Projet de motion
Relatif à l'adoption d'une monnaie internationale destinée à sécuriser les capacités d'approvisionnement des états membres de l'ONC.
Proposé par : Ichtaca DIVIGRACIA, Président de l'Organisation des Nations Commerçantes.
Date : 27 avril 2008
Préambule au vote :
Considérant les disparités économiques et commerciales entre nos états membres, la différence des taux de change et des cours monétaires pour chacun d'eux, la Présidence de l'Organisation des Nations Commerçantes identifie comme une action nécessaire, la création et l'adoption d'une monnaie internationale.
L'utilisation de cette monnaie internationale est comme son nom évocateur l'indique, strictement réservée au règlement des importations et des exportations, en provenance et à destination d'un territoire membre de l'Organisation des Nations Commerçantes. Elle ne peut faire l'objet d'une détention que par les États et les entreprises privées à dimension internationale.
La mise en place d'une monnaie internationale implique la création de deux taux de change, un taux de change à destination onshore (virement vers l'intérieur d'un Espace Economique Harmonisé, c'est-à-dire utilisant la même monnaie internationale) et offshore (virement sortant vers une destination extraterritoriale, hors Espace Economique Harmonisé, c'est-à-dire qui ne détient pas l'Ecobelt).
Selon que la monnaie soit utilisée à une fin onshore ou offshore, son taux de change diffère. Cette monnaie internationale aurait donc une valeur plus forte sur les taux de change si vous l'utilisez pour acheter des biens à importer, ce qui aurait pour effet immédiat d'accroitre le pouvoir d'achat des états membres et des industriels de l'EEH contraints d'importer des biens.
L'autre intérêt de cette manœuvre est d'éloigner nos monnaies nationales des marchés internationaux car celles-ci, utilisées sur nos seuls territoires, ont les reins beaucoup moins solides et peuvent voir leurs cours fluctuer plus facilement, qu'une monnaie utilisée par une dizaine de pays, parmi les plus développés au monde.
Dans une approche plus détaillée et technique,
vous trouverez sous ce rapport, les conditions dans lesquelles, le recours à une monnaie internationale est favorable au développement économique ainsi que commerciales des nations membres de l'Organisation des Nations Commerçantes.
Une monnaie internationale existe déjà à cette fin, et fait l'objet d'une utilisation par plusieurs états, dont quatre états membres de l'Organisation des Nations Commerçantes, le Saint-Marquise, L'Alguarena, le Yuhanaca et le Fortuna.
En dehors de ces états, tous membres de notre collectif, aucune autre institution gouvernementale n'est à ce jour autorisée à utiliser l'Ecobelt pour le citer. C'est-à-dire que l'Organisation des Nations Commerçantes, avec votre soutien plein et entier, peut reprendre à son compte l’utilisation de cette monnaie internationale pour fructifier ses échanges et piloter d'une même voix la définition d'un taux applicable à cet outil économique sans nul autre pareil dans le monde qui nous entoure...
Proclamation des résultats et synthèse des votes soutenus par les états membres de l'ONC :
POUR: 3
CONTRE: 4
ABSTENTION: 1
Le texte de projet de loi est REFUSESynthèse des logiques partisanes POUR le projet de motion:
République Fédérale du Novigrad, souhait d'accentuer les échanges commerciaux entre les nations et de produire une puissance économique de premier plan à l'international.
Fédération d'Alguarena, le projet d'adoption d'une monnaie internationale est pleinement inscrit dans l'optique d'un développement du comme intertional.
République de Saint-Marquise, perçoit la monnaie internationale unique comme une opportunité, en cohérence avec l'adoption déjà ratifiée d'une monnaie internationale, par cet état.
Synthèse des logiques partisanes CONTRE le projet de motion:Reinaume d'Aumérine, perçoit l'adoption d'une monnaie internationale comme un cheval de Troie alguareno destiné à mieux contrôler l'organisation. A parallèlement exprimé son désaccord avec la politique étrangère de l'ONC, notamment celle débutée au Prodnov.
Provinces-Unies du Lofoten, l'adoption d'une monnaie internationale dans un contexte géopolitique global tel que celui-ci n'est pas opportun et fournirait à nos détracteurs des leviers supplémentaires pour dénoncer la performance de notre organisation.
République Directe du Banairah, a exprimé des craintes que la monnaie internationale soit de provenance alguareno et n'attire donc autour de l'ONC que des oppositions naturelles avec les principaux rivaux internationaux de la Fédération d'Alguarena.
Troisième République du Jashuria, identifie l'adoption d'une monnaie internationale comme une décision souveraine pour laquelle l'Organisation des Nations Commerçantes ne saurait prédisposait en lieu et place des gouvernements nationaux.
Synthèse des logiques partisanes S'ABSTENANT sur le projet de motion:République Sérénissime du Fortuna, identifie l'adoption d'une monnaie internationale comme une initiative personnelle, à individualiser entre chaque état.