27/12/2017
01:15:36
Index du forum Continents Eurysie Carnavale

Activités étrangères à Carnavale - Page 9

Voir fiche pays Voir sur la carte
450

https://i.imgur.com/3iBU75m.png

24.12.2017

Votre demande de construction d'usine a été acceptée !

Merci d'avoir choisi Callinople pour installer les trois centres de santé de Grand Clinique. Les profits perçus seront versés sur votre compte bancaire à la Banque Océane en fin de chaque trimestre (fin de chaque mois IRL).

Messalie remercie ses Bienfaiteurs. Et Joyeux Noël

Note : construire une usine crée de l'emploi à Callinople, et donne un boost de faveur à la municipalité locale (Avec Sophie Jouasseing) pour les prochaines élections.
14147
Un article de presse en trois colonnes avec  une illustration qui est Photographie, réaliste, en demi teinte ou tramage, noir et blanc, de nos jours, trois médecins barbus en costard du XIXe Siècle et blouse blanche, l'un est glabre et un autre a de petites lunettes, et deux nonnes en habit blanc amidonné et resplendissant de carmélite (pas d'habit de nonne de couleur noir) et voile noir de profès dans un laboratoire du XIXe avec des boiseries et des vieux matériels mais aussi des ordinateurs et des machines électroniques. les nonnes sont européenne, jeunes, jolie et souriantes et l'une est blonde et l'autre a un visage plus fin. Le matériel scientifique est en arrière plan et elle est légendée : L'équipe du Docteur Moreau dans son laboratoire de l'Académie des Sciences Naturelles à Sainte-Régine, il s'agit de l'équipe qui va partir pour Bourg-Léon en Carnavale afin d'étudier des échantillons du Jardin Botanique de M. Blaise Dalyoha. De gauche à droite : Dr. François Lemarchand (assist), Dr. Quentin Moreau (dir), Dr.Charles Guy (assist), Srs. Jeanne et Marie (Labor) .

Percer les mystères des Jardins Botaniques de Carnavale, In Les Nouvelles du Makota, le 24/12/17

CLIQUEZ SUR L'IMAGE POUR UNE VERSION LOURDE ET ZOOMABLE, EN CAS D'ARTICLE NON LISIBLE PLUS ANCIEN VOUS POUVEZ ME CONTACTER SUR LE DISCORD POUR UNE VERSION PDF.

Articles connexes et références
Interactions entre le Makota et Carnavale
Lors de la Crise immédiate post Estham : La ligue anticommuniste assiste Carnavale, In Les Nouvelles du Makota, 18/01/2017
Les Progressistes sont anti Carnavale et pour une coalition incluant le Makota : Tentative de déclaration de Guerre contre Carnavale !,In Les Nouvelles du Makota, 23/01/2017
Les Ligues soutiennent Carnavale contre la sociale démocratie mondiale : Guerre en Carnavale : Le peuple makotan salue le courage des partisans, In Les amis de l'Autel, le 5/03/17
Les clones d'Améthyste : Le bordel des Améthystes, première maison close de clones ?, In Les Nouvelles du Makota, le 4/05/17
Affaire des Clones de Mlle Améthystes Castelage : Une nonne se fait connaître, In Les Nouvelles du Makota, le 6/05/17

La Science makotane
Introduction de la clinique Translave en Néonatologie : La Lutte contre la Mortalité Infantile par les méthodes Translaves, In Le Journal des Mères de Famille, 29/10/2016
Créationisme de l'Académie : Un retour de l'évolutionnisme ?, in les Amis de l'Autel, 23/12/2016
Antispatialisme de l'Académie : Le Mythe Spatial démasqué !, in les Amis de l'Autel, 30/01/2017
L'Académie des sciences et le progressisme sociétal : Le gauchisme est-il une maladie mentale ? , In les amis de l'autel, le 24/03/17
Les femmes intellectuelles (et obligatoirement nonnes) contraintes d'étudier à l'étranger : Ces Religieuses qui étudient clandestinement dans des universités étrangères, In Les nouvelles du Makota, le 21/05/17 et Une novice illégalement en étude au Jashuria porte un maillot Blasphématoire, In La libre Makotane, le 19/08/17
De la sociologie makotane : Sociologie : Comprendre la théorie du Triangle de la Femme, In Les Nouvelles du Makota, le 08/06/17
De la médecine makotane : État des lieux alarmant sur les Maladies Honteuses , In Les Nouvelles du Makota, le 23/06/17
De la médecine traditionnelle makotane : Les reliques comme médecine traditionnelle makotane

