07/06/2013
09:36:03
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[EVENEMENT PERIODIQUE] Salón de la Aeronáutica Militar de Aserjuco (SAMA)

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Bannière du salon de l'aéronautique militaire d'Aserjuco.

Le Salón de la Aeronáutica Militar de Aserjuco (SAMA 2005), pilier des meetings aériens et salons de l'aéronautique mondiale.


F-1000 au salon de l'aéronautique militaire d'Aserjuco.
Aux côtés de plusieurs aéronefs étrangers, kah-tanais, francisquiens et carnavaliens, le Fighter-1000 et ses versions modernisées se fait l'une des stars incontestée de ce salon de l’aéronautique.


Si les démonstrations filmées n’ont jamais empêché les ventes d’armement vers des états étrangers, le rayonnement publicitaire fait autour de cet armement reposait pour partie sur les démonstrations de force alguarenas à travers le monde, à l’instar de la guerre civile varanyenne. Conscients que la notoriété de leurs produits ne pouvait uniquement reposer sur des évènements aussi tragiques que la mort et la destruction par delà le monde, les principaux industriels de l’armement alguarenos ont entrepris l’organisation d’un salon de l’aéronautique pour changer la vision des armements développés par les sociétés Benca et Marbone.

De la sorte, les industriels de l’armement s’offrent un cadre aseptisé, pour présenter sans censure leurs équipements au grand public. SAMA 2005 vient donc signer la rencontre de l’aéronautique militaire avec le grand public, multipliant les nouveautés technologiques créer un véritable buzz autour de l’évènement. En plus des spectateurs qui paient leur entrée et contribuent à faire de cette date un évènement économique, de nombreux équipages et officiels étrangers seront également présents, offrant définitivement une dimension politique à cet événement.

La rencontre autour des aéronefs vient effectivement alimenter le sentiment de fierté national susceptible de fédérer une nation. Par ailleurs, la présence de nations aux politiques étrangères particulièrement clivantes, notamment le Grand Kah et l’Empire francisquien, vient accroître l’engouement des populations qui y voient là une occasion d’assouvir leurs rivalités sans entretenir de conflits chauds. Le constat serait particulièrement flagrant avec cette première édition 2005 où l’aviation alguarena aura l’occasion d’entretenir des simulations aériennes face aux pilotes kah-tanais et francisquiens, amenés à accomplir différentes escarmouches meurtrières dans le ciel kotioïte sur le mois de mars.

En effet, même si les appareils sont particulièrement scrutés par les spectateurs et officiels internationaux invités, la venue de patrouilles internationales n’est pas anodine elle non plus et nourrit les émotions du public lors des simulations aériennes. De nouveau positionnées sur un statu quo après les affrontements à Kotios, les armées des deux pays se retrouveront face à face une nouvelle fois, dans cette démonstration de talents et de technologies.

Pour viser le plus large public possible et un maximum d’objectifs nécessaire au développement des industriels de l’armement, les organisateurs de l’évènement ont distingué le tarif d’entrée “tout public” avec le tarif préférentiel applicable aux étudiants et apprentis ingénieurs, de sorte à favoriser la rencontre entre futurs demandeurs d’emplois et employeurs. Dès lors, le SAMA apparaît comme une manifestation à mi-chemin entre la publicité commerciale des produits aéronautiques mais également la publicité de ses constructeurs en matière d’attractivité RH.
PRÉSENTATION DES APPAREILS


Le Fighter 1000, le premier appareil supersonique de l’aviation militaire alguarena.

Pilier de la défense aérienne fédérale ainsi que des manœuvres extérieures pour restaurer une suprématie aérienne sur un théâtre d'opérations, le Fighter 1000 est de tous les fronts depuis maintenant 30 ans cette année. A l’heure où la polyvalence des aéronefs peine à s'installer dans l’armée de l’air, fédérale ou ailleurs, les modernisations successives de l’appareil continuent de faire du Fighter 1000 le chasseur le plus performant au monde.

“Entendons-nous bien et malgré des actions de modernisation récurrentes, le Fighter-1000 ne parvient pas à se faire un multirôle d’exception dans sa modélisation actuelle” explique Henrietta Ulascaraz, consultante en aéronautique pour le gouvernement fédéral. “Il peut être développé dans des versions chasseur-bombardier à l’instar du F-1000E, toutefois un appareil modifié pour occuper de nouvelles missions secondaires sera toujours moins bien préparé que l’appareil pensé pour accomplir simultanément ces missions de chasse et d’appui au sol.”

F-1000 alguareno
F-1000 (clic gauche pour agrandir)

F-1000
Type: Avion de chasse
Armement principal: 1 canon de 20 mm
Armement secondaire: 7 260 kg de charges diverses (missiles, réservoirs, nacelle de brouillage radar…)
Équipage: 1 personne
Vitesse maximale: 2 305 km/h
Masse: 13,7 tonnes
Autonomie: 2h30 hors réservoirs supplémentaires
Plafond : 18 050 m
Guidage : selon armement

Le Saphir A-1 francisquien, un avion de chasse rapide et dédié au combat rapproché.

Appareil le plus répandu au parc logistique de l’aviation francisquienne, le Saphir A-1 compte parmi les appareils les plus rapides de ce salon de l’aéronautique militaire. Mais cette rapidité se paie sur la capacité d’emport de l’aéronef, qui ne peut accueillir “que” 6 000 kg de charges et de bombes pour couvrir ses opérations. Ajoutez à cela le poids d’un second canon de 30 mm là où ses homologues alguarenos n’en possèdent qu’un de 20 mm, le Saphir A-1 est par conséquent un appareil avec beaucoup de répondant.

Une puissance de feu et une vitesse supérieures qui se paient sur l’autonomie de vol et la charge maximale supportable de l’appareil car pour voler vite, il faut voler léger.

Saphir A-1 francisquien
Saphir A-1(clic gauche pour agrandir)


Saphir A-1
Type: Avion de chasse
Armement principal: 2 canons de 30 mm
Armement secondaire: 6 300 kg de charges diverses (missiles, réservoirs, nacelle de brouillage radar…)
Équipage: 1 personne
Vitesse maximale: 2 340 km/h
Masse: 13,8 tonnes
Autonomie: 1h30 hors réservoirs supplémentaires
Plafond : 18 000 m
Guidage : selon armement

Le Gunrensen 2002 Kah-tanais, un aéronef léger facile à industrialiser.

