07/06/2013
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[RP] Jaman - Otkrytyye Kryl'ya / Ajnihat Maftuha

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02/10/2006, Althalj



Le hurlement était assourdissant.

A travers une vitre teintée, surement un plexiglass avec une composition spécifique, le bruit était déjà étouffé et pourtant ça crachait du décibel. Casques anti-bruit sur la tête, les scientifiques regardaient les écrans des ordinateurs avec attention.


L’écran légèrement bombé affichait un fond noir qui tendait vers le verdâtre du fait des innombrables caractères en vert clair défilant et s’affichant à la suite ou par intermittence. Le plastique gris qui entourait les écrans avait pris des ombres un peu marrons ou gris foncées et les unités centrales vrombissaient en dessous des bureaux où les dossiers s’empilaient abondamment.
Le câble de la souris gênait et il y avait par moment ce petit à coup de la souris sur le bureau afin de réajustait la position de ce câble qui gênait ou un revers de main pour pousser un peu plus le clavier dont le câble enroulé, serré, et lourd prenait de la place.
Une odeur de café, qui a stagné dans le fond des tasses, se diffusait dans l’air ambiant, une petite amertume transformée en acidité âcre des jours difficiles alors que les lampes barres néon scintillaient légèrement.


Mais la délégation ne s’était pas attardée dans ce bureau de prise de mesures, où une douzaine de scientifiques s’attelaient à leur tâche. Celle-ci s’était installée dans la salle de réunion attenante et avec une vue identique sur l’espace de test.

Le souffle et la matière incandescente s’engouffraient dans une immense cavité renforcée.
L’appareil de test était lui-même recouvert d’un blindage qui pouvait à loisir s’ouvrir ou se refermer afin de procéder à un remplacement, des réparations ou des ajustements.
Le hurlement continuait, voilà une heure que l’expérience suivait son cours.
Au sein de la salle de réunion, des écrans à tube cathodique avaient été intégrés au mur et affichaient diverses courbes de performance.


La cheffe de projet, accompagnée d’une haute gradée de la Force Matriarcale, s’approcha du mur et appuya sur un bouton pressoir et demanda que la phase de test suivante soit effectuée.
Dans les quelques secondes, des annonces suivirent et les rouages bien huilés de l’organisation Althaljir eurent tôt fait de porter leurs fruits.
Une déflagration eut lieu dans l’espace de test, tandis que de la matière était éjectée à l’arrière de l’appareil, une immense flamme se prolongeant dans l’espace caché et renforcé.



Nous considérons 28%, aucun dommage visible sur la tuyère.


Les écrans s’étaient emballés et la courbe avait augmenté et s’était stabilisée en accord avec la déclaration du bureau de prise de mesures, par l’intermédiaire des hauts parleurs.
La luminosité avait fortement augmenté entre l’appareil de test et le renfoncement ; l’espace montrait une flamme continue violacée virant entre du jaune, du blanc et du bleu en fonction de l’interprétation.
La vitre quant à elle s’était assombrie toute seule pour compenser l’augmentation de luminosité.




Test Post-combustion



Continuez d’augmenter la postcombustion.


La cheffe de projet sourit et hocha la tête en direction de la délégation militaire dans les écussons pourpres et bleus ne faisaient aucun doute quant à leurs origines.

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Ils observaient la tentative à travers la vitre affichant le flegme caractéristique du peuple novigradien, eux-mêmes aisément reconnaissables aux uniformes flanqués d’un écusson pourpre et bleu, la délégation contrastait évidemment avec les scientifiques en présence. Jetant de curieux regards qui se voulaient discrets aux femmes de l’Althalj, les militaires étrangers semblaient perplexes. Bien que la présence féminine soit courante au sein des institutions scientifiques et politiques de ce pays d’Eurysie de l’Est, une place que la gente féminine avait largement gagnée après l’épisode de la grande famine de 1801, l’armée restait tout de même majoritairement masculine et patriarcale. Ce n’étaient donc pas forcément des regards impolis mais plutôt une forme de curiosité malvenue envers une société matriarcale qui sortait de l’ordinaire pour les hommes de la délégation novigradienne. Mais en ce jour, ils n’étaient pas venus pour un échange culturel sur la suprématie des sexes, c’était une affaire tout à fait formelle qui attendait la demi-douzaine d’officiers présents dans la pièce. Parmi ces derniers, un sortait visiblement du lot, ne serait-ce que par le charisme froid qu’il dégageait mais aussi par le respect qu’il inspirait aux militaires qui l’accompagnaient. Ce colonel, du moins c’est ce qu’indiquait son écusson, parlait peu et ne s’adressait que rarement directement aux scientifiques du laboratoire préférant discuter à voix-basse avec les ingénieurs militaires novigradiens qui l’entouraient. Tandis qu’ils observaient les tentatives pour mettre au point un tout nouveau type de moteur à combustion pour l’aviation, la délégation corrigeait sans cesses les calculs et les plans qu’elle proposait ensuite aux scientifiques de l’Althalj. C’était bien sûr un projet ambitieux qui attendait l’équipe en présence mais rien n’était impossible lorsque tous les moyens étaient mis à disposition pour réussir un objectif national.

