Nos respectueuses salutations, Monsieur Denis Nkessa, Ministre des Affaires Etrangères de la République Démocratique Libre du Gondo,
Nous vous remercions pour votre retour et votre démarche allant dans le sens de la désescalade.
La volonté de la République Démocratique Libre du Gondo de renforcer sa position de gouvernance sur l'intégralité du territoire est naturelle à tout gouvernement qui dispose d'une reconnaissance internationale.
Il faut néanmoins prendre en considération la méthode employée à cet effet.
Les tensions des années précédentes furent tamisées à grands pas de négociations afin de rompre un cercle infernal de violences et de dissensions.
La reprise des armes par la RDLG aura fait remonter et exacerber les malheurs d'antan et les différents tant politiques que culturels.
Reprendre des négociations dans le but d'éviter une plus ample catastrophe humaine ne doit pas s'effectuer en véhiculant honte et ressentiment.
Reprendre des négociations afin de permettre une discussion dans les lignes directrices d'une République Démocratique est avant toutes choses une nécessité d'écoute des aspirations et exigences des parties prenantes.
Sans cette écoute, sans des représentations et compromis politiques, les armes ne seront pas déposées.
Votre volonté d'inclure un sponsor Eurysien engendrera par ailleurs méfiances et prodiguera au RDLG une posture faible et d'un ancien régime qui ne saurait voir le jour au Gondo ou en Afarée.
La symbolique de votre accord avec une nation Eurysienne est forte et soumet les dissidents à des relents d'un passé révolu et exécré.
Icemlet conseille l'utilisation de l'empathie plutôt que de tomber dans le piège d'inviter une nation financièrement et politiquement intéressée sans véritable attache aux peuples Gondolais.
Nous sonderons les parties prenantes Gondolaises afin d'envisager des discussions futures pressantes et vous tiendrons, bien entendu, au fait de nos avancements.
Plénitude et paix intérieure,
Nous vous remercions pour votre retour et votre démarche allant dans le sens de la désescalade.
La volonté de la République Démocratique Libre du Gondo de renforcer sa position de gouvernance sur l'intégralité du territoire est naturelle à tout gouvernement qui dispose d'une reconnaissance internationale.
Il faut néanmoins prendre en considération la méthode employée à cet effet.
Les tensions des années précédentes furent tamisées à grands pas de négociations afin de rompre un cercle infernal de violences et de dissensions.
La reprise des armes par la RDLG aura fait remonter et exacerber les malheurs d'antan et les différents tant politiques que culturels.
Reprendre des négociations dans le but d'éviter une plus ample catastrophe humaine ne doit pas s'effectuer en véhiculant honte et ressentiment.
Reprendre des négociations afin de permettre une discussion dans les lignes directrices d'une République Démocratique est avant toutes choses une nécessité d'écoute des aspirations et exigences des parties prenantes.
Sans cette écoute, sans des représentations et compromis politiques, les armes ne seront pas déposées.
Votre volonté d'inclure un sponsor Eurysien engendrera par ailleurs méfiances et prodiguera au RDLG une posture faible et d'un ancien régime qui ne saurait voir le jour au Gondo ou en Afarée.
La symbolique de votre accord avec une nation Eurysienne est forte et soumet les dissidents à des relents d'un passé révolu et exécré.
Icemlet conseille l'utilisation de l'empathie plutôt que de tomber dans le piège d'inviter une nation financièrement et politiquement intéressée sans véritable attache aux peuples Gondolais.
Nous sonderons les parties prenantes Gondolaises afin d'envisager des discussions futures pressantes et vous tiendrons, bien entendu, au fait de nos avancements.
Plénitude et paix intérieure,