04/06/2013
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[Mariage Princier] Le Royaume-Soudé recherche un.e prétendant.e pour la Princesse


27 Aprile 2008,
Pardenona, PN
Regno-Saldato

Object : Mariage de la Principessa Onorina

Chers Amis,

Cette bouteille à la mer est lancée depuis le Royaume-Soudé du Frial et de Youslévie de l’est dans l’optique de trouver pour notre fille, la Principessa Onorina de la Maison Mella, Infante du Royaume-Soudé et Principessa del Alto Frial, qui porte le titre que nous avons porté avant le décès de feu notre père le Roi Ugo II du Royaume-Soudé et de Youslévie de l’Est.

Nous, la Reine Graziella IX, pensons que la mariage entre deux couronnes est un moyen de permettre l’ouverture de la nation, et permettre à notre fille, la Principessa, d’accomplir son devoir envers notre pays.

La Principessa Onorina, venant d’atteindre l‘âge de 21 ans, celle-ci est prompte au mariage, et nous, la Reine Graziella IX, nous portons garante de la motivation et le consentement de notre fille à ce mariage. Nous sommes à l’écoute des propositions des nations monarchiste ou impérialiste, avec un jeune homme ou une jeune femme portant un titre de noblesse. Les propositions se verrons lues par nous, la Reine Graziella IX, afin de vérifier le montant de la dot, ainsi que la véracité des titres de noblesses.

Nous attendons, Chers Amis, vos propositions, et restons à votre disposition, amis de la Monarchie.
Cordialement,


Regina Graziella IX
Regina del Regno-Saldato
30 Avril 2008,
Carnavale, palais des brumes
Quartier des Cimes

Madame,

Il est évident que la tradition séculaire poussant les grandes maisons noble de ce monde à épouser à l'extérieur de leur domaine a toujours eu pour effet d'ouvrir leurs pays à de nouvelles opportunités d'alliance et de compréhension, rappelant et rapprochant les peuples dans ce vaste élan de perfection que l'on attends de la part de l'élite de notre espèce.

C'est cette tradition qui participa, en grande partie, à faire de notre genre, les nobles véritables, comme une race à part, d'individus capables de se comprendre et de se respecter tant le fardeau qu'ils portent est similaire, tant un roi, d'où qu'il vienne, reste un roi.

Je suis le duc et prince impérial Ernest Bario Vidal, de la maison impériale Sukaretto, unique maison impériale civilisée du continent Paltoterran, maîtresse légitime du Grand Kah, grande ennemi des anarchistes et actrice régulière de l’Histoire.

Notre famille a, à mainte reprise, mené personnellement la lutte digne de la civilisation contre la barbarie. Et s’il y a vingt ans on la chassa du trône, que votre Majesté se souvienne que trois fois déjà nous reprîmes ce qui était notre, n'en étant jamais chassé que par l’action et le complot des républicains, des puissants et de certaines races opposées à ce que nous représentons. Moi-même je n’ai que peu connu l’Empire, mais ce que j’ai manqué en expérience, je le gagne en jeunesse, en vivacité, en compétences.

Aujourd’hui la famille impériale du Grand Kah est une cour en exil, existant à Carnaval avec la bienveillance des nobles locaux. Cela ne fait pas de nous une cour sans influence, et sans richesses. Mes vassaux possèdent parmi les plus grandes entreprises du monde. Fonds boursiers, haute technologie, télécommunications, industries lourdes et extractions de ressources rares. Pour l'heure notre Empire est économique, en attendant qu’il redevienne physique. Me concernant j’ai tout de même assuré les missions que l’on attendait de moi, et suis ainsi ce que l’on pourrait appeler grossièrement un homme aimé du peuple, travaillant avec quelques-uns des plus grands amis de la noblesse dans plusieurs pays. La politique est certes obscène, mais j’ai su l'employer pour m’assurer que jamais elle n’oublie qui sont ses vrais maîtres.

Je vous fais parvenir ici tous les documents attestant de mes titres et de mon immense richesse. Moi marié à votre fille, elle serait respectée et profiterait de mon expérience, de ma fortune. De plus, ce mariage lierait votre couronne à celle d’un des empires les plus puissants de ce monde, un investissement qui ne saurait tarder à fructifier tant l’heure de notre retour au pouvoir approche.

Respectueusement,


Ernest Bario Vidal,
duc de Lac-Rouge, régent présomptif de l'Empire Kah-tanais, héritier de la dynastie Sukaretto.
Ernest Bario Vidal

30 Avril 2008,
Axis-Mundis, Haut-pérone
Place de la Libération

Object : Grande et glorieuse mais néanmoins humble réponse à la demande qu'est la votre.

Très chère,

J'ai, comme je suppose beaucoup de ces gens à part que sont la progéniture des nobles, bien eu l'occasion de lire votre missive. Votre "bouteille à la mer", comme vous le dites en de si beaux termes. Et quels termes, allons, on croirait presque y lire un certain désespoir, et cela alors même que cette chère Onorina ne saurait être sinon, l'une des princesses les plus en vue de notre décennie, au moins celle dont le mariage fera le plus de bruit de ce début de siècle, notamment du fait du procédé employé pour trouver des prétendants. En ça je dois admettre mon admiration, d'une communicante amatrice à une autre.

