Bien qu’ayant depuis quelques semaines pris une tourne moins dramatique, plus démocratique, les troubles n’avaient pas cessés dans la province d’Albigärk-Evora, ancienne capitale albienne, colonie listonienne où cohabitait deux populations de moins en moins disposées à vivre ensemble à mesure que des leaders politiques travaillaient chaque jour à radicaliser un débat politique déjà tendu.
Une situation de plus en plus hors de contrôle, faisant craindre des troubles graves si rien n’était fait et qui avaient poussés les gouvernements pharois et listoniens à une seconde rencontre en urgence afin d’élaborer ensemble un plan de sortie de crise.
Cette fois-ci, la délégation pharoise était sensiblement plus réduite, se résumant au capitaine-ministre Mainio, son homologue Sakari, ministre de la défense territoriale et le Doyen Pêcheur Makku qui ne servait à rien mais qui était hôte de la rencontre puisque celle-ci avait lieu dans la loge doyenne.
Une situation de plus en plus hors de contrôle, faisant craindre des troubles graves si rien n’était fait et qui avaient poussés les gouvernements pharois et listoniens à une seconde rencontre en urgence afin d’élaborer ensemble un plan de sortie de crise.
Cette fois-ci, la délégation pharoise était sensiblement plus réduite, se résumant au capitaine-ministre Mainio, son homologue Sakari, ministre de la défense territoriale et le Doyen Pêcheur Makku qui ne servait à rien mais qui était hôte de la rencontre puisque celle-ci avait lieu dans la loge doyenne.
La Loge Doyenne du Syndikaali
Capitaine Ministre Mainio : En vérité c’est toujours un plaisir de rencontrer nos amis listoniens même si j’apprécierai que cela se fasse dans d’autres circonstances que des crises internationales majeures je vous avoue. J’ai promis à ma femme que nous irions en vacances à Listonia un de ces jours, le pays a l’air absolument magnifique !
Citoyen Ministre Sakari : C’est une idée idiote et le capitaine Ilmarinen est d’accord avec moi, vous attendrez la fin des tensions pour cela.
Capitaine Ministre Mainio : En effet ! Bien, je déclare ouvert ce second sommet.