L’importance du parc aéronautique militaire kah-tanais traduit la volonté du gouvernement à vouloir déployer un GRS-2002 de production rapide. Facile d’assemblage et d’une masse totale parmi les plus légères au monde (13,2 tonnes), le Gunrensen 2002 est un appareil conçu pour noyer l’aviation ennemie sous une masse, des pratiques notamment exprimées lors de l’incursion francisquienne à Kotios. Avec une vitesse là encore de 2 340 km/h, le GRS 2002 n’a rien à envier à ses homologues étrangers, bien au contraire puisque le plafond maximal qui lui est autorisé atteint les 20 000 mètres d’altitude.

Cependant, il est limité dans sa capacité d’emport d’armement, lui conférant une autonomie au combat limité, comparativement à des aéronefs pouvant embarquer plus de missiles ainsi que des dispositifs de contre-mesures.
GRS-2002 Kah-tanais
GRS-2002 (clic gauche pour agrandir)

GRS-2002
Type: Avion de chasse
Armement principal: 1 canon de 23 mm
Armement secondaire: 4 missiles, pas d’autres charges emportables.
Équipage: 1 personne
Vitesse maximale: 2 340 km/h
Masse: 13,8 tonnes
Autonomie: 1h30 hors réservoirs supplémentaires
Plafond : 18 000 m
Guidage : selon armement

La Mascarade II, un avion low-cost dont le nom même traduit une certaine médiocrité de l’appareil.

Sans prétention, la petite Principauté de Carnavale s’est donnée les moyens de développer une aviation légère, qui s’est concrétisée par l’industrialisation d’un avion de chasse tourné vers la défense aérienne. Avec les moyens qui sont les siens, l’appareil développé par les industries carnavaloises présente ses limites de manière notable.

Tout d’abord, la taille et le poids de l’aéronef qui en font l’un des poids plume de l’aviation mondiale, avec 8,70 mètres d’envergure (contre 11,70 mètres pour le F-1000 alguareno) et une masse n’excédant pas les 11 tonnes. Sur ses 5 pylônes d’emport, la Mascar II ne peut embarquer que 4 500 kg d’équipements et d’armements divers (soit à minima 30% de moins que chaque aéronef concurrent). L’allégement de l’appareil n’est pas non plus en mesure de lui offrir une vitesse maximale digne de ses pairs puisque l’appareil n’a pas vocation à dépasser les 1 700 km/h ainsi qu’un plafond maximal de 13 000 mètres.

MASCAR II carnavalois.
MASCAR II (clic gauche pour agrandir)


MASCAR II
Type: Avion de chasse
Armement principal: 2 canons de 30 mm
Armement secondaire: 4 500 kg de charges diverses (missiles, réservoirs, nacelle de brouillage radar…).
Équipage: 1 personne
Vitesse maximale: 1 700 km/h
Masse: 10,9 tonnes
Autonomie: 35 minutes hors réservoirs supplémentaires
Plafond : 12 900 m
Guidage : selon armement

SIMULATIONS DE COMBATS AÉRIENS A VENIR
COMPTE-RENDU DES SIMULATIONS


Stand Benca - Salón de la Aeronáutica Militar de Aserjuco 2005
Un des avions de figuration lors des simulations aériennes du Salón de la Aeronáutica Militar de Aserjuco 2005.


Escadrilles déployées par nation
Escadrilles déployées par nation
Bonus aléatoires selon loi normale
Bonus aléatoires déterminés selon loi normale

ESCADRILLES CARNAVALOISE ET FRANCISQUIENNE, RÉUSSITE CARNAVALOISE

Les simulations de combats aériens débutent sur la rencontre des escadrilles carnavaloises et francisquiennes. Sitôt décollées, ces dernières initient des formations offensives pour mutuellement (et amicalement) s’engager dans le ciel alguareno. Malgré des équipements aux prouesses techniques relativement similaires, un écart se creuse subtilement par l’expérience affichée des pilotes carnavalois. A l’issue de la simulation, ceux-ci ont neutralisé l'entièreté des appareils francisquiens, enregistrant cependant deux “pertes” du côté de leurs appareils.

Résultat de la simulation : l’escadrille francisquienne est intégralement neutralisée, l’escadrille carnavaloise perd néanmoins et théoriquement deux appareils lors des simulations.

Le bonus aléatoire obtenu par l’escadrille carnavaloise se traduit inRP par l’expérience de ses pilotes, face aux manœuvres adverses.

ESCADRILLES CARNAVALOISE ET KAH-TANAISE, RÉUSSITE CARNAVALOISE

L’expérience des pilotes carnavalois semble rester significative lors de leur simulation face aux pilotes kah-tanais. Pourtant éprouvés lors de la bataille aérienne de Kotios, les pilotes kah-tanais ne parviennent pas à impressionner leurs rivaux d’un jour. Pire encore, ils se trouveront même en difficulté lorsque leurs adversaires leur imposeront un vol à basse altitude autour des reliefs alguarenos.

Résultat de la simulation : Deux appareils kah-tanais sont neutralisés alors qu’un seul aéronef carnavalois apparaît éliminé sur les écrans géants.

Le bonus aléatoire traduit pour le Kah, une mauvaise maîtrise des conditions d’engagement en basse altitude, par les pilotes affectés sur cette représentation.

ESCADRILLES CARNAVALOISE ET ALGUARENA, RÉUSSITE ALGUARENA

Face aux prouesses technologiques, il arrive que l’expérience des pilotes ne suffise plus. Plus malléables et plus rapides que leurs adversaires carnavalois embarqués sur des Mascar II, les pilotes alguarenos des Fighter-1000 marquent leur différence en réussissant la plupart de leurs manoeuvres de dégagement mais aussi celles d’interception.

Résultat de la simulation : Un appareil alguareno est considéré détruit, là où l’ensemble des trois aéronefs carnavalois réputé neutralisé.

Le bonus aléatoire, largement favorable aux pilotes carnavalois, traduit une nouvelle fois leur expérience en vol.

ESCADRILLES FRANCISQUIENNE ET KAH-TANAISE, RÉUSSITE KAH-TANAISE
La simulation de combat aérien entre les forces francisquiennes et kah-tanaises souffre d’une audience sensiblement plus importante que la plupart des simulations. Inéluctablement associée aux affrontements militaires passés des deux armées, https://geokratos.com/?action=viewTopic&t=985&p=0#m4844 la simulation offre une nouvelle victoire (théorique) à l’aviation kah-tanaise.

Résultat de la simulation : Un appareil kah-tanais est réputé détruit tandis que l’escadrille complète francisquienne se veut détruite par les manoeuvres offensives des paltoterrans.