Je suis Rai Itzel Sukaretto. Vous connaissez probablement ma lignée comme celle qui règna sur l’Empire du Grand Kah, auréole d’une gloire polémique, comme seule peut l’être celle des choses qui présentent un vrai intérêt. Je ne représente pas une petite monarchie endormis, ou l’un de ces régimes fatigué oubliant de se moderniser du haut de ses traditions ancestrales.

Je suis la fille, l’unique héritière légitime, d’un des hommes les plus incroyable et exceptionnels du siècle précédent. Un empereur, dont le règne bref et violent, consuma le paltoterra comme une étoile filante dans l’atmosphère Ma lignée est de ces spectres mythiques qui hantent l’histoire, voyant s’imposer à eux la nécessité de la modernité pour ne pas disparaître. Dois-je vous rappeler comme, il y a deux siècles de ça, le premier empire kah-tanais effraya la planète ? De 1801 à 1815, il était comme cette puissance biblique appelée à dominer le monde, qui en réponse abattit la bête, la chassa, mais pas tout à fait pour de bon. Elle revint par deux occasions, chaque fois changée.

C'est mon héritage. Je suis aussi, depuis plusieurs années, membre du Comité de Volonté Publique, gouvernement du Grand Kah, faisant en quelque sorte honneur à mon rang de naissance par celui que mes efforts m’ont permis d’atteindre. Et si cela pouvait vous rassurer, je suis même à la tête d'une des fondations humanitaire les plus en vue du monde culturel et du grand luxe, comme l'atteste notre très remarquée présence au galas de charité de Carnavale. À vrai dire vous savez sans doute que mon nom, Rai Itzel, est désormais associé à une certaine idée du grand luxe. Je suis de ces femmes qui décident ce qui est ou non la mode, ce que l'on porte, ce que l'on écoute, et pourquoi on le fait : je possède, en quelques sortes, mon propre imperium.

Car ma pensée est la suivante : je vois une chose que l'on pense à tort désuète, je vois et je comprends pourquoi on la perçoit ainsi, et je l'aide à retrouver sa place. C'était ma démarche avec le punk, le gothique, le rococo, les bijoux de haute gamme, et d'autres encore. Il faut moderniser. Sauter à pieds joints dans l'air du temps et même mieux, prendre trois pas d'avance pour imposer son rythme au monde. Une monarchie constitutionnelle est moins qu'elle ne parait, et donc elle doit paraître de toutes ses forces. Changer les règles du jeu, imposer les siennes.

Ce pourquoi je me mets très humblement à votre disposition, si d'aventure vous vouliez que la princesse et votre royaume sortent non-seulement grandis du mariage à venir, mais aussi, plus heureux sur tous les aspects. Je suis sûre qu'un certain nombre de problèmes techniques et d'usage vous viendront à l'esprit, vous poussant, dans un premier temps, à rejeter en bloc cette proposition. Pourtant croyez-moi : elle est mûrement réfléchie, et pour chaque problème je vois dix solutions.

Alors très chère, je vous en prie. Liez le destin de votre fille au mien, liez votre royaume au Grand Kah, et l'avenir même devra courir pour vous rattraper.

Cordialement,


Rai Itzel Sukaretto
Princesse héritière de l'Empire du Grand Kah, directrice de la fondation Rei Sukaretto, membre du Comité de Volonté Publique
30 Avril 2008
Rivoli, Palazzo Mancini-Arditi
Alta Via,


Votre altesse royale,

Nous vous adressons cette missive, assurément perdue au travers de dizaines voir de centaines d'autres considérée de façon très probable comme plus alléchantes si l'on peut dire, afin autant de répondre à cet appel lancée à la volée à travers les horizons dans l'espoir qu'il soit entendu par les nombreuses Gens de cette planète mais aussi et surtout afin d'offrir une alternative.

De fait, nous ne doutons point que d'illustres dynasties, d'anciens et glorieux empires, de royautés ayant marqués l'histoire ou même de couronnes ayant imposés leur volonté à travers les siècles ont déjà fait part de leur plus vif intérêt pour votre "Bouteille jetée à la mer" et en comparaison, nos titres et ce qu'ils représentent font certainement bien pâle figure. Pour autant, ils ont eux aussi leurs intérêts, illustrent un idéal et apportent des avantages non négligeable que tous ces héritiers et tenants de trônes poussiéreux et désuets ne sauraient obtenir en ces temps de modernité par la simple évocation de la qualité de leur sang.

