartha. Son apparence m'a fait penser qu'il s'agissait de Musheng Yao, le chanteur. Intriguée, j'ai été le voir, mais il a brièvement fermé la discussion. Il dit s'appelait Ling Gaoming. Cependant, j'ai de fortes raisons de penser qu'il s'agisse réellement de Musheng Yao.
L'homme en question était accompagné d'une fille d'environ 10 ans, prénommée Lün. Je n'ai pas trouvé de photo de sa fille sur le net, pouvez-vous faire une recherche pour moi ? Je vous confirmerez s'il s'agit bien d'elle.
Avez-vous aussi des informations à me communiquer sur la mort de Yao Musheng, qui soit inconnues du grand public ? Le Parti a-t-il décidé de l'expatrier pour une quelconque raison politique ou sécuritaire ?

Portez-vous bien.
Li Xinyue.
 »
0
.
Privatisations : tout doit disparaître !
Jouez, vous gagnerez peut-être !

https://i.imgur.com/iX48bjZ.jpeg

.
0
Initiative de la grande migration, s'expatrier à Velsna: pensez-y

Perspectives professionnelles, économiques et familiales



a
Cela pourrait être vous...(pas le chien hein)

Économie dynamique, vie culturelle bouillonnante, perspectives sans fin...notre cité s’enorgueillit de sa superbe et de son développement...mais à quoi bon profiter de la richesse si ce n'est pas pour la partager, et en faire profiter le reste de l'univers. C'est dans cette optique qu'a été créer "l'initiative de la grande migration", dont le nom fait écho aux différents grands mouvements d'installation leucytalienne dont notre cité a été marquée durant toute son Histoire. Conformément à sa tradition d’accueil, notre cité se fait donc la chantre d'une nouvelle "grande migration", avec tous les avantages offerts par le Gouvernement communal, et les perspectives que cela apporte.

Notre cité peine à suivre le rythme de son succès, et a un grand besoin de tout le génie que l'humanité est prête à lui offrir afin de relever les nouveaux grands défis du siècle à venir. Il n'y a pas de profils privilégiés, et chaque expérience, chaque nom, chaque histoire sera une richesse de plus à ajouter au grand livre de la cité.

Parmi les avantages mis en avant par cette initiative, les petits plats ont été mis dans les grands, que ce soit par nos partenaires publics ou privés, qui se sont assurés par une bonne concorde de toutes ces choses qui pourraient vous manquer dans votre patrie d'origine:
- Une sécurité de l'emploi et un chômage quasi inexistant.
- Une procédure d'immigration et un trajet entièrement réglé par nos partenaires publics et privés.
- Un accès à la citoyenneté facilité, avec un examen possiblement accessible un an à peine après votre arrivée (sous réserve de casier judiciaire vierge).
- La possibilité de choisir votre future cité de résidence parmi celles qui se sont joint à cette initiative.
- Une allocation consacrée à chaque nouvel arrivant pour une durée de trois mois, afin d'établir les fondation d'un projet familial et professionnel en toute sérénité.
- Un accès à la propriété facilité par un corpus de lois permissives concernant le parc immobilier velsnien.

Si vous êtes prêts à vous embarquer dans une grande aventure à nos côtés, vous pouvez dés à présent remplir ce court formulaire, afin que nous puissions traiter votre demande au plus vite. (à livrer à l'adresse suivante)


[center]Formulaire d'inscription de la Grande Migration [/center]

[b]Pays de résidence actuel:[/b]
[b]Nombre d'individus impliqués dans "la Grande Migration":[/b]
[b]Niveau de revenu estimé (choisir entre une fourchette basse, moyenne ou haute):[/b]
[b]Niveau de qualification estimé (choisir entre capital professionnel faible (aucun diplôme), moyen (niveau bac) ou élevé (Bac +3 ou plus):[/b]
[b]Cités de résidence sélectionnées (HRP, regardez la carte):[/b]
[b]Vos citoyens ont-ils déjà une maîtrise du velsnien standard/fortunéen ou une autre langue italophone:[/b] OUI/NON
819
Operation réveil furieux