Le bonus aléatoire, très favorable au Kah, peut exprimer inRP la préparation psychologique des pilotes kah-tanais, déjà réputés pour être meilleurs que l’aviation francisquienne en sortie d’affrontements à Kotios, en mars 2005.

ESCADRILLES FRANCISQUIENNE ET ALGUARENA, RÉUSSITE ALGUARENA

Les démonstrations aériennes se poursuivent sur la rencontre des aéronefs francisquiens et alguarenos. Malgré un nombre d’appareils identique de parts et d’autres, l’escadrille alguarena domine très largement les exercices dans le ciel et rythme l’issue de la simulation par des manœuvres maîtrisées.

Résultat de la simulation : Aucun appareil alguareno n’est neutralisé là où toute l’escadrille francisquienne parvient à l’être.

Le bonus aléatoire, défavorable aux deux partis, exprime des conditions de vol difficiles et plus ou moins maîtrisées par chaque équipage.

ESCADRILLES KAH-TANAISE ET ALGUARENA, RÉUSSITE ALGUARENA

Les simulations aériennes se terminent sur la rencontre de deux forces aériennes déjà connues lors de théâtres d’opération, à Kotios ou encore au Varanya. Bien que les conditions de vol restent encore très défavorables sur le plan météorologique, les pilotes alguarenos réussissent l’interception et la destruction (théorique) de l’escadrille kah-tanaise, enregistrant toutefois la perte d’un appareil lors de cette opération.

Résultat de la simulation : Un appareil alguareno est considéré détruit là où les trois appareils kah-tanais apparaissent également parmi les aéronefs neutralisés.

Le bonus aléatoire favorable au Kah, représente la maîtrise de l’appareil en vol, malgré des conditions météorologiques exécrables.

RESULTATS FINAUX

Avions perdus en simulation :
CARNAVAL / 6 aéronefs
ELF / 9 aéronefs
KAH / 6 aéronefs
ALGUARENA / 2 aéronefs

Victoire aérienne acquise :
CARNAVAL / 2 simulations remportées sur 3
ELF / 0 simulation remportée sur 3
KAH / 1 simulation remportée sur 3
ALGUARENA / 3 simulations remportées sur 3

Au terme des simulations de combat aérien, et considérant à la fois le nombre d’appareils perdus et les simulations remportées, le classement qui suit peut être défini:
1er ALGUARENA
2e CARNAVAL
3e KAH
4e EMPIRE LATIN FRANCISQUIEN

Chaque état participant sera invité à des ventes flash organisées en 2005 et bénéficiera d'une promotion de -50% sur l'ensemble du catalogue Benca pour toute commande émise sur l'année 2005 exclusivement.
Industries Obéron

Industroes Obéron


Les Industries Obéron sont ravies d'avoir pu participer au Salón de la Aeronáutica Militar de Aserjuco et y faire la démonstration du savoir-faire carnavalais en matière de combat aérien. Chaque jour nos départements Recherche & Développement travaillent à réaliser les avions du futur, capables d'assurer à VOTRE pays une défense aérienne sans équivalent.

Parce que les simulations en ont fait la démonstration : la technique n'est rien sans le savoir faire. L'Université Princière de Vol Militaire (UPVM) est heureux de vous annoncer sa collaboration avec les laboratoires Dalyoha afin de rendre vos pilotes toujours meilleurs. Entrainement sur simulateur, boost chimique des réflexes, modification plastique du cortex cérébral par stimulation électrique, thérapie subliminal de réaction aux principaux dangers, les Industries Obéron et les laboratoires Dalyoha sont heureux d'annoncer leur programme de recherche commun qui offrira à la Principauté de Carnavale et ses partenaires a sécurité aérienne ultime.

Industries Obéron
Laboratoires Dalyoha

La qualité est le prix de votre sécurité.
Nuestro Dario

7 avril 2009 - Les ventes de billets d'avions en hausse pour le salon de l'aéronautique militaire d’Aserjuco.


Banderoles et flyers pour promouvoir le salon de l'aéronautique militaire d'Aserjuco.
Banderole principale et institutionnelle pour la promotion du salon de l'aéronautique militaire.



Faisant suite à la réouverture d’une édition spéciale pour le salon de l’aéronatuqiue d’Aserjuco, les compagnies aériennes alguarenas constatent une nette hausse des ventes de billets d’avions. Les éditions précédentes avaient connu un certain succès, eu égard à la participation de nombreuses patrouilles aériennes étrangères. Une performance qui ne déstabilise pas pour autant les organisateurs de la future édition, conscients de l’exploit à accomplir pour surclasser une fréquentation que beaucoup pensaient déjà à son apogée. Néanmoins, les compagnies aériennes sont formelles, les réservations de billets d’avions relatives au week-end du salon de l'aéronautique militaire d’Aserjuco, ont considérablement augmenté.

Ce salon, événement public d'exception au sein de l’archipel, avait pour habitude de réunir plus de cent-mille visiteurs répartis sur un week-end. Les organisateurs peuvent aujourd’hui et légitimement s’attendre au double, en ce qui concerne l’édition à venir. “Les éditions spéciales, qui font appels à la participation de plusieurs patrouilles aériennes étrangères, mises en concurrence au sein de simulation de combat ou simplement comparées sur papier, attirent les foules…” confie Luciana Garzateira, directrice de la communication pour l'événement.
Il faut dire qu’en matière d'aéronautique, la Fédération d’Alguarena est une référence car c’est, de source scientifique, la nation disposant de la meilleure R&D en matière d'aéronautique, cultivant un écart notable sur quiconque. “Les avions de combat appartenant à ce que l’on appelle vulgairement la dernière génération, sont alguarenos” tranche sommairement le chef de l’état-major fédéral alguareno, le Général d’armée Caïtano Lossada. “Le niveau de technologie actuellement investi dans nos chasseurs-intercepteurs, n’a aucun égal dans les parcs militaires internationaux. Nous produisons les meilleurs chasseurs au monde…”
Une notoriété réelle, qui explique pour partie l’engouement autour de cet évènement ciblant pourtant un public assez spécifique. “Tout le monde aime la performance et la réussite technologique. Il ne faut pas être astronaute ou pilote de chasse pour visiter notre salon, seulement prêts à rêver…”

Référence internationale en matière de manœuvres aériennes et d’exposition des industriels de l'aéronautique, ce salon organisé du 12 au 14 juin 2009 sera à n’en pas douter, l’un des rendez-vous phares de l’année au sein du calendrier des évènements de la Fédération d’Alguarena. Un rendez-vous évènementiel qui devient dès lors très prisé, autant par les visiteurs que par les exposants, soucieux de toucher un large public de personnalités politiques, d’Alguarena ou d’ailleurs… Les sociétés Benca et Marbone, sont déjà en concurrence, pour identifier les meilleurs emplacements et affûter les meilleures banderoles ou kakemonos.

