23/06/2013
11:58:21
Index du forum Scène Internationale Diplomatie internationale Organisations internationales Organisation des Nations Commerçantes

[Conseil Économique] – ONC

452
Logo

Conseil Économique de l’ONC

Conformément à l’Article 16 de la « Charte de l'Organisation des Nations Commerçantes », le Conseil Économique accueille les débats relatifs aux situations d’harmonisation économiques, commerciales et financières qui concernent l’ONC. Tous les états-membres peuvent proposer l’ouverture d’un débat à propos d’une situation en particulier ou proposer un vote sur une réglementation future voire une intervention financière commune pour une nation en difficulté.
5483
Logo ONC

Projet d'investissement et d'action économique
Relatif au déblocage de fonds, à la mobilisation d'experts et à l'unification autour d'un projet commun visant à fluidifier le voies commerciales vers Staïglad.


Proposé par :
Donna Emilia Montevelli, Représentante de la Sérénissime République de Fortuna à l'ONC
Date : 29 mai 2008


Préambule au vote :


Faisant suite aux traités signés entre l'ONC et l'UA en tant qu'entités morales ainsi que la plupart des états membres de ces deux organismes, ce dans le cadre du maintient de la paix dans un Prodnov meurtrie par les division autant idéologiques qu'économiques, les investisseurs étatiques comme privés se sont ainsi rués sur un nouveau marché vierge où tout est encore à construire et développer et qui offre, tout le monde ici y conviendra, des opportunités et des occasions qui ne se présentent qu'une fois par décennie en ce bas monde.

Cependant, force est de constater que malgré le succès apparent de la diplomatie, les nécessités concrètes de la République du Prodnov Libre ainsi que l'hostilité apparente et demeurant de certains acteurs de l'Union Albienne forcent l'apparition de disparités, de manques et de pénuries de façon générale au sein des besoins d'ensemble parfois des plus communs pour ces terres ainsi que ces habitants. De ce fait, la prospérité sur le cour comme sur le long terme s'en retrouve frappée au coeur et chancelle, et si pour l'heure cet état de fait peut être considéré comme sous contrôle et encore peu impactant, cela n'ira jamais en s'arrangeant si des mesures efficaces ne sont pas prises.

Ainsi et en tout état de cause,

Considérant d'une part l'état de ruine du pays où tout est à reconstruire et restructurer qu'il s'agisse des institutions politiques, de l'économie, des forces armées, du système éducatif et ce jusqu'aux cultures des champs et au réseau d'infrastructure,

Considérant des besoins en denrées de tout types et notamment de premières nécessités dû à une incapacité d'autosuffisance absolue du territoire et que l'on ne saurait tolérer autant d'un point de vue économique que humain sur le long terme,

Considérant l'hostilité semi-passive de gouvernements alignés avec l'état miroir de la RPL qu'est la République de Prepolov, qui de facto opèrent un obstructionnisme volontaire et croissant, qui ont mis en place un simili de blocus maritime afin de perturber les flux humains, humanitaires et commerciaux,

Considérant l'incapacité d'un pont aérien, même étendu à fournir ne serait-ce que Staïglad en denrée et biens nécessaire à une existence au moins digne,

La Sérénissime, par ma voix, propose à l'ensemble des membres de l'ONC ci présent de s'atteler à débloquer la situation en participant à un projet ambitieux autant en importance qu'en potentiels bénéfices et bienfaits, ceci en esquivant les acteurs jugés hostiles afin de ne point entrer dans un état de confrontation tout en restaurant des voix d'entrées et de sorties des biens comme des hommes au sein de la RPL. Ainsi donc, ledit projet consisterais, tandis que les voix d'accès maritime subissent l'obstruction et la mauvaise volonté, à déporter les points d'entrées continentaux plus à l'est, voir au sud.

Ceci implique en tout état de cause la restauration des réseaux de voie ferrés déjà existant, leur modernisation et surtout leur extension afin d'une part de couvrir l'ensemble du territoire de la RPL, mais aussi de permettre de rallier des nations étrangères. Deux d'entre elles de par leur position géographiques avantageuses, mais aussi de par des positions, au moins pour l'une d'elle jugés amicales en vers l'ONC et de par des bénéfices économiques mutuels potentiels pouvant intéresser la seconde, étant privilégiés.

Ce qui, entre autre, définirait cette entreprise comme un projet d'ingénierie civile transfrontalière et internationale qui sur le long terme, et dans le cadre de la fluidité des flux commerciaux mondiaux, bénéficierait à tous et toutes peu importent les affiliations, idéologies et cultures. Ainsi, dans le cadre de l'extension du réseau d'infrastructure de chemin de fer, il est proposé de rallier dans un premier temps, et de facto de relier les voix, du Prodnov ainsi que du Vogimska. Il est notamment à noter que les territoires les plus occidentaux de l'actuel Vogimska faisant partie de l'ex Prodnov communistes, les manoeuvres seront d'autant plus simple et potentiellement favorablement perçu par les Prodnoviens dans le cadre de la réunification des familles. L'adaptation des voies en elle même au delà est tout de même à privilégier.

