16/06/2013
11:53:42
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Discours du nouveau Chef Suprême

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Il était 6h30 du matin quand Kuklin Viktor appris qu’il était le nouveau chef suprême de Prodnov. Cette nouvelle l’enchantait mais l’horrifiait aussi, le pays était en proie à des conflits internes et une grosse partie des membres du gouvernements étaient en relation avec des espions internationaux.

Moins d’une heure après la nouvelle, il se décida à préparer un discours pour remercier le peuple de lui avoir fait confiance.
Cette tâche l’occupa pendant toute la matinée jusqu’à ce qu’un de ces collaborateurs lui annonce que la nouvelle de son élection avait été annoncé sur les télévisions national. C’est alors que quelques minutes après cela, il entendit des personnes sous son balcon de son appartement à Staïglad. Il s’approcha délicatement de son balcon tout en ayant peur que le groupe de personne soit armé et prêt à l’éliminer.

Au fur et à mesure qu’il s’en approchait, il entendait de plus en plus de bruit, de cris de joie et de klaxons.
Soudainement alors qu’il s’apprêtait à tirer son rideau pour voir la foule, son collaborateur l’averti

« Kuklin ce n’est pas prudent, imagine que ce soient des opposants politiques, tu risquerais de mourir !
- Eh bien si c’est le cas, tant pis au moins je serais mort en chef suprême »

Après c’est mots, il tira ces rideaux ce qui laissa entrer le soleil de midi qui l’éblouit. Après que ses yeux eurent acceptés cette lumière, il vit une énorme foule rassemblé chantant en cœur l’hymne national pour célébrer sa victoire. Il n’arrivait pas à savoir précisément combien ils étaient mais s’il devait choisir il aurait bien dit 6000 personnes. Nombre d’entres elles étaient au garde à vous et avaient les larmes aux yeux, plusieurs autres portaient des portraits de l’ancien chef suprême mais il vit aussi les centaines de militants anti-communiste qui guettaient et rodaient autour de la foule. Après ces longues minutes de contemplations, il se décida à parler.
Il y a foule sous le balcon du nouveau chef WAW incoryable n'est ce pas ?
« Ô grand peuple prodnovien !
Que je vous aime, vous n’imaginez pas à quel point je suis heureux de pouvoir vous représenter aux yeux du monde. Malgré la montée en puissance de la traitrise envers notre nation et notre système politique, vous avez su faire preuve d’une grande lucidité et d’une grande sagesse en m’élisant.
Ce serait vous mentir de vous dire que les prochains mois seront simples, mais je ferais tout pour que vous soyez récompensé de votre héroïque choix que de m’élire chef suprême.
Ensemble, nous allons remettre sur pieds le pays, NOTRE pays ! »

Il finit son discours au garde à vous et avec la larme à l’œil. Aussitôt toute la foule qui avait encore grossi avec le temps se mit à crier et à l’acclamer puis à reprendre leur hymne.

« Laknov ! Appelle Alex de la part s’il te plaît
- Alex ? Mais tu sais très bien qu’appeler une personne en dehors du pays sera mal vu par la population !
- Mais ce n’est pas un international ! C’est un ami à moi dans les forces spéciales, demande-lui de ma part le groupe de sécurité suprême.
- Ok »

Quelques minutes plus tard, un son attira l’attention de Kuklin. Alors que le silence régnait dans la rue pendant que la foule attendait le retour du nouveau chef suprême, un rebelle infiltrait chargea un fusil d’assaut RY-50B pour abattre la foule et le nouveau chef suprême.

Kuklin entendit très vite le bruit méconnaissable entre mille d’un RY-50B se chargeant. Mais avant qu’il ait eu le temps de bouger, des hurlements se firent entendre dans la rue. Kuklin courut jusqu’à son balcon pour voir son ami Alex un couteau ensanglanté à la main avec 6 autres hommes tous militaires. L’assaillant gisait au sol, Alex venait de l’égorger…

Il entra avec 4 de ces hommes dans l’appartement de Kuklin pendant que les deux autres soldats se chargèrent de se débarrasser du corps tout en étant acclamé par la foule.