“Nous sommes honorés de pouvoir aujourd’hui compter parmi les rares industriels mondiaux à concentrer un panel de technologies au sein de nos produits, rendant ces derniers les plus performants au monde, à l’instar de notre chasseur-intercepteur F-X1000 dont les prouesses techniques ne trouvent pas d’équivalent dans les armées de l‘air mondiales, y compris aumérinoise, pharoise ou encore kah-tanaise s’il était permis de penser que ces dernières bénéficiaient d’un certain positionnement sur le marché aéronautique.

La révélation au grand public du F-X1000, avion de chasse de dernière génération tenu jusqu’ici secret, contribue à marquer l’évènement d’un caractère solennel, tant le mystère sur les avions de chasse de dernière génération alguarenos était restés entiers. On se souvient tous de la bataille aérienne qui opposa l’aviation kah-tanaise à celle alguarena en février 2007, une période qui, marquée d’une pierre blanche, avait fait honneur à ces hommes et ces femmes, pilotes ou chercheurs, qui ont oeuvré pour la performance de ces appareils défenseurs du territoire alguareno.

Héros des populations de la Fédération, les pilotes et les appareils engagés ce jour-là bénéficient maintenant d’une notoriété intarissable auprès du grand public et la mise en lumière de nouveaux modèles de combat aériens alguarenos auprès du grand public, est dès lors suivi avec le plus grand intérêt. Un peu moins mystérieux que le récent avion de chasse F-X1000, le chasseur-bombardier multirôle F-2000 UG "Cometa" sera également de la fête. Précédemment engagé contre l’aviation kah-tanaise durant la guerre d'indépendance pontarbelloise, cet appareil saura capter l’attention par les nombreux travaux de modernisation dont il a pu bénéficier.

Ainsi et les organisateurs du salon sont formels, n’allez surtout pas penser que les vedettes de cet évènement seront de chairs et d’os, indépendamment des nombreuses personnalités politiques invitées pour l’occasion. Cependant et parmi la longue liste des invités, il est permis d’identifier les principales personnalités politiques de l'Organisation des Nations Commerçantes, jashuriennes, lofotenoises et assurément novigradiennes, qui ont déjà exprimé un précédent intérêt tout particulier, pour les modèles d’aéronefs alguarenos. “Le Novigrad est déjà un partenaire privilégié de l’industrie aéronautique militaire d’Alguarena, l’essentiel de sa composante aérienne, en tout cas sous ses modèles les plus évolués, sont de conception alguarena…”

Le salon de l'aéronautique est en effet l’occasion d’apprécier la manoeuvrabilité et l’utilisation en vol de ces appareils hors de prix, que les gouvernements achètent (ou pas) avec une certaine frilosité… Le recours à des manœuvres aériennes et des simulations de combat, met à l’honneur le mérite technologique et technique des aviateurs à bord, pour permettre à chaque acheteur international, de se positionner sous le meilleur angle qualité-prix. La négociation des ventes est une chose mais de vous à moi, celle-ci se fait généralement en coulisse, à tête reposée et en dehors de ces manifestations publicitaires. Ces salons ont pour vocation première de permettre le développement de l’image de marque autour de ces appareils et de leurs constructeurs, de sorte à proposer des tarifs susceptibles d'entraîner les meilleurs bénéfices possibles pour l’industriel qui s’y est investi à différents égards.

En marge des bénéfices issus des ventes interétatiques et autres gros contrats d’armements tournés vers l’international, l’entrée du salon mêlé au coût de location des stands est une manne d’argent supplémentaire pour les organisateurs, pas nécessairement affiliés au monde de l’aéronautique.
Logo de l'agence de presse fédérale.

8 mai 2009 - L’emballement autour du salon de l’aéronautique militaire, la promesse d’une réussite avant l’heure pour les industriels alguarenos.


Salon de l'aéronautique militaire d'Aserjuco, un rendez-vous prisé des particuliers, mais aussi des professionnels et gouvernements désireux d'en acquérir.
En juin 2009, une nouvelle édition spéciale du salon de l’aéronautique militaire aura lieu à Aserjuco et l’engouement affiché par le grand public et les demandes de participation à l’international promettent une affluence record et la signature de plusieurs contrats d’armements.

Organisé chaque année, le salon de l‘aéronautique militaire d’Aserjuco connaît toutefois quelques éditions spéciales, qui mettent en exergue le talent des pilotes des armées de l’air du monde entier. Grands vainqueurs de l’édition 2005, les pilotes alguarenos sont une nouvelle fois attendus par leurs soutiens populaires et inconditionnels, lors des nouvelles simulations de combat à venir.

Possiblement opposés aux patrouilles cantaises, youslèves, aumérinosies et même kah-tanaises si le gouvernement fédéral consentait à autoriser une entrée de l’espace aérien alguareno par ces derniers, les pilotes de l’armée de l’air fédérale d’Alguarena demeurent encore et toujours les grands favoris de ce spectacle à venir. Affectés à une unité opérationnelle de prestige, “el primero escuadrón de la Fuerza Aera Federal (FAF)”, les pilotes qui la composent sont encore rattachés à une escadrille d’élite “Somala” qui est en fait le diminutif de “sombras aladas” (littéralement les ombres ailées).

Les pilotes de l’escadrille Somala peuvent se targuer d’entretenir une réputation d’unité d’élite, sans égale mesure à l’international compte tenu d’expériences éprouvées, tantôt en simulations comme sur la dernière édition spéciale du salon, ou bien lors d’opérations de combat comme lors de la bataille aérienne qui les opposa aux forces aériennes kah-tanaises, aux opérations d’appui aérien aux forces indépendantistes pontarbelloises exposées à l’invasion terrestres de milliers de miliciens kah-tanaises armés sous les bannières des brigades solaires, puis enfin aux opérations de soutien à la révolution varanyenne, soit sous forme d’appuis air-sol ou de vols dédiés à la défense antiaérienne, ce qui les opposa militairement aux forces aériennes albelaises.

