Ligert, le 1er octobre 2006 / Ligert, li Yun d'octobr deùz-mil-si
République de Nostrie - Empire d'Arménor - Duché de Gallouèse
salle de conférence, château de Ligert
Yahnick Kard :
" Mes chers homologues de la diplomatie en l'Empire d'Arménor et en la République de Nostrie, bonjour ! Bienvenue, encore une fois, à ce sommet qui aura pour but d'arriver à un accord qui contentera chacun. Nous ne partirons d'ici qu'une fois l'accord signé, ou dès que nous aurons compris qu'il est impossible d'en trouver un. Car les négociations, les discussions et les pourparlers n'ont que trop duré.
Notre objectif, est, il me semble, que les rares Etats qui, sur le contient Eurysien, sont encore stables s'entendent sur un traité ou une charte d'organisation qui fixe leurs relations afin de garantir leur souveraineté, leur stabilité, leur sécurité, et autre.
Chaque délégation posera ses exigences à tour de rôle, répondants à celle des autres, et j'espères mes chers confrères, que nous saurons tous faire des concessions.
Pour ma part, j'apporte un communiqué de mon gouvernement, qui définit quels sont les axes que nous souhaitons voir suivre au minimum par cet accord. Ils sont caractérisés par deux mots-clefs : Défense et Prospérité.
La défense est l'une des volontés principales du Duché de Gallouèse. En effet, ce continent en crise est armé jusqu'aux dents, et des Etats autoritaires et expansionnistes nous entourent. Nul besoin de les citer, vous et vos concitoyens sentez la menace comme moi.
La prospérité est ce que nous définissons comme l'objectif de cette conférence et de ce traité : il passe par la compétitivité et la croissance bien sûr, mais aussi la culture ou la recherche; et tout cela permis par les échanges, pilier de notre traité. Échanges qui sont eux même vecteur du bien-être de nos populations, afin qu'ils soient l'exemple aux yeux du monde que l'ont peux vivre en paix sur ce continent. "
Gouvernement du Duché de Gallouèse a écrit :
Messieurs, mesdames les représentants de la République de Nostrie et de l'Empire d'Arménor, voici les propositions de la Gallouèse pour un "Traité d'Alliance de Défense et de Prospérité en Eurysie" (ADPE) :
Ils s'agirait d'un traité et non d'une charte, les États signataires ne déléguant aucune compétence à une organisation administrative. Cependant, pour faciliter la mise en place de nouvelles dispositions, une "organisation" pourra être chargée de réunir régulièrement des représentants désignés de chaque Etats membre, faisant de ce traité une alliance, un accord de partenariat privilégié.
- Les États signataires décident de proclamer leur liens amicaux et collaboratifs dans les domaines qu'ils auront définis.
- Les liens amicaux et collaboratifs ci-avant cités passent par la mise en place de dispositions relatives aux échanges.
- Ces mêmes liens passent aussi par un pacte de non-agression et un autre d'assistance mutuel, dans le cas ou le sol national d'un des Etats signataires sur le sol eurysien serait violé.
- Les États signataires s'engagent à contribuer par des moyens financier aux dispositions mises en place.
- Le traité met en place une plateforme d'échange privilégiée visant, d'Etat à Etat, la mise en place privilégiée de décisions stratégiques et économiques.
- Ces dispositions pourront être : - Des partenariats de financement infrastructurels
- Chaque Etat membre doit répondre de sa stabilité géopolitique (extérieure) devant chaque autre Etat membre, à l'aide de la ci-avant dénommée "plateforme".
- Tout Etat membre se porte garant de la stabilité intérieur de chaque autre Etat membre.
- Chaque pays devra installer une ambassade de la ci-avant dénommée "plateforme" sur son territoire propre.
- Des mises en commun de recherche scientifique
- Des partenariats de recherche scientifiques, d'échanges universitaires
- Le financement de voies de communications rapides, efficaces et sûres entre les États membres
- autre à définir
" Notez bien chers confrères que cette propsosition peut être remise en question dans son intégralité sur les mesures formelle prise, et que chaque Etat fondateur est appelé à faire de même. Le Duché ne saurait se montrer comme un "meneur" ou imposer des closes à ces partenaires, d'autant qu'il n'est pas à l'initiative de la démarche. "
