03/07/2013
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[VALIDEE] Astyarie (NJ2)

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Considérant que l'Arovaquie n'était pas ma "vraie" NJ2 (comme je le disais lors de la création de sa fiche) et servait juste à continuer le RP engagé dans l'Empire rémien, je poste à présent ma "vraie" NJ2, l'Astyarie. Contrôlant encore l'Arovaquie comme NJ, je ne sais pas si cette fiche sera directement acceptée, ou acceptée tout court. Je la poste dans tous les cas, au moins pour émettre l'idée de ce que je veux faire. Et puis de toutes manières je me suis bien amusé à la faire x) Si elle était acceptée ça m'arrangerait bien, comme ça je pourrais faire du RP sans attendre l'arbitrage des conflits en Kaulthie.

Création de pays : Astyarie (NJ2)


Généralités :



Nom officiel : Royaume antalide de Kélétivares
Nom courant : Astyarie
Gentilé : Astyares (Peuple), Kélétivarais (Adjectif pour désigner tout ce qui est l'Etat, utilisé principalement par les experts de la géopolitique ou les documents officiels)

Inspirations culturelles : Etats Latins d'orient + Israël/Palestine (Histoire), Magyars (Culture des élites), Francs d'Outremer + Perses sassanides (Culture populaire)
Situation géographique : Nazum de l'Ouest

Langue(s) officielle(s) : Tégérente (Hongrois, influences perses)
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Ostramare (syncrétisme de langues européennes, principalement le Kaulthe et des langues romanes), Sygure (Perse, influences arabes), Parcine (Tibétain)

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle : Le Sang perdure (devise de la Maison Antalide)
Hymne officiel : Symphonie du Nouveau Monde (L'Ostramare, nom de l'Astyarie pour les Eurysiens du XVIème siècle, étant comme le Nouveau Monde.)


Monnaie nationale : Couronne astyare (AK)

Capitale : Kélétivares

Population : ~ 12 000 000 habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :

L'Astyarie est un pays à l'histoire millénaire, qui a joué un rôle central dans de nombreux conflits entre civilisations.

Le pays est divisé en trois parties, d'ouest en est : le littoral, propice au commerce ; une zone plutôt désertique, l'Arshikoure, traversée par un fleuve, la Vörya, qui permet le développement de villes le long de ses rives ; puis des montagnes infranchissables, les Arrates, dont la partie astyare est appelée la Parce.

Les Kimes sont les premiers habitants sédentaires de l'Astyarie, et l'une des premières civilisations du monde grâce à la Vörya. On ne connait que très peu de choses d'eux, excepté qu'ils, leur population s'étant éteinte assez rapidement, et pour des raisons inconnues.

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Astyarie vers - 2 000

Vers 1500 avant notre ère, l'Astyarie connait deux invasions simultanées : celle des Aryshes, venus des steppes du Nord du Nazum, et les Proto-Parcines, qui s'emparent de l'est du pays. L'Aryshie, la partie aryshe du pays, va alors connaître une grande expansion, étant plutôt avancée pour son époque. Jusqu'alors, l'Astyarie est une simple civilisation du Nazum, avec lequel elle partage sa culture.

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Astyarie vers - 1 100

Mais, au IXe siècle avant notre ère, les Varanyens franchissent la mer depuis l'Afarée, et commencent à commercer avec les Aryshes. Ceux-ci, ouverts sur la mer mais isolés du reste du Nazum à cause des Arrates, développent une culture fortement influencée par les Varanyens, qui se reflètent jusque dans leurs rites. De nombreux comptoirs varanyens sont créés le long des côtes, devenant petits à petits des colonies.

Au cinquième siècle avant notre ère, le roi varanyen Sattarzak envahit l'Aryshie, et la rattache à son royame afaréen. Les Aryshes restent très majoritaires dans la région, les Varanyens restant sur le littoral. Mais, lorsque Nashappur II, petit-fils de Sattarzak, perd le contrôle de ses territoires en Afarée, de nombreux Varanyens viennent s'installer en Aryshie. Nashappur décide de faire de l'Aryshie le nouveau royaume des Varanyens, qui devient alors l'Astyarie.