Des forces militaires aériennes mondiales reconnues, aucune ne peut se prévaloir d’avoir effectué autant d’opérations extérieures, ni d'entraînements parmi les plus réalistes possibles. Dans ces conditions, beaucoup sont aujourd’hui les journalistes ou les experts qui identifieraient volontiers le défi sportif de l’escadrille alguarena, comme une formalité, un acquis. Mais c’est pourtant sans compter les évolutions technologiques qui viennent inlassablement challenger la compétence humaine qui leur fait face. “Aujourd’hui, nos avions de combat et ceux de la concurrence, se modernisent. La technologie embarquée est maintenant à même de faciliter le verrouillage d’une cible, sa localisation et son identification, la résistance et la vitesse de l’appareil, si bien que les techniques de combat mises en place lors des duels aériens, pour répondre à la manoeuvrabilité de tel ou tel appareil, doivent perpétuellement évoluer.

Considérant l’écart technologique grandissant entre les nations, il est honnête de dire qu’à présent, avoir de bons pilotes n’est plus un acte de suffisance, il faut désormais s’attacher à acquérir les meilleurs appareils…” nous indique Ulla Quezchua, scientifique au centre de recherche spatial et aéronautique des Industries Marbone, à Aserjuco.

Ecusson militaire de la Première escadrille de la FAF "SOMALA".
Écusson de l'escadrille SOMALA - 1er escadron de la Force Aérienne Fédérale (FAF) d'Alguarena.


Considérant ces faits, l’escadrille Somala devrait à minima remporter la bataille de l’applaudimètre, auprès d’un public conquis. Mais le salon de l‘aéronautique militaire n’a pas pour unique vocation à satisfaire les lubies guerrières des membres de la société civile, il est aussi l’opportunité toute désignée, pour exposer de nouveaux modèles d’aéronefs, de combat ou non, afin qu’ils viennent conquérir le coeur des nombreux acheteurs institutionnels présents ce jour-là.

Et pour survoler l’archipel d’Alguarena, l’escadrille Somala pourra profiter de la disponibilité d’une demi-dizaine de F-X1000, des aéronefs de combat assez récents dans le dispositif de la défense antiaérienne alguarena mais qui, avec les meilleurs pilotes du monde aux commandes, ne manqueront de révéler chacun de leurs atouts pour envisager une prochaine intégration dans la dotation actuelle.
Bannière du salon de l'aéronautique militaire d'Aserjuco.

6 juin 2009 - Dernière ligne droit pour le salon de l'aéronautique militaire d'Aserjuco sous sa 2e édition spéciale 2009, les organisateurs affirment ne rien avoir laissé au hasard et attendent patiemment les premiers visiteurs dès le vendredi 12 juin.

Avion de reconnaissance militaire des années 50, en vol de démosntration.
Si les salons de l'aéronautique militaire ont connu leur véritable "envol" dans les années 1980, pour ce qui concerne la Fédération d'Alguarena, les démosntrations aériennes existaient bien avant cette date.


Limité à sa seconde édition spéciale seulement, après 5 ans et autant d’édition, le salon de l’aéronautique militaire d’Aserjuco s’est malgré tout et durablement fait un nom dans l’évènementiel mondial de ce secteur. Annulée ou repoussée les quatre années précédentes, l’édition spéciale du salon de l’aéronautique militaire d’Aserjuco (SAMA) aura bien lieu en 2009 et pour la seconde fois uniquement. Une rareté, qui nourrit l’enthousiasme autour de cet évènement que beaucoup décrivent comme apparaissant hors norme, d’exception. Une manifestation à mi-chemin entre l’exposition commerciale et la compétition sportive, qui fait la joie et le bonheur des visiteurs, attendus en grand nombre le week-end prochain, dans la capitale fédérale.

Un fréquentation importante, largement influencée par la capacité des organisateurs de l'évènement à s’être assurés de la participation de nombreuses nations. En tout et pour tout, ce sont effectivement pas moins de sept patrouilles de sept nationalités différentes, qui vont s’affronter au travers de simulation de combat. Un record absolu puisqu’il s’agirait presque du double que lors de l’édition spéciale de 2005, où seulement quatre nations étaient représentées.

En seulement cinq ans, les observateurs du secteur de l’aéronautique tombent d’accord pour considérer ce salon, parmi les évènements incontournables en la matière, à l’échelle mondiale. Une réussite sincère, que les industriels de l’armement n’ont pas manqué d’accompagner, avec des offres promotionnelles des plus attractives et uniquement disponibles au titre de cette manifestation, de quoi définitivement convaincre les institutions et les administrations intéressées de participer.

Mais avant le salon de l’aéronautique militaire on faisait comment?

Les premières démonstrations militaires aériennes apparaissent dans les années 1980, la présentation au grand public de matériels militaires avant cette date ne faisant l’objet d’aucun intérêt, selon les autorités de l'époque. En effet, avant les années 1980, très peu de nations disposaient d’aéronefs militaires, rendant ce bien rare et précieux au combat. Ce qui veut que la commercialisation de tels appareils était perçue comme au mieux fortement déconseillée, au pire formellement interdite. Dans les faits, les besoins en aéronefs militaires de la Fédération d’Alguarena étaient tels, qu’aucune production d’aéronefs de combat n’était disponible pour servir les exportations.

“Avant les années 1980, le secteur de l’aéronautique marchait encore à tâtons sur le développement et la production de ses appareils, les accidents étaient nombreux. La présentation de telles technologies au grand public, alors même que leur niveau de sécurité restait très instable, représentait un danger inutile et un risque permanent au développement d’une image de marque pour notre aviation. L’absence d’exportation sur ce type de marchandises rendait également dépourvu de tout intérêt, la nécessité de communiquer sur les caractéristiques et les aptitudes de chaque appareil présent au sein des forces fédérales aériennes d’Alguarena. Voilà pourquoi avant les années 1980, aucun salon de l’aéronautique n’existait, au sein de la Fédération d’Alguarena en tout cas…” explique l’un des organisateurs du SAMA 2009. Mais depuis cette date, il faut reconnaître que les choses ont grandement changé. L’industrie pour commencer, qui s’est développée et a mis en place différentes actions renforçant la productivité des lignes. Les fameuses machines-outils, capables d’abattre le travail de plusieurs ouvriers en un temps record, se sont popularisées et ont intégré les sites de production en aéronautique. La production s’en est trouvée fortement améliorée et les industriels du secteur de l’aéronautique ont commencé à générer du stock, les obligeant à sonder des pistes commerciales nouvelles pour envisager leur exportation. Car il faut dire que depuis quelques années, l’armée de l’air fédérale avait fait le plein d’aéronefs et ne justifiait pas de besoins aussi importants que précédemment. Tout cela venait contribuer à rendre les secteurs de l'aéronautique plus producteurs, mais les institutions fédérales alguarenas moins demandeuses. De cet écart entre l’offre et la demande est né le premier salon de l’aéronautique militaire, en 1982.