Mais je m'égare là et j'en manque aux bienséances les plus élémentaires. Je suis Federico Mancini, neuvième du nom pour être exact, car c'est là le lot de la gloire passée, elle s'accroche et telle une mauvaise herbe revient au galop à des intervalles régulières malgré que l'on cherche à l'écarter ou l'arracher, pour autant il est difficile de l'égaler ou de la surpasser. Et dans mon cas, cela n'a jamais été aussi vrai, mon ancêtre Federico dit le Sublime a laissée une emprunte des plus profondes sur l'aube de l'ère moderne Eurysienne à un tel point que les professeurs d'histoires de tout le continent l'érige en symbole éternel des mouvements orbitant autour de la Renaissance du XVe siècle.

Ce à un tel point que le concept est devenu presque indissociable de sa titulaire, celle de Prince de Rivoli. Bien évidemment, peu savent encore à ce jour que ledit titre existe encore, de même que plusieurs privilèges y étant associés. On ne peut pas leur en vouloir après tout, la Principauté en tant qu'entité a cessé d'exister dès l'instant où elle abandonna son indépendance au profit de la sécurité et de la prospérité qu'offrait en ces époques reculés la Sérénissime, et qu'elle offre toujours par ailleurs. Et en tant que fils ainé de l'actuelle Princesse, Clarissa Mancini, ma mère, aussi Patricienne et Sénatrice fortunéenne, toute la titulaire ainsi que sa fortune et ses biens m'appartiendront un jour et c'est d'ailleurs avec sa bénédiction que je vous écris aujourd'hui.

Certes, je le conçois bien encore une fois, ces titres là font pâle figure face à d'autres, mais ils ne sont pas moins négligeable. Même si l'administration de Rivoli ne nous échoie plus totalement, ma famille en conserve encore une vaste part, que ce soit à travers la municipalité qui échoie systématiquement à un Mancini ou par la possession de la plupart de l'immobilier local et même de monuments illustres tel que l'Opéra de la Spalla ou les Grandes Galleries du Rialdo, sans parler des innombrables compagnies et sociétés de produits de mode dont les sièges se situent en notre bonne ville. De facto, si l'époque à changée et les usages aussi, les Princes ont encore un pouvoir non négligeable.

Et c'est là sans parler de ce que signifie en parallèle être Patricien de Fortuna. Je pourrais déblatérer pendant des heures entières à l'écrit afin de décrire dans les grandes largeurs les possibilités que ce statut offre et surtout l'influence dans les hautes sphères politiques et économique qu'il implique, mais cela n'a guère d'intérêt. Car ce statut n'est pas quelque chose que l'on peut décrire, mais qu'il convient d'expérimenter. Les patrices n'ont en effet rien à envier aux vieilles maisons du monde entier, leurs lignées, ou devrais-je même dire pour certains leurs Gens, remontent à des temps immémoriaux et leurs empires, plus théoriques car orbitant autour de la monnaie et des possessions privés, n'ont cessés de prospérer et le cas échéant, touchent à tout les milieux. Ce qui ne va pas sans contacts divers et variés.

Pour ma part, je m'en suis remis au domaine de la mode et aux produits de luxe, et notamment la joaillerie. Pour l'un comme pour l'autre, ce sont là deux formes d'arts à part entière nécessitant des mains expertes et une rigueur des plus assidue. Entre autre, la Diamanterra Serenissima, firme commercialisant les chefs d'oeuvres d'orfèvre ainsi que d'autres oeuvres des Maestro de notre temps et dont la réputation n'est plus à faire, est un peu comme une seconde demeure pour moi où je peux exercer l'expression de mon art sur les plus prestigieuses pièces de joaillerie de notre époque aux côtés d'authentiques génies. En plus d'être actionnaire majoritaire au conseil d'administration, cela va de soit.

Quoi qu'il en soit, nous arrivons à la levée de rideau je le crains. Reste à donner le mot de la fin. A défaut d'offrir un sang impérial ou royal, je met à disposition gracieusement quelque chose de bien plus pratique et sans doutes précieux en notre époque, des contacts, des opportunités. Car aujourd'hui, c'est là ce qui régit le monde. L'heure n'est plus aux gloires passés ni à la nostalgie des temps anciens, le temps passe et il faut suivre afin de ne pas demeurer sur le bas-côté car toute sortes de personnes mal intentionnés attendent tapis dans l'ombre afin de se servir d'une chute comme marchepied.

Qui plus est, en digne gentilhomme fortunéen, nous saurons faire montre d'une galanterie des plus exemplaire comme il sied à une Dame de la bonne société et ce d'autant plus que votre fille nous apparaît comme une muse des plus splendides qu'il convient de porter à un éclat encore jamais vu.

Mais le choix final, votre altesse royale, il vous revient.

Dès lors, nous vous transmettons nos considérations les plus distinguées.

Il Signore Federico Mancini,
Patrice de Fortuna & futur Prince de Rivoli,


Federico Mancini
Armoiries de la famille impériale Misao

Depuis Akibayo, cité impériale et capitale de l'Empire Suprême du Tahoku et de la Couronne de Subaru
Le 2 mai 2008, avec la bénédiction de Karasu Misao -Héroïque soit sa destinée et loué soit son peuple !-, Empereur-Prophète, Guide Des Croyants, Envoyé du Ciel et de son fils céleste Xuan, actuel détenteur du trône tahokais et de la Triple-Couronne de Subaru, de Kaneshiro et de Fujima.