<enter.if.lolilol.kapouchi=silverEz>
//Copy-file: Reveil_president_jashuria
//login id=PresJash
//type mdp=*****

/send-RaptorJesus08-:<UWU nous y est>
/receive_from-RaptorJesus08:-<https:letelephonesonneamonuit.pdf>
/send-RaptorJesus08:-<Hieheheha>

/enter_file-admin_reveil
/paste: https:letelephonesonneaminuit.txt
/input
/view:«Réglages»
/view:«Horaires»
/view:«Repet»

-on: repeat_all

/backR3
/type_enter=*****
«Access refused»

Jesus08-:<Shit C2 faux>
/receive_from-RaptorJesus08:-<Codblock_RaptorJesus08.pff met ça dans la console>
/send-RaptorJesus08:-<Azz>

/open_console
/delete_code=file_presjash__review_secret
/open_consol_secret
/code=|a8€R!|
Into_secret:
/replace:******=000000
/turn_automatic_change=True

/back_open

/view: «Horaires»
/turn:Heure=03:33

Into:
Code=Secure
paste:
alert.pff
alert=red
admit_login=false
/quit

Jesus08-:<Fait XD, il est bloqué sur alerte tous les jours à 3:33 XD>
/receive_from-RaptorJesus08:-<azz enchaîne sur Icamie gg>
/send-RaptorJesus08:-<:-)>
1137
L’opération réveil furieux, qui devait être un succès retentissant pour les hackers ouanais, a effectivement été un succès retentissant ! En effet, le hacking d’un réveil pour qu’il sonne tous les jours à 3 :33 du matin est effectivement dans les compétences des hackers de la République socialiste. Pendant plusieurs jours, le réveil de la cible a sonné à 3 :33 du matin, avant que, de rage, son propriétaire n’enlève les piles et ne l’amène chez le réparateur. Monsieur Ajoy Gupta, employé de bureau chez Ajanti Assurances, vivait vraiment une semaine pénible. Entre les dossiers à rendre, son boss qui était une vraie teigne et l’arrivée prochaine du bébé, autant dire que ce n’était pas la bonne période pour manquer de sommeil. Il maudit ce satané réveil connecté, source de ses insomnies, car après qu’il ait sonné, pas moyen de se rendormir. Foutue technologie. Alors qu’il ressortait d’une boutique avec un vieux réveil traditionnel, il se dit qu’un bon café l’aiderait à tenir sa semaine.

L’opération réveil furieux était un succès … à quelques détails près. Les hackeurs ouainais auraient dû faire leurs devoirs : la Troisième République du Jashuria n’a pas de président. De plus, la République Socialiste de Ouaine n’ayant qu’un niveau très limité en informatique, impossible pour eux de passer les firewalls des administrations jashuriennes.
13
justin béguin
13
justin béguin
13
Justin béguin
97
Le Toucan du Soir - N°39 du 08/07/2017
N°39 du 08/07/2017
Chandekolza et Akaltie, une coopération qui n'a jamais fonctionné ?
Cela n'aura pas échappé à nos lecteurs qui suivent l'actualité nazumie, mais le Chandekolza, l'un des États constitutifs de ce qui se prénomme depuis quelques temps l'"Empire Anticolonial Akaltien" (un regroupement de petits pays sous la protection de l'Akaltie), est en proie à une pauvreté chronique, doublée d'une corruption ambiante qui se remarque sans même avoir à creuser.