Depuis, ce rendez-vous de passionnés a connu différents évènements et autres manifestations concurrentiels, le SAMA (Salón de la Aeronáutica Militar de Aserjuco) étant l’un d’entre eux. Débuté en 2005, le SAMA a peu à peu fait le jeu de la mondialisation, se faisant la vitrine des expertises et des technologies d’un domaine en plein boom. La globalisation du monde a généré de nouvelles demandes et attentes commerciales de la part des États et puissances étrangères, à l’instar de la République Fédérale du Novigrad ou encore du Royaume de Svobansky-Normanie.

“Les années 2000 ont été très révélatrices de la mondialisation, avec un pic record des exportations, sur le domaine des ventes internationales d’armements notamment. Une augmentation significative en partie liée à la recrudescence de l’interventionnisme et des foyers de tensions à l’international. Les puissances étrangères veulent acquérir une force de projection et la composante aérienne, en fait clairement partie…”

Disposant de modèles réputés et avancés, l’industrie de l’aéronautique alguarena a naturellement profité du développement de ces salons, pouvant également se reposer sur la démonstration en conditions réelles, des aptitudes techniques de certains appareils, compte tenu de l’implication grandissante de la Fédération d’Alguarena, sur la scène internationale.
Cet interventionnisme a nécessairement fait le jeu des industries de l’aéronautique militaire, qui ont eu d’une part à remplacer les pertes matérielles des forces armées de l’air fédérales, mais ont également eu à proposer des modèles novateurs, destinés à parfaire les premières innovations technologiques sur ce registre et qui auraient laissé apparaître quelques lacunes sur le théâtre des opérations extérieures.

La bataille aériennes opposant les forces armées de l’air alguarenas à celles kah-tanaises, en février 2007, est un tournant majeur dans la politique de recherche et d’innovation aéronautique des deux pays, car chacun a compris que la force aérienne était un atout capable de surprendre l’ennemi en plein coeur de son territoire. Un atout capable de surprendre l’ennemi à domicile mais également une contre-mesure efficace pour celui qui en défense, par l’interception et la destruction d’une menace, avant même que celle-ci ne soit venue survoler les principales agglomérations et les grands centres urbains du pays.

Cette actualité, aussi lugubre soit-elle pour l'époque, donne la part belle aux modèles militaires d’aéronefs alguarenos, qui se sont illustrés ce jour, donnant un nouveau souffle encore, au SAMA des deux dernières années.
Bannière du salon de l'aéronautique militaire d'Aserjuco.

12 juin 2009 - SAMA 2009 : Les simulations de combats aériens ont débuté.

Exercice air-sol dans la région du Pirembó et retranscrit sur écran géant.
En marge des duels aériens qui vont largement voler la vedette aux autres démonstrations aériennes, les spectateurs pourront toutefois visionner les exercices de frappes au sol accompli dans les espaces semi-arides de la région du Pirembó et retransmis en direct sur grand écran à Aserjuco.

Les chaînes télévisées, de la Fédération d’Alguarena mais pas que, s’étaient données les moyens de couvrir l’évènement, apportant avec elles pas moins d’une cinquantaine de caméras. Pour ne rien gâcher du spectacle, les organisateurs du SAMA 2009 avaient également demandé l’autorisation d’embarquer plusieurs caméras de vol au sein des appareils engagés dans la compétition internationale, offrant une vue inédite aux nombreux duels qui accompagnent le déroulement de ce week-end tant attendu.

Un évènement attendu et scruté à la loupe, tant par les particuliers que les institutionnels, avec la participation record de sept escadrilles de nationalités différentes et plus encore de dignitaires chargés de la représentation de leur état, à Aserjuco.

Politiques youslèves, loduariens, siliciens, aumérinois, kah-tanais, cantais et même lofotenois, bien que ces derniers n’aient pu participer à la compétition du fait d’une inscription tardive, la représentativité des continents eurysien, aleucien et paltoterran semble être des plus fameuses, là où celle des continents afaréens et nazumans souffre d’un vide palpable.

Malgré cette absence, les organisateurs et les médias de la Fédération soulignent déjà un certain degré de réussite pour cet évènement qui verra se mesurer, sans haine ni violence, des escadrilles youslèves à celles loduariennes, ainsi que des escadrilles kah-tanaises à celles alguarenas, seulement deux ans après des affrontements aériens, réels ceux-là, entre les deux pays. Aujourd’hui autorisés à pénétrer l’espace aérien alguareno, la rencontre entre les armées de l’air kah-tanaise et celle fédérale est particulièrement attendue, formant presque aux yeux de certains, un évènement dans l’évènement… L’essentiel des simulations, en tout cas celles donnant lieu à un classement, est faite sur le principe des chasses, sous-entendu les combats aériens. Mais en marge de ces duels aériens, d’autres démonstrations aéronautiques auront lieu, sous forme de simulations de frappe air-sol ou encore de simples acrobaties aériennes.

En cette période estivale, venez vibrer au son des aéronefs qui font la fierté du secteur industriel de l’armement. Car pour ceux qui craignent un torticolis ou un tympan percé, la société Benca a monté un stand avec plusieurs cabines de simulation de vol, une expérience unique et destinée à rapprocher qui le souhaite, des conditions de vol vécues quotidiennement par nos héros nationaux.

“La société Benca, un de nos partenaires principaux pour l’organisation de cet évènement, a tenu à proposer aux différents visiteurs le souhaitant, une expérience de vol et de combat aérien grâce aux cabines de simulation, identiques en tous points à celles qui entrent en compte dans la formation de nos futurs pilotes de chasse” s’est réjoui Mauricio Sáenz, conseiller fédéral de la justice, de la défense et de la protection de la population.

Registre technique des appareils inscrits aux simulations aériennes.
Registre technique des appareils participants aux simulations aériennes.

Permettant de vivre un vrai duel aérien, sur la base de milliers d’heures d’enregistrement pendant les vols de vrais pilotes, ce simulateur a mis en place une Intelligence Artificielle parmi les plus réalistes au monde, notamment grâce à l’emploi de technologies issues de l’ingénierie informatique, des technologies pour lesquelles la Fédération d’Alguarena et ses industriels restent une nouvelle fois très bien positionnés, pour ne pas dire même qu'ils seraient des précurseurs mondiaux sur cette thématique.

Pour ceux qui souhaiteraient des choses un peu plus concrètes, ils pourraient profiter sur écran géant, de la rediffusion des opérations de frappe air-sol organisées dans la région du Pirembó. Exécutés sur des terrains à l'accès interdit aux publics et à des centaines de kilomètres de la capitale où se déroule l'évènement, ces entrainements aériens n'en restent pas moins impressionnants pour apprécier la précision et l'habilité des pilotes de la Fuerza Aera Federal (FAF).
Bannière du salon de l'aéronautique militaire d'Aserjuco.