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Astyarie vers - 400

Les Varanyens peuplent alors de plus en plus les littoraux, et les Aryshes perdent contrôle de toutes les positions de pouvoir. Ils adoptent petit à petit la culture varanyenne, mais leur langue reste très parlée à l'est de l'Astyarie, région qui prend alors le nom d'Arshikoure.

Au Ier siècle avant notre ère, le général héllénique Patrice le Brave conquière l'Astyarie pour le compte de l'Empire rémien, dont il devient le Roi tout en restant vassal de l'Empire. Les Héllènes s'implantent alors dans les villes portuaires, et forment la nouvelle élite du pays. Durant la même période, le Mazdéisme s'implante en Astyarie.

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Astyarie vers - 50

Vers l'an 80, les Varanyens se révoltent contre les Héllènes, et l'un d'eux, Balkhappar, devient roi d'Astyarie. Mazdéiste, il expulse les quelques chrétiens qui tentent de convertir la population, et le Mazdéisme devient la religion de l'Etat. Les Héllènes et les Rémiens sont également expulsés avec eux, laissant les ports aux Varanyens. Enfin, les derniers Aryshes sont totalement assimilés, et le Varanyen est parlé sur l'ensemble du territoire. Le royaume d'Astyarie sera divisé à sa mort.

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Astyarie vers l'an 100

Au IIème siècle, le Roi varanyen d'Arshikoure Vekhar II décide d'envahir les Attares, et les Parcines, qui parlent une langue sinitique, sont intégrés à Arshikoure. Très influencés par les cultures orientales et très peu par les Varanyens jusqu'alors, le choc culturel entraine de nombreuses révoltes de la part des Parcines. Finalement, la marche de Parce est créée : c'est un Etat vassal à l'Arshikoure, mais dirigé par des Parcines. Le mazdéisme se diffuse parmi les Parcines.

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Astyarie à la fin du IIème siècle

C'est au VIIème siècle que naissent les Sygures, lorsque les Arabes musulmans envahissent le pays. L'Astyarie ne restera pas longtemps sous le contrôle direct des Califes, mais les Arabes resteront plus de quatre siècles aux commandes de l'Emirat d'al-Sighya, qui englobe le littoral, l'Arshikoure et la Parce. Les Varanyens adopteront de nombreux éléments de leur culture, donnant naissance à la culture sygure. L'Islam, cependant, peinera à s'implanter, le Mazdéisme étant bien enraciné dans la culture sygure.

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Astyarie à la fin du VIIIème siècle

Le XIIe siècle marquera un tournant innattendu à l'Astyarie. Tout commence en Eurysie orientale, où s'est implanté le peuple des Ougriens. L'Empereur kaulthe Karl organise la Quatrième Croisade contre les Musulmans d'Afarée. Très vite, le Roi ougrien se joint à lui. Mais les Croisés subissent plusieurs défaites consécutives, et les Ougriens se réfugient sur la côte orientale de l'Afarée. Mazyar, un marchand sygure qu'ils rencontrent, leur raconte alors qu'il a vu l'ange Gabriel, alors même qu'il n'était jusqu'alors pas chrétien. Gabriel lui aurait demandé de mener les Ougriens vers une terre détenue par des païens, qu'ils devraient évangéliser : l'Astyarie. Les Ougriens et Mazyar partent alors pour l'Astyarie. Les Arabes, encore présents en Astyarie, sont surpris de l'attaques des Ougriens, et fuient vers l'est du pays pour préparer une contre-attaque. Les Ougriens prennent alors le littoral et la ville de Keyhan, principale ville du pays et capitale du Mazdéisme. Mazyar devient le premier Evêque de Keyhan pour le compte du Pape, et le croisé ougrien Lovak devient Roi d'Astyarie. Les Ougriens repartent, laissant quelques chevaliers pour défendre le nouveau Royaume de Lovak derrière eux.