En reprenant depuis le début des relations akalto-chandekolzanes, on peut observer que le commerce n'a tout simplement jamais fonctionné. Si celui en direction de la Nouvelle-Kintan, de l'Uuqtinut ou de l'Anaistésie a correctement fonctionné (à une échelle moindre cependant, puisque les deux derniers cités n'atteignent même pas les trois-cents-milles habitants chacun), le Chandekolza, pauvre et pouvant à l'époque apporter trop peu à l'Akaltie, n'a pas réussi à s'imposer. Le riz, largement cultivé sur place, n'intéressait les akaltiens qui étaient déjà en capacité de s'auto-alimenter, et la piraterie ambiante dans les Isteal et alentours n'aidait pas à motiver les armateurs.

Avec tout ceci, le pouvoir chandekolzan a petit a petit cherché à s'éloigner de la Ligue Anticoloniale, qui ne lui apportait finalement pas grand chose. Les idées trop démocratiques de l'union d'États, ainsi que les politiques d'autodétermination des peuples de celle-ci ne concordent pas avec les actions du gouvernement chandekolzan, qui cherche à effacer les identités régionales pour renforcer l'unité du pays. C'est ainsi que les ushongs du nord du pays ont d'autant plus regretté de se trouver dans ce pays, qui n'était déjà pas très riche mais ne faisait de plus rien pour aider les populations non-chandekolzanes. Les wans du sud du royaume ont été encore moins bien traités, puisqu'il n'y avait pas de voisin de la même ethnie situé à quelques kilomètres de Saipalbon pour potentiellement menacer la monarchie, au contraire du cas des ushongs.

Tout ceci a peu à peu fait monter la colère de tous côtés. Si le công, le roi chandekolzan, ne s'aperçoit pas réellement de l'ampleur des dégâts causés par ses politiques et celles de ses prédécesseurs, la population en est la première victime. Les campagnes de propagande jashuriennes et ushongs n'aident pas non plus, puisqu'il semblerait que ces deux pays voisins s'intéressent de très près au Chandekolza et ne cherchent pas à s'allier au gouvernement en place. Pendant ce temps, notre gouvernement et les autorités de l'Empire Anticolonial continuent de délaisser le Chandekolza. Personne en Aleucie ne semble s'intéresser ne serait-ce qu'un peu au sort de ces dizaines de millions de nazumis, qui tomberont visiblement sous la coupe des grandes puissances régionales d'ici peu à en croire certains géopolitologues interrogés par nos services. Le temps de la présence akaltienne, ou plutôt de l'absence totale akaltienne est révolu.
372
Vous avez reçu une demande d'ami

Catyanaslave

Konnichiwaaaaaaaaaa Jashury-Chan !
Notre consoeur nazumi !

Salutation Jashury-Chan ! Cela serait cool que l'on devienne ami non ? De plus, Icami-Chan a disparu, On se sent seul en Paltoleucie... Et comme on dit, plus on est, plus on riz !
J'ai d'ailleurs pris des cours de Jashuriens dans les maisons du même nom au Shotugara, et j'espère te revoir un jour pour te montrer mes progrès !


SAYONARAAAAAAAAAAAAAA JASHU
CatyanamourCatyanamourCatyanamour
0
07/09/2017

Le Draim



La liberté des peuples l'ont emporté face aux colonisateurs Aleucien!

Au Chandekolza, petit territoire colonisé situé près du centre du Nazum par les infâmes Aleuciens impérialistes et colonisateurs que sont les Akaltiens, une intervention militaire de grande ampleur menée par une coalition formée de la Seconde République de Jashuria et de la Grande République de Velsna a permis la libération de ce territoire, tant mutilé par des années de colonisation akaltienne.

Le gouvernement de notre belle nation, la République démocratique d’Anterie, a félicité l’action de la coalition pour la libération de ce territoire et a annoncé reconnaître l’indépendance du Chandekolza.
0
a


Compte rendu, 19 octobre 2017

Confidentiel défense



Nous, agents serviles de la Segreda, qui sommes les dépositaires de l'autorité de la Grande République par votre biais, Conseil des dix de la Grande République, détenteurs de l'autorité qui vous est confiée par le Sénat, le Conseil Communal et Dame Fortune, adressons à vous les documents suivants, indiquant une marche à suivre et des recommandations concernant les sujets suivants:
- Nord-Nazum: état des lieux et rapports de force.
- Khardaz et CSN: que faire ?
Ces cas de figure étudiés ne sont en rien des positions définitives et sont susceptibles d'évoluer avec le contexte géopolitique des espaces concernés.