A son altesse royale la Reine Graziella IX, Reine du Royaume-Soudé du Frial et de Youslévie de l'Est, connue de par les mers et océans

Votre altesse royale,

Si la provenance de cette missive vous étonne peut-être encore au moment où vous lisez ces lignes, elle témoigne à elle-seule du respect que ma personne et ma famille entretient à votre égard. Le Royaume-Soudé en effet fait parler de lui par delà les frontières, et bien que discrets sur la scène internationale, l'Empire Suprême se tient toujours à l'écoute et observe avec grande attention les événements qui en bien comme en mal secouent l'Eurysie. Alors que les régimes sans foi ni loi se livrent à des conflits petits et ingrats, perdus par le manque d'un dirigeant fort et instruit, votre pays constitue le parfait exemple de la bénédiction que sont les régimes monarchiques. Votre usage raisonné du pouvoir et votre prestige à la tâche sont autant de gages de confiance qui font de vous un partenaire privilégié pour l'Empire, qui sera honoré de pouvoir compter sur un partenaire de choix au cœur de l'Eurysie de l'Ouest. A l'inverse, le Royaume-Soudé bénéficiera d'un allié dévoué au Nazum, en plein carrefour commercial et avec plein accès à la diplomatie Xin par son intermédiaire.

Mais allons droit au but. Je ne me suis pas encore présenté : je m'appelle Ari Misao, le digne héritier de la dynastie Misao. Mes 30 ans me permettent depuis 5 ans d'exercer mes fonctions de Guide Impérial, une haute fonction du Culte Impérial. Je suis également l'héritier du Trône d'Empire et de la Triple Couronne. Ainsi, mon temps de règne viendra lorsque les Cieux le demanderont. Je possède également des propriétés ecclésiastiques en tant que membre du Haut Clergé Impérial, et mène de grandes exploitations minières dans les montagnes du Subaru. L'avenir financier de votre fille est donc entre de bonnes mains, d'autant plus que la politique de réindustrialisation par l'Empereur, mon père, commence à porter ses fruits. Bientôt, le domaine impérial sera une mine d'or pour le pays, bénéficiant de nombreux travailleurs et ressources.

Ces qualités d'héritier et propriétaire ne suffisent cependant pas au mari exemplaire qui se doit. Pour cette raison, je serai ravi de partager avec la Princesse Onorina mes connaissances théologiques et mes qualités de musicien et écrivain de la couronne, des activités qui j'espère l'enchanteront et rendra sa vie encore plus agréable. Il est également évident que la Princesse pourra faire vie commune avec ma personne au sein de mon aile privée du Palais Impérial. Ce dernier la ravira sans aucun doute possible : jardins traditionnels impériaux, thermes et bains chauds naturels et théâtre sauront lui apporter des amusements dignes de son nom. L'entretien initial de notre ménage, matérialisé par une dot de 3 milliards de sabres tahokais, par ailleurs sera aux frais de l'Empereur lui-même.

Avec tous mes hommages,

Photographie d'Ari Misao, en costume 3 pièces de modèle eurysien
Ari Misao, Guide du Culte Impérial, héritier du Trône de l'Empire Suprême du Tahoku, héritier de la Triple-Couronne de Subaru, de Kaneshiro et de Fujima.
3 mai 2008
Saint-Pavelsbourg, Palais Dobrouchkov


Votre Altesse Royale,

Je vous fait parvenir cette lettre, venue d'un lointain pays d'Eurysie de l'Est, la Lutharovie. Si la provenance de cette lettre vous étonne, sachez que la prestigieuse maison Dobrouchkov, dernière branche vivante d'une dynastie de plus de mille ans, subsiste toujours en Lutharovie. Cette lettre se retrouvera sans doute noyée parmi une multitude d'autres lettres venues de tous les horizons, mais permettez-moi tout de même de me présenter.

Je suis Feodor Konstantinovitch Dobrouchkov, et du haut de mes vingt-quatre ans, je suis Tsarévitch, titre qui me place comme légitime héritier du trône de Lutharovie. Ma famille, la maison Dobrouchkov, est issue d'une des plus anciennes dynasties royales d'Eurysie, la dynastie des Ruvokovitch, fondée en 854 par Ruvo, Prince des Luthriens et Prince de Pravalna. Les Dobrouchkov ont été Tsars et Empereurs de Lutharovie jusqu'en 1928, date à laquelle l'Empire Lutharovien cessa d'exister. Les communistes Lutharoviens, bien qu'hostiles à la monarchie, ont été particulièrement cléments envers la noblesse Lutharovienne. En effet, nous possédons toujours une partie de notre grande fortune, et le Palais Dobrouchkov, lieu chargé d'histoire ayant toujours appartenu à ma maison qui saura ravir la princesse Onorina grâce à son vaste domaine comprenant une forêt impériale, et, aussi, grâce au palais comprenant une salle de bal et une bibliothèque entre autres.