Le texte en blocPercer les mystères des Jardins Botaniques de Carnavale
Une équipe de savants de l'Académie des Sciences Naturelles du Makota se préparer pour aller étudier de cette flore unique
Après un certain nombre de tractations entre notre Président, Jean Irreville III, et Monsieur Blaise Dalyoha, Président-directeur général de la Dalyoha Inc. et propriétaire desdits Jardins, le coup d’envoi du projet scientifique est enfin donné. Nos savants sont sur le départ : ils préparent leurs valises et s’apprêtent à monter dans l’avion spécialement affrété par la Présidence du Makota pour les conduire à Bourg-Léon.
À l’origine, il s’agissait d’une entreprise d’une ambition considérable : pénétrer les Jardins Bota-niques afin d’en percer les mystères. Tel était le projet initial de l’Académie des sciences naturelles, celui présenté au Président Irreville pour qu’il le négocie auprès des autorités de Carnavale. Cepen-dant, sous la pression de M. Blaise Dalyoha — manifestement très inquiet à l’idée de laisser des savants s’aventurer dans un lieu aussi dangereux alors que même pour les experts ce lieu est souvent mortel — , le projet fut profondément révisé : il ne serait plus question d’exploration directe, mais d’étude en laboratoire, à partir d’échantillons prélevés, donc, par des explorateurs carnavalais plus aguerris et plus aptes à arpenter ces terres redoutées.
Dans cette enquête, nous reviendrons sur les détails de cette expédition imminente, sur les personnalités qui la composent, ainsi que sur les contreparties que le Makota a dû consentir à Monsieur Blaise Dalyoha en échange des autorisations nécessaires. Nous essaierons et pour plus de clarté, de présenter autant que possible ces éléments dans l’ordre chronologique après avoir procédé à une remise en contexte.
Que sont les Jardins Botaniques de Carnavale et pourquoi nous fascinent-ils tant ?
Commençons donc par le commencement. Depuis une vingtaine d’années, à mesure que nous renouons progressivement nos liens avec le Vieux Continent et que nous redécouvrons, pour ainsi dire, les pays que nos ancêtres — les pionniers gallouésiens et antériniens du XVIIIᵉ et du XIXᵉ siècle — décrivaient comme décadents et sataniques (essentiellement, avouons-le, parce que ils étaient catholagnais tandis que nos ancêtres, comme nous mêmes, sont volignonais), nous allons de surprise en surprise. Il n’est pas question ici d’énumérer toutes les découvertes récentes qui ont démenti nos vieux atlas poussiéreux ; retenons seule-ment qu’au nombre des choses les plus curieuses et les plus intrigantes se trouvent, sans conteste, les Jardins botaniques de Carnavale.
Comme chacun sait, notre pays est une nation de naturalistes. Les sciences naturelles y sont non seulement les plus étudiées des sciences, mais aussi les plus révérées. Elles disposent d’une base d’amateurs et de collaborateurs bénévoles proprement gigantesque. Qu’il s’agisse de géologie, d’hydrologie, de météo-rologie, de cristallographie, ou bien de biologie — animale, végétale, fongique ou microbienne —, toutes les sciences naturelles tiennent chez nous une place éminente bien que les science du Vivant soient parmi elles celle que nous tenons en plus haute estime. On comprend dès lors l’engouement de la population, comme du monde savant, pour tout ce qui touche de près ou de loin aux Jardins botaniques.
D’autant que le caractère lacunaire et fragmentaire des informations qui nous parviennent de ce lieu a un pouvoir de suggestion considérable. L’imaginaire ma-kotan en a été puissamment et durablement marqué. On ne compte plus le nombre de romans, nouvelles et recueils prétendant s’inspirer de la « science dure », alors qu'en général ils ne font qu’extrapoler — souvent jusqu’à l’absurde — les quelques données éparses et contradictoires filtrant de temps à autre à travers les lourdes grilles en fer forgé des Jardins Botaniques. En vérité, ces récits ne sont pas des œuvres de science froide et méthodique, mais plutôt des exutoires poétiques à notre désir d’exploration de l’inconnu : un inconnu dangereux, mais merveilleux ; un lieu mythique, en somme.
