07/05/2016
04:07:18
Index du forum Continents Eurysie Velsna

Contacter la Grande République ici (diplomatie) - Bureau du Maître du Grand commerce et des étrangers - Page 10

Voir fiche pays Voir sur la carte
MAE

A l'intention de Son Excellence Matteo Di Grassi, Sénateur et stratège de la Grande tribune de la plaine velsnienne



Excellence,

Nous vous remercions pour la clarté de vos intentions.

Sur la situation à notre frontière sud. Tanska a réitéré à Valinor-Illirée que, et cela n'a rien de nouveau, Tanska respecte l'indépendance et l'intégrité du pays en dépit de notre opinion envers l'ancien ou le nouveau régime. Tout discours, qu'il soit loduarien ou autre, visant à justifier la présence de forces militaires étrangères comprenant entre autres des avions de combat, de l'artillerie et des blindés, sur le sol valinoréen par la prétendue menace qui pèserait sur le régime, est entièrement fallacieux et ne repose sur aucun élément.


Sur le déploiement naval et militaire du Syndicat-Unis de Zélandia. Nous avons nous aussi observé un redéploiement de la flotte navale entre Noordcroen et Nouvelle-Kitan. Les Syndicats-Unis n'étant pas partie du Traité de Bandarhan et donc du Conseil Militaire de l'OND, ils n'ont pas d'obligation de prévenir en cas de changement important de leur posture stratégique dans le monde. Néanmoins, nous savons qu'il est de tradition que la Noardlike Fleet opère un stationnement par mandat et que celui de Noordcroen était arrivé à son terme, entraînant donc le début de celui en Nouvelle-Kitan, sous protection zélandienne. Pour autant, nous sommes aussi surpris par la temporalité de ce déploiement, qui n'entame toutefois en rien la logique d'un procédé qui n'est pas nouveau.

Les informations à notre disposition provenant du Royaume de Teyla n'entraînent aucune inquiétude de notre coté sur les intentions de Saint-Alban à l'encontre du territoire, notamment du fait de sa relation avec le Royaume de Teyla. Pour les Syndicats-Unis, aucune information à notre disposition ne suggère le besoin de rehausser notre niveau de vigilance sur cette affaire. La République Fédérale de Tanska ne prévoit pas actuellement de s'immiscer dans cette affaire bilatérale en tant que telle. Nous comprenons cependant les raisons qui vous poussent à vous poser des questions sur cette affaire.

Ainsi, nous allons demander clarification auprès des Syndicats-Unis et reviendrons vers vous à ce sujet pour lever vos justes interrogations.

Mar Loftsson,
Ministre des Affaires étrangères et des Droits humains de la République Fédérale de Tanska
Drapeau


A l'attention du Sénat et Conseil Communal de Velsna



Chère membre Sénat et Conseil Communal de Velsna

Nous partageons vos inquiétudes, le changement brutal de gouvernement de Valinor et "l’aide" apportée par la Loduarie moins d’une heure après ce changement pourraient entraîner des conséquences pour le moins dommageables. L’OND, qui rassemble ses troupes, couplé à la Loduarie, qui ne reculera sûrement pas, pourrait entraîner l’un des conflits les plus destructeurs de l’Eurysie.

Concernant votre question, vous avez vu juste, nous avons effectivement accueilli des membres de l’ancien gouvernement Valinoréen et, au vu de l’état dans lequel ils sont arrivés, l’option de l’attentat pour prendre le pouvoir se confirme grandement pour nous. Étant actuellement alité et dans un coma artificiel, nous n’avons pas pu lui poser de questions, mais dès que son état se sera amélioré, nous le ferons.

Cordialement,
Axel Orndorff, Ministre des Affaires Étrangères de l'Empire Raskenois.
logo

Son Excellence Maîtresse du Grand Commerce et des étrangers de la Grande République de Velsna,
Julia Cavali,
Velsna, Grande République de Velsna.

De la part de Son Excellence ministre des Affaires Étrangères,
Pierre Lore,
11 Rue Elisabeth III,
Manticore, Royaume de Teyla.




Excellence,

Je vous contacte en ma qualité de ministre des Affaires Étrangères du Royaume de Teyla et représentant du gouvernement de Sa Majesté. Cette missive fait suite à votre missive diplomatique datant du 22 février 2015 portant sur la conclusion par écrit des discussions ayant eu lieu sous la responsabilité de l'Ambassadeur plénipotentiaire des quatre républiques Jean-Baptiste Monaldo pour la partie teylaise. En outre, c'est tout naturellement que le Royaume de Teyla ne demande pas de modification au traité que vous nous présentez, outre l'article trois qui n'est pas représentatif des discussions menées. En effet, les discussions menées par les deux parties ont abouti à l'échange d'une frégate de septième génération en échange de soixante-quinze chars de sixième génération. La notion de "dernière génération" peut être interprétée de différentes manières, d'autant plus que les industriels teylais de la défense sont sur le point de finir la conception de la prochaine génération.