Contexte: Nord-Nazum: état des lieux et rapports de force.

Les tensions récentes entre la Confédération socialiste du Nazum (ou du moins certaines de ses composantes) et le régime khardaze ont rappelé à toutes ces excellences du Sénat de l'existence de la cité de Tercera, et de l'espace géopolitique du Nord-Nazum. Aussi, et sachant que la terre des turkmènes et des slaves paraît redevenir un point de tension international, cette étude est adressée au Gouvernement communal, et plus particulièrement au Maître de la Garde Carlos Pasqual.

Le Nord-Nazum, au vu de son caractère excentré dans le dispositif politique et militaire de la cité velsnienne, n'a jamais bénéficié d'une attention particulièrement soutenue pour un certain nombre de facteurs.

D'une part le facteur économique: les territoires de la République dans la zone sont réputés et avérés comme particulièrement inexploités, que ce soit économiquement, démographiquement ou culturellement, bien qu'ils bénéficient d'un fort degré d'intégration culturel et administratif, supérieur à la réalité de la situation en Achosie du nord, par exemple. Tercera est le chef lieu de l'île du même nom, et se constitue en cité de droit velsnien, dont l'organisation politique et juridique est donc identique à celle de la cité velsnienne. Le territoire de la chôra tercerienne est peuplé d'environ 150 000 citoyens, dont un tiers vit dans la cité proprement dite. L'île participe pleinement au commerce entre la République et le Nazum, et est intégrée au réseau commercial nazumi, mais elle n'en est qu'un relais périphérique. En effet, alors que le flux commercial, pour 80% de son volume total de ce continent en importation/exportation, passe par le sud Nazum par le biais du Détroit de spays gris de Drovolski, Tercera se retrouve exclue de fait de cette manne financière, et doit se contenter de servir de point-relais d'un axe commercial marginal et peu emprunté, et qui est en grande partie destinée aux échanges avec la nation du pays de Moritonie. La route du Nord-Nazum n'a jamais été développée à l'instar de l'axe du sud-Nazum à cause, en premier lieu, du manque d'acteurs politiques pertinents dans cette zone. De plus, cette route, si elle est plus courte que celle du Sud-Nazum, est davantage soumise à des facteurs de pertes. En premier lieu liées au climat, puis à la présence d'acteurs dont la République s'est toujours méfiée, avec l'exemple de la Poetoscovie.

En effet, la situation chroniquement instable de cette partie du Nazum a toujours été interprétée comme un facteur de perte financière par la classe politique de la cité velsnienne, à tort ou à raison. A l'inverse, la stabilité du commerce au Sud Nazum est permise par la présence de la République du Jashuria, un partenaire incontournable et de longue date, mais également par la sécurité du détroit instaurée par le Drovolski, et la réémergence de la puissance d'équilibre des Xin. A l'inverse, le Nord Nazum n'a jamais bénéficié de tels gardes-fous, et aucune puissance locale ou régionale exceptée la très marginale Moritonie, n'a jamais pu endosser ce rôle.