La coopération avec l’Althalj ne concernait d’ailleurs pas seulement l’aviation. Alors que les militaires tentaient de réussir ce projet commun, le fleuron de l’industrie novigradienne s’activait un peu de partout à travers ce petit pays de l’Afarée de l’Ouest afin de remplir les nouveaux contrats qu’avait obtenue la diplomatie de Novigrad. Atlas, ce géant du BTP en Eurysie de l’Est était finalement le grand gagnant des accords entre les deux gouvernements. Grâce à un contrat pour la construction de plusieurs aéroports au sein du pays, les investissements boursiers de la société s’étaient envolés plaçant l’entreprise parmi les grands d’Eurysie. Atlas, ce joyau qui était autrefois la propriété directe de l’Etat fédéral avait été au cœur du phénomène de privatisation des entreprises stratégiques de Novigrad, aujourd’hui détenu par un consortium de fonds d’investissements privés comme celui qui portait d’ailleurs le nom de la famille de l’actuel Chancelier, l’entreprise enregistrait des bénéfices records qui annonçaient un développement fulgurant à l’international. L’avenir de la multinationale en Afarée de l’Ouest était donc tout tracé dans le futur.
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Le hurlement de la banshee s'intensifia. La fournaise dévora tout sur son passage, expulsant la poussière, calcinant ce qui avait le malheur d'être à portée.
Les environs se brouillèrent tandis que le blanc virait au bleu et que les vibrations étaient telles que les freins grincèrent sous la pression.

Et puis, l'appareil prit subitement de la vitesse, la vocifération arrachant les tympans et en quelques secondes prit son envol avec un degré élevé.
En un instant, il avait pris suffisamment d'altitude qu'il en fit un virage rapide sur la droite. Les échos se répercutèrent avec force dans cette vallée semi-désertique tandis que l'appareil rejoignait en formation son binôme passant dans un chaos hurlant au dessus de la base militaire.


... Affirmatif, nous entamons la phase trois. Dépassement de l'altitude des 26,000 mètres avec une vitesse de croisière de 2,500 kmh.




Au centre de contrôle, les officiers, en bleu azur et portant une chéchia vermillon aplatie, regardaient les écrans avec intérêt.
Il y avait de nombreux desseins et enjeux en ce jour. L'entrainement des pilotes, pousser l'avion dans des conditions extrêmes pour mesurer l'efficacité des améliorations apportées à la version précédente afin de tenir de plus longues distances, augmenter l'expérience des contrôles et la coordination de la direction et de l'inter-armée.
Des ingénieures donnaient des instructions à des assistants, des hommes, penchés sur des écrans cathodiques circulaires massifs encastrés dans des bureaux avec un angle de 45 degrés. Ils appuyaient sur des interrupteurs et jouaient avec des jauges et mécanismes pour améliorer la lecture des données et zoomer et dézoomer à la grande satisfaction des officiers.





Le premier chasseur prit l'Ouest, longeant la frontière Althaljir, tandis que le second prit le Nord au sein des Territoires Libres du Sahra', contrôlés par l'Althalj depuis presque deux longues années dorénavant. Les intercepteurs de l'Althalj faisaient bien attention de ne pas se diriger vers le territoire luminescent sur l'écran principal au Nord Ouest de l'Althalj.

