27 août 2008 - La force maritime pontarbelloise, une micro armée contrainte à la guerre asymétrique pour servir une stratégie navale viable.Équipées d’armes de plus longue portée, d’une meilleure puissance de feu et de munitions à guidage de précision, les vedettes de la garde-côte pontarbelloise sont des éléments cruciaux de la défense maritime, contrairement aux moyens opposables par la République cobaricienne.Les menaces passées, présentes et futures agitées autour du Pontarbello, qu’elles fussent kah-tanaises ou aujourd’hui cobariciennes, ordonnent une prise en compte immédiate dans le déroulement de la stratégie défensive pontarbelloise. Habituée à servir avec des moyens limitées compte tenu de sa récente indépendance et du tissu industriel jusqu'ici faiblement développé sur le territoire national, la marine pontarbelloise, ou plus simplement diront les puristes : la garde-côte pontarbelloise, est une force évolutive qui a su s’adapter aux enjeux militaires actuels, sans s’imposer des moyens trop élevés en matière d’entretien.
Incité à prendre des mesures immédiates, le commandement de l’Armée Nationale du Pontarbello Libre a fourni un lot de vedettes de plaisance aux industriels de l’armements alguarenos, afin que ces derniers conceptualisent des bâtiments de guerre légers et rapides. Une homologation surprenante, coûteuse mais qui, devant la conjoncture actuelle de la crise politique naissante avec la République cobaricienne, pourrait bien trouver un retour sur investissement.
Déjà initiée en conditions réelles, après l’interception, la neutralisation et
la destruction d’un bâtiment de surface listonien lors de la guerre d’indépendance, la garde côte pontarbelloise est une unité militaire défensive redoutée et redoutable, par sa capacité à sortir de son rôle premier, participant à des opérations offensives ayant abouti
au débarquement de la pointe sud-aleucienne, en janvier 2007.
Là où les forces cobariciennes entreprennent des exercices militaires, la garde côte pontarbelloise et plus largement l’Armée Nationale du Pontarbello Libre, peut compter sur une expérience réelle, éprouvée lors d’un baptême du feu pour l’indépendance qui façonne aujourd’hui encore, le devenir de cette jeune patrie, instaurée à l’aube du 3e millénaire. Présente dans les bonnes grâces des industriels de l'armement alguarenos mais une liberté et une représentativité du peuple largement discutable, l’autorité du Pontarbello n’en demeure pas moins un gage de stabilité et de d’ordre pour le monde économique et commercial alguareno. “C’est bien les régimes militaires, ça achète beaucoup d’armes…” résumait d’une simple parole et de façon officieuse, le Président Directeur Général de la société Benca,
pilier mondialement connu de la vente internationale d’armement.
Au Pontarbello, la poigne de fer du régime installée sur la région suffisait à pérenniser les transactions commerciales chères aux industriels de l’armement, les industriels de l’armement se moquant relativement de savoir si leurs armes tueraient un crocodile, un brun, un blond ou encore une biche.
Les points issus de ce RP contribueront à élaborer un budget pour l'Armée Nationale du Pontarbello Libre.
Reliquat = 4 640 points + 3 084 points = 7 724 points de développement pour former le budget de la défense pontarbellois.