Dû à la présence d'acteurs jugés proches, influencés ou potentiellement influençable par des organismes hostiles susmentionnés, ainsi que de par la possibilité de poursuite d'un obstructionnisme assumé, voir étendu, nous recommandons cependant de procéder à une prise de contact avec l'entité-nation connue comme "l'Empire Karpok" afin de lui proposer de prendre part, et ainsi de bénéficier des retombées économiques pouvant de facto avoir lieu. L'extension des voies ferrés dans ladite nation, et dans la foulée l'emploie des ports impériaux permettraient de créer des points d'entrées et de sorties moins exposés aux formes d'obstructionnismes actives subis actuellement par les points de chute de la RPL.

Qui plus est, la présence non loin par delà les mers d'état membres, à savoir la Sérénissime Fortuna et le Banairah, permettra en tout état de cause, d'après des estimations sérieuses, de limiter plus encore toute tentatives d'obstructionnisme et sur le long terme, pérenniser les flux régionaux, intégrer au réseau commercial mondial de nouvelles nations dans le cadre d'échanges et de négoces sur une base régulière et in fine, assurer une prospérité économique sur le long terme. Enfin, cela apportera des solutions aux problèmes d'approvisionnement rencontrés par la RPL, ce en évitant toute nouvelle escalade d'hostilité et permettant le cas échéant de recentrer les intérêts de l'organisation sur sa vocation première, assurer la fluidité du commerce et la poursuite des échanges.


Proclamation des résultats et synthèse des votes soutenus par les états membres de l'ONC :

POUR: LOFOTEN, NOVIGRAD, JASHURIA
CONTRE:
ABSTENTION: ALGUARENA, FORTUNA, YUHANACA, BANAIRAH


La mise en oeuvre du projet est :

Synthèse des logiques partisanes POUR le projet :


Synthèse des logiques partisanes CONTRE le projet :
1930
presidenceon

POSITION OFFICIELLE DES PROVINCES-UNIES : POUR

Søren Silvertrupp :

Nous approuvons la proposition de son excellence Donna Emilia Montevelli, Représentante de la Sérénissime République de Fortuna à l'ONC, le développement et l'extension d'un réseau ferré permettant l'accroissement du frêt de marchandises, et parallèlement la facilitation des lignes de ravitaillement logistiques et donc militaires sont totalement en phase avec l'idée et les principes mêmes visant à investir en l'avenir de la RLP.

L'enthousiasme et l'engouement des appels d'offres visant à la reconstruction de la RLP semblent être de bonne augure et traduit la confiance des investisseurs en la renaissance de la démocratie prodnovienne.
Nous apportons donc notre concours, notre appui et notre soutien financier si nécessaire au projet de la Serenissime République fortunéénne.

Toutefois, nous voudrions inscrire et que soit formalisé par écrit que le pont aérien opéré par les Provinces-Unies sera maintenu voir intensifié au cours des prochains mois. Nous ne sommes pas entièrement d'accord avec le diagnostique de notre estimé collègue, car force est de constater sur le terrain une relative efficacité ayant permit l'acheminement et l’approvisionnement de Staïglad en matériaux et denrées de première nécessité, grâce à la remise en service d'une partie de l'Aéroport International de Staïglad, ayant permit de doper la croissance du pays en quelques mois à peine.
Mais je conçède que la rotation et la fluidité des échanges n'est pas des plus optimisées.

En revanche, je confirme que le pont aérien est fort couteux, et mobilise nombre de ressources militaires et une surveillance constante de l'espace aérien prodnovien. Nous assumons ce coût et le prix de l'indépendance de la RLP tant que faire se peut, en tout cas aussi longtemps que les chemins de fers de la régie prodnovienne ne sera pas totalement opérationnelle et remodernisée. Des accidents ou des actes de sabotage ne sont pas à exclure et il n'est pas impossible que des éléments subversifs introduits par les Albiens, envieux et incapables d'égaler la réussite économique de la RLP, tentent de ruiner ou d'entamer le projet. Il nous faudra donc toujours assurer un plan B et un plan C.
714
Position de la République Fédérale de Novigrad

Konstantin Ivanov
Konstantin Ivanov est le haut-représentant novigradien auprès de l’ONC, c'est lui qui siège au nom de Novigrad.