« T’es un malade Alex. Cria Kuklin
- Ohhh ça va, c’est pas la première fois que je dois tuer un assassin sous le balcon d’un chef suprême, toi-même tu le sais.
- C’est pas une raison, j’ai cru que tu allais encore crier « C’est drôle lui il crie pas en mourant ! » comme tu le fais d’habitude.
- Tu me prends vraiment pour un sauvage Kuklin
- Bon, je vais descendre faire un bain de foule, je compte sur toi et tes hommes pour me protéger mais pas pour tuer !
- Chef oui chef ! »

Quelques minutes plus tard, il était dans la rue avec ces partisans entrain de profiter de sa victoire et de la joie que les prodnoviens partageaient.
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Depuis plusieurs jours, des tracts annonceant la mort de Kuklin Viktor circulaient. Ils étaient bien évidement faux et la grande majorité de la population le savaient et commençaient à être lassés d'une révolution voulant une destruction totale des traditions Prodnovienne et de leur honneur.

Les révolutionnaires apparassaient de jours en jours de plus en plus comme des traitres et comme des lâches prêts à tout pour le pouvoir.

La côte de popularité du chef suprême ne fait qu'agmenter et les chiffres sont vrais, la population est toujours plus fier de son dirigeant et le montre de plus en plus.

De nombreuses milices locales et totalement indépendantes de la volonté des dirgieants naquirent et dénoncèrent, infiltrèrent et démantelèrent les cellules d'insurgés.

Touché par l'élan de popularité à son égar, Kuklin Viktor pris la parole à son palais.

"Imagine qu'un rebel tente de me tuer à nouveau. Dit Kuklin à son ami Laknov

- Détends toi, ils t'adorent de plus en plus et d'ailleurs pour ta gouverne, les gars de Alex sont là.

- T'es sûr ?

- Bah oui comment tu veux les rater ces brutes ?

- Ouais ta raison je dois stresser pour rien, ma cravate est bien mise ?

- Parfait comme d'hab

- Ok Souffle je suis prêt je crois

- C'est toi qui l'a dit !"

Kuklin poussa les grandes portes qui menaient à son balcon.

Aussitôt une énorme foule rassemblée dans les jardins de son palais cria de façon désynchronisée son nom en son honneur, brandissant fièrement le drapeau prodnovien et certaines fois chantant l'hymne nationale.

"Bonjour à tous ! Voyez je ne suis pas mort ! Je ne suis pas non plus un criminel et encore moins un traitre ! La foule hurla de joie Un message pour les soit disant rebels sauveurs de la nation ! Prenez c'est acclaments comme une preuve que le peuple ne vous suit plus ! Les ovations reprirent de plus belle Vous finirez par perdre et par comprendre que je ne veux aucun mal à la nation et que les temps sombre sont enfin terminés. Peu importe les tensions que les médias internationaux peuvent rellailler, Prodnov a su rester grand et plein d'honneur. Dés aujourd'hui, je déclare haut et fort devant vous que l'occupation des villes par les troupes est terminée pour enfin laisser place à la seraineté et à la vie. Sachez également que toutes les petites cellules rebelles restantes sont sous surveillance gouvernementales depuis plus d'une semaine grâce à la présence d'espions internes dans celle ci.
Et voilà au grand peuple prodnovien, votre liberté et votre prospérité ne tardera pas à faire son retour et nous retrouverons notre honneur.
Vive Prodnov et VIVE LE COMMUNISME"

La foule cria de joie encore une fois et ne s'arrêta pas pendant plusieurs minutes jusqu'à ce que les premières notes de l'hymne Prodnovien ne rententirent des instruments du bataillon musical prodnovien.

Dés lors que la foule les entendirent, elle se mit à chanter l'hymne alors que Kuklin décendait pour rejoindre le peuple.

"Je crois que tu as réussi à les réveiller !

- Oh que oui Laknov

- Les insurgés vont commencer à stresser et peut-être même à se rendre avec les annonces que tu as fait

- En plus je suis fier de t'annoncer que ces annonces sont vraies, les cellules rebelles sont sous surveillance et je peux te citer tous les noms des insurgés

- Incroyable tu es un génie

- C'est pour ça qu'on m'a élu !"

Alors qu'il eu finit de parler, deux membres de l'escouade à Alex ouvrirent les portes qui ménaient au jardins où la foule hurla à la vue de Kuklin.

Il fut accueillit tel un chanteur, les gens couraient et le portaient à bout de bras pour le faire traverser la foule. La foule était tant euphorique que les gardes personels de Kuklin ne purent le suivre.
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