Il y avait en ce jour un autre objectif, politique celui-ci : l'Althalj rappelait à qui en avait les capacités que la nation poussait le curseur de la technologie autant que possible afin de défendre ses intérêts au sein de l'Afarée de l'Ouest. La distance, à parcourir pour l'Althalj, n'était guère grande, surtout pour cet intercepteur affichant mach 3.1 en vitesse maximale à haute altitude.
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Eish Althalj - Icemlet

- Le gros oeuvre a bien avancé, nous avons rattrapé le retard initial. En ayant réadapté le programme à la mise en place de la chaîne de production des matériaux, nous pouvons aujourd'hui valoriser une mise en conformité vis à vis du certificat AG.
Il y a une grande fierté au sein des équipe d'avoir réussi à créer une chaîne logistique nationale. Certains cadres de mes équipes ont déjà demandé des transferts sur ces nouvelles succursales.
Je pense que GorillAlth aura bien fait de passer le temps nécessaire afin de répondre à la demande de la Maktaba. Il y aura de nouvelles capacités de production et d'intégration qui peuvent différencier l'entreprise nationale avec la compétition.


- Qu'en est-il des experts d'Atlas ? Comment se passe la collaboration avec nos consoeurs du Novigrad ?


- A dire vrai, nous trouvons le professionnalisme d'Atlas fortement à la hauteur des attentes Althaljirs. Tandis que le bâtiment sort de terre, Atlas anticipe déjà et réoriente lorsque des ajustements sont nécessaires sur les plans. Atlas a par ailleurs déjà intégré le processus d'aménagement et de ravitaillement à hydrogène. Les détails du terminal sont révisés par leurs bureaux d'études et il y a de très bons résultats escomptés quant au design et à l'efficacité de cette technologie pour la prochaine génération d'avionneurs et avions.


- Montrez moi les photos encore une fois de l'avancement des travaux. Ces clichés sont bien meilleurs que lors de ma visite de chantier la semaine dernière.










Tandis que le chantier de l'Eish Althalj avançait, la collaboration avec le Novigrad, afin de créer un acteur compétitif vis à vis de l'aviation militaire internationale, disposait aussi de ses avancements.
Après de longs mois à étudier les technologies Novigradiennes, la mise au point d'une propulsion à réaction intégrant les aspects technologiques décalés Althaljirs permirent une franche montée en puissance. Les avioniques seraient bientôt à un niveau suffisant afin de rejoindre les Grands Frères de l'Est en matière de qualité et capacité Afaréenne.

Le pari Althaljir d'investir massivement dans la Recherche et Préservation (R&P) semblait aussi permettre à la Maktaba d'être pourvue de certains moyens de ses ambitions. La force aérienne Afaréenne était assez similaire à celle des autres continents outre-Eurysie, misant sur de longues distances afin de subvenir ici, au manque d'infrastructures et de collaborations continentales. Les difficultés et crises ne semblaient point s'atténuer et alors que la diplomatie restait un catalyseur majeur défensif, la technologie Afaréenne se devait de rejoindre les standards internationaux afin de poindre.
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Eish Althalj - Icemlet


La femme pointa sur le document de son presse-papier et ensuite fit un mouvement circulaire avec son stylo en désignant le chemin balisé pour arriver sur la bonne zone du chantier.
Sur son casque de protection, le logo de l'entreprise de construction nationale, un gorille noir avec un casque de chantier jaune.

Le camion blanc dépassa les premières barrières et emprunta un chemin renforcé par des gravats et longeant l'immense structure en béton armé. La ferraille était entreposée de manière ordonnée tout autour des sections où le béton était coulé dans d'immenses moules et coffrages. Les ouvrières et ouvriers étaient nombreuses et heureusement Icemlet les avait bénies de la couverture nuage grise saisonnière. Le travail en plein cagnard était pénible et cette partie du chantier ne laissait que peu de répit, de zones d'ombre. Aujourd'hui le travail avançait d'autant plus vite que cette partie du programme ne rencontrait que peu de surprises à comparer avec celle des fondations.

La fourmilière était bien organisée. Toutes savaient ce qu'elles avaient à faire. Les grus s'attelaient à la tâche, les ouvrières et conductrices de travaux hurlaient ici et là pour se faire entendre à travers le brouhaha de la construction et des moteurs des camions qui ronronnaient et déversaient le ciment ou déchargeaient les gravats ou encore plus de féraille.

Le conducteur du camion blanc, quant à lui, contourna toute la zone principale pour s'orienter vers un chemin prenant la tangente : un autre checkpoint.
Les panneaux indiquaient que la zone nécessitait une accréditation supérieure. Les papiers du conducteurs étaient en règle.