Position actuelle : POUR

Le ravitaillement du Prodnov Libre est une problématique qui mobilise l’ensemble de nos forces vives dans la région. Novigrad souhaite dans ce sens s’assurer d’une multiplication des recours afin de maintenir l’opulence de la jeune république démocrate. Nous sommes donc favorables à cette motion, cette nouvelle ligne ferroviaire permettra de nouvelles opportunités autant stratégiques que commerciales. Cependant nous exigeons de solides garanties de la part de l’Empire Karpok concernant la sécurité de la ligne et envers l’ONC. Il serait d’ailleurs utile d’aborder la question du détroit Nazurysien.
1584
Position de la Troisième République du Jashuria

pasan
Pasan Sakda est le délégué jashurien auprès de l’ONC. Il siège à l’ONC au nom de la République des Deux Océans


Position actuelle : POUR

Le ravitaillement du Prodnov Libre est une problématique qui justifie à elle-seule une réflexion au niveau supranational. Au vu des éléments exposés par la Sérénissime République de Fortuna, la Troisième République du Jashuria, après plusieurs sessions extraordinaires du Cercle Intérieur, a décidé d’approuver le projet de déblocage de fonds afin de mobilier les experts autour de la création de lignes de ravitaillement sécurisées et pérennes dans la région de l’Eurysie de l’Est.

Le projet d’ingénierie transfrontalière porté par la Sérénissime est un projet qui dépasse de loin la simple construction de voies ferrées et de routes. Celui-ci s’inscrit dans une dynamique constructive d’échanges diplomatiques avec les nations de l’Eurysie de l’Est et notamment le Vogimska et l’Empire Karpok. Ce dernier, contrôlant en partie le détroit entre le Nazum et l’Eurysie, peut se révéler être un partenaire stratégique pour l’écoulement des marchandises en Eurysie de l’Est et le ravitaillement de la République Libre du Prodnov, sans nécessairement passer par voie de mer. L’instauration d’échanges diplomatiques et la mise en place de projets communs permettra, sur le long terme, d’intégrer le Karpok à notre sphère d’influence et à notre marché, ce qui stabilisera grandement la région et rassurera les investisseurs jashuriens et banairéens.

La République des Deux Océans approuve donc le projet de la Sérénissime République de Fortuna et se tient à la disposition de ses alliés dans le cadre de ce projet de stabilisation de la région et de consolidation des lignes de ravitaillement.
61
Clôture du vote, les absents sont considérés comme abstentionnistes.
4315
Logo ONC

Programme de relance économique par le tourisme
Relatif aux travaux d’harmonisation, de différents points vecteurs de tourisme à l'instar de la circulation routière.



Panneaux harmonisés et communs à chaque état membre de l'ONC.
Signalétique routière commune et permis international, le tourisme et l'économie des états membres de l'ONC en grand chantier.

Proposé par : Ichtaca Divigracia, représentant de la Fédération d'Alguarena à l'ONC
Date : 1er février 2011


Préambule au vote :


L'adoption de symboliques communes pour les panneaux du code de la route et d'un permis international partagés au sein des États adhérents à notre Organisation des Nations Commerçantes, peuvent constituer un ciment fédérateur et prospère à l'instauration de nouvelles dynamiques touristiques à travers l'organisation.

Le premier atout à cela et se devant d'être maintenu au dessus de la pile face à tout autre, c'est l'enjeu sécuritaire. Si on instaure une codification commune des panneaux et au final une signalisation routière standardisée, nos conducteurs quelque soit le pays de provenance et d'origine, sera formé dès son plus jeune âge. Ceci permettra ainsi à chacun d'eux, de comprendre avec plus d'aisance et une meilleure réactivité, les panneaux de signalisation qui lui seront opposés dans différents pays visités. On fait toujours grand cas de la langue comme barrière au brassage des peuples, permettez-moi de croire que face à un panneau rond, triangulaire, rouge, bleu ou vert, tout le monde arrivera à se comprendre... Parce que voyager, c'est découvrir et que le risque n'est pas une fatalité à la découverte, je vous demande de réserver toute la bienveillance possible et nécessaire à ce premier point, pour réduire le degré d'accidentologie impactant les touristes à l'étranger, une accidentologie en partie née de la confusion ou d'une mauvaise interprétation des indications signalées par des panneaux routiers.

Le deuxième point destiné à accompagner cette mesure, c'est la facilitation des déplacements internationaux ou en tout cas internes à notre organisation, par la création d'un permis international qui prévoit une simple conversion sur demande, du permis d'un pays A de notre organisation, vers un pays B également membre. Associée à une démarche d'harmonisation de la signalétique routière, l'instauration d'un permis international entre les états membres viendraient parachever le processus de simplification des déplacements de conducteur à l'étranger et au sein de notre état. Les conducteurs possédant l'un des permis en vigueur dans nos états membres, pourraient sans mal demander un permis international avec une date de validité. Toutefois, j'attire votre attention sur le fait que le permis international étant conditionné à la détention d'un permis local, une base d'informations administratives communes, portant recensement des personnes détentrices d'un permis national au sein des différents états membres, est impérative pour permettre la délivrance de ces permis internationaux. Ce point à part, il convient de souligner l'importance d'un tel permis, pour simplifier les démarches actuelles et relatives à la conversion d'un permis local.