Du 12 au 14 juin 2009

Duels aériens
Déroulé des duels aériens.



Simulations du Zéphyr I - escadrille youslève
Les escadrilles youslèves connaissent des simulations difficiles, confrontés aux pilotes des autres nationalités qui, aidés d’appareils plus sophistiqués, ne laissent jusqu’ici aucune chance à des appareils youslèves moins rapides. Seuls les duels aériens les opposant aux pilotes siliciens souffrent d’un certain suspens, obligeant le jury du SAMA à départager les pilotes sur l’accomplissement de certaines manœuvres aériennes jugées difficiles.

Malgré cette défaite notable, il est à noter que les appareils youslèves parviennent à simuler la destruction de six appareils ennemis, répartis entre les escadrilles silicienne (2), aumérinoise (1), alguarena (1), loduarienne (1) et cantaise (1). Au terme des simulations, l’escadrille youslève ne remporte qu’un seul et unique point, face à l’escadrille silicienne.

YOUSLEVIE - 1 point sur 6, 6 appareils abattus en simulation sur 24, 2 appareils survivants.

1/6 (victoire sur escadrille adverse)
6/24 (appareils abattus)
2/24 (appareils restants)


Simulations du Zéphyr I - escadrille silicienne
Les prouesses techniques des appareils siliciens souffrent des mêmes contraintes, un constat logique étant donné l’emploi des mêmes appareils par l’armée de l’air de ce second état eurysien, directement limitrophe à la Youslévie. Toutefois, considérant le duel manqué face aux aéronefs youslèves, qui s’est vu départager par le jury via la notation de certaines acrobaties aériennes youslèves de qualité, l’escadrille silicienne ne remporte malheureusement aucun duel. Un échec notable qui, parmi d'autres, plombe définitivement les résultats de la compétition pour cette escadrille.

MANCHE SILICE - 0 point sur 6, 5 appareils abattus en simulation sur 24, 2 appareils survivants.

0/6 (victoire sur escadrille adverse)
5/24 (appareils abattus)
2/24 (appareils restants)


Simulations du Furtivision-Se7 - escadrille loduarienne

Les performances de l’escadrille loduarienne restent mitigées. Dans les faits, les pilotes loduariens ont défait les escadrilles youslèves et siliciennes, permettant de démontrer une certaine supériorité martiale au sein de l’espace aérien eurysien. Cependant, sa défaite face à l’escadrille aumérinoise laisse les commentateurs sur leur faim, cette dernière ne présentant pas, sur le papier en tout cas, des caractéristiques techniques susceptibles de donner une supériorité aérienne aux aéronefs aumérinois. D’avis d’expert, c’est finalement la compétence des pilotes et leur valeur professionnelle, qui a concédé les points supplémentaires suffisants à l'escadrille aumérinoise, pour distancer son opposant loduarien.

Que les visiteurs venus soutenir la fan zone loduarienne se consolent, il a été noté que pas moins de 16 appareils adverses engagés par l’escadrille loduarienne, ont été neutralisés, sur un total de 24 appareils en tout. Un score très honnête, qui vient attester, en dépit d’un score passable, de la valeur militaire de ces appareils eurysiens.

LODUARIE - 2 points sur 6, 16 appareils abattus en simulation sur 24, 6 appareils survivants.

2/6 (victoire sur escadrille adverse)
16/24 (appareils abattus)
6/24 (appareils restants)


Simulations du F-X1000 - escadrille alguarena
Opposée aux 6 autres escadrilles étrangères, les pilotes alguarenos s’en sortent grands gagnants, reconnaissant toutefois des difficultés lors de leur confrontation avec l‘escadrille des GRS-M9 kah-tanais. Seul l’accomplissement de manœuvres évasives magistrales, a fini de convaincre le jury de départager cette simulation aérienne en faveur des appareils alguarenos.

Côté alguareno, d’autres confrontations ont, à contrario, bénéficié d’une certaine facilité, notamment celle opposant les paltoterrans à leurs homologues siliciens. En effet et durant ces démonstrations, aucun appareil de l’escadrille hispanique n’a été pris en défaut par leurs adversaires, neutralisés dans leur entièreté.

ALGUARENA - 6 points sur 6, 23 appareils abattus sur 24, 15 appareils survivants

6/6 (victoire sur escadrille adverse)
23/24 (appareils abattus)
15/24 (appareils restants)


Simulations du GRS-M9 - escadrille kah-tanaise
Avec les appareils alguarenos, les GRS-M9 étaient peut-être les appareils susceptibles de présenter les meilleures chances de réussite sur le papier. Mais les limites du cahier technique des appareils sont là, puisque dans leur confrontation aux F-X1000 alguarenos, le jury a été contraint de les départager au nombre de points décernés pour leurs acrobaties aériennes.

Un départage difficile et à la faveur des pilotes alguarenos, ce qui conduit malgré tout à la désignation d’une équipe kah-tanaise perdante. Pourtant, le résultat kah-tanais est bon, puisque malgré la défaite encaissée lors des simulations aériennes l’opposant aux aéronefs alguarenos, cette équipe a, au final, sauvé un appareil de plus que sa rivale alguarena.

GRAND KAH - 5 points sur 6, 23 appareils abattus sur 24, 16 appareils survivants

5/6 (victoire sur escadrille adverse)
23/24 (appareils abattus)
16/24 (appareils restants)


Simulations du F-16A/B - escadrille aumérinoise

Les F-16A/B ressortent des simulations avec un bilan mitigé, compte tenu de victoires sur la moitié des duels opposés, d’un taux de neutralisation des appareils ennemis supérieur à 70% mais d’une survie des pilotes en vol fixée à <30% seulement.

La différence entre une bonne et une mauvaise performance s’est peut-être trouvée dans le petit exploit du jour avec le déroulé des simulations aériennes face à l’escadrille loduarienne, puisque les manœuvres ont conduit à un affrontement agrémenté d’un important suspens, qui a mis en difficulté et à juste titre, les pilotes aumérinois face à leurs homologues loduariens.

AUMERINE - 3 points sur 6, 17 appareils abattus sur 24, 7 appareils survivants.