L'Empereur kaulthe Karl saute sur l'occasion pour faire de Lovak son vassal, en lui proposant de le défendre contre les Arabes à condition qu'il lui prête allégéance. Lovak refuse, mais, croulant sous les attaques des Musulmans, il appelle le Pape à l'aide. Et c'est Karl qui répond à l'appel, avec pour but de forcer la vassalisation de l'Astyarie. Il organise alors la Cinquième Croisade, dirigée contre les Arabes d'al-Sighya (l'Astyarie musulmane qui persiste à l'est). De nombreux barons d'Eurysie occidentales se joignent à lui, et ils arrivent tous en Astyarie aux côtés des Ougriens. Les Arabes sont vaincus, et l'Astyarie est unifiée sous le contrôle des Catholiques.

Karl dirige alors ses troupes contre Lovak, qui refuse toujours de devenir son vassal. Celui-ci, déjà bien implanté en Astyarie, profite de la situation en brûlant la flotte croisée, coupant les Croisés de l'Eurysie. Tous les barons présents sont d'ailleurs considérés comme morts par les Eurysiens, à cette époque, qui pensent que la Cinquième Croisade est un échec. Karl est vaincu par Lovak, qui, pour éviter une vengeance des barons, leur offre quelques petits territoires sous condition qu'ils lui prêtent allégéance et qu'ils abandonnent leur vie en Eurysie. Très peu accepteront, les autres prenant les navires de Lovak pour repartir. Ceux qui restent sont alors appelés les Ostramares, et nombreux d'entre eux seront canonisés ou béatifiés pour leur service à la chrétienté.

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Astyarie à la fin du XIIème siècle

Le Royaume d'Astyarie devient alors le Royaume chrétien d'Ostramare, perdurant pendant près de trois siècle. Pendant cette période, les Ostramares tentent de convertir les Sygures, et de nombreux conflits auront lieu. L'Islam disparaitra, mais le Mazdéisme restera enraciné, la majorité des Sygures restant encore mazdéens. Cependant, le littoral se christianise bien plus que le reste du pays, et la culture ostramare, issue du syncrétisme des cultures des croisés s'y implante. La culture ougrienne va elle se dissocier de la culture ostramare et devenir bien plus importante à Keyhan, la capitale. Les Ougriens, au contact des Sygures, vont devenir les Tégérentes. La langue tégérente devient alors la langue parlée par les élites du pays, et de nombreux Astyares vont l'adopter. Seuls les littoraux échappent à la règle, puisque que c'est la langue ostramare qui y est la plus parlée.

Du premier roi, Lovak, va naître la Dynastie des Sandorides (du nom de son père, Sandor). Les premiers Sandorides sont appelés les Lovacides. Ils règnent jusqu'au XVème siècle, et ont déjà gagné une légitimité presque divine pour les Chrétiens. Les Lovacides s'éteignent alors durant la Révolte de Parce, une révolte de Parcines mazdéens qui tentent de placer un Mazdéen sur le trône.

Ils réussissent, et c'est la dynastie parcine mazdéenne des Bhotan qui prend le pouvoir, pour un siècle. Le Royaume chrétien d'Ostramare tombe, et redevient le Royaume d'Astyarie. Le christianisme recule, et les échanges commerciaux avec l'Afarée et l'Eurysie disparaissent pour laisser places à des échanges avec les pays nazuméens.

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Astyarie à la fin du XVème siècle

Les Bhotan sont ensuite renversé par les Enguerrins, une branche cadète des Sandorides catholiques, qui a pour particularité d'être ostramare et non pas tégérente. Les Enguerrins sont très vite renversés par les Waleranides, une autre branche sandoride ostramare. Les Waleranides vont réussir à renouer leurs liens avec le Pape, et vont perdurer jusqu'au XVIIIe siècle. Là, c'est la branche des Addalindides qui prend le pouvoir. Inspirée des révolutions qui ont lieu en Eurysie, les Addalindides vont régner trente ans, instaurant plusieurs réformes libérales. Ironiquement, ils sont renversés par des révolutionnaires démocrates, qui instaure un Parlement.

