détail : je lance la convocation mais il va de soi que le programme peut être modifier à la convenance de chacun
La foule est assemblée nombreuse face au balcon du château ducal. L'équipe technique de la télévision est à l’œuvre pour filmer une performance en direct. Là, sous les cris hystériques de la population, des cris de joie et d’excitation, le chancelier ducal annonce tant bien que mal que le duc va prendre la parole, ce qui advient effectivement quelques instants plus tard.
Henry Ier, duc de Nouvelle - Fidès
Il salue la foule, tente quelques paroles à travers la cacophonie, s’énerve, fait quelques remontrances au peuple qui se tait enfin et commence le cœur de l'allocution ducale :
" ...C'est pourquoi nous pensons, nous, votre duc, qu'il est grand temps d'inviter nos amis à confirmer nos engagements de manière plus formelle et plus forte. Nous le savons, la marche du monde avance inéluctablement vers l’abimes et nous savons bien que nous vivons à présent les temps qui sont les derniers. Nous ne devons cependant ni nous laisser abattre, ni nous laisser aller mais nous devons au contraire nous battre, nous battre défensivement certes, mais nous battre cependant, car il y a dehors un ennemi qui nous en veut, un ennemi implacable et invincible dont le nom ne vous est pas inconnu, braves gens : Cet ennemi c'est le Diable !
Et cet ennemi est multiforme et insidieux ! Tantôt c'est le libéralisme et son consumérisme décadent et hédoniste, tantôt c'est le communisme et son matérialisme utopique et meurtrier, mais dans les deux cas, c'est bien le même individu qui est à l’œuvre : le Diable ! Encore une fois, je ne parle pas de l'affronter directement, c'est impossible puisque c'est son heure, mais nous devons lui résister, lui opposer une ferme résistance. Comment doit s’opérer cette résistance ? Elle doit s'opérer par un éloignement total et radical de la cité du Diable !
Pour ce faire, nous ne devons pas rester seuls, nous avons, je l'ai dit, des amis estimables qui, certes, sont différent de nous mais comprennent à leur manière que le drame que nous vivons est grave et que nous devons nous en défendre. C'est pourquoi je viens de les inviter à venir par devant nous pour que nous établissions une fois pour toute un modus vivendi permanent, perpétuel et parfait entre nos peuples et nos civilisations.
Ce motus vivendi devra comporter plusieurs choses essentielles : La protection d'abords, nous ne pouvons plus nous permettre de perdre un des nôtres sous le coup des modernistes ; l'économie ensuite, nos systèmes sont les plus conformes à l'humanité et à la loi naturelle, il est honteux que nos économies ne soit pas puissantes ; la culture : notre influence mondiale doit grandir et il doit se lever dans le monde des hommes capables de nous comprendre et de nous rejoindre. Voici ce que j'ai envoyé à nos amis. Et vous, mes gens des trois Ordres, soyez assurés de ma parfaite détermination à vous servir jusqu'à ma mort. Sur ce, j'ai tout dit sur cette question ..."
Et cet ennemi est multiforme et insidieux ! Tantôt c'est le libéralisme et son consumérisme décadent et hédoniste, tantôt c'est le communisme et son matérialisme utopique et meurtrier, mais dans les deux cas, c'est bien le même individu qui est à l’œuvre : le Diable ! Encore une fois, je ne parle pas de l'affronter directement, c'est impossible puisque c'est son heure, mais nous devons lui résister, lui opposer une ferme résistance. Comment doit s’opérer cette résistance ? Elle doit s'opérer par un éloignement total et radical de la cité du Diable !
Pour ce faire, nous ne devons pas rester seuls, nous avons, je l'ai dit, des amis estimables qui, certes, sont différent de nous mais comprennent à leur manière que le drame que nous vivons est grave et que nous devons nous en défendre. C'est pourquoi je viens de les inviter à venir par devant nous pour que nous établissions une fois pour toute un modus vivendi permanent, perpétuel et parfait entre nos peuples et nos civilisations.
Ce motus vivendi devra comporter plusieurs choses essentielles : La protection d'abords, nous ne pouvons plus nous permettre de perdre un des nôtres sous le coup des modernistes ; l'économie ensuite, nos systèmes sont les plus conformes à l'humanité et à la loi naturelle, il est honteux que nos économies ne soit pas puissantes ; la culture : notre influence mondiale doit grandir et il doit se lever dans le monde des hommes capables de nous comprendre et de nous rejoindre. Voici ce que j'ai envoyé à nos amis. Et vous, mes gens des trois Ordres, soyez assurés de ma parfaite détermination à vous servir jusqu'à ma mort. Sur ce, j'ai tout dit sur cette question ..."
Il passe à tout autre chose. De leurs cotés, les trois courriers sont partis pour les trois pays amis invitant à venir se présenter ici, les chefs d'états ou leur plénipotentiaire.Quand vient le jour convenu, tandis que les ambassadeurs sont attendus dans la salle du trône, salle dans laquelle a été installé une énorme table ronde, [on ne date pas, Tahoku est un peu débordé, les autres en revanche vous pouvez au moins vous introduire et on continue quand notre nippon est tout à nous], le duc se positionne devant la porte ouverte pour saluer les convives et leurs indiquer leur place.