01/10/2016
07:02:48
Index du forum Continents Afarée Banairah

Ministère des Affaires Extérieures - Page 9

Voir fiche pays Voir sur la carte
0
Monsieur le Ministre des Relations Internationales,
République de Poëtoscovie.

Monsieur le Ministre des Affaires Étrangères,
Banairah.


Hernani-centre. Le 26 novembre 2015.



Objet - Lettre relative à l'établissement d'ambassades




Monsieur,


Je me permets de vous contacter ce jour en tant que représentant de la diplomatie Poëtoscovie pour vous exprimer les plus sincères amitiés de la part d'un pays qui regrette que nous n'ayons jamais pris le temps de nous connaître véritablement. Soyez pourtant assurés que tenons en estime vos cultures et politiques, et c'est justement dans le prologement de cette considération que nous souhaiterions entretenir des relations durables avec les autorités de votre splendide pays.

Je ne vous cacherais point l'objet de cette lettre, tout d'abord puisqu'il est indiqué en objet de celle-ci, mais aussi car je suis de ceux qui pensent avec force et conviction que la diplomatie, c'est aussi faire preuve de franchise avec ceux envers qui on a confiance, et il me semble ici ne pas me tromper. Aussi ai-je l'immense honneur de vous demander, au nom de la République de Poëoscovie, si vous accepteriez d'établir à Hernani-centre, notre capitale, une ambassade ? En serait-il également possible réciproquement ?

Je ne puis vous cacher attendre votre réponse avec une certaine impatience, car entrentenir de bonnes relations à l'international nous est, en tant que Nation, un voeu infiniment cher.


Avec tout mon respect,


Monsieur le Ministre des Relations Internationales,
République de Poëtoscovie.



Cet échange est sécurisé par les Services de la Sécurité d'État de Poëtoscovie.
270
La Fédération Monarchique des Peuples Unis du Canta, ou Canta, vous souhaite une bonne année

carte

Prenez le temps de découvrir notre projet pour un commerce mondial libre et fluide, avec le projet du plus grand port du monde, au coeur de la Manche Blanche, artère vitale du commerce mondiale
MondoPoorte, les portes du monde
1440
Drapeau de Dgondu


Ecrit le 18/02/2016

Aux nations Afaréennes,


Chers frères et soeurs d'Afarée,

Aujourd'hui, nos états peuplant le continent mère sont menacés par des puissances impérialistes et néocoloniales qui se rêvent en puissances mondiales et dominatrices en Afarée. Cette situation, qui perdure entre autre au Gondo, pour ne citer que lui, n'est pas tolérable et ne doit pas être tolérable pour des nations comme nous, qui vivons sur ces terres depuis des générations et des générations.

Nous devons nous renforcer collectivement, nous devons nous unir comme un seul continent fédéré autour de nos valeurs et nos idées. Le Dgondu a toujours promu une vision Pan-afaréiste et refuse de laisser des puissances étrangères dicter leurs lois sur le sol des Afaréens. C'est pour cela que je vous invite à un sommet à Mpanga, capitale du Dgondu, le 25 Février 2016. Durant cette rencontre, nous parlerons de diverses sujets, allant d'une coopération économique poussée entre nos nations, à travers peut être la création d'une seconde monnaie commune, à des traités militaires dans les situations les plus favorables, comme des pactes défensifs, à la création d'un institut promouvant nos cultures afaréennes dans le monde entier.

Egalement, il sera envisagé de fonder une potentielle organisation afaréenne, bien que cette possibilité soit ouverte aux débats de part la présence du Forum de Coopération de l'Afarée du Nord déjà existant dans le nord de l'Afarée.

Avec toutes mes salutations les plus distinguées et avec espoir de recevoir une réponse favorable de votre part,

Malandela Gudmada
Sa Majesté Malandela Gudmada,
Roi des rois du Dgondu, état fédéré de Yukanaslavie
5819
sigle

Au sujet de la situation en Afarée occidentale

A l'attention de Son Excellence Siria Hamza, Ministre des Affaires étrangères de la Jumhuriyya Banairah

Que la Paix, la Miséricorde et la Bénédiction d'Allâh soient sur vous.

