L’ambition gouvernementale du moment était la finalité d’une détermination novigradienne à peser sur la scène internationale. Depuis près d’une quarantaine d’années, l’État novigradien avait fait de gros efforts pour acter la libéralisation du pays. C’est dans ce contexte que le Chancelier Antov avait ouvert la voie à un projet d’envergure dans une lettre diplomatique à l’intention de plusieurs des grandes puissances capitalistes à travers le monde. Ce congrès sous haute tension alors même que la menace socialiste s’intensifiait de jours en jours devait tenir la promesse de l’émergence d’une nouvelle force pour l’humanité et dans l’intérêt d’une globalisation des affaires commerciales.
S’étendant de part et d’autre du fleuve bayrön, ce fleuve de plus de 2 500km qui traverse le continent Eurysien à l’Est. La ville de Novigrad C.F était une mégapole de près de treize millions d’habitants qui s’était construite autour de l’embouchure du fleuve ainsi que du littoral leucitaléen. Véritable épicentre de la civilisation hellénique novirienne, la ville était l’une des plus anciennes du continent. Son architecture contrastait fortement en fonction des quartiers, tandis que le centre-ville illustrait le faste historique de la monarchie slave qui s’était épanouie ici pendant près d’un millénaire, le centre d’affaire quant à lui était le symbole de la modernisation du pays sous l’ère capitaliste, enfin les abords de la ville rappelaient aisément l’époque soviétique qui s’était terminée seulement une cinquantaine d’années auparavant.
En ce jour de première importance pour l’avenir des relations internationales, la ville était en ébullition. La cité était quadrillée par un impressionnant dispositif policier et militaire, l’ensemble des forces vives du pays étaient mobilisées afin non seulement d’assurer un niveau de sécurité maximum mais aussi dans l’objectif de démontrer la puissance militaire naissante qu’était désormais le Novigrad. De son côté, l’aéroport international de Novigrad C.F était mis à disposition des délégations étrangères qui avaient été conviées au congrès. Un bataillon de la garde d’honneur ainsi qu’un orchestre de l’armée fédérale s’occupaient d’ailleurs de l’accueil des dignitaires étrangers en jouant systématiquement l’hymne nationale du pays d’origine de chacune des délégations arrivantes qui prenaient ensuite une limousine en direction du lieu d’accueil de la rencontre.
Dominant le fleuve, la forteresse de Léopold était un édifice impressionnant qui rappelait l’ancienne puissance eurysienne que représentait la nation, il suffisait alors d’un seul regard pour comprendre l’étendue de la richesse que détenaient autrefois les Grands-Princes de Novigrad. Aujourd’hui ce monument du patrimoine servait de salle de conférence pour les grandes occasions comme celle qui allait venir. Ce jour-là, le fleuron de la presse internationale était présente aux abords de l’ancienne forteresse princière. Les curieux s’amassaient contre les barricades contrôlées activement sous l’œil avisé des forces fédérales venues en nombre pour l’occasion. C’était sans aucun doute, un événement de première importance pour la nation novigradienne. De ce fait, un bataillon entier d’assistants, d’hôtesses, de fonctionnaires et d’agents fédéraux se mobilisaient afin de mettre en œuvre l’organisation massive qu’impliquait un tel événement. Aujourd’hui les principales puissances mondiales se rencontraient à l’aube d’un accord qui s’annonçait historique, l’administration fédérale avait donc placée la barre très haute en allouant un budget exceptionnel pour l’organisation du congrès.
Tandis que l’impressionnant cortège de limousines défilait à l’entrée de la forteresse, les invités étaient immédiatement pris en charge par les services diplomatiques. Dans un premier temps, les hauts-dignitaires rejoignaient un salon d’attente privatif où des hôtesses se rendaient disponibles pour servir des plats traditionnels de la haute gastronomie novigradienne. Après près d’une vingtaine de minutes, les délégations étaient conduites auprès des journalistes pour l’habituelle séance photo. Ce n’est qu’après ce processus que les diplomates furent installés sur le lieu où allait finalement se dérouler la rencontre diplomatique. Située sur une petite terrasse qui offrait un exceptionnel panorama sur la ville en contrebas, le lieu de la rencontre tenait toutes ses promesses. Une table d’envergure était installée pour l’occasion, bien évidemment le nom des représentants était présent sur toutes les places afin que le protocole soit respecté dans son ensemble. La rencontre était sur le point de démarrer, le Chancelier attendait l’arrivée des dernières délégations.