Le Parlement est renversé à la fin du XIXème siècle par les Royalistes, qui installent le tégérente Antal au pouvoir. Antal est un Sandoride, ce qui accroit sa légitimité. Mais il est Mazdéen, alors que l'élite du pays est exclusivement catholique. Antal mène alors une politique dictatoriale pro-mazdéenne, et les Catholiques sont réprimés très durement. Il a le soutien des Mazdéens, et, même si ceux-ci ne sont plus majoritaires, cela lui permet de se maintenir au pouvoir. En deux décennies, l'élite catholique est presque entièrement remplacée par une élite mazdéenne. Le pays devient une véritable théocratie héréditaire. L'ancienne capitale Keyhan est officiellement renommée Kélétivares, nom par lequel les Tégérentes l'appellaient déjà.

Antal fonde la Maison des Antalides, nouvelle branche des Sandorides, et l'hégémonie de la ville de Kélétivares sur l'ensemble du territoire provoquera le changement de nom du Royaume d'Astyarie, pour devenir le Royaume antalide de Kélétivares. En effet, les Sygures s’appellent eux-même les « Astyares », et donner ce nom au pays leur laisserait l’impression que l’Astyarie est sygure. Aux yeux du monde, cependant, le nom le plus souvent utilisé pour le pays restera l'Astyarie.

Au cours du XXe siècle, l'oppression religieuse des mazdéens sur les chrétiens décroit peu à peu, mais laisse place à une oppression éthnique de la part des Tégérentes. Les théories raciales fusent, et les Tégérentes deviennent petit à petit les seuls détenteurs du pouvoir. La puissance de la Maison Antalide déclin, et une oligarchie se met petit à petit en place, dominée par plusieurs maisons tégérentes (chrétiennes comme mazdéennes); nombreuses étant des branches des Sandorides.

Craignant l'oppression des Etats démocratiques et libéraux du reste du monde, les Antalides décident dans la première moitié du XXème siècle de donner un aspect plus démocratique à leur Etat, et fonde un Parlement à deux chambres. Cependant, seuls les Tégérentes peuvent réellement voter, et les Maisons conservent de facto le pouvoir.

Kélétivares est cependant loin d'être une dictature, le pouvoir en place étant constamment remis en cause par les Maisons non-tégérentes. Les Antalides n'ont plus réellement de pouvoir fort, et doivent concéder à de nombreuses décisions des Maisons.

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L'Astyarie aujourd'hui

Aujourd'hui, les 50 ans de règne du roi Antal Akos ont apporté une stabilité relative au pays. La période de l'oppression raciale des Tégérentes touche à sa fin, et Mazdéisme et Christianisme parviennent à coexister, malgré de nombreux conflits dans les rues mais aussi entre les Maisons.

Mentalité de la population :

L'Astyarie est divisée entre 4 cultures. En général, chacune des cultures se voit comme la "vraie" culture du pays, et aucune n'accepte vraiment de considérer que les autres cultures sont légitimes. Les Tégérentes mazdéens forment l'élite de la population, et constituent une classe de plus en plus supérieure en pouvoirs. Les Sygures, chrétiens comme mazdéens, conservent farouchement leur culture, et voient les autres cultures comme des usurpateurs. Les traditions sygures sont profondément ancrées dans leur mode de vie, et ils rejettent de nombreux éléments de cultures venus du monde. Les Ostramares sont peut-être les plus ouverts au monde, mais ils ont poussé le christianisme aux etrêmes, refusant souvent catégoriquement de parler avec les "hérétiques". Ils maintiennent de plutôt bons contacts avec les Chrétiens d'Eurysie, qu'ils voient comme des frères, et comme leurs ancêtres. Enfin, les Parcines, isolés dans leurs montagnes, restent cependant plutôt bien connectés avec le Nazum oriental, mais entretiennent une certaine hostilité pour l'Occident et les Chrétiens.

Place de la religion dans l'État et la société :

La religion est omniprésente dans la vie des Astyares, que ce soit le Christianisme pour les uns ou le Mazdéisme pour les autres. On compte environ de 60 à 70 % de Mazdéens pour entre 40 et 30 % de Chrétiens.

La vie religieuse des Mazdéens tourne beaucoup autour des fêtes et des messes aux temples. Le feu est sacralisé dans leur vie quotidienne.

