02/07/2013
03:17:15
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La piraterie pharoise, son histoire, ses services, son mode d'emploi

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2 000 ans d'histoires de pirates...


Note hrp : les informations qui vont suivre n'ont évidement rien d'officiel, vos gouvernements n'en ont qu'une connaissance partielle et le Syndikaali est officiellement toujours très clair quant à sa volonté de combattre et d'endiguer la piraterie.



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LA F.A.Q des pirates !!

  • La piraterie pharoise, c'est quoi exactement ?
  • Concrètement, comment le Syndikaali est-il impliqué ?
  • S'agit-il d'un phénomène organisé et contrôlable ?
  • A l'étranger, ça se passe comment ?
  • Les pirates travaillent-ils avec tout le monde ?
  • Peut-on retourner des pirates contre le Syndikaali ?
  • Est-il possible que des équipages non-pharois et joués par d'autres joueurs intègrent ou participent à la piraterie pharoise ?
  • C'est quoi exactement la Merenlävät ?


La piraterie pharoise, c'est quoi exactement ?

Ce qu'on appelle de manière un peu générale "piraterie pharoise" désigne en réalité un phénomène assez spécifique et plutôt bien défini par des caractéristiques qui lui sont propres et le distinguent des autres formes de criminalité traditionnelles et régionales. Il s'agit d'un grand spectre d'actions illégales réalisées par un réseau de groupes privés, allant de la contrebande, du kidnapping, de l'abordage et du détournement de navires, du hacking informatique, du trafic de drogue, d'êtres humains, de produits d'importations non autorisés ou encore de données personnelles et ce grâce à l'implantation régionale de plateformes dédiées à faciliter et dissimuler ces crimes. Ces plateformes sont appelées un "marché noir". Elles peuvent être physiques ou dématérialisées et sont implantées à l'étranger depuis le territoire du Pharois Syndikaali qui en tire des bénéfices.
Plus qu'une question d'origine des pirates, c'est en vérité le fait de se servir du territoire pharois comme d'une base arrière, c'est à dire un État couvrant voire favorisant ce type d'actions, qui caractérise le phénomène de piraterie pharoise et fait sa spécificité.

La piraterie pharoise est, avec celle du Pavillon de l'Albastre en Aleucie, l'une des dernières formes de piraterie organisée bénéficiant du soutien logistique ou matériel d'une nation. C'est ce soutien qui explique, selon les experts, la vitalité et l'ampleur des réseaux de piraterie dans le monde, à une ère où ces phénomènes ont majoritairement été endigués à grande échelle. Les pirates pharois bénéficient, grâce à divers stratagèmes de détournement de la production militaire du Syndikaali, de navires, de formations et outils les rendant capables de rivaliser avec la plupart des services de polices nationaux. De manière plus générale, l'histoire des pharois, leur implantation à travers le monde, leurs mœurs et leur éducation en font, pour certains, des criminels particulièrement efficaces et méthodiques.


Concrètement, comment le Syndikaali est-il impliqué ?

Premièrement, le Syndikaali tire une grande partie de sa richesse de la piraterie. En hébergeant les équipages, leurs data center et en blanchissant leurs profits, le pays attire sur son territoire les capitaux spoliés dans le reste du monde. Ces-derniers ne sont évidement pas taxés mais la fortune des criminels ruisselle sur l'économie pharoise qu'elle dope en liquidités étrangères et ce sans avoir besoin d'exportations.
De manière plus générale, grâce à la permissivité presque absolue de son économie opaque et à ses propositions de services spécifiques au besoins des activités illégales, le pays fait office de point de chute pour une grande partie des mafias et réseaux criminels souhaitant recevoir une aide logistique dans leur business.

Le Syndikaali propose en effet tous les services dont peut rêver un contrebandier : lieux de stockage, des repos, de soins, de larges populations de criminels endurcis prêts à être recrutés, des technologies modernes tout comme un service informatique particulièrement développé mettant à disposition des datas center difficilement traçables. Le blanchiment d'argent est une part inhérente du tissu économique pharois qui n'opère pas de suivi sur les flux de capitaux circulant à l'intérieur du pays ce qui implique que toute personne passant par une entreprise située au Syndikaali verra ses fonds immédiatement régularisés. Enfin, le Syndikaali n'extrade pas et propose facilement de changer d'identité et d'adopter la nationalité pharoise ce qui fait du pays une passage obligé pour toute personne souhaitant transiter d'un pays à un autre sans attirer les soupçons.