En définitive et compte tenu des deux préalables cités plus tôt, il nous est aujourd'hui offert la possibilité de défendre un programme de développement du tourisme et par extension, de l'économie, au sein de nos états. L'adoption de panneaux de signalisation standardisés et d'un permis international contribue à l'harmonisation des règles de conduite entre les pays membres de l'Organisation des Nations Commerçantes (ONC), facilitant la compréhension mutuelle et encourageant le respect des normes de conduite communes dans nos états respectifs. Tout ceci s'inscrit bien évidemment dans une démarche de promotion du tourisme et des échanges internationaux, conformément à l'essence de notre organisation, puisque l'utilisation de ces différents éléments internationaux viendra faciliter les voyages touristiques ou les simples échanges internationaux.

Il est par ailleurs à souligner que si des frais trop importants devaient incomber aux états soucieux d'harmoniser cette signalétique routière, un bureau d'aides au développement, qu'il soit économique, touristique ou autre, reste ouvert au sein de notre organisation.

Proclamation des résultats et synthèse des votes soutenus par les états membres de l'ONC :
POUR: ALGUARENA, JASHURIA, PERONAS, NOVIGRAD.
CONTRE:
ABSTENTION:


La mise en oeuvre du projet est :

Synthèse des logiques partisanes POUR le projet :
  • L'adoption du texte de loi revêt des enjeux sécuritaires.
  • Ces travaux seraient à même d'entrainer des situations incitatives vers le développement du tourisme entre les membres de l'organisation, un procédé gagnant-gagnant pour les économies locales.

Synthèse des logiques partisanes CONTRE le projet :
3723
Position de la Troisième République du Jashuria

pasan
Pasan Sakda est le délégué jashurien auprès de l’ONC. Il siège à l’ONC au nom de la République des Deux Océans


Position actuelle : POUR

Le 1er février 2011, la Troisième République du Jashuria, représentée par l’honorable Pasan Sakda, délégué jashurien auprès de l’ONC, a rendu son verdict concernant la proposition de monsieur Ichtaca Divigracia, représentant de la Fédération d'Alguarena à l'ONC.

A mesure que notre organisation se forge une destinée commune sur la scène internationale et que nos partenariats se renforcent, la proposition de l’honorable Ichtac Divigracia s’inscrit dans le prolongement des actions menées jusqu’ici pour faciliter le commerce et les mouvements de capitaux et de personnes entre les pays-membres de l’Organisation des Nations Commerçantes. L’enjeu de l’harmonisation de la signalétique routière est une initiative des plus louables dans un contexte où nos pays sont amenés à travailler de plus en plus étroitement ensemble.

Loin d’abolir les frontières entre nos Etats ou de constituer une ingérence dans le développement et l’autonomie de nos nations, la proposition de l’honorable Ichtac Divigracia fait partie de ces nombreuses initiatives qui, à terme, permettront de rendre lisibles le paysage urbain de nos contrées respectives pour des yeux neufs. L’idée une codification commune, si elle est loin d’être nouvelle, a le mérite d’être d’une efficacité redoutable pour quiconque visite un pays étranger. Depuis maintenant plusieurs décennies, la Sérénissime République de Fortuna et la Troisième République du Jashuria partagent une codification commune, héritée de leur passé commun. Cette particularité fait qu’un citoyen fortunéen n’est pas perdu lorsqu’il arrive au Jashuria. Les récentes études menées sur les accidents de la route liés au tourisme vont dans le sens de l’Alguarena. La proposition d’une codification commune est appuyée par une amélioration réelle de la sécurité routière. A ce titre, la Troisième République du Jashuria émet un avis plus que favorable à la proposition d’une codification commune pour le code de la route, mais surtout, à la possibilité d’une harmonisation des permis de conduire dans l’espace de l’Organisation des Nations Commerçantes.