Les Chrétiens, quant à eux, sont de tradition catholique romaine. Ils obéissent au Patriache de Keyhan, parfois appelé Patriarche de Kélétivares, mais celui-ci prend des décisions en fonction des décisions du Pape. Les Chrétiens astyares sont constamment en contact avec les Chrétiens eurysiens, dont ils perpétuent la culture et les rites. La messa a lieu tous les dimanches, et les idées politiques sont assez influencées par le Conservatisme chrétien de l'Eurysie. Les Chrétiens astyares ont souvent le sentiment d'appartenir à la Chrétienté avant d'appartenir à leur nation ; le concept de Nation en Astyarie est d'ailleurs assez flou.


Politique et institutions :



Institutions politiques :

Il n'y a pas de constitution en Astyarie, rendant les luttes d'influence pour le pouvoir assez fréquentes.

Le Roi est théoriquement le chef suprême de l'Etat, qui prime sur le Parlement. C'est en effet lui qui promulgue officiellement les lois, qui dirige les armées et qui représente l'Astyarie à l'étranger. La succession est cependant mal codifiée, les différentes lois parfois promulguées il y a des siècles se contredisant souvent. Ainsi, actuellement, la transmission se fait par primogéniture : le fils ainé du Roi en est son seul et unique successeur.

Les Maisons, qui correspondent aux grandes familles aristocratiques d'Astyarie, sont les entités qui influent le plus sur la vie politique du pays. Les Maisons issues de la Dynastie Sandoride, (parfois simplement appelée "la Grande Dynastie") sont souvent considérées comme les plus légitimes à influer le pouvoir, mais les autres Maisons ne sont pas pour autant démunies de pouvoir. Chaque Maison possède un Chef de Maison, et la désignation du chef varient en fonction des Maisons.

Le Parlement, organe à la fois législatif et exécutif du gouvernement, est cependant fantoche d'abord au Roi et ensuite aux Maisons.

Enfin, le Conseil de Parce est un parlement unicaméral non reconnu par le Roi, qui décide de certaines lois appliquées en Parce. Il est issu de la volonté d'indépendance des Parcines, et a longtemps été combattu par la Royauté. Aujourd'hui, le Conseil n'est plus la cible du Roi.

Principaux personnages :

Portrait

Antal Akos, Roi de Kélétivares, de la maison Antalide de la dynastie Sandoride. Tégérente et Mazdéen, il règne depuis 50 ans, luttant depuis toujours pour maintenir une certaine stabilité et harmonie au sein du Royaume. Il a réussi à se construire une réputation populaire parmi chaque ethnie, mais est cependant critiqué par les Elites pour sa politique d'apparences, dénuée de vrais actes.

Portrait

Lovak Armin, chef de la Maison Lovacide de la dynastie Sandoride. Ostramare et Chrétien, il constitue la plus grande force d'opposition au Roi, dont il revendique le trône. Il n'a pas toujours été chef de la Maison Lovacide, et l'est devenu à la mort de son frère. Ce dernier avait mené une politique pro-ostramare, qui avait ammené à de nombreuses persécutions du régime sur les Ostramares. Armin a, lui, mené une politique pro-chrétienne plutôt que pro-ostramare, augmentant son nombre d'alliés (notamment plusieurs maisons chrétiennes), mais rendant plus compliqué une quelconque oppression de la part du régime (les Chrétiens représentant plus de 30 % de la population).

Politique internationale :

La politique d'Antal Akos réside surtout sur une ouverture de l'Astyarie à l'Occident depuis le début de son règne. Jonglant entre libertés individuelles et contrôle de l'Etat, Antal Akos a réussi à faire paraitre l'Astyarie comme un pays libéré aux yeux de l'opinion commune, sans pour autant relâcher ses forces d'oppression sur les opposants politiques. Le Roi manipule un réseau très fin de manipulation du système politique en Astyarie.

Diplomatiquement, le Royaume de Kélétivares est resté assez flou, ne jurant allégéance à personne et ne se liguant contre personne. La politique internationale des Antalides résident sur l'opportunisme, qu'ils préfèrent eux nommer "pragmatisme".
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