Le Banairah est une démocratie semi-directe au sein de laquelle les assemblées locales, les Benbhè, ont le droit et le devoir de débattre et proposer des réformes, aides à l'international ou projets idéologiques ou de développement. Même la diplomatie peut y être abordé, même si elle est véritablement gérée par l'Ambē et sous l'approbation du Khasser. Les ministres ne peuvent faire passer de lois sans approbation par les Benbhè, à l'exception du ministre des armées et des affaires étrangères au vu de la sensibilité des sujets qu'ils traitent. Ici seront donc proposées à la lecture quelques-unes de ces propositions, à la fois des différents ministères et des Benbhè, même potentiellement du Khasser lui-même dans un but symbolique, le Khasser incarnant et se devant d'incarner l'esprit et l'âme de la nation.
Il est à noter que de par sa grande représentativité, la République Directe en subit également ses préjudices : la majorité du corps législatif que sont les citoyens exerce un travail et donc doivent se plier à ses horaires exigents. L'obligation de consulter l'ensemble des citoyens ralentit également les procédures législatives d'une manière considérable. Pour qu'une assemblée locale (un Benbhè) crée et vote une loi d'échelle nationale, il faut compter le temps de débat interne (une à deux semaines pour un projet à documenter conséquemment, les citoyens n'étant de plus pas forcément très instruits sur le sujet), un temps de proposition à l'échelle nationale, puis de débat local dans l'ensemble des Benbhè concernés, puis un temps de débat récapitulatif avant la proposition des ministères pour l'application de la loi. S'ensuit ensuite l'approbation ou non du projet, et enfin la mise en application. Nul doute que le processus est lent, et en fait râler plus d'un. Voilà pourquoi les ministères ont le droit de proposer directement des lois applicables aux Benbhè : ils font partie des institutions de citoyens ayant fait de la politique leur profession le temps de leur mandat, et connaissent souvent très bien leur sujet. Après tout, ils ont été formés pour cela, l'école banairaise essayant de découvrir au plus tôt les bons profils à spécialiser dans tel ou tel domaine. Peut-être que toute cette administration est le prix de la vraie démocratie...
Il est à noter que de par sa grande représentativité, la République Directe en subit également ses préjudices : la majorité du corps législatif que sont les citoyens exerce un travail et donc doivent se plier à ses horaires exigents. L'obligation de consulter l'ensemble des citoyens ralentit également les procédures législatives d'une manière considérable. Pour qu'une assemblée locale (un Benbhè) crée et vote une loi d'échelle nationale, il faut compter le temps de débat interne (une à deux semaines pour un projet à documenter conséquemment, les citoyens n'étant de plus pas forcément très instruits sur le sujet), un temps de proposition à l'échelle nationale, puis de débat local dans l'ensemble des Benbhè concernés, puis un temps de débat récapitulatif avant la proposition des ministères pour l'application de la loi. S'ensuit ensuite l'approbation ou non du projet, et enfin la mise en application. Nul doute que le processus est lent, et en fait râler plus d'un. Voilà pourquoi les ministères ont le droit de proposer directement des lois applicables aux Benbhè : ils font partie des institutions de citoyens ayant fait de la politique leur profession le temps de leur mandat, et connaissent souvent très bien leur sujet. Après tout, ils ont été formés pour cela, l'école banairaise essayant de découvrir au plus tôt les bons profils à spécialiser dans tel ou tel domaine. Peut-être que toute cette administration est le prix de la vraie démocratie...