Lettre à l'intention de Monsieur Mar Loftsson, Ministre des Affaire étrangères et des Droits humains de la République Fédérale de Tanska.
Monsieur Mar Loftsson,
Quel dommage que vous ayez si promptement refusé notre offre par considération de notre politique. Soit dit en passant, je ne comprends pas votre crainte concernant ce que vous appelez "perméabilité des informations classifiés", mais soit. Votre choix est fait, et même si cela est fort déplorable pour nos deux pays, je ne peux que respecter votre choix d'état souverain.
Votre ambassadeur sera bien accueilli en Loduarie, et j'ose espérer que le nôtre, qui se dirige actuellement vers vos terres, le sera tout autant. J'espère que cette première mesure permettra d'améliorer nos relations, surtout suite à nos dernières altercations.
Parlons en, d'ailleurs, de ces dernières altercations, et commençons par le sujet fort qu'est la crise au Kolcovo.
Sachez que la Loduarie déplore fortement votre décision de ne pas reconnaître l'indépendance de l'Oblast de Zladingrad. De plus, si il est vrai que nous occupons militairement cet oblast d'une manière provisoire, je tiens à relever vos accusations d'invasion illégale de ces terres. Si cela est discutable entre gens honnêtes, force est de constater que vous ne l'êtes pas; en effet, vous ne vous êtes pas précipité sur la Tcharnovie, qui elle aussi, selon vos propres critères, a envahi illégalement l'Okaristan. Et force et de constater également que vous avez préféré reconnaître la légitimité d'une insurgence Okaristanaise, au détriment d'un gouvernement légitime, que nous avons cherché à protéger, soit dit en passant.
Ainsi je vous prierai de revoir votre vocabulaire dans le cas présent, voir même de rectifier votre position.
Ensuite, vous avez déclaré ne pas reconnaître l'indépendance de l'Oblast de Zladingrad. Force est de constater que vous ne respectez pas vous même le insurgés que vous avez pourtant soutenu, qui eux ont reconnu l'indépendance de Zladingrad, et à raison. Seriez vous hypocrites ? Je me le demande.
En attendant, je suis ouvert à la discussion. Une solution peut être trouvée, je n'en doute pas, mais seulement si nous y mettons chacun du notre.
Veuillez accepter l'expression de mes sentiments les plus distingués,