Excellence,

Je vous contacte toutes affaires cessantes pour solliciter vos autorités au sujet de la crise qui dégénère en Afarée de l'Ouest, entre l'Antegrad et l'Ouwanlinda. Je reviens d'abord sur les origines et les conséquences de cette crise, puis je formule plus bas une proposition importante pour le Banairah.

Comme vous avez pu l'apprendre, à la suite d'une période de tensions entre le dictateur Ateh Olinga et le gouvernement officiel du Gondo allié à la Fédération antegraine, tensions qui ont vu plusieurs escarmouches, le président de l'Ouwanlinda a donné l'ordre de bombarder le palais présidentiel. Usant d'un missile supersonique, une arme dont la capacité destructrice dépasse en technologie la plupart des arsenaux afaréens, il a mis cet ordre à exécution ; le bilan est lourd, rapportant plusieurs dizaines de morts dont, parmi eux, le dirigeant civil et chef d'Etat de l'Antegrad, Ismael Idi Amar.

Si l'on déplore les escarmouches et les tensions préalables, nul ne peut nier que l'assassinat d'un chef d'Etat en exercice et la destruction de l'édifice représentant l'Etat antegrain constitue un crime d'une portée matérielle grave, mais surtout d'une terrible signification symbolique. Elle provoque, de fait, la menace d'une guerre à outrance entre l'Ouwanlinda et l'Antegrad, le prix du sang étant désormais sur la table dans un scénario d'escalade sans fin. Olinga, dont l'arsenal balistique vient de démontrer sa capacité à atteindre toutes sortes de cibles dans un très large rayon qui englobe aussi bien l'Antegrad que le Gondo, mais aussi l'Azur, le Banairah, l'Althaj et j'en passe, n'a émis aucun regret et a parfaitement assumé l'assassinat dont il s'est rendu coupable, démontrant ainsi sa parfaite intention, si l'envie le piquait, de répéter ce genre d'acte à l'égards de dirigeants en exercice et de centres de pouvoir officiels.

L'Azur a naturellement dénoncé cet acte odieux dont le caractère singulier est à souligner : mis à part des parias au ban de la communauté internationale, personne ne s'aventure à viser l'adversaire dans ce qui représente son coeur et sa raison ; les insignes de son pouvoir et la personne de son dirigeant. L'Azur n'envisage pas une seule seconde d'accepter ou de passer sous silence, de négliger ou de s'accommoder de la situation qui prévaut désormais : l'impunité, la fenêtre ouverte à une répétition de cette frappe, la dégradation profonde du respect dû au personnel officiel des Etats, l'élargissement jusqu'à l'innommable des options militaires qu'un pays peut désormais actionner. En toute probabilité, notre capitale est atteignable par ces missiles supersoniques, dont le nombre détenu par Ateh Olinga reste inconnu. Face à un tel trublion, dont la raison semble instable, attendrons-nous le jour où celui-ci, piqué sans doute de mauvaise humeur, inspiré par ses crocodiles, lancerait une attaque semblable sur notre territoire, sur nos édifices publics, sur notre Calife ?

Grâce à Allâh, dans la crise qui s'ouvre tous n'ont pas fait le choix de la folie et de la provocation insensée. Le Président Idi Akim, désigné successeur d'Idi Amar à la tête de la Fédération Centrale d'Antegrad, a fait savoir qu'il n'attendait que les excuses officielles d'Ateh Olinga pour enterrer la hache de guerre. Cet homme, bien justement inspiré, disposé à prendre sur lui l'urgence de la vengeance pour proposer à son adversaire un règlement d'honneur et de réconciliation, ne peut qu'être favorablement perçu par tous ceux qui en Afarée ne s'amusent pas des querelles et des crimes. L'Azur soutient dorénavant cette demande, qui a pour l'instant été rejetée, de manière aussi éhontée que déplorable, par les services d'Olinga.