Bien que mon titre de Tsarévitch, que je porte en raison de la titulature de mon oncle Georges Mikhaïlovitch Dobrouchkov, soit simplement honorifique aujourd'hui, il résulte du prestige de ma famille. La maison Dobrouchkov exerce encore une influence non négligeable sur la Lutharovie et, malgré la présence des communistes à la tête du pays, elle est traitée avec respect et bienveillance. Évoquer le nom des Dobrouchkov, ce n'est pas qu'évoquer une simple famille noble d'un pays lointain et les périodes sombres du début du vingtième siècle. Évoquer le nom des Dobrouchkov, c'est évoquer un passé glorieux, un pays radieux, son histoire riche et son prestige, ainsi que sa puissance d'antan.

Ainsi, Votre Altesse, pour votre fille, je me présente comme prétendant. Pour son cœur, j'en serais le conquérant.




Veuillez accepter mes salutations distinguées,

Feodor Konstantinovitch Dobrouchkov,
Tsarévitch de Lutharovie

Feodor Dobrouchkov
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Communiqué Impérial à l'intention de la Regina Graziella IX, reine du Royaume-Soudé



Bonjour,

Son Excellence Impériale vous fait savoir qu'Elle a eu l'honneur d'être le premier souverain du monde à avoir émis une demande en mariage pour votre fille.
Bla


An de Grace 2008, le 6 de mai.

Moi qui par la grâce de Dieu et la volonté du Duc mon maitre, suis chancelier ducal, c'est en cette qualité que j'ai fait part à mon seigneur et suzerain le Duc Charles de Nouvelle Fides de votre offre matrimoniale de marier votre ravissante fille à un souverain. Certes, je n'ai pu cacher l'age assez avancé de votre fille, 21 ans, mais je lui ai montré les photographies, et il a convenu que votre fille, la princesse, était de figure convenable.

De plus, j'ai renchéri en affirmant que les ventres de Soudé sont féconds, j'ai parlé en cela par précipitation, dans l'urgence et donc sans étude. J’espère ne pas avoir trompé mon maitre en voulant vous obliger. Sa majesté m'a demandé également si votre famille avait quelques bossus, je lui ai répondu qu'il ne fallait pas compter sur un parti dont la famille serait totalement exempte de rejetons contrefaits mais que, autant qu'il m'en souvienne, on ne vous connaissait aucune tendance à engendrer des princes dégénérés.

A vrai dire, sachez que si le projet devait être avancé plus avant, nous serions peu regardant sur la dote de votre fille. En effet, cela fait trop longtemps que nous marions nos ducs avec les grands du duché dont les familles sont peu nombreuses et peu diverses, et cela commence à se voir et à se ressentir...

Nous vous prions donc de bien vouloir nous donner une réponse positive. Nous vous en serions vraiment, vraiment, très obligés.

Le chancelier du Duc de Nouvelle Fides.
Il n’est de titre de noblesse
Que ceux que l’on se forge
Ou s’octroie .

Madame, on a toujours le choix !
Entre un mariage ou la liberté
Osez Pharois.

Certains ont l’allure altière
La chemise bien boutonnée et le port haut.
Pour ma part je n’ai besoin pour être fier
Que d’un pull de laine chaud.

Comme dote madame, je vous offre
Une pipe
Au tabac noir, et des embruns.
Saurons je l’espère, vous satisfaire
Sinon vous faire taire.

Pas de promesses ou de desseins,
Je ne suis guère cavalier
Mais marin.
Laissez-vous simplement tenter.

Au lendemain, madame, c’est promis
Vous retrouverez votre lit.
Ebouriffée, peut-être, changée sans doute
Et les fastes de votre cour.

Mais au moins le temps d’un soir
J’ai bon espoir
Aurez-vous goûté à l’inconnu.
Et peut-être aussi à l’espoir.


Valtteri,
Pirate, marin et poète,
Non certes épris de vous, mais touché par votre sort et concerné par votre destin.
Libre pourvoyeur d'aventure, je penserai à vous cette nuit encore.
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1er mai 2008
Poste-frontière d'Iwako, Maronhi


À l'attention de la Principessa Onorina en personne.

Belle demoiselle,

Bien que mon nom se soit envolé dans le vent qu'on enseigne, j'ose, dans mon indigence, saisir la bouteille lancée par Sa Majesté votre mère.
Mon cœur appartenant déjà à une autre, il n'est nullement dans mes intentions de me porter prétendant pour gagner votre main. Si je prends la peine de vous écrire cette lettre, c'est par pur devoir et entière compassion. En effet, je m'inquiète de l'absence d'épanouissement qu'une entreprise comme un mariage arrangé représente pour une femme aussi jeune. Je tiens donc absolument à vous porter conseil malgré le gouffre béant qui nous sépare. Après pléthore de brouillons maladroits, songeant à ce que je pouvais bien faire à mon échelle, me revins étrangement en mémoire une vieille histoire que me contait ma nourrice.