L’idée de création d’un permis international est bien accueillie par la Troisième République du Jashuria. Le niveau de développement des pays de l’Organisation des Nations Commerçantes et leur niveau d’exigence en matière de sécurité routière et de qualité des infrastructures fait que nous sommes assurés que la qualité des examens visant à la délivrance des permis de conduire est suffisante pour tous les Etats-membres, selon nos critères. Nous ne voyons pas d’objection à ce que cette initiative de signalétique commune se double de la délivrance d’un permis de conduire international. Il conviendra de statuer du fait de savoir si ce sont les permis nationaux qui seront valables sur les sols étrangers ou s’il sera nécessaire d’obtenir un permis international. Le Jashuria attire l’attention sur le fait qu’un permis international sera probablement plus efficace car l’harmonisation des permis de conduire nécessitera une négociation pour la reconnaissance des nouveaux permis avec les Etats non-membres de l’ONC. Nous préconisons de garder les permis actuels et de les doubler avec un permis international ou, de considérer que les permis déjà existants sont suffisants pour conduire dans toutes les routes des Etats-membres.

A ce titre, et au vu des arguments exposés par la Fédération de l’Alguarena, la Troisième République du Jashuria émet un avis favorable à la création d’une signalétique commune et à l’instauration d’un permis international pour les Etats-membres de l’Organisation des Nations Commerçantes. Il va de soi que les études stratégiques présentées par la Fédération de l’Alguarena montre avec des arguments convaincants et éloquents l’impact positif que ces mesures peu onéreuses auront sur le tourisme et l’économie de nos pays respectifs. Nous encourageons vivement les Etats-membres à voter sans réserve une telle proposition, qui va dans le sens d’un rapprochement de nos pays.


4458
Position de la République Démocratique de Péronas

pasan
Photo de Cleà Léanna s'exprimant au coeur de l'Assemblée Pérone. Elle sera élue à Péronas pour représenter Péronas au sein de l'ONC


Position actuelle : POUR

C'est le 4 février 2011 après études avec des membres du gouvernement Péron et en concertation avec le Président de la République que, Cleà Léanna rend son verdict au sein de l'ONC à propos de l'idée de Mr. Ichtaca Divigracia, représentant des Iles fédérées de l'Alguarena à l'ONC.

Alors que Péronas venait d'entrer récemment au sein de cette prestigieuse organisation, elle a rapidement pris conscience qu'elle avait la capacité d'influencer les décisions et les orientations de l'organisation tout autant que n'importe quel autre pays membre. Cette prise de conscience n'a pas été reçue avec déplaisir, bien au contraire. Elle a permis à Péronas de comprendre qu'elle était sur un pied d'égalité avec les autres nations, ce qui était une position qu'elle avait désirée depuis longtemps et qui correspondait parfaitement à ses ambitions globales. Cette première intervention de Péronas au sein de l'Organisation des Nations Commerçantes avait une importance capitale. Elle était l'occasion pour Péronas de s'affirmer, de faire valoir son point de vue et de participer activement à l'élaboration des politiques de l'organisation. Cette intervention, si elle était bien menée, permettrait de fixer certains points clés et de prouver aux autres États membres que Péronas méritait amplement sa place parmi eux, car Péronas ne voulait pas seulement être un membre passif de l'ONC. Elle aspirait à contribuer activement à la mission de l'organisation et à participer de manière significative à la prise de décisions. Elle voulait prouver qu'elle était non seulement capable d'apporter une contribution précieuse à l'organisation, mais qu'elle était également prête à assumer ses responsabilités et à respecter les valeurs et les principes sur lesquels l'ONC a été fondée.

Dans un premier temps et concernant l'harmonisation des panneaux du code de la route, nous y sommes plutôt favorables malgré que nous ayons quelques doutes concernant une telle mesures. Les éléments qui tendent en la faveur d'une telle proposition sont avant-tout d'ordre sécuritaire. Comme le prononce si bien Monsieur Ichtaca Divigracia, cela est un facteur d'accident. Actuellement, les différences dans les panneaux de signalisation entre les différents pays peuvent créer de la confusion chez les conducteurs, surtout lorsqu'ils sont en voyage ou lorsqu'ils conduisent dans un pays étranger pour la première fois. Ces confusions peuvent souvent entraîner des accidents de la route. Par exemple, un conducteur peut ne pas comprendre un panneau d'arrêt ou un signal de vitesse s'il est présenté dans un format auquel il n'est pas habitué. Cela peut entraîner des erreurs de conduite, des violations du code de la route, voire des accidents graves. En standardisant la signalisation routière, nous assurerions que chaque conducteur, indépendamment de son pays d'origine, comprendrait clairement les panneaux de signalisation. Il n'y aurait plus d'ambiguïté ou de confusion due à des symboles inconnus ou à des formats de panneaux inhabituels. Cependant, il y a derrière cela un certain coût économique. On parle là de former l'intégralité des conducteurs de nos pays aux nouveaux panneaux qui seraient implantés, et donc également remplacer l'intégralité des panneaux de plusieurs pays, c'est une logistiques longue, qui prend du temps, c'est-à-dire, que j'imagine qu'on aurait une transition progressive, et qu'un conducteur pourrait très bien avoir à faire à un ancien panneau, suivi d'un nouveau, suivi encore d'un ancien. Cela pourrait avoir de légères répercussions.