Les Jardins Botaniques de Carnavale sont ainsi devenus un symbole profond de notre inconscient collectif : le lieu du mystère, de l’aventure et de la fascination mêlée de crainte. Cette mythification explique pourquoi, contre toute raison, il est d’usage — dans nos conversations, nos fictions et même, parfois, dans certains cercles savants — de parler des Jardins Botaniques comme d’un organisme unique et conscient, d’un être doté d’une volonté propre. On entend souvent dire : « Les Jardins botaniques ne permettront pas cela » ou encore « Que veulent les Jardins botaniques ? » ou bien « Pensez-vous que les Jardin Botaniques gagneront cette guerre ? ». Pour l’Académie des sciences naturelles du Makota, tout cela relève bien sûr du mythe et de la superstition. Les Jardins, si dangereux soient-ils, le sont non pas par une volonté qui leur serait propre, mais parce que les Dalyoha y ont rassemblé une multitude de choses rares, précieuses et souvent incompatibles avec la vie humaine.
Les Jardins Botaniques nous fascines parce qu'ils raisonnent en nous comme l'image d'un jardin d’Éden (et certains pensent réellement que le jardin d’Éden historique se trouve vraiment sur Grand-Hopital) mais qui subsiste sur terre postérieurement à la malédiction du couple initial. Un jardin parfait mais que la chute d'Adam et d'Eve a rendu invivable et dont il furent irrémédiablement chassés sans espoir de pouvoir y retourner jamais. Un jardin gardé par des anges qui en interdisent l’accès, et ce couple initial, ce sont ni plus ni mois que les Makotans. Quant aux anges qui en interdisent l'accès pour l'éternité, ce sont Monsieur Blaise Dalyoha et ses employés. Voila, au fond, ce que sont les Jardins Botaniques de Carnavale pour l'âme Makotane. Évidemment tout le monde n'est pas pareillement atteint, en vérité le brave vacher du cru ne connaît que très vaguement les jardins et il s'en trouve certainement parmi eux des esprits forts pour nier tout ça. Cependant, les Jardin Botaniques existent et ce qu'on en dit, pour l'essentiel, a tout les aspects de la vérité scientifique.
Les tractations avec monsieur Dalyoha et l’envoi de leurs savants dans nos hôpitaux et nos bordels
Comme nous l’avons déjà précisé, nos savants partent pour Carnavale avec la bénédiction — et l’assistance — de M. Blaise Dalyoha, à l’issue d’une négociation dont nous ne pouvons faire qu’une lecture partielle. Grâce à nos source et à un véritable travail d'investigation, nous avons établi que le Président Irreville et M. Blaise Dalyoha ont convenu d’un véritable échange scientifique croisé. Concrètement, si l’Académie des sciences naturelles du Makota a obtenu l’autorisation d’étudier dans un laboratoire de Bourg-Léon des échantillons prélevés dans les Jardins Botaniques, c’est parce qu’en contrepartie une équipe de savants carnavalais, tous salariés de la maison Dalyoha, a obtenu une permission similaire (bien que plus généreuse) leur donnant le droit de mener des recherches au Makota. La surprise est de taille.
Pourquoi les Dalyoha, qui disposent manifestement d’un équipement bien supérieur au nôtre, ont-ils désiré venir ici ? Nous avons mis du temps à l’établir. Nos sources, que nous ne pouvons dévoiler sans les compromettre, nous ont forcés à de sérieux recoupements avant de l’admettre : les Dalyoha cherchent à prélever des échantillons de nos nombreuses maladies honteuses. Aussi incroyable que cela paraisse, tous les éléments concordent. Ils se sont vu délivrer un laissez-passer présidentiel leur ouvrant l’accès à tous les clubs privés et maisons closes, y compris les plus interlopes et thématiques. Ils ont obtenu communication des archives des polices des mœurs et obtenu, enfin, un accès généralisé aux hôpitaux ; il apparaît que les services en charge des pathologies vénériennes ont reçu des notes de service particulièrement explicites quant aux attentes des visiteurs : « présentez leur les cas les plus inhabituels ».
Nos lecteurs ont sans doute du mal à saisir ce qui peut pousser la maison Dalyoha à s’intéresser à nos affections honteuses. Nous même, nous avons eu bien du mal à le comprendre, et il nous a fallut interrogé des spécialistes. Selon le docteur Claude Sureau, microbio-logiste à l’Académie, l’entreprise pharmaceutique chercherait à collecter des échantillons de ces infections afin de les cultiver en vue d’en étudier les propriétés, puis, par divers procédés de laboratoire, à en tirer des souches modifiées susceptibles d’un usage industriel, médical ou plus probablement militaire.
Quant à nous, lecteurs estimés, nous ne sommes pas tentés de juger hâtivement la démarche des employés de M. Dalyoha. Si l’étude de nos maux peut servir à mieux les comprendre et à les traiter, tant mieux. Et si ils doivent servir à faire des armes, hé bien, en bon makotans, nous sommes de l'avis que les armes ne sont jamais le problème mais que le problème ce sont ceux qui ne savent pas s'en servir ou qui forcent leur possesseur à s'en servir.Il n’en demeure pas moins curieux et troublant que l’accès aux merveilles des Jardins botaniques soit conditionné au partage de nos nos maladies les plus infamantes. Les Jardins botaniques demeurent, décidément, de véritables aimants à étrangeté.