Cet antique légende narre la vie d'une fille mystérieuse découverte, bébé, dans la coupe d'une canne de bambou luisante. Prétendant venir de la Lune et arborant des cheveux brillants comme l'or, celle-ci se fit rapidement connaître par tous les grands princes qui se jurèrent de l'épouser. Pour choisir parmi eux, elle donna des tâches impossibles aux princes en promettant d'épouser celui qui lui apporterait un objet précis. La même nuit, la princesse dit à chacun des princes ce qu'ils devaient apporter ; il n'y avait là que des objets mythiques, et par définition, introuvables par le commun des mortels. Se rendant compte que la tâche était impossible, la plupart des princes moururent ou essayèrent de se jouer d'elle avec des faux. Je ne vous conterai malheureusement pas la suite ; je crois que seule vous pourrez juger de la valeur que vous accorde vos prétendants, que ce soit par leurs actions ou leurs présents. Voyez donc avec votre cœur.
J'espère ainsi vous avoir été d'une quelconque aide et demeure à votre entière disponibilité.

Ne vous y trompez pas belle demoiselle ; l'or, même à la laideur, donne un teint de beauté.

Épistolairement vôtre,



Kenshin Susano, descendant du "Jaguar Borgne" et capitaine au sein du bataillon Harpie de l'Armée Nationale Populaire de Maronhi.

Kenji Susano, descendant des seiitaishōgun de Maronhi.
Bonjour ma belle Onorina, je m’appelle Daniel Konisburg, 78e duc de Baden et je souhaite prendre votre main.

Majesté, votre princesse, je n'ai qu'un seul objectif, vous conquérir.

Et pour cela j'ai de solides arguments

Je peux vous dire que mon parcours scolaire est en tout point élogieux, j’ai eu 2 licences de mathématiques et de physiques, 3 masters de sociologie, d’économie et de biologie et 4 doctorats de droit, de science politique, de géopolitique et de littérature. Je suis duc depuis mes 24 ans, c'est-à-dire depuis 1959. Malgré mon emploi du temps chargé j’ai pu poursuivre mes études et redresser avec une très grande vigueur la puissance de mon duché, et je pourrais en faire de même dans ton royaume.

J’ai actuellement 72 ans et tu peux donc convenir que je suis né en 1935 et j’ai donc une connaissance de la vue et du monde presque infini du fait des mes nombreuses rencontres et voyages, je pourrais te partager volontiers tout mon savoir dès que tu le désireras.

J’ai été marié 2 fois au cours de ma vie avec deux femmes merveilleuses qui m'ont quitté trop tôt. Et je suis convaincu que tu seras encore plus merveilleuse, charmante et talentueuse qu'elle. J'ai également eu plusieurs enfants mais tout cela ne doit guère t'intéresser.

Je veux te dire que je suis le seul homme qu'il te faut, n'écoute pas ces petits nobles, ces moins que rien, ces m'a tu vu, ces gens qui ne connaissent rien à la vie, ces gueux désargentés, qui ne connaissent des femmes que ce que certains films ont bien voulu leur montrer… Fais moi confiance, fais confiance en un vrai noble pur sang et pour souche, qui connaît vraiment la vie, qui l'a connaît si bien, qui pourra satisfaire le moindre de tes plaisirs et qui connait réellement les femmes.

Sinon pour mes loisirs j'aime pratiquer beaucoup de sport pour garder la ligne de mes 20 ans et j'adore danser, chanter, s'amuser… Je suis un homme au train de vie modeste qui consomme et mange très peu.

Bref j'aime la vie, j'adore rire et je t’aime !

Daniel Konisburg, duc de Baden

daniel
Drapeau Impérial

La missive semble légèrement décalée dans ses formes comme si ce n'était pas une main experte qui l'avait rédigée, elle arbore toutefois le sceau impérial Xin.
Beiyfon, 16 Mai 2008


A l'attention de la Dame ayant lancée une bouteille à la mer.

Madame la Reine,

Je vous adresse cette lettre aujourd'hui avec l'aide de Monsieur Xang qui entretient le jardin de ma mère et qui est quelques peu lettré. Votre message après avoir parcouru les océans du monde a finit par atteindre ma maison malgré qu'il n'y ai pas de cours d'eau qui la traverse et en dépit des remparts aussi haut que des montagnes qui la cercle.

Ma mère et ses amis qui ne cessent de m'apporter des cadeaux chaque jour pensent que ce que vous avez écrit n'est que bêtises et inepties et a abandonné votre lettre sur un bureau. Je sais qu'il est malvenu de lire le courrier des autres mais je n'ai pas pu m'empêcher de jeter un oeil et vos mots m'ont particulièrement touché, grâce aux explications de Monsieur Xang car je ne comprenais pas tout.