Bien que le Royaume de Teyla soit dans la capacité de fournir les chars de niveau six à la Grande République dans les temps, toute livraison de soixante-quinze chars de génération supérieure, étant donné qu'aucune production n'est entamée pour l'heure, entraînera un retard important pour le Royaume de Teyla comme le dicte l'article quatre du traité présenté par vos services. Afin que le traité corresponde aux discussions, nous demandons de remplacer la notion de "dernière génération" par "sixième génération".

Je rajouterai que la disposition émise par le dernier article ne correspond pas exactement à la parole de Son Excellence Jean-Baptiste Monaldo. En outre, il a disposé que le Royaume de Teyla restera neutre si la Sérénissime République d'Achos vient à attaquer la Grande République de Velsna. À aucun instant de la discussion, il n'a été question pour le Royaume de Teyla d'accepter une position de neutralité globale. Le Royaume de Teyla restera souverain dans ses choix diplomatiques.

Dans l'attente de votre réponse, veuillez agréer, Votre Excellence, ma très haute considération.

Fait à Manticore le 24/02/2016

Pierre Lore,
Par le ministre des Affaires Étrangères.

MAE
Pierre Lore, Ministre des Affaires Étrangères.
https://i.ibb.co/ns1Z1YHx/Votre-texte-de-paragraphe-40.png

Son Excellence, Maîtresse du Grand Commerce et des étrangers,
Julia Cavalli,
Velsna, Velsna.

De la part de Son Haute Excellence le président du Collège des Affaires étrangères,
Dimitri Mikhaïlovitch Val Mevdvedev,
4, rue Baraéva, Vojvograd 473000,
Vojvograd, Morakhan.



À l'intention des représentants de la Grande République de Velsna

Chère Julia Cavalli,

En ce jour, je vous adresse cette lettre dans le but de renforcer les liens diplomatiques entre la Double Fédération des États de l'Empire de la Morakhan et des Peuples de la Morakhan (DFÉEMPM) et la Grande République de Velsna. Nos deux nations se localisent sur le continent eurysien, il serait donc judicieux d’établir ensemble des ambassades conjointes dans nos capitales respectives. C'est pourquoi, si Dieu nous y autorise, je vous invite à considérer favorablement ma proposition.

Veuillez recevoir, Madame, l’expression de ma haute considération.

Bien cordiallement,
Président du Collège des Affaires étrangères,
Dimitri Mikhaïlovitch Val Mevdvedev
Président du Collège des Affaires étrangères, Dimitri Mikhaïlovitch Val Mevdvedev
Fait le 04/03/2016
Département Fédéral des Affaires Etrangères


À l'attention de la Maîtresse du Grand commerce et des étrangers, son excellence sénatrice Julia Cavali.




Votre Excellence,

J'accuse réception de votre missive, et je plussoie très fortement à vos propos, en ce qui concerne cette "anomalie diplomatique", qui m'a été confirmée par nos service plénipotentiaires. Il s'agit là d'une situation fort délicate que je qualifierais d'incongru tant il est attendu que la première puissance d'Eurysie et la première puissance d'Aleucie soit en contact permanent et ait établi de solides et profondes relations diplomatiques. Et pourtant vos dires sont très juste car il n'en est rien. Comment cela se peut il alors que mes prédécesseurs étaient focalisés et très impliqués dans les affaires eurysiennes, nul ne le sait. Mais je soupçonne que les roubles pas si anciens que certains qualifient de guerre civile, de par la nature chaotique et crisogène de votre continent l'Eurysie n'a probablement pas jouer en la faveur d'une promotion de l'établissement de liens avec de nouvelles puissances eurysiennes. Les dernières expériences et initiatives diplomatiques afin de pacifier et de s'impliquer dans le but de participer au développement de l'Eurysie, que cela soit par la commerce, la culture, ou l'économie, se sont souvent soldés par des échecs cinglants, voir pire dans certains cas, par des conflits et des guerres. L'affaire du Prodnov et l'invasion brutale de ce dernier par le Pharois, guerre qui a précipité la chute de ce pays, principal rival de notre nation, n'a pas non plus contribué à redorer l'image déjà bien ternie de l'Eurysie. Mais je ne suis pas femme à vivre dans le passé, il faut aller de l'avant, et ne pas insulter l'avenir, comme le dit une célèbre maxime lofotène. Quoiqu'il en soit, j'ai donc l'honneur et le privilège de remédier à cette situation quelques peu cocasse en vous annonçant très officiellement répondre favorablement à votre requête plus que justifiée et légitime d'établir des ambassades permanentes sur nos territoires nationaux respectifs.