De manière plus générale, le Syndikaali couvre les crimes de ses ressortissants dont il assure une traque assez molle, tant que ces-derniers se plient aux règles du jeu décidées lors des États Généraux de la Piraterie, une organisation secrète, pilotée par le gouvernement pharois visant à canaliser les activités criminelles en fonction du contexte géopolitique et/ou des besoins stratégiques du pays.


S'agit-il d'un phénomène organisé et contrôlable ?

Oui et non. De par son ampleur et l'histoire pharoise il est impossible de tenir à l’œil les innombrables équipages et groupuscules criminels agissant depuis le Syndikaali. Cela fait autant leur force que leur faiblesse : isolés, ils sont vulnérables et attirent l'attention. Toutefois, trancher l'une des têtes de l'hydre ne tue pas la bête et sa place sera rapidement prise par un autre équipage alléché par un marché laissé vacant.

Toutefois, les États Généraux de la Piraterie permettent d'organiser a minima le phénomène, notamment en épargnant dans une certaine mesure les pays alliés. Le Syndikaali se montre intraitable avec les pirates agissant contre ses intérêts et n'hésite pas à faire jouer la concurrence en leurs envoyant d'autres équipages les neutraliser. Ainsi les pirates savent qu'ils ont intérêts à collaborer avec le Pharois Syndikaali, notamment en évitant le grabuge à l'intérieur du territoire pharois et de ses possessions, sous peine de se voir refusé les services proposés aux autres équipages, ce qui implique une perte de compétitivité menant à la fin de la petite entreprise. En cas de récidive ou si les équipages sont jugés trop dangereux ou incontrôlables, une liquidation pure et simple est appliquée, les survivants étant livrés à la justice pharoise qui s'en sert comme prétexte pour prouver qu'elle lutte bel et bien contre le crime organisé.


A l'étranger, ça se passe comment ?

Selon le niveau de développement des marchés noirs dans votre pays, les trafics peuvent prendre trois formes. Dans leur état le plus basique, les petites diasporas pharoises se livrent à de la contrebande, du recel ou simplement servent d'indics pour les équipages extérieurs au pays qui décident d'y faire halte. Il s'agit d'un soutien logistique local peu significatif mais favorisant l'implantation de futures entreprises criminelles de grande ampleur et assez flexible, prêt à réagir aux opportunités qu'offre l'actualité du pays.
De manière générale, avoir une diaspora pharoise sur son sol, c'est devoir compter avec des passeurs, trafiquant de drogues et autres petits commerces illégaux assez bénins dans leur ampleur, venant rarement concurrencer les mafias locales et principalement situés autour des zones portuaires. Ils servent surtout de lieu de ravitaillement et de planques pour les équipages pirates agissant dans la région.

La deuxième forme d'influence de la piraterie pharoise à l'étranger est la présence de la Merenlävät sur un territoire. Cette multinationale est la plus grande coopérative pharoise en termes de chiffre d'affaire, issus majoritairement du commerce maritime et de la pêche. Une couverture qui lui permet en vérité de dissimuler ses véritables activités favorisant l'implantation de réseaux criminel localement. Les OPA menées par la Merenlävät témoignent de ce fait en général de la volonté du Syndikaali de s'implanter de manière plus agressive sur un territoire. La coopérative se met alors à racheter des bâtiments, hangars et des commerces locaux pour faire son nid dans le tissu économique d'une région et se faire apprécier de autorités, voire se rendre indispensable dans des villes touchées par la pauvreté. Si le pays visé n’est pas une économie de marché, le Syndikaali peut intervenir directement pour négocier des passes-droits et privilèges, voire la création d’un territoire économique exclusif pour la coopérative, à l’image de Merengrad en Lutharovie.
Ces investissements servent de cheval de Troie pour la mise en place d'un marché noir physique, capable d'accueillir des ateliers de réparation de navires, des lieux de stockages pour les marchandises et toutes les formes de services nécessaires à ce type de trafics. La présence de la Merenlävät s'accompagne généralement d'une corruption massive des autorités locales et des services de police, le tout grâce à des sociétés écrans servant de par-feu en cas d'échec.
Une fois solidement implanté, le marché noir sert de plateforme régionale pour les trafics pharois ce qui étend la zone d'influence de la piraterie à l'étranger.

La dernière forme, la plus agressive, est celle des enclaves ou des villes libres négociées avec des pays tiers. Certaines nations vont volontairement modifier leur législation voire céder ou louer des portions de territoire au Pharois Syndikaali, contre divers traités. Ces enclaves ont alors pour fonction de devenir de véritable hubs criminels régionaux, fonctionnant comme le Syndikaali ils sont relativement paisibles à l'intérieur mais organisent et ordonnent les réseaux criminels de tout un territoire. Relais stratégiques pour les flux de contrebande et nerfs de l'économie pharoise, ces enclaves bénéficient en général de la protection de l'armée du Syndikaali qui y voit une manière de projeter son influence.