Dans un second temps, concernant donc la mise en place d'un permis international là encore nous y sommes favorables mais des doutes subsistent parce qu'encore une fois Monsieur Ichtaca Divigracia énonce de bons arguments, une telle conversion n'en serait que bénéfique pour tout le monde. La logistique n'en serait que réduite, les voyageurs n'en seraient que plus serein de voir à quel point ça peut être facile. Cependant, comme vous le précisez il suffit d'avoir obtenu un permis local pour en demander un international. Là est le plus gros problème, il en va de soit que chaque pays possède sa propre règlementation concernant l'obtention du permis de conduire, et en toute logique, au sein de l'Organisation, il existe un pays dans lequel il est statistiquement plus facile d'obtenir le permis et dans un autre où, au contraire, c'est beaucoup plus dur d'obtenir le permis. Cela signifie, par exemple, qu'un ressortissant d'un pays pourrait obtenir un permis international, sans toutefois satisfaire les exigences d'un autre pays. Il serait donc utile d'étendre la question à ce problème.

Cependant, la République Démocratique de Péronas émet toutefois un avis favorable à la proposition des Iles fédérées de l'Alguarena, tout en espérant que les points de flou évoqués par Péronas seront clarifiées. Pour appuyer également les propos du Jashuria, ces propositions sont exactement la vision d'un rapprochement entre nos pays.
4120
Logo ONC

7 MARS 2011 - CLÔTURE DU VOTE RELATIF AU PROGRAMME DE RELANCE ÉCONOMIQUE PAR LE TOURISME


L’Organisation des Nations Commerçantes (ONC) adopte le projet d’harmonisation de la signalétique routière et son permis international.

Permis de conduire international
Lancées sur un chantier ambitieux, les nations membres de l’ONC ont maintenant l’opportunité de repenser les dynamiques touristiques.


Le vote aurait pu jouir d’un soutien un peu plus appuyé mais sur la ligne d’arrivée, le résultat semble aller dans le sens des attentes (et des espérances) formulées par le représentant du gouvernement fédéral alguareno Ichtaca Divigracia, le programme de relance économique par le tourisme, relatif aux travaux d’harmonisation de la circulation routière, est adopté. Une première étape de franchie, et qui vient poser les jalons de chantiers plus ambitieux encore, par la constitution des groupes de travail chargés d’identifier les panneaux dont la signalétique se voudra commune à tous les pays de l'organisation. Quelle forme pour quelle obligation? Quelle couleur pour quelle interdiction? autant de questions existentielles qui vont se faire la base de travail de plusieurs experts de la sécurité routière et psychologues des pays affiliés à l'Organisation des Nations Commerçantes.

“L’harmonisation des signalétiques liées à la circulation routière ne saurait effrayer que l’attaché à l’urbanisme…” avait décrié Ichtaca Divigracia, en exprimant sa confiance dans le soutien des sphères économiques des différents états-membres, réaffirmant par la même occasion, l’impérieuse nécessité qu’avaient chaque état à souscrire au programme qu’il défendait.
Une plaidoirie manifestement entendue, par la ratification du programme, qui n’a pas souffert d’un quelconque obstacle notable, là où les plus indécis et réfractaires se sont contentés d’un vote abstentionniste le jour J. Une réserve qui, par chance, n’altère la ratification du projet. En marge du projet d’harmonisation de la signalétique routière, c’est également le projet d’un permis international qui semble voir le jour.

Alors bien entendu, sur le papier, tout est fantastique, mais l’annonce de l’adoption du programme a tôt fait de faire réagir la profession des auto-écoles en Alguarena, “le permis international, directement convertible auprès de nos institutions, sur simple présentation du document, est une aberration” souligne ainsi et sans détour, Filipe Andragares, président du collectif de soutien aux professions chargées d’enseignement non scolaires. Une critique qu’il justifie par le fait qu'un conducteur étranger, quand bien même les panneaux seraient les mêmes dans son pays, ne peut pas circuler de la même façon selon l’état des routes présentes au sein de chaque nation. “Imaginez-vous seulement un alguareno, prendre le volant dans les terres arides du Banairah, sans sensibilisation routière préalable, parce qu’il peut simplement justifier de l’obtention d’un permis en Alguarena? C’est absurde. Le recours au permis international n’est pas un gage de sécurité routière.”