Oh mais j'en manquerais à tous mes devoirs tant la découverte de cette anomalie que vous avez judicieusement porté à ma connaissance m'a troublé, je vous transmets par la présente missive les sincères salutations de la Chancelière Fédérale Mme Gudrün Stefersøn, et se joignent à moi bien évidemment l'ensemble des membres du gouvernement des Provinces-Unies du Lofoten, le Cabinet de la Chancellerie.
Voilà qui est réglé en ce qui concerne le premier point que vous avez mentionné.

Concernant votre seconde proposition, à savoir les prémices ou l'ébauche d'un accord bilatéral de libre échange, on peut dire que vous savez à qui vous vous adressez, vous touchez là du doigt notre corde sensible, à savoir le commerce et l'économie, que notre pays s'évertue à promouvoir partout où il le peut, car nous sommes convaincus que la paix entre les peuples et les nations passent presque exclusivement par les échanges économiques et financiers, de manière à ce qu'un conflit entre puissances commerciales partenaires soit tellement défavorable économique pour les deux parties que ces dernières n'aient d'autre choix que d'y renoncer. La théorie de l'équilibre des économies interconnectées.

La baisse des droits de douane est tout à fait envisageable, ainsi que le droit de mouillage qui est par défaut accordé à tout navire commercial étranger, sauf exception (Loduarie, pays membres de l'UICS, vous voyez le genre...). Bien entendu sachez que nous sommes très attentifs à ne pas pénaliser notre propre marché intérieur et sommes très attentifs à la protection et la défense des intérêts de nos marchands de nos entreprises et de nos producteurs. Un protectionnisme raisonné, que nous ajustons et compensons vis à vis des puissances commerciales déloyales, ou des organisations internationales impérialistes.
Il faudrait certainement en discuter plus en détail il est peu aisé et confortable de discuter d'un tel accord de libre échange par missives interposées vous en conviendrez. Envisagerions vous si vous êtes disposés bien entendu à une discussion plus approfondie et de vive voix entre nos deux républiques ?

Dans l'attente de votre retour,

Amitiés sincères du peuple lofotène,

Bien cordialement



Catherine de Tocqueville-Masson


Catherine de Tocqueville-Masson,
Conseillère d'Etat Fédérale aux Affaires Etrangères
Provinces-Unies du Lofoten
Bandeau diplomatie


A l'attention de Son Excellence Julia Cavali, Maîtresse du Grand commerce et des étrangers.

Votre Excellence,

Par la présente lettre je tiens tout d'abord à vous informer de la bonne réception de votre courriel du 20 Mars 2016. Je ne peux que rejoindre vos très justes remarques sur l'ensemble des liens qui unissent nos nations. La proximité linguistique et culturelle que nous pouvons retrouver dans nos deux pays représente déjà un ciment parfaitement solide qui, j'en suis sûr, permettra la mise en place de relations diplomatiques efficaces et constructives entre Fiumiglia et Velsna.

Dès lors, votre proposition de mise en place de relations bilatérales officielles me semble être une évidence qui vient corriger un vide, un défaut, voir même une hérésie, des relations internationales. La mise en place d'un dialogue culturel, politique, diplomatique et économique entre nos deux pays si proche devrait être une priorité de nos nations respectives.

De même nous ne pouvons qu'accepter l’implantation d'ambassades entre nos deux pays en espérant profondément, comme vous l'avez si bien souligné, que cela mènera à une augmentation des dialogues et des relations entre Velsna et Fiumiglia. Toute relation diplomatique qui se respecte devant se reposer sur la reconnaissance d'intermédiaires de discussions directs.

Je tenais encore une fois à vous réinformer de la joie et de la satisfaction que représente votre courriel. Le rapprochement des peuples italophones a toujours été une cause importante de notre histoire et de notre pays, dès lors, les mesures que nous venons de valider doivent être vues comme des grands pas pris vers cet objectif nécessaire.

Cordialement et amicalement,


Maurizio Vittori,
Ministre des Affaires Étrangères
Némédie a écrit :
Ministère des affaires étrangères


Drapeau

Messieurs,

En mon nom personnel, ainsi qu’au du Roi de Némédie, et du peuple némédien, je vous adresse mes salutations respectueuses.

La Némédie, désireuse de renforcer les liens d’amitié, de dialogue et de coopération entre les deux États, vous fait savoir par la présente son souhait d’ouvrir une ambassade némédienne dans votre capitale, de même pour vous à Epidion.

Ce geste, emblématique et porteur d’avenir, constituerait une pièce maîtresse de l’édifice des relations bilatérales grâce à cette présence diplomatique on pourrait faire vivre, alimenter et étoffer les échanges culturels, scientifiques, commerciaux et politiques pour accéder à l’établissement d’un partenariat pérenne basé sur la confiance mutuelle et le respect du voisinage.