En tout état de cause, les Etats afaréens ne sauraient demeurer impassibles face à cette situation qui met l'unité du continent et la crédibilité de notre dissuasion à rude épreuve. Loin de rechercher une improbable et funeste vengeance dans des représailles, l'Antegrad et ses partenaires, que sont le Finejouri, l'Azur et, du fait d'accords de sécurité, le Duché de Sylva et l'Empire du Nord, a résolu de mettre en place des dispositions pour gérer le risque que pose désormais l'arsenal balistique ouwanlindais et son chef agressif. Ces dispositions sont encadrées par le protocole ci-dessous, qui consiste à mettre en place un embargo sur les armes envers l'Ouwanlinda et des contrôles sur les embarcations accédant aux ports ouwanlindais, de sortent que soient interdits tout transferts d'armes supplémentaires dont le chef de l'Etat ouwanlindais pourrait user. Ce déploiement naval, très encadré de sorte qu'il ne mène pas à une confrontation, mais assure seulement une garantie minimale de sécurité pour nos pays dont Ateh Olinga balaie les doléances mesurées et pacifiques, n'est qu'une mesure conservatoire ; le dialogue diplomatique devrait se poursuivre, c'est en tous cas ce que l'Azur souhaite, afin d'arriver avec Ateh Olinga à une solution profonde et conséquente permettant de résoudre la crise ouverte.

Excellences, si je m'adresse au Banairah, c'est pour vous proposer de rejoindre le collectif d'Etats qui se portent à la résolution de ce conflit à travers l'embargo sur les armes envers l'Ouwanlinda. Je vous propose solennellement d'y participer, ce qui montrerait que le plus grand pays d'Afarée soutient cette mesure et prend en compte la réalité de la crise, qui est celle de possibles nouvelles frappes ouwanlindaises contre d'autres dirigeants afaréens, si l'on doit omettre le besoin légitime de l'Antegrad d'obtenir des excuses officielles à la hauteur du crime qu'il a subi. Par cette signature, vous renforceriez un processus associant déjà plusieurs Etats afaréens et extra-afaréens qui ont tous manifesté leur souci de la mesure, de la préservation de la paix, de la non-escalade et de la résolution définitive du conflit par un dialogue diplomatique.

Protocole de déploiement en réponse à la crise diplomatique entre l'Ouwanlinda et l'Antegrad a écrit :Exposé des motifs
Par le bombardement du palais présidentiel de l'Antegrad et l'assassinat du chef de l'Etat, l'Ouwanlinda s'est rendu coupable d'une escalade extrêmement grave de la violence. Ses déclarations et la liste de ses actions récentes indique qu'il serait prêt à répéter ces crimes. Afin de prévenir toute future escalade, il est nécessaire de garantir que les capacités de frappes d'Ateh Olinga, seul responsable de la crise actuelle, ne soient pas renforcées. En ce sens, les pays volontaires signataires s'engagent à travers ce protocole à coordonner leurs actions dans cet objectif.

1 - Garantir la liberté de navigation à l'Antegrad
Les pays signataires s'engagent à ne pas remettre en cause, d'aucune manière, la libre circulation des navires et des marchandises se rendant ou partant d'Antegrad, quelle que soit leur provenance et leur contenu.

2 - Mise en place d'un déploiement préventif
Les pays signataires décident, à travers une opération commune, d'interdire le transfert d'armements ou de produits utilisables dans une action militaire à l'Ouwanlinda par la surveillance de sa façade maritime et l'investigation éventuelle d'embarcations. Les embarcations ouwanlindaises seront systématiquement fouillées. Les embarcations qui se refuseraient à une inspection seraient contraintes par la force. Toute opposition de force à cette force entraînera une action militaire.

3 - Coordination du déploiement
Toutes les informations et décisions prises dans le cadre de cette opération doivent être partagées avec les signataires de ce protocole. Toute autre information relative à la circulation d'unités militaires en Afarée occidentale devra être partagée.

4 - Levée du blocus
L'opération de blocus prendra fin lorsque la voie diplomatique aura permis à l'Antegrad d'obtenir réparation symbolique et matérielle pour le crime qu'il a subi. Il appartient à l'Antegrad de définir cette réparation.