3/6 (victoire sur escadrille adverse)
17/24 (appareils abattus)
7/24 (appareils restants)


Simulations du Smil Burst 2.0 - escadrille cantaise

L’escadrille cantaise est peut-être celle qui est arrivée au niveau où on l’attendait le moins. Bonne troisième, son escadrille a su profiter de la technicité de ses appareils, malgré une certaine infortune de ses pilotes, à la performance passable lors de leurs engagements, après qu’ils se soient soumis à des aléas divers.

CANTA - 4 points sur 6, 20 appareils abattus sur 24, 10 appareils survivants.

4/6 (victoire sur escadrille adverse)
20/24 (appareils abattus)
10/24 (appareils restants)


Grille de départage des escadrilles.
Données HRP utilisées pour le départage des escadrilles (clic gauche pour agrandir).


Synthèse et classement a écrit :
RESULTATS FINAUX

Victoire aérienne acquise :
1er ALGUARENA / 6 simulations remportées sur 6
2e GRAND KAH / 5 simulation remportée sur 6
3e CANTA / 4 simulations remportée sur 6
4e AUMERINE / 3 simulations remportées sur 6
5e LODUARIE / 2 simulations remportées sur 6
6e YOUSLEVIE / 1 simulation remportée sur 6
7e MANCHE SILICE / 0 simulation remportée sur 6

Avions abattus en simulation :
1er ALGUARENA et GRAND KAH / 23 aéronefs abattus sur 24
2e CANTA / 20 aéronefs abattus sur 24
3e AUMERINE / 17 aéronefs abattus sur 24
4e LODUARIE / 16 aéronefs abattus sur 24
5e YOUSLEVIE / 6 aéronefs abattus sur 24
6e MANCHE SILICE / 5 aéronefs abattus sur 24

Avions survivants en simulation :
1er GRAND KAH / 16 appareils restants sur 24
2e ALGUARENA / 15 appareils restants sur 24
3e CANTA / 10 appareils restants sur 24
4e AUMERINE / 7 appareils restants sur 24
5e LODUARIE / 6 appareils restants sur 24
6e YOUSLEVIE et MANCHE SILICE / 2 appareils restants sur 24
El Boletin

23 juin 2009 - Bombardier furtif : les industries Marbone remportent le contrat relatif à sa phase de développement.

Atelier de recherche et de développement d'un appareil furtif
Le déroulement des salons de l'aéronautiques militaires d'Aserjuco, a fait office de facteurs incitatifs pour engager les pouvoirs publics au sein de nouveaux programmes de développement militaires, tout particulièrement ceux ayant traits au développement d'aéronefs de combat furtifs.


La direction de cet industriel de l’armement, généralement oublié derrière le cas de la société Benca, un poil mieux avantagée sur le marché, s’est félicitée de se voir attribuée une telle accréditation, ce qui le conforte tout particulièrement dans la fourniture des premiers appareils furtifs de l’armée fédérale alguarena. “Il y aura nécessairement des coopérations à faire avec la société Benca, mais le fait que les pouvoirs publics aient pensé à nous pour piloter le programme de développement des appareils furtifs des escadrilles de la Fuerza Aera Federal (FAF), est un immense honneur, inégalé. Une véritable reconnaissance pour l’expertise de notre groupe…” s’est réjouie Julietta Garbanez, directrice des opérations de recherche et de développement aux industries Marbone.

Ces aéronefs, dotés de technologies quasi-futuristes pour notre ère, ont vocation à incarner le renouveau de la force punitive de projection des armées fédérales. Dans la perspective où ce travail toucherait son terme, les appareils pourraient se vendre entre cent et cent-quarante millions de pesetas alguarenas. Autrement dit, pour le seul débouché de l’armée de l’air fédérale d’Alguarena, les industries Marbone peuvent espérer des recettes dépassant le milliards de pesetas alguarenas, un marché colossal qui permet une juste mesure du caractère névralgique de cette accréditation.

Planifiées sur au moins trois années, ces actions de recherche devraient permettre les premiers prototypages sous un an et demi si l’on en croit l’équipe de recherche de l’industriel.
La désignation de la société pilote au sein du programme de recherche constitue le franchissement d’une nouvelle étape. Une première, quand l’on sait que jusqu’à présent, les industriels développaient en toute autonomie les programmes d’armement de leur choix.

Cependant, les besoins exprimés par l’état-major des armées fédérales, a obligé à l’énonciation de nouvelles priorités en matière de développement d’armements militaires. Le développement de modèles de bombardiers furtifs en fait partie, des appareils destinés à frapper l’ennemi sur de longues distances et avec un déploiement d’unités limités pour une puissance de feu optimale. "L'atout du bombardier furtif est de pouvoir occasionner de puissants dégâts sur un périmètre restreint et sans avoir à déployer d’importants moyens offensifs comme il en serait question afin de permettre aux bombardiers traditionnels d’approcher la cible…”

“La première phase de ce parcours d’innovation va reposer sur le développement de la furtivité de nos appareils existants car des appareils furtifs existent déjà en Alguarena”, insiste la directrice de l’établissement, “mais nous pensons que ces appareils ne sont pas encore optimisés”.

La phase 2 du programme de recherche, destinée à l’accroissement des capacités d’emport de l’armement du bombardier furtif, reste à ce jour “optionnelle” préfère préciser la direction des industries Marbone, mais sous réserve qu la phase 1 voit son terme, des équipes de chercheurs, ingénieurs et autres fonctions scientifiques, sont déjà positionnées, dans l’expectative d’un démarrage pour mi-année 2010…

Au-delà des besoins exprimés par l'état-major des armées fédérales, c'est bel et bien le salon de l'aéronautique militaire d'Aserjuco, qui a su motiver l'expression de nouvelles ambitions pour l'aéronautique militaire. "Les besoins des armées n'ont pas toujours profiter d'une oreille attentive de la part des classes politiques" indique Ugo Balanquierro, économiste à l'observatoire pour la défense fédérale. "Cependant, ces salons, tels que celui de l'aéronautique militaire, sont venus donner une certaine visibilité à la capacité (ou l'incapacité) de nos appareils. Ils sont donc une opportunité de faire un brainstorming sur ce qui va ou ne va pas, pour diriger les pistes de recherche des cinq voire peut-être même, dix prochaines années." D'avis d’experts, le salon de l'aéronautique militaire est donc à ce jour, un allié de poids pour les industriels de l'armement et l'état-major fédéral, qui peuvent voir en ces manifestations, les démonstrations grandeur nature des forces et faiblesse de chaque pays. Et en la matière, considérant les performances de certains appareils étrangers présents sur le salon de l'aéronautique militaire d'Aserjuco, on peut s'apercevoir que l'écart technologique entre les forces armées fédérales et celles d'autres puissances régionales, gagnerait à se creuser davantage.
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