Le fait que votre fille Onorina cherche l'amour à travers le monde grâce à votre soutient est merveilleux et extrêmement poétique. Je suis certains que d'ores et déjà vous avez reçu des dizaines de proposition de galants princes et de vaillants chevaliers qui défendent les bonnes gens travaillant la terre. Après tout celle ci est très belle, bien plus que les dames que ma Mère m'a présenté le mois dernier.

Elle dit toujours qu'il est normal que l'Empereur aie plusieurs concubines pour assurer la descendance et l'assister dans son règne et que je devrais finir par en choisir. Mais cela ne m'intéresse pas vraiment, tout ce que ces dames font c'est me complimenter au moindre geste, même le plus insignifiant. Je ne sais pas vraiment quoi en penser. Ce que j'aimerais vraiment c'est avoir des amis, mais à chaque fois que je pose la question et propose à qui que ce soit, il se confonds en excuse et m'évite. Tous les jours ne sont que solitude derrière les murs de la maison.

Aussi c'est pour cela que je vous écrit, je sais très bien que ce n'est pas vraiment l'objet de votre bouteille jetée à la mer, et que vous avez déjà certainement trouvé un mari idéal pour votre fille... Je n'ai aucune chance... Mais à défaut de conquérir le coeur de celle ci j'apprécierais beaucoup de devenir son amie. Je vous promet madame que je serais aussi dévoué que bienveillant, dans les jeux comme dans le travail.

J'espère donc que vous répondre favorablement à ma lettre Madame la jeteuse de bouteille.


Xin Tao, l'on m'appelle aussi Xuan, ou le Fils du ciel parfois même si je ne comprends pas vraiment encore.
*Quelqu'un a vraisemblablement rajouté au terme de cette lettre le sceau impérial et des tampons officiels du Grand Secrétariat Xin*


Xin Tao, Fils du Ciel
Lettre à l’intention de : Regina Graziella IX, Regina del Regno-Saldato

De la part de : Maurice et Yvette De Ckey, duc et duchesse de Ckey - Fédération Monarchique des Peuples de Canta

Votre excellence,

La ministre cantaise de l'aristocratie, madame Manuela Schmitz, nous a fait part du courrier que vous avez envoyé aux monarchies du monde entier pour trouver un prétendant à votre princesse Onorina. Il se trouve que nous aussi nous avons des jeunes hommes du même âge à marier.

Avant de commencer à vous parler de notre vilain chenapan, nous tenons à vous expliquer notre histoire puisqu’il semble que cela vous intéresse beaucoup. La famille De Ckey règne sur le duché de Ckey, ou Côte Ckey dans son nom administratif, depuis sa fondation en -145 et nous sommes une des 3 familles fondatrices de Canta avec les Norter et les Konisbourg. Comme vous le voyez, nous régnons sur nos terres depuis plus de 2.000 ans et jamais notre pouvoir n’a été remis en cause. Cela est sans doute dû à notre nature ouverte, chaleureuse et proche du peuple comme certains disent.

Mais revenons à nos moutons, et laissez nous vous présenter notre petit-fils : Tobias Norter. Tobias est né le 31 octobre 1989 dans notre capitale ducale, Le Roto, ses parents sont Françoise De Ckey, notre 2e fille, et Gunter Norter, notre 2e gendre. Il a suivi un parcours assez classique comme tous les jeunes nobles cantais, c’est à dire faire ses premières études à l’Académie Élémentaire du Roto puis ses études secondaires à l’Institut Royal d'Études de Roune et désormais il étudie l’astronomie à l'Université Fédéral des Sciences de La Roitier. C’est un garçon qui a un très bon caractère et qui plaira sans nulle doute à votre fille.

Avec tous nos hommages et ceux de notre reine

Maurice et Yvette de Ckey, duc et duchesse de Ckey


Dans la lettre du duc et de la duchesse, parfaitement rédigés, était également glissé une autre lettre, à l’écriture un peu moins appliquée.

Lettre de Tobias
Bonjour Onorina, moi c’est Tobias De Ckey, mais tu peux m’appeler Tobi si tu veux.

Je ne suis sans doute pas le prétendant rêvé pour toi, j’ai sans doute pas les meilleures études, ni la meilleure dote, sans doute pas le plus beau physique et je ne suis même pas d’une famille royale.

Mais en revanche j’ai un don sans pareil pour rendre les gens autour de moi plus gais et aussi pour détendre l'atmosphère en général. Je sais faire plein de choses que la plupart de tes prétendants ne sauront pas faire comme te masser le soir pour t’apaiser avant de t’endormir, te réveiller le matin avec un petit déjeuner que j’aurais moi même préparer, te faire découvrir le moindre recoin de la nature de mon duché en compagnie de mon chien : Totor. Mais aussi t’expliquer tout ce que tu vois dans le ciel et te donner le nom de chacune des étoiles et constellations situé aux dessus de nos pays.

J’aimerais bien te rencontrer au moins une fois juste pour savoir si la bonne alchimie que j’ai ressenti en te voyant se concrétise.