Quel que soit le stade de développement des marchés noirs pharois, les mafias locales sont souvent invitées à collaborer pour bénéficier des avantages proposés par les services pharois. Dans un certain nombre de cas d'ailleurs, les pirates Pharois ne sont QUE pourvoyeurs de services, laissant les véritables activités criminelles aux locaux.
Toutefois, lorsque le marché noir prend de l'ampleur, la piraterie pharoise peut décider de fagociter les mafias locales voire de les remplacer en leurs menant la guerre si celles-ci ne se montrent pas collaboratives.


Les pirates travaillent-ils avec tout le monde ?

Oui ! Mais ça dépend des équipages. La plupart sont de purs opportunistes sans loyauté qui iront au plus offrants mais certains équipages choisiront de ne pas collaborer avec des nations ou pour des projets allant à l'encontre de leurs valeurs et de leur idéologie. C'est le cas exemplairement de la Fraternité des mers du Nord, ce groupe anarchiste implanté à Kotios, qui refuse de s'allier à des entreprises jugées impérialistes ou autoritaires.

Il est donc conseillé de bien vérifier à qui l'on s'adresse avant de se rapprocher d'un équipage. Mieux vaut un troupe moins bien équipée mais plus fidèle qu'une bande de guerriers qui vous planteront un couteau dans le dos...

Dans certains cas, il peut arriver que le Syndikaali, lors d'Etats Généraux de la Piraterie, appelle à boycotter certaines nations avec lesquelles il est en conflit. Si vous êtes concerné, cela ne veut pas forcément dire que faire appel à des mercenaires pirates est impossible, mais il faudra agir plus discrètement.


Peut-on retourner des pirates contre le Syndikaali ?

Rares sont ceux qui acceptent, le Syndikaali n'étant pas du genre à rigoler avec la trahison, cela signifie pour l'équipage qui brise les règles a minima son bannissement des réseaux pharois, et le plus souvent la traque des traitres. Il faut donc y mettre le prix et avancer de bons arguments pour convaincre un équipage de se risquer à une telle entreprise, d'autant que certains ne se laisseront tout simplement pas corrompre.

C'est toutefois possible, la piraterie étant une galaxie d'individus et d'aventures privées, elles ne sont pas directement affiliées au gouvernement et ne lui doivent donc en théorie aucune loyauté, contrairement à des troupes de mercenaires plus traditionnelles. De fait, une nation A peut tout à fait embaucher un équipage contre une nation B qui embaucherait de son côté un autre équipage pour neutraliser celui embauché par la nation A. Il est également possible de faire simplement une meilleure offre à l'équipage en question. De manière générale, pour des petits actions, il se trouve facilement un Pharois pour se laisser corrompre, l'entreprise est plus complexe lorsque le nombre de personne à convaincre augmente et que la tâche qui leur est allouée est difficile.


Est-il possible que des équipages non-pharois et joués par d'autres joueurs intègrent ou participent à la piraterie pharoise ?

C'est possible, à quelques conditions ! Comme expliqué dans le premier paragraphe, la piraterie pharoise est un phénomène assez spécifique au Syndikaali et qui se distingue donc de la piraterie classique. Toutefois, avec la mise en avant de celui-ci, il est possible que des pirates étrangers désirent s'intégrer à la machine, d'ailleurs le Pharois étant relativement cosmopolite, les équipages sont parfois composés d'individus de différentes nationalités.

Pour qu'un équipage étranger au Syndikaali participe au phénomène de piraterie pharoise, il faut que celui-ci se plie aux règles et aux méthodes décidées lors des États Généraux de la Piraterie, sans quoi il sera vu comme une menace et généralement éliminé. Si un équipage gagne en visibilité et désire trouver sa place au sein de la piraterie, il pourra être contacté par les services secrets pharois ou mis en contacts avec des opérateurs de terrain qui l'intègreront à la boucle progressivement.
En fait, il s'agit du même processus que pour les pirates pharois, à la différence que ces-derniers se font en général plus rapidement repérés ou sont les héritiers d'anciens équipages et capitaines qui les mettent donc dans la confidence qu'il existe des méthodes et des règles à suivre pour bénéficier du soutien logistique du Syndikaali.