Des propos logiquement nuancés par la direction d’une grande enseigne de location de voiture, représentée par Henrietta Lormeza, directrice générale de GRIYA, pour qui “l’instauration du permis de conduire est certes une aubaine commerciale, mais avant-tout économique et socioculturelle pour notre pays, par le brassage des cultures proposé à travers le tourisme. Sur le plan sécuritaire, très critiqué par nos homologues des auto-écoles, il importe de rappeler que l’usage du permis international se destine principalement aux étrangers de passage dans le pays et que sont mis à leur disposition des véhicules parfaitement adaptés aux conditions météorologiques et plus globalement, topographiques, imposées sur le territoire visité. Il ne peut être entendu, qu’un conducteur respectant les conditions de sécurité routière harmonisées entre deux états et circulant au volant d’un véhicule parfaitement homologué au sein du territoire visité, puisse être davantage en danger qu’un quelconque usager. Le lobby des auto-écoles et des chauffeurs de taxi sont amenés à repenser leur marché actuel, c’est un fait, mais il appartient à chacun de ne pas promouvoir la peur au profit du développement, ou la simplement préservation, de ses parts de marché…”

Des critiques virulentes, de part et d’autres, qui pourraient bien prendre fin avec l’issue du vote porté au sein des instances décisionnaires de l’Organisation des Nations Commerçantes, formalisant une fin de non-recevoir aux critiques émises par les sphères économiques des chauffeurs de taxi et des moniteurs d’auto-école.
2288
Logo ONC

Motion pour la reconnaissance des voies maritimes de l'ONC

Proposé par :
Konstantin Ivanov, haut-représentant novigradien auprès de l’ONC
Date : 09 août 2012

Préambule au vote :

Traité d'officialisation des voies maritimes de l'ONC.

Carte des voies maritimes

Le développement des moyens de transport de personnes et de marchandises a conduit le commerce mondial à croître plus vite que lors du dernier siècle. Dès lors, l’Organisation des Nations Commerçantes qui promeut le libre-commerce global, est déterminée à renforcer sa posture de leader des échanges commerciaux internationaux. Face à l’augmentation de la piraterie en haute-mer et de la menace bolchévique, l’ONC s’engage afin d’assurer la dissuasion et la défense face à toutes les menaces dans le milieu maritime en établissant des voies commerciales sécurisées.

En outre, la mise en œuvre des routes commerciales de l’ONC participe à un processus continu d'intensification et de fluidification des échanges, porté par l'essor des transports et des mobilités modernes. Cette mondialisation sous le patronage de l’organisation répond donc à des enjeux de stabilisation des échanges interétatiques entre les États–membres de l’ONC via notamment la reconnaissance de leur Zone Économique Exclusive et la suppression des obstacles douaniers pour ces derniers.

En définitive, ce document atteste de :

  • L’officialisation des voies maritimes de l’ONC comme itinéraire commercial international.
  • La reconnaissance des ZEE des États-membres de l’ONC.
  • La suppression des barrières douanières pour les navires civils en provenance des États-membres de l’ONC.
  • La mise en œuvre d’une doctrine de surveillance militarisée des voies maritimes sous le commandement propre des forces armées des États-membres de l’ONC.
  • La légitimité de l’Agence de Sûreté Interétatique (A.S.I), sous l’autorité de la Commission de médiation interétatique pour la justice et le droit, à contrôler les navires empruntant les voies commerciales de l’ONC.

Dans ce cadre, toute attaque avérée sur ces voies maritimes sera considérée comme une agression directe contre l’ONC et ses États-membres. Enfin, l’utilisation des routes commerciales par des États-extérieurs à l’organisation sera possible pour les nations agréées et reconnues comme n’étant pas hostile aux intérêts et missions de l’ONC.

Proclamation des résultats et synthèse des votes soutenus par les états membres de l'ONC :

POUR:
CONTRE:
ABSTENTION:


La mise en oeuvre du projet est :

Synthèse des logiques partisanes POUR le projet :

Synthèse des logiques partisanes CONTRE le projet :
2566
Logo ONC


La nouvelle ambassadrice pour les relations Provinces-Unies-ONC, Mme Mary-Alice Lockwood, une saint-marquoise naturalisée lofotène, avait remplacé le trublion Søren Silvertrupp, candidat malheureux du Libertarian Party, au terme d'une négociation interminable entre les parlementaires unionistes, socio-démocrates et des membres du Køenig Halfgård pour éviter une sortie de l'organisation internationale et un effondrement des relations du Lofoten avec ses alliés.
Ce fut l'une des nombreuses couleuvres que dut avaler Gudrün Stefersøn pour pouvoir sécuriser son accession au poste de Chancelière Fédérale, après des élections législatives parmi les plus sérrées de toute l'histoire des Provinces-Unies.