Tous savaient que cette partie rejoignait la zone stratégique des nouvelles technologies de carburants à hydrogène Althaljirs.
Eish Althalj ambitionnait d'être le premier aéroport à pouvoir fournir ce carburant militaire et civil.







31/03/2008


Les avancements dans l'aviation militaire Althaljir étaient spectaculaires, dés lors que cette dernière n'existait encore pas il y a de cela trois ans. Les premiers échanges technologiques avec Novigrad avaient été bénéfiques sur de nombreux aspects. En effet des mois et années de mise en place de la base même de l'étude technologique pouvaient ralentir tout programme de conception, de test et production d'un armement de pointe qui devait permettre de rivaliser avec certaines technologies très avancées des puissances mondiales.
Est ce que le niveau technologique était une menace pour le "haut du classement" des puissances militaires ? Non, des années d'étude, d'optimisation et d'utilisation des technologies sur le champ de bataille ne pouvaient être rattrapées.
Toutefois la technologie employée par l'Althalj bousculait les standards attendus et paradigmes du secteur et la montée fulgurante de l'Althalj dans le domaine militaire était peut être une anomalie pouvant venir à se répéter et normaliser...

Le tube à vide, l'hydrogène comme carburant, l'Althalj gardait toujours secret notamment les alliages utilisés afin de permettre à ses avions intercepteurs de soutenir des températures extrêmes pendant un lapse de temps moyen ou long. Les performances étaient prometteuses, néanmoins les appareils n'avaient pas encore de vrais combats et toute capacité papier ne pouvait remplacer l'heure fatidique.

Et ainsi, les équipes de ce pays d'Afarée de l'Ouest sortaient des sentiers battus et travaillaient d'ors et déjà d'arrache pied sur un avion omnirôle, de même qu'un drone de reconnaissance.
Le Grand Frère de l'Ouest portait déjà un niveau militaire et technologique très satisfaisant, à même de faire front aux menaces conjoncturelles.
La Petite Soeur se sentait responsable de l'Afarée de l'Ouest et des menaces et ingérences internationales dans ce pré carré.

Une première phase de tests était en cours et devait valider dans les deux prochains mois les nouvelles égéries aéronautiques de la Force Matriarcale Ilâhmique.

De nouvelles classifications étaient en cours afin de déterminer les générations des forces militaires internationales et établir des comparatifs visant à affiner les contre-mesures dans un secteur hautement concurrentiel. Le missile balistique qui avait eu le vent en poupe lors des crises Francisquiennes et Listoniennes n'était pas encore un outil de dissuasion obsolète, toutefois la multiplication des porte-hélicoptères, mais aussi de porte-avions... redéfinissait les équilibres défensifs face aux menaces potentielles. La défaite aérienne récente lors de la confrontation entre deux puissances mondiales avait aussi posé les bases des avantages technologiques et ainsi générationnelles face aux effectifs engagés.
Dés lors l'aviation, au blason déjà doré, réaffirmait, une fois de plus, son rôle majeur sur la scène internationale. Les distances, les usages, les stratégies et tactiques, toute action et choix ne pouvaient ignorer la place prépondérante de l'aviation.




Avion omnirôle test - Aviation Althaljir - 03/2008 - Région d'Asefsaf
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27/04/2012 Tamurt n Althalj

7 ans de conception, design, construction des 4 grands aéroports du projet de Travaux Publics des Tamurt n Althalj.

Le projet Jaman prévoyait des infrastructures novatrices et permettant pleinement à la Recherche et Préservation (R&P) de disposer de moyens et flexibilités afin d'assurer toutes transitions technologiques dans le court ou le long terme.

  • Eish Althalj - Icemlet (Alth : قلب الامة)
  • Rihlat Jawiyat Rayiea - Ifilku (Alth : رحلات جوية رائعة)
  • Sighar Tuyur Alrimal - Asefsaf (Alth : صغار طيور الرمال)
  • Alrihlat Almajida - Acilmun (Alth : رحلات مجيدة)

Les aéroports devaient ainsi permettre avec parcimonie un tourisme vert, écologique et allant dans le sens de la Bienveillance.
La Sororité misait néanmoins sur l'internationalisation de la nation afin de permettre aux entreprises et aux opportunités de se connecter de manière plus efficace aux nations et peuples du monde.
Tandis que les yeux des étudiantes et des entreprises cherchant des environnements propices à l'innovation, à la recherche et des études en accord avec les aspirations écologiques, durables et responsables se tournaient vers les Tamurt n Althalj, un manque cruel d'infrastructures de transports aériens devint une priorité des grands Travaux Publics nationaux.
Les grandes villes étaient toutes équipées de chemin de fer, d'un système routier adapté à la population et densité Althaljir, toutefois les aéroports obsolètes ne pouvaient permettre à cette nouvelle génération de travailleuses internationales d'accorder pleinement leur confiance à notre pays de l'Ouest Afaréen.