Je vous prie d’agréer, mes salutations distinguées.

Philippos Adrastos
Ministre des Affaires Étrangères de la Némédie

Fait à Epidion, ce jour, en l’an 2016

RÉPUBLIQUE DU KALLÉON




Message de Monsieur Javier Alcántara, ministre des Affaires extérieures de la République du Kalléon



À l’attention de Madame Julia Cavalli, maître du Grand commerce et des Étrangers de la Grande République de Velsna.


Le 21 avril 2016 à Déméklésia
Madame,
En ma qualité de ministre des Affaires extérieures, je vous adresse au nom de la République du Kalléon ce message de paix et d’amitié.
Je vous écris ce jour afin de développer les relations diplomatiques entre nos deux États. La Chancelière d’État a proposé au Kalléon une rupture de sa politique étrangère en sortant d’une position isolationniste. Je vous contacte aujourd’hui en vue de développer les relations entre nos deux pays.
À ce titre, et après en avoir délibéré avec la Chancelière d’État et la présidente du Gouvernement, je vous propose solennellement que nos deux États puissent disposer d’une ambassade dans chacun de nos pays.
Il me semble que l’ouverture de ces ambassades serait extrêmement bénéfique à nos deux États. Bien sûr, une telle démarche ne peut que viser l’établissement de relations diplomatiques les plus amicales et ne peut intervenir que dans le respect de la souveraineté de nos États respectifs.
Je reste à votre entière disposition afin de poursuivre cet échange.
Je vous prie Madame, d’agréer les sincères salutations du Gouvernement kalléonien.


Monsieur Javier Alcántara, ministre des Affaires extérieures de la République du Kalléon
RÉPUBLIQUE DU KALLÉON




Message de Monsieur Javier Alcántara, ministre des Affaires extérieures de la République du Kalléon



À l’attention de Madame Julia Cavalli, maître du Grand commerce et des Étrangers de la Grande République de Velsna.


Le 22 avril 2016 à Déméklésia
Madame,
Au nom du Gouvernement de la République du Kalléon, je vous remercie solennellement pour votre acceptation. La Chancelière d'État a nommé Monsieur Titus Strauss, ambassadeur du Kalléon en Grande République de Velsna. La Chancelière d'État se fera par ailleurs un plaisir de recevoir votre délégation afin de l'accréditer, comme le prévoit notre loi. Cette cérémonie sera d'ailleurs pour moi l'occasion de rencontrer votre représentation.
Le Kalléon partage par ailleurs votre vision des relations internationales. Pour nous aussi, le respect des souverainetés et des autonomies nationales est un point sur lequel nous ne pouvons pas être négligents. L'ouverture réciproque d'ambassades nous permettra ainsi d'échanger directement sur les sujets cruciaux de notre région.
Je salue votre proposition d'accords entre nos deux États. Si la Constitution kalléonienne proscrit la signature d'accords militaires ou stratégiques en temps de paix avec d'autres États, nous souhaitons pour autant pouvoir approfondir nos relations.
À ce titre, le Gouvernement kalloénien vous propose d'entamer des discussions pour établir un premier accord relatif à l'ouverture d'échanges universitaires entre nos deux pays.
Je reste à votre entière disposition afin de poursuivre cet échange.
Je vous prie Madame, d’agréer les sincères salutations du Gouvernement kalléonien.


Monsieur Javier Alcántara, ministre des Affaires extérieures de la République du Kalléon
Némédie a écrit :
Ministère des affaires étrangères


Drapeau

Excellence,

Nous avons bien reçu votre réponse favorable à la proposition d’établissement d’une ambassade commune et selon l’usage vous voudrez bien nous en agréer les remerciements. Cette initiative est pour nous le signe d’une confiance, d’une ouverture, que nous vous savons gré de saluer. Nous vous prions d’être assurée que la Némédie envisage dès lors l’envoi d’un ambassadeur en votre capitale, en vue de rendre pleinement réciproque cet engagement.

Nous respectons avec élan votre attachement à cette sphère de l’hélénisme, cette civilisation et ses deux mille ans d’héritage commun. Nous pensons que nous avons une histoire commune, fondée sur ce legs de la sagesse politique, de la beauté et de la hauteur de la pensée grecque, que les peuples qui aspirent à une entente élevée, à une considération renouvelée des énergies du langage, de la pensée et d’un réalisme du sol doivent aujourd’hui porter dans la conscience et le cœur.

C’est donc avec une énorme disposition que nous nous tenons prêts à accueillir vos propositions, commerciales, diplomatiques ou militaires.

Je vous prie d’agréer, mes salutations distinguées.

Philippos Adrastos
Ministre des Affaires Étrangères de la Némédie

Fait à Epidion, ce jour, en l’an 2016

Haut de page