Ministère de l'économie chargé de l'aménagement du territoire

Depuis désormais plusieurs mois, le Saint Empire Karpok Unifié entreprend un vaste programme de modernisation de ses infrastructures.
le Ministère de l'économie chargé de l'aménagement du territoire travaille en étroite collaboration avec le Palais pour oeuvrer dans ce dossier essentiel pour l'avenir de nos concitoyens.

Les travaux entrepris peuvent se diviser en plusieurs domaines.

Nous avons le plaisir aujourd'hui de vous faire partager les arbitrages de notre politique dans le domaine du transport.
L'objectif des transports est de relier les différentes villes de l'Empire entre elles ainsi que les différents centres d'activités industrielles et portuaires. L'objectif est de pour voir garantir également la limitation, autant que faire se peut, de la saturation du traffic.
Le transport sous toutes ses formes est un élément essentiel dans l'aménagement du territoire

1) le domaine routier

Des tracés d' autoroutes ont été créés pour relier les villes et contourner les mégalopoles. Le revêtement de la chaussée est en cours sur l'ensemble des autoroutes préexistantes.
Des routes secondaires ont pour vocation de fluidifier le traffic au sein même des agglomérations et permettre dans un second temps de relier dans des conditions optimales des villes secondaires et les différents villages.



2) le domaine ferroviaire

L'essentiel du travail tourne autour de la création de 2 réseaux autonomes pour éviter toute saturation. Un nouveau réseau dédié uniquement au transport de marchandises et au fret est en cours d'aménagement à travers tout le territoire. Ainsi les différents pôles industriels seront directement reliés entre eux et avec les infrastructures portuaires.

2) les centres portuaires

Comme annoncé précédemment, une rationalisation de nos différents centres portuaires a été effectuée. Chaque port aura une spécialisation tout en gardant également une certaine polyvalence si celle-ci est possible.
Pour illustrer cette volonté, le port d'Ourok deviendra incontestablement le noeud du traffic des containers de l'empire et des investissements à la hauteur du projet sont engagés. L'objectif est de devenir peu à peu une étape commerciale connue et reconnue dans la région et à travers le monde. Pour autant, le vieux port de pêche de la ville demeurera et le pôle industriel sur le port Est restera également pour le stock des minerais.

3) les aéroports

Des aéroports de génération précédente existent autour des différents pôles urbains.
Dans un premier temps, leur existence est satisfaisante en l'état.
Seul l'aéroport de Leonev aura vocation dans un premier temps à devenir un aéroport international. Quelques travaux devront être engagés afin de remplir les normes et garantis nécessaires à l'agrément et aux contraintes d'un traffic international.

C’est un fait : le développement d’un pays entraîne automatiquement des besoins énergétiques de plus en plus importants.

Comment anticiper nos besoins futurs qui suivent pour le moment une courbe exponentielle tout en gardant une certaine indépendance stratégique dans ce domaine ?

1) Début de l’exploitation des ressources pétrolifère et gazière

Des champs pétrolifères ont été repérés depuis plusieurs mois. Les premiers sont des champs offshores dont l’exploitation débute à peine.

La construction de certaines Plate-formes pétrolières au large de Nvarek entre dans leur dernière phase.

Le principe d’autonomie stratégique ralentit quelque peu l’exploitation. En effet, pour le moment la construction des structures et de la logistique qui en découle est en place. La zone industrielle de Nvarek est prête à accueillir les différents hydrocarbures gaziers ou pétroliers afin de les transformer dans les industries pétrochimiques récemment construites.
Cependant, Karpok Energies n’a pas obtenue du Palais l’autorisation d’acheter un navire pétrolier. Elle devra attendre que l’industrie karpokienne soit en capacité de pouvoir le faire par elle-même.
Les chantiers navals d’Ourok ont déjà sortis deux navires Cargo et la recherche et développement de ces derniers travaillent d’arrache pieds sur la conception de nouveaux navires.

D’un autre côté, des champs pétrolifères de grandeur hétérogène ont été identifiés dans le sud-est de l’Empire. Pour autant, aucuns travaux visant à exploiter ces ressources n’a débuté.