Dans ce contexte, Tercera n'a pas pu bénéficier d'un développement similaire à d'autres cités, et a dû s'adapter et tirer partie d'autres secteurs d'activité. En effet, si la cité est trop excentrée pour constituer une escale commerciale, elle constitue, en tant que territoire le plus oriental de la République, une position stratégique importante, à al fois dans le contrôle du trafic et des mouvements du Détroit des pays gris, mais également des mouvements en Nord-Nazum. La Poetoscovie étant une puissance neutre, mais dotée d'une capacité de projection aérienne et navale importante. A cette fin, et étant donné qu'il s'agit également d'assurer la sécurité de nos partenaires moritoniens, Tercera accueille de longue date des installations navales et aériennes. Celles-ci demeurent secondaires sur le plan stratégique, et elles ne sont pas intégrées au réseau principal de la Garde civique velsnienne et de la Marineria. Les garnisons sur place sont relativement marginales et peu formées en l'état, majoritairement constitués de la Garde civique locale. Cette force est aant tout conçue comme un appoint à la base principale de la Marineria dans la région, qui est localisée dans le détroit du pays gris, et de base de liaison pour les installations militaires moritoniennes. Récemment, un partenariat avec le Tsarat du Khardaz a permis l'implantation de bases de maintenance technique sur leur sol.

Outre les activités liées à la défense du territoire, Tercera dispose de ressource piscicoles notables, un secteur d'activité à faible valeur ajoutée qui n'est pas suffisant au développement économique du territoire. En l'état, la cité de Tercera est fortement dépendante des prêts et emprunts accordés par la cité velsnienne à son bon fonctionnement, ce qui fait diminuer encore un peu plus son poids politique dans les rapports de force internes de la République. Cela permet au développement humain de la cité de suivre peu ou prou celui du reste du territoire.


Excepté la Moritonie, un autre facteur de faiblesse de cet axe est, comme indiqué plus tôt, la présence d'acteurs neutres et à faible valeur économique. Mais depuis peu de temps, l'émergence d'une nouvelle puissance régionale, la Confédération socialiste du Nazum. Malheureusement, sa présence s'est relevée jusqu'à présent, comme étant un facteur d'instabilité davantage que l'inverse, en raison du caractère confédéral de l'alliance qui rend ses positions ambigües au mieux, antinomiques au pire.

En effet, si les premières tentatives de contact avec l'état confédéré de Barvynie ont été encourageants, il est difficile d'ignorer les tensions naissantes entre le Tsarat de Khardaz, et les états respectifs de l'Ouaine et de Khardaz, qui ont adopté une posture beaucoup plus offensive, rappelant dans leur mode opératoire les positions d'états eurycommunistes. La raison profonde des tensions tient au fait du renversement de l'ancien régime socialiste de Yachosie, qui a laissé place à une monarchie ultra-conservatrice.

En l'état des choses, le Khardaz n'aurait que peu de chances de sortir victorieux d'une éventuelle confrontation, qu'elle soit militaire ou politique à ce stade. Le pays n'a que très peu de liens diplomatiques avec d'autres nations importantes de la communauté internationale, que ce soit par liens bilatéraux ou ayant trait à des alliances plus larges. A cette fin, nous avons donc fait acte d'une prise de contact avec ces derniers.

Les états confédérés du Nazum, à l'inverse, sont dans une position de force indéniable, de par leur alliance de principe. Du moins, c'est là en théorie, car le fonctionnement de cette Confédération pose le sujet de l'efficacité d'une action commune de leur part. En l'état, il n'y a guère que le Mozranov et l'Ouaine qui ont fait acte d'hostilité envers la Tsarat du Khardaz, et il n'est donc pas certain que les autres états constitutifs de cet ensemble réagissent de la même manière à une montée des tensions, et des signes montrent clairement des dissensions entre la démarche de ses membres. Le dernier exemple en date étant la mise en état d'arrestation de l'un des dirigeants de ces républiques par ces consœurs. A ce titre, l'ensemble politique de la Confédération paraît extrêmement instable, et n'est pas assuré de perdurer sur le long terme. C'est là le seule motif de tranquillité pour le Khardaz sur la papier, puisqu'à l'international, il semble évident que la Confédération aurait davantage de largesses à se rallier aux grandes organisations du communisme international pour défendre leurs positions en cas de difficulté.



Khardaz et CSN: que faire ?