Les aéroports manquaient de nombreux services et capacités.
Il fallut dés lors créer de nouvelles structures nationales et impliquer des partenariats avec les R&P afin de relever le défit de rendre compétitif l'Althalj au niveau aéroportuaire.
Les Tamurt n Althalj ne sont guère un carrefour aérien ou logistique mondiale. Largement excentrés en Afarée des lignes de communications classiques entre le Paltoterra et l'Eurysie, l'Aleucie et le Nazum et enfin le Nazum et l'Eurysie, Icemlet envisageait dés lors de redorer le "vide aérien" par l'Afarée et permettre de nouvelles routes vers l'Est Afaréen ou même l'Eurysie de l'Est par un hub Althaljir. L'Althalj est idéalement placée au sein de l'Afarée afin d'irradier sur ce continent peu desservi et c'est en ce sens que les Tamurt n Althalj escomptent un impact positif économique et social régional et continental.


Les voix de communications au sein du pays permettent de rejoindre facilement Lacrima du Perla, Esmea, mais aussi des régions frontalières Sahrannes.
Les projections montrent une synergie régionale sur le moyen et long terme, profitant des infrastructures Althaljirs.

Les éléments de considération étaient nombreux néanmoins, les chartes AG (Althalj Garantie) étant strictes sur la traçabilité des matériaux importés et utilisés au sein des Tamurt n Althalj :

  • Capacité (Projections de nombre de passagers par an)
  • Faisabilité (Expertise GorillAth, AlthaljAir et PanAfaréenAir + partenariat avec le géant de l'industrie Atlas de Novigrad)
  • Compliance (Charte AG + écologie et Bienveillance)
  • Adaptabilité (Technologies Althaljirs + technologies outre-Althalj)
  • Flexibilité (Terminaux et hubs permettant une utilisation de nouvelles technologies et carburants)
  • Efficacité et Connectivité (Rapidité de déplacement et d'embarquement + télécommunications + connectivité en transports en commun)
  • Sécurité (Interne et externe aux infrastructures)
  • Accessibilité (A toutes et pour toutes, subventions à PanAfarée Air)
Les priorités d'Icemlet furent de permettre à travers le projet Jaman, une émulsion de compétences et d'intérêts pour ces nouveaux équipements permettant une vision évolutive et durable du secteur aéroporté. Les technologies utilisant l'hydrogène n'étant pas encore mûres, il fut nécessaire de bâtir des structures autorisant le stockage de carburants alternatifs. Les dimensions des avions et les nouvelles connectivités en terme de transports en commun à venir devaient être envisagées afin de libérer des espaces.

Les 4 grands aéroports entrent dans l'Histoire Althaljir comme des chefs d'oeuvre nationaux avec toute prétention de rompre avec le terne ou l'image d'une Afarée qui ne dispose pas de sa place au sein du monde à la Paltoterrane.



"... nous avons, de ce fait, désigné des toits faisant office de système de récupération des eaux de pluie, nombreuses à Acilmun, Icemlet et Ilfiku. Nous comptons les mettre à profit au sein des services aéroportuaires, mais aussi opérant comme isolation thermique en montagne, comme aux abords de la mer d'Emeraude. Ces innovations en R&P..."
Représentant de PanAfarée Air, opérateur des Aéroports Althaljirs nationaux



Aéroport Eish Althalj - Icemlet (Alth : قلب الامة)
Vue aérienne de l'aéroport Eish Althalj - Icemlet (Alth : قلب الامة)


Aéroport Rihlat Jawiyat Rayiea - Ifilku (Alth : رحلات جوية رائعة)
Vue aérienne de l'aéroport Rihlat Jawiyat Rayiea - Ifilku (Alth : رحلات جوية رائعة)

Terminal de Rihlat Jawiyat Rayiea - Ifilku
Vue d'un terminal de l'aéroport Rihlat Jawiyat Rayiea - Ifilku
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