5 - Sortie du protocole
Un Etat signataire souhaitant sortir de ce protocole devra disperser ses forces militaires et les faire quitter la région.


Par une signature, vous renforceriez la valeur diplomatique de ce cadre. Vous pourriez aussi, en tant que grande puissance afaréenne, assurer la crédibilité de ce déploiement en y dévouant des navires militaires, comme l'Azur, le Finejouri, Sylva et l'Empire du Nord comptent le faire ou le font déjà. Frégates, destroyers et autres bâtiments spécialisés dans la surveillance et le contrôle des mers seraient bienvenus non pas pour mener une quelconque action militaire improvisée, mais pour s'assurer qu'Olinga n'accroît pas son arsenal dans l'intervalle des négociations.

J'espère, Excellence, que le Banairah répondra à notre forte espérance d'obtenir son assistance dans cette crise qui, si l'on ne parvient pas à l'encadrer, risque fort d'empirer.

A votre écoute,
Amir Bey il-ir Usdeli
Ministre des Affaires étrangères par intérim
13.08.2016
2202
logo du sérénissime, immense et magnifique ministere des affaires etrangeres de la glorieuse et supreme republique du faravan

Ministère des Affaires étrangères du Faravan


De : Dara Sahdavi, ministre des Affaires étrangères de la République Faravanienne.
A : Son Excellence Siriam Amza, ministre des Affaires étrangères de la République Directe de Banairah.

Traduction de courtoisie :

ٱلسَّلَامُ عَلَيْكُمْ وَرَحْمَةُ ٱللَّٰهِ وَبَرَكَاتُهُ / ʾas-salāmu ʿalaykum wa-raḥmatu -llāhi wa-barakātuh
أمة فارفانيان تهنئك على واجباتك ، أيها النظير المحترم ، وتشكرك على التعاون المستقبلي بين شعبينا / 'umat faravanyan tuhaniyuk ealaa wajibatik , 'ayuha alnazir almuhtaram , watashkuruk ealaa altaeawun almustaqbalii bayn shaebayna

Message :

Chère ministre,

Très estimée homologue, je vous contacte aujourd'hui au nom de notre agence spatiale, le Centre des Etudes Aérospatiales qui, comme vous l'avez peut être remarqué, est en pleine montée en puissance. Cela se traduit notamment par l'opérationnalisation de notre centre spatial, le Spatiodrome du Gilanan. La force de ce spatiodrome réside dans son accès illimité à l'océan des perles, ce qui lui offre une grande flexibilité pour lancer nos fusées sur les trajectoires désirées. Cependant, cette force est également une faiblesse dans la mesure ou ce même océan ne nous permet pas de pouvoir placer souverainement des stations de télémétrie qui pourraient garder le contact avec le lanceur au décollage, particulièrement dans la phase d'ascension initiale. Les choses étant bien faite, il se trouve que la République Directe de Banairah, par son territoire de Destone, dispose d'un pied à terre qui se situe précisément sous la trajectoire des lanceurs. Si je vous écrit aujourd'hui, c'est bien pour vous proposer l'installation d'une station de suivi sur le nord de votre territoire insulaire de Destone. Une telle station étendrait considérablement nos capacités de contrôle et notre visibilité sur les lanceurs tirés depuis notre spatiodrome.

Naturellement, le contrôle de cette station de télémétrie serait organisé selon vos modalités. Nous pouvons ainsi imaginer un contrôle mixte entre notre CEAS et votre agence spatiale par exemple. De plus, nous serions disposés à vous ouvrir un accès illimité à notre spatiodrome du Gilanan pour les besoins de vos lanceurs spatiaux. Si un tel arrangement vous intéresse, nous serions heureux de vous faire parvenir plus de détails sur notre centre spatial.

En espérant bonne réception de cette lettre et en l'attente de votre future réponse, je vous prie d'agréer, madame la ministre, l'expression de mes sentiments les plus distingués.

sceau de la république accompagné de la signature du ministre des affaires etrangeres, monsieur Dara Sahdavi
Haut de page