Jusqu'ici, la Grande République n'avait aucune raison de prendre intérêt pour ce conflit[/u], et le gouvernement du Khardaz ne nous paraissait pas plus compétent ou utile à nos intérêts que celui de la Confédération, mais une succession d'évènements a poussé nos analystes à revoir nos positions. En cause, les exercices militaires à répétition que se sont livrés le Tsarat de Khardaz et le Morzanov ont été le déclencheur d'une prise de conscience du danger d'une escalade aux portes de la cité de Tercera, qui a poussé ses autorités à prendre contact urgemment avec le Sénat des Mille. Consécutivement à cette situation, nous avons donc pris contact avec les deux entités afin de régler cette affaire. Le Khardaz a montré de toute évidence, davantage de bonne volonté au vu des réponses parvenues jusqu'à nous, et n'a pas réitéré ses entrainements une fois l'avertissement reçu. En revanche, le Morzanov a ignoré le premier message de protestation émis par nos services, et a poursuivi ses exercices dans la région malgré nos recommandations. Le deuxième avertissement quant à lui, a vu une réaction du gouvernement, mais fondée sur une remise en contexte du point de vue du Morzanov, qui paraissait davantage comme une justification de leurs actions que comme une acceptation de nos conditions.

Cette situation n'a pas été sans susciter un certain embarras de nos services: le gouvernement barynien, qui est le centre de gravité manifeste de la Confédération nous a signifié ses bons sentiments, alors que dans le même temps, le Morzanov poursuit une politique ouvertement provocatrice dans la région. Nos autorités ont donc le plus grand mal, à ne serait-ce que communiquer efficacement avec la Confédération quant à leurs intentions, ce qui rend notre position de proximité avec le Khardaz que plus logique et évidente. Dernièrement, le Morzanov s'est encore distingué dans le cadre d'une déclaration acerbe vis à vis du gouvernement de la République du Jashuria, qui sonne comme une déclaration ouverte d'intentions hostiles vis à vis du reste du Nord-Nazum. C'est ce courrier qui a finalement convaincu les autorités velsniennes à établir un plan d'action concernant les deux nations du Morzanov et de l'Ouaine.
  • La mise en place d'une collaboration commerciale et militaire avec le Tsarat du Khardaz. Le Tsarat étant le grand perdant de ce rapport de force, et la victime potentielle d'une politique agressive du Morzanov, il a été décidé d'improviser la République en fournisseur d'armement. Ayant à disposition des surplus importants, il nous a paru pertinent de les utiliser à cette occasion. Parmi mes armements en don figure d'importants stocks datant de la Guerre des Triumvirs.
  • Le renforcement des installations militaires, en particulier navales et aériennes sur le territoire de la cité de Tercera est désormais considéré comme une priorité du Gouvernement communal. Des fonds ont ainsi été débloqués pour l'agrandissement des installations existantes. La Classis III sera en partie réaffectée à Tercera, de même qu'a été approuvée la création d'une Grande Tribune Militaire du Nord-Nazum qui stationnera sur place.
  • Sur le plan diplomatique, une posture claire et différenciée sera adoptée vis à vis de chaque membre de la Confédération, avec la création de plusieurs ambassades: une spécialement à l'adresse de la Barvynie, dont nous souhaitons établir une véritable relation de confiance. Quant à l'Ouaine et au Morzanov, nous avons déjà acté l'impossibilité d'une cohabitation à long terme au vu de leurs déclarations récentes. Nous maintiendrons une attitude neutre vis à vis des autres membres de la Confédération.
  • Si demande de stationnement aérien ou naval de la République du Jashuria sur l'île de Tercera il y a, celle-ci leur sera accordée. De plus, nous préconisons une mise en commun de nos ressources en renseignement avec les autorités jashuriennes.



Nous prions d’agréer nos salutations aux excellences sénateurs qui prendront acte de ce rapport.
Haut de page