De manière générale, le simple fait de profiter des infrastructures proposées par le Syndikaali et ses agents suffit à faire de fait partie de la piraterie pharoise. C'est ensuite une question de notoriété qui permettra à l'équipage d'intégrer le secret des dieux.



C'est quoi exactement la Merenlävät ?

La Merenlävät est la première coopérative pharoise de pêche et une multinationale prospère et respectable. Officiellement, son secteur d'activité se situe dans l'export et la distribution de poisson en mers du nord et elle fonctionne un peu comme une plateforme embauchant des équipages de pêcheurs et les répartissant sur des zones précises pour limiter qu'ils ne se concurrencent entre eux. Cette technique de quadrillage des zones poissonneuses fait le succès de la coopérative.

Cette apparence n'est bien sûr qu'une couverture. Mon inspiration pour la Merenlävät est celle de la Haute Table dans John Wick, pour celles et ceux ayant la référence. Une structure surplombant le crime qu'elle facilite et encourage tout en lui imposant des règles et des méthodes afin d'éviter les guerres internes entre pirates. La Merenlävät est suffisamment influente pour rendre les criminels avec qui elle collabore bien plus concurrentiels que les autres. Jouant des lois du marché, elle attire dans son girond tous ceux souhaitant faire des affaires de manière optimale et en s'épargnant un certain nombre de risques et désagréments liés à ce secteur d'activité.

Si vous souhaitez en savoir un peu plus je vous renvoie à quelques RP et textes écrits sur elle pour vous donner l'idée générale :
Ici pour une petite explication contextuelle à Kotios.
Là pour une présentation officielle.
Là pour voir comment elle opère.

Pour aller à l'essentiel, il faut savoir quelques éléments cruciaux :
  • Elle possède un monopole sur le commerce en Lutharovie et dirige la ville de Merengrad ce qui lui ouvre tout le commerce avec les dictatures communistes du nord-est.
  • Elle est la plus grande coopérative pharoise et est en permanence en contact avec le gouvernement pour ses activités licites ET illicites. Dans ce cas seuls certains ministres sont au courant, celui des Explorations d'Outre-mer ayant spécifiquement fonction de présider les Etats Généraux et étant chargé des relations avec la Merenlävät.
  • Elle est membre permanente des Etats Généraux de la Piraterie.
  • Son conseil général est composé pour majeure partie de pirates qui sont tous dans la confidence.
  • Elle a financé et piloté la révolution à Kotios.
  • Ses activités sont rarement directement criminelles bien que parfois illégales, notamment pour tout ce qui concerne le recel ou la dissimulation de fuyards. La Merenlävät supervise, organise, met en contact et propose des services aux véritables petites mains du crime.
  • Il existe de nombreuses couche au sein de l'entreprise de sorte qu'il est assez difficile de remonter directement jusqu'à elle, la Merenlävät travaille souvent avec des intermédiaires locaux qui ignorent la plupart du temps à qui ils ont affaire.
  • Comme elle se place au-dessus des réseaux clandestins, à la manière d'une uberisation du crime, la Coopérative a une certaine visibilité sur ces-derniers puisqu'elle possède le monopole de certains services qui leurs sont nécessaires. Les lieux de stockage par exemple, les carnets de contacts ou l'influence sur la police locale. De fait, elle peut donc "canaliser" les mafias en les obligeant à cloisonner leurs activités ou servir d'arbitre en cas de conflits ce qui contribue à organiser la criminalité et en quelque sorte la contrôler.

La Merenlävät est donc un pilier de la prospérité pharoise et de son influence à l'étranger, le corps de l'hydre mafieuse qui gangrène les pays où elle s'implante. Il est toutefois important de noter que les profits mirobolants qu'elle dégage grâce au marché noir sont pour une bonne part réinjectés dans les économies locale, notamment par la corruption mais aussi de manière tout à fait légal en investissant dans les commerces et entreprises régionales où elle achète des actions par le biais de sociétés écrans. En plus de s'attirer les bonnes grâces des autorités locales, cela rend à termes la Merenlävät très difficile à déloger puisqu'elle est incrustée dans l'économie.
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La liste des équipages sur le marché

L'Amarda du Phoque lustré
Contrebande • Trafics • Abordages
Disponible sur le marché
Lien de contact

  • Discrétion haute
  • Capacité offensive basse
  • Fiabilité haute

Le fend-la-pisse
Abordage Crimes de sangKidnapping
Disponible sur le marché
Lien de contact

  • Discrétion basse
  • Capacité offensive haute
  • Fiabilité basse

L'Armada noire - Varpuvtchina !
Anarchie • Guérillas • Révolution
Occasionnellement disponible sur le marché
Lien de contact