Mme Mary-Alice Lockwood a été pressentie pour accéder à ce poste, modérée et très en pointe sur les sujets d'écologie, elle a été diplomate en RLP avant l'invasion pharoise, ainsi qu'en Fujiwa et Althalj. Sa première intervention fut donc de répondre et et d'afficher la position de la nation lofotène à l'égard de la proposition de son correligionnaire M. Konstantin Ivanov, haut-représentant novigradien auprès de l’ONC :


Mary Alice Lockwood

Les Provinces-Unies ont toujours promu et développé les relations commerciales, les échanges de biens, de marchandises, de capitaux et de personnes ont toujours été la clé de notre réussite et notre prospérité.
Notre nation a été bâtie par les pères fondateurs sur le commerce maritime et international, qui ont amené les Provinces-Unies à construire de nombreuses relations pacifiques avec ses voisins et bien au delà des océans, et continue à le faire aujourd'hui. Voilà pourquoi nous ne pouvons que nous montrer très hautement favorables à la Motion pour la reconnaissance des voies maritimes de l'ONC, proposée par notre estimé collègue M. Konstantin Ivanov.

Nous nous engageons à signer le Traité d'officialisation des voies maritimes de l'ONC et à officialiser un état de fait et une situation réelle. En outre la reconnaissance des frontières et des ZEE permettra de lever toute ambiguïté ou toute velléité de contestation sur le statut actuel des routes commerciales et des zones soumises au droit international et aux droits légitimes souverains, à l'heure où le concept même de respect de l'intégrité des territoires et du caractère inviolable de la souveraineté des nations et des peuples semble remis en question voir ignoré par certains pays bellicistes qui entendent étendre leurs frontières à tout prix et assouvir leurs plus bas instincts impérialistes.

Nous devons réaffirmer notre volonté de paix, de développement économique et du droit des états à commercer et à échanger librement, dans l'intérêt des peuples et de leur prospérité, tout en gardant en vue les objectifs qui sont de donner une dimension plus respectueuse de l'environnement, et d'intégrer les notions de développement durables et de commerce équitable.

Décision finale des Provinces-Unies :

POUR:
2521
Logo ONC


"Le choix de retenir un axe maritime liant nos nations membres, est une opportunité pour nous envisager l'optimisation des moyens tournés vers leur sécurisation.

La démonstration qui est aujourd'hui faite est alors celle de la responsabilité, pour pérenniser des échanges commerciaux inscrits dans l'intérêt du plus grand nombre. La parole qu'est la mienne aujourd'hui, est empreint d'un engagement plein et entier vers la prospérité mutuelle des peuples, par leur capacité à importer les besoins ainsi qu'à exporter leurs ressources. L'officialisation des voies maritimes de notre organisation en tant qu'itinéraire commercial international représente un pas monumental vers une coopération plus étroite et une connectivité renforcée entre nos nations membres. Une volonté largement corroborée par la reconnaissance des ZEE de nos états membres, qui nous permettra d'affirmer leur souveraineté et de créer un cadre stabilisateur, pour les transports commerciaux maritimes sur zone.

La suppression des barrières douanières sollicitée par notre homologue et pour tous les navires civils en provenance de nos états membres, est une démarche à n'en pas douter ambitieuse, qui sera susceptible de dynamiser ces routes et de leur faire revêtir toute l'importance qui leur est due, non sans doper les hubs commerciaux là-bas.

Pour ce qui traite de la sécurité maritime, notre engagement pour cette motion ne souffre d'aucune demi-mesure, puisqu'il n'y a de pérennité sans garantie et ces garanties tiennent par notre capacité à sécuriser les espaces commerciaux maritimes de la scène mondiale où nous voulons voir prospérer la libre circulation des biens.

La légitimité de l'Agence de Sûreté Interétatique, sous l'autorité de la Commission de médiation interétatique pour la justice et le droit, est réelle en ce qui concerne la sécurisation des intérêts de l'Organisation, où qu'ils soient dans le monde. Cependant, il convient de juger cette institution opérationnelle, qu'à la seule condition d'une coopération étroite avec nos forces navales.

Ainsi donc et en définitive, la Fédération d'Alguarena ne saurait offrir qu'un écho favorable à la proposition de notre homologue et haut-représentant novigradien Konstantin Ivanov.

La capacité de l'Organisation des Nations Commerçantes, à offrir un cadre sécuritaire aux échanges mondiaux sur la base de routes définies, est un acte salutaire qui évitera la formation de régions laissées pour compte à la marge des échanges internationaux et dont l'incapacité à capter des importations ou encore à générer des exportations, serait susceptible de générer des maux d'importance pouvant aller jusqu'à l'apparition de pénuries alimentaires graves. L'ONC a les moyens de cette ambition, j'invite chacun à venir traduire ici sa volonté à les mettre en oeuvre...

Merci pour votre attention."

Décision finale de la Fédération d'Alguarena :

POUR
Haut de page