Présentation de l'équipe scientifique qui étudiera les échantillons  : Le laboratoire du Dr. Moreau
Si l’on en croit nos sources, les discussions furent houleuses à l’Académie des sciences naturelles, et il fallut de longs débats avant de parvenir à un accord sur quelle équipe sera autorisée à se rendre en Carnavale pour y étudier les échantillons des Jardins Botaniques qui seront transmis par M. Blaise Dalyoha et ses collaborateurs. Plusieurs laboratoires furent proposés, et il paraît qu’une séance entière fut consacrée à cette seule question et que les débats se poursuivant jusque tard dans la nuit. Au terme de ces tractations, c’est finalement le nom du docteur Moreau qui s’imposa.
Ce biologiste végétal, spécialiste reconnu des biomes artificiels et des plantes invasives ou allochtones, présentait le profil jugé le plus approprié pour diriger la mission. On le connaît surtout pour avoir été l’« ingénieur » des Jardins botaniques de Sainte-Régine (qui, il faut le reconnaître, n’ont pas grand-chose à voir avec ceux de Grand-Hôpital en Carnavale). Il est également l’auteur de nombreux articles sur l’accli-matation des espèces ainsi que de plusieurs ouvrages de vulgarisation consacrés à l’art de tenir une serre. Naturellement, le docteur Moreau ne part pas seul : tout son laboratoire l’accompagne, soit deux assistants et deux laborantines.
Les deux assistants sont eux aussi titulaires d'un doctorat. Le premier, le docteur François Lemarchand, est biologiste végétal, bien que ses premiers travaux et son intérêt personnel l’aient plutôt conduit vers la mycologie. Dans sa jeunesse, il avait soutenu un mémoire remarqué sur le potentiel agricole et bio-ingénierique de la mycorhization, audace qui lui valut une certaine renommée. Par la suite, il a partagé ses publications entre la mycologie et la biologie végétale. Le second assistant, le docteur Charles Guy, est un microbiologiste spécialisé dans l’étude des nodules bactériens azotofixateurs. Cela ne l’empêche nullement de collaborer aux publications de son directeur, le docteur Moreau, et même de signer occasionnellement des articles de botanique entre deux travaux de microbiologie.
Quant aux deux laborantines, les sœurs Jeanne et Marie, il s’agit de religieuses réginistes. Toutes deux ont obtenu leur brevet de fin d’études ainsi que leur diplôme d’enseignantes du secondaire, avant de partitr à l’Université de biologie d’Agartha, en Jashurie pour, paraît-il, en sortir avec chacune un doctorat de botanique. Le contenu de leur dossier universitaire jashurien n’est pas connu ; leur spécialité demeure donc incertaine. Concrètement, elles n’interviendront qu’en tant que laborantines, conformément à leur sexe .
Et la suite ? Quelles perspectives ?
À présent que l’équipe est désignée, les choses devraient aller très vite. Le départ est prévu pour dans quelques jours : un avion spécialement affrété par la Présidence doit conduire les chercheurs à Bourg-Léon, où un laboratoire de recherche sera gracieusement mis à leur disposition grâce à la générosité de M. Blaise Dalyoha. De son côté, l’Académie des Sciences Naturelles du Makota aurait réservé pour chaque membre de l’équipe une chambre d’hôtel à proximité immédiate du laboratoire, avec pension complète, les trois repas inclus. On ignore encore quand les premiers échantillons des Jardins Botaniques seront livrés, mais il est d’ores et déjà certain qu’aucun prélèvement ne pourra être exporté sans l’accord exprès de M. Blaise Dalyoha. Il est probable, en revanche, que les Carnavalais laisseront à l’équipe quelques jours pour s’installer convenablement à Bourg-Léon. Nous tâcherons, bien entendu, de suivre pour vous toutes les étapes de cette initiative scientifique historique.



Commentaire extradiégétique
La vidéo ci-dessus est un commentaire généré automatiquement. Elle simule un entretien entre deux journalistes sur une radio quelconque qui n'est pas makotane (c'est socdem quoi). Elle a pour fonction de vous donner un résumé approximatif à écouter. Attention, la vidéo commet fréquemment des erreurs, y compris grossières, et n'est pas donc pas une source, elle doit seulement vous inciter à aller lire l'article si il attire votre attention ! C'est un moyen pour vous de gagner du temps.
Haut de page