  • Discrétion moyenne
  • Capacité offensive haute
  • Fiabilité haute

Les pirates rouges
Communisme • Guérillas • Révolution
Occasionnellement disponible sur le marché (équipage renégat)
Lien de contact

  • Discrétion totale
  • Capacité offensive haute
  • Fiabilité relative

La jupe-au-cul
Geste pirate • Trafics • Abordages
Momentanément indisponible sur le marché (réparation)
Lien de contact

  • Discrétion relative
  • Capacité offensive moyenne
  • Fiabilité relative

Dragon d'eau - vesilohikäärme
Influence • Désinformation • Piratage informatique
Disponible sur le marché
Lien de contact

  • Discrétion haute
  • Capacité offensive dématérialisée
  • Fiabilité haute
160
Les services proposés par les marchés noirs

Pas besoin de nécessairement embaucher un équipage pour profiter des marchés noirs pharois.

https://www.zupimages.net/up/22/31/na3f.jpg


à venir
3178
Où se trouvent les marchés noirs pharois ?

Histoire de ne pas chercher des heures quand on veut faire ses courses...

https://www.zupimages.net/up/22/31/8m9f.png
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Le principal marché noir pharois est évidemment celui du territoire du Syndikaali, une importance particulière étant prêtée aux ports-libres du Détroits dont l'utilité est spécifiquement de canaliser les affaires criminelles de la région afin de laisser le reste du territoire relativement paisible. Haut lieu de passage, c'est un hub de contrebande majeur pour tout le nord de l'Eurysie.
Les activités criminelles violentes sont toutefois rares dans la région : les services secrets veillent à ce que les ports-libres et le territoire Pharois de manière général demeurent relativement paisible et soit une place sûre où faire des affaires, même si celles-ci sont illégales. L’abordage est ainsi inexistant dans le Détroit et ses alentours, ce bras de mer faisant l’objet d’une surveillance militaire intense par la marine pharoise.

Historiquement, le second marché noir le plus ancien et important se situe à Merengrad, en Lutharovie, une ville fondée par la Merenlävät elle-même pour y installer le seul port de commerce de cette nation autoritaire, fermée aux échanges extérieurs. Des lois d'exception permettent de réaliser la jonction entre le monde capitaliste et communiste et la Merenlävät se sert de son influence locale pour stocker et marchander illégalement avec les régions de l'Est et de l'océan du Nord.
Sur l'exact même modèle, la Ville Libre de Bragdzrat en Bratolia est beaucoup plus récente et moins développée.

Récemment, l'occupation de Peprolo, au Prodnov, a donné lieu à la création d'un petit marché noir, encore sous une forme balbutiante.

La ville de Kotios, véritable point stratégique au coeur de la Manche Blanche, est également l'un des marchés noirs pharois les plus cosmopolites et sert de plateforme d'échange pour toute la région. La base militaire pharoise sur place assure l'ordre et le contrôle de la ville, bien que cette-dernière soit tenue par la Fraternité des mers du Nord, un équipage de pirates anarchistes en ayant fait leur quartier général après avoir soutenu l'indépendance de la ville.

Le traité signé avec l'Empire Listonien accorde au Syndikaali des enclaves dans chacune de ses possessions d'outre-mer. Si certaines sont à peine développées, d'autres comme celle de Shati Alqahwa en Afarée ou de Macao au Nazum font l'objet d'investissements plus conséquents qui en font de véritables petits hubs de piraterie et de trafic locaux.
On trouve également l'enclave de Jadida, eu milieu de l'océan des perles et celle de Jadis en Aleucie, une ville minuscule mais idéalement située pour servir de relais aux marins traversant l'océan d'Espérance depuis l'Eurysie.

Plus anecdotique est l'enclave du Tahoku, difficilement accessible pour les marins et les commerçants. L'enclave du Pontarbello est quant à elle relativement théorique, quoiqu'elle n'ait pour l'heure pas été disputée, les Pharois sur place ont une certaine liberté d'action qu'ils mettent à profit pour se rapprocher des pirates Izcales du pavillon de l'Albastre, situé au nord.

L'ex-enclave de Port-Hafen, devenue la République Hafenoise, est relativement modeste mais son gouvernement provisoire s'est montré loyal envers le Syndikaali et certaines infrastructures locales permettent le relais des marchandises et l'accueil des équipages.

Enfin, profitant de la permissivité qui y règne, certains succursales pharoises sont présentes à Carnavale, bien que la présence de puissantes mafias locales y ait jusqu'à présent empêché une véritable implantation conséquente.
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