Carte des différents gisements d’hydrocarbures identifiés

2) Production électrique

Sur le lac de Maramiev, il existe un barrage hydraulique long de 2250 m et haut de 120 M. Sa capacité de production permet d’alimenter la métropole de Maramiev (plus de 2 000 000 habitants) et sa province toute entière en besoins électriques.


Le barrage de Maramiev haut de 120 M est le plus grand barrage de l’Empire

Le reste de la production électrique est créée à partir d’usines alimentées en combustibles fossiles (charbon du nord du pays notamment).
Conscient de l’impact écologique d’une telle production, le Ministère réfléchit aux alternatives renouvelables.
Il faudra cependant un certain temps afin que ces dernières puissent à elles-seules alimenter en besoin la totalité de l’Empire.

Centrale thermique au nord de Leonev (la plus grande du pays)

COMPLEXE AERONAUTIQUE DE LEONEV


Le complexe aéronautique de Leonev est désormais terminé.
C’est un véritable pôle d’excellence de l’aéronautique qui est ainsi sorti de terre en quelques mois à peine. Cette prouesse dont se félicite l’Empereur deviendra le fer de lance de l’industrie dans ce domaine.
Situé aux abords de l’aéroport international de Leonev, cette localisation permet une collaboration de chaque instant et une mise en situation quasi instantanée des concepts et réalisations du complexe.
Ce site de haute volée se compose de plusieurs pôles indépendants.

1) Le pôle de formation



En partenariat étroit avec l’Université de Leonev, un complexe de formation est installé sur le site aéronautique.
Il s’agit là de former d’abord les futurs techniciens et ingénieurs du secteur.
C’est un véritable campus de l’aéronautique flambant neuf qui permet d’étudier dans les meilleures conditions possibles. Proche de la réalité du secteur, les étudiants peuvent ainsi s’approprier les outils professionnels qui leur serviront dans leur pratique quotidienne future.

S’ouvrir à l’aéronautique n’est pas une chose anodine et, au-delà en effet de l’aspect conceptuel et très terre à terre de la fabrication des avions, il faut aussi envisager tous les autres corps de métiers qui gravitent autour de ce secteur.
Au sein du pôle de formation, on retrouve également l’école des agents du trafic aérien, l’école des stewards et des hôtesses de l’air. Les étudiants peuvent ainsi se rendre sur l’aéroport et se confronter à la réalité de leur futur métier.

Un peu plus loin, il existe également l’école impérial des pilotes d’avion de ligne civil. Le recrutement est sélectif et exigent. L’école dispose de pistes indépendantes à l’aéroport. Les premières années sont consacrées à la connaissance technique des aéronefs. Des simulateurs de dernières générations ont été créés pour s’adapter à la flotte existante, elle-même amenée à évoluer.

Parallèlement, l’Université dispose également d’un pôle de formation d’ingénierie pour ce qui concerne la conception et fabrication aéronautique.

2) Le pôle recherche et développement



C’est là le cœur de la conception aéronautique. C’est dans ces bureaux que sont imaginés les futurs avions. Il y a deux branches bien distinctes dans le pôle.
La première concerne le secteur civil, la seconde le secteur militaire et de la défense. L’un et l’autre, bien que distincts, partagent leurs recherches régulièrement pour ainsi permettre l’émulation essentielle dans ce domaine d’activité.
Ce secteur est sous la tutelle du Ministère de la recherche scientifique.
Les chercheurs imaginent donc ce que sera la flotte civile et militaire des prochaines années de l’empire karpokien.

3) Le site de fabrication


C’est dans ces grands ateliers qu’on appelle parfois les « cathédrales » tant leurs structures et leurs dimensions impressionnent, que sont fabriqués et assemblés les avions civils. C’est une petite fourmilière qui s’affaire pour faire sortir les aéronefs karpokiens.

Pour le moment, seule une partie du site est utilisable, et l’usine d’assemblage est amenée à s’agrandir dans les mois à venir avec la fabrication, on le sait, d’avions aux dimensions plus imposantes.


L’ensemble du complexe aéronautique se nourrit bien évidemment de la proximité de l’aéroport international de Leonev. Ce partenariat permet une meilleure efficacité des productions qui sortent de l’usine aéronautique.