Tobias


Il y avait également une feuille de papier glacé sur laquelle se trouvaient 3 photos de Tobias.

tobi
Corque a écrit :
Lettre à l’intention de : Regina Graziella IX, Regina del Regno-Saldato

De la part de : Maurice et Yvette De Ckey, duc et duchesse de Ckey - Fédération Monarchique des Peuples de Canta

Votre excellence,

La ministre cantaise de l'aristocratie, madame Manuela Schmitz, nous a fait part du courrier que vous avez envoyé aux monarchies du monde entier pour trouver un prétendant à votre princesse Onorina. Il se trouve que nous aussi nous avons des jeunes hommes du même âge à marier.

Avant de commencer à vous parler de notre vilain chenapan, nous tenons à vous expliquer notre histoire puisqu’il semble que cela vous intéresse beaucoup. La famille De Ckey règne sur le duché de Ckey, ou Côte Ckey dans son nom administratif, depuis sa fondation en -145 et nous sommes une des 3 familles fondatrices de Canta avec les Norter et les Konisbourg. Comme vous le voyez, nous régnons sur nos terres depuis plus de 2.000 ans et jamais notre pouvoir n’a été remis en cause. Cela est sans doute dû à notre nature ouverte, chaleureuse et proche du peuple comme certains disent.

Mais revenons à nos moutons, et laissez nous vous présenter notre petit-fils : Tobias Norter. Tobias est né le 31 octobre 1989 dans notre capitale ducale, Le Roto, ses parents sont Françoise De Ckey, notre 2e fille, et Gunter Norter, notre 2e gendre. Il a suivi un parcours assez classique comme tous les jeunes nobles cantais, c’est à dire faire ses premières études à l’Académie Élémentaire du Roto puis ses études secondaires à l’Institut Royal d'Études de Roune et désormais il étudie l’astronomie à l'Université Fédéral des Sciences de La Roitier. C’est un garçon qui a un très bon caractère et qui plaira sans nulle doute à votre fille.

Avec tous nos hommages et ceux de notre reine

Maurice et Yvette de Ckey, duc et duchesse de Ckey


Dans la lettre du duc et de la duchesse, parfaitement rédigés, était également glissé une autre lettre, à l’écriture un peu moins appliquée.

Lettre de Tobias
Bonjour Onorina, moi c’est Tobias De Ckey, mais tu peux m’appeler Tobi si tu veux.

Je ne suis sans doute pas le prétendant rêvé pour toi, j’ai sans doute pas les meilleures études, ni la meilleure dote, sans doute pas le plus beau physique et je ne suis même pas d’une famille royale.

Mais en revanche j’ai un don sans pareil pour rendre les gens autour de moi plus gais et aussi pour détendre l'atmosphère en général. Je sais faire plein de choses que la plupart de tes prétendants ne sauront pas faire comme te masser le soir pour t’apaiser avant de t’endormir, te réveiller le matin avec un petit déjeuner que j’aurais moi même préparer, te faire découvrir le moindre recoin de la nature de mon duché en compagnie de mon chien : Totor. Mais aussi t’expliquer tout ce que tu vois dans le ciel et te donner le nom de chacune des étoiles et constellations situé aux dessus de nos pays.

J’aimerais bien te rencontrer au moins une fois juste pour savoir si la bonne alchimie que j’ai ressenti en te voyant se concrétise.

Tobias


Il y avait également une feuille de papier glacé sur laquelle se trouvaient 3 photos de Tobias.

tobi

HRP : COURRIER NON REMIT AU DESTINATAIRE LEGITIME, INTERCEPTION PAR LE PRINCE EZECHIELE
PRESENTATION D'ÉRIC BRAMSTONE,
"MARQUIS DE VERDANTE"


MARQUIS
Éric Bramstone, Marquis de Verdante

Bien que la noblesse n'existe pas en Saint-Marquise, il subsiste encore quelques infimes descendants du temps où les Indépendants étaient arrivés sur l'Île de Norland. Pour l'occasion du mariage de la princesse du Royaume-Soudé, le Marquis de Verdante de son vrai nom Éric Bramstone a écrit une présentation pour la Reine.
Voici sa présentation :

Le Marquis de Verdante a écrit :
"Votre Majesté,
Je m'appelle Éric Bramstone, j'ai 24 ans, je suis né à Verdante, dans le Comté de Claircliff, Région Westmer, le 12 Mai 1984. Je suis le descendant direct d'une infime partie d'une noblesse coloniale.
Je me présente devant vous pour prendre la main de votre fille, la Princesse Onorina qui, d'après votre annonce, a 21 ans.
Je suis un homme sincère, attentionné et parfois, ça m'arrive, drôle. Malgré que dans mon pays, la noblesse n'existe pas, et c'est bien dommage, mais je peux vous l'assurer qu'elle est présente dans mes veines et que je serai digne d'être un noble correcte, si vous l'acceptez, pour votre fille.
Merci de m'avoir écouté, en espérant que la réponse que vous donnerez, serait positive, je me tiens à votre disposition.
A bientôt."
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