S’étendant de part et d’autre du fleuve bayrön, ce fleuve de plus de 2 500km qui traverse le continent Eurysien à l’Est. La ville de Novigrad C.F était une mégapole de près de treize millions d’habitants qui s’était construite autour de l’embouchure du fleuve ainsi que du littoral leucitaléen. Véritable épicentre de la civilisation hellénique novirienne, la ville était l’une des plus anciennes du continent. Son architecture contrastait fortement en fonction des quartiers, tandis que le centre-ville illustrait le faste historique de la monarchie slave qui s’était épanouie ici pendant près d’un millénaire, le centre d’affaire quant à lui était le symbole de la modernisation du pays sous l’ère capitaliste, enfin les abords de la ville rappelaient aisément l’époque soviétique qui s’était terminée seulement une cinquantaine d’années auparavant.
En ce jour de première importance pour l’avenir des relations internationales, la ville était en ébullition. La cité était quadrillée par un impressionnant dispositif policier et militaire, l’ensemble des forces vives du pays étaient mobilisées afin non seulement d’assurer un niveau de sécurité maximum mais aussi dans l’objectif de démontrer la puissance militaire naissante qu’était désormais le Novigrad. De son côté, l’aéroport international de Novigrad C.F était mis à disposition des délégations étrangères qui avaient été conviées au congrès. Un bataillon de la garde d’honneur ainsi qu’un orchestre de l’armée fédérale s’occupaient d’ailleurs de l’accueil des dignitaires étrangers en jouant systématiquement l’hymne nationale du pays d’origine de chacune des délégations arrivantes qui prenaient ensuite une limousine en direction du lieu d’accueil de la rencontre.
Dominant le fleuve, la forteresse de Léopold était un édifice impressionnant qui rappelait l’ancienne puissance eurysienne que représentait la nation, il suffisait alors d’un seul regard pour comprendre l’étendue de la richesse que détenaient autrefois les Grands-Princes de Novigrad. Aujourd’hui ce monument du patrimoine servait de salle de conférence pour les grandes occasions comme celle qui allait venir. Ce jour-là, le fleuron de la presse internationale était présente aux abords de l’ancienne forteresse princière. Les curieux s’amassaient contre les barricades contrôlées activement sous l’œil avisé des forces fédérales venues en nombre pour l’occasion. C’était sans aucun doute, un événement de première importance pour la nation novigradienne. De ce fait, un bataillon entier d’assistants, d’hôtesses, de fonctionnaires et d’agents fédéraux se mobilisaient afin de mettre en œuvre l’organisation massive qu’impliquait un tel événement. Aujourd’hui les principales puissances mondiales se rencontraient à l’aube d’un accord qui s’annonçait historique, l’administration fédérale avait donc placée la barre très haute en allouant un budget exceptionnel pour l’organisation du congrès.
Tandis que l’impressionnant cortège de limousines défilait à l’entrée de la forteresse, les invités étaient immédiatement pris en charge par les services diplomatiques. Dans un premier temps, les hauts-dignitaires rejoignaient un salon d’attente privatif où des hôtesses se rendaient disponibles pour servir des plats traditionnels de la haute gastronomie novigradienne. Après près d’une vingtaine de minutes, les délégations étaient conduites auprès des journalistes pour l’habituelle séance photo. Ce n’est qu’après ce processus que les diplomates furent installés sur le lieu où allait finalement se dérouler la rencontre diplomatique. Située sur une petite terrasse qui offrait un exceptionnel panorama sur la ville en contrebas, le lieu de la rencontre tenait toutes ses promesses. Une table d’envergure était installée pour l’occasion, bien évidemment le nom des représentants était présent sur toutes les places afin que le protocole soit respecté dans son ensemble. La rencontre était sur le point de démarrer, le Chancelier attendait l’arrivée des dernières délégations.