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Activités internes au Vogimska

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5489
17 Novembre 2008
Vologiyev, Vogimska.


Les gens courent, les sirènes hurlent, la population semble désorientée, perdue. Éclairée par les lumières bleues et rouges des gyrophares, une petite fille demande ses parents en pleurant pendant qu'à un mètre de là, un homme agonise, la moitié du visage arrachée et une jambe en moins. Les militaires se pressent, pour ceux n'ayant pas déjà été embarqués pour des blessures graves. Une épaisse fumée noire se disperse dans l'atmosphère, et l'odeur des mitrailleuses encore chaudes se retrouve dans tous les nez, si bien qu'elle pourrait réveiller les corps sans vie gisant au sol.

Une demi-heure auparavant, les coups de feu fusaient de tous côtés dans ce quartier de Nord-Vologiyev, peu après la détonation de 3 puissantes bombes en plein lieux publics, bondés à l'heure de pointe en ce lundi 17 novembre. Alors que les médecins et les militaires sont à l'œuvre, des coups de feu en rafale se font entendre dans la distance. À quelques centaines de mètres au sud de là, une nouvelle tuerie de masse s'additionne à celle d'auparavant, s'étant suivie d'une fusillade. Les militaires en alerte maximale se pressent sur leur radio pour demander des explications à leurs collègues en patrouille, il semblerait donc que la soirée n'est pas terminée.

Attentat et prise d'otages à Vologiyev.

L'hôtel de ville de Vologiyev est attaqué et sur les marches coule le sang de cinq hommes et femmes abattus froidement sans raison. Les terroristes, retranchés à l'étage du bureau de monsieur le maire de Vologiyev, demandent une rançon munis d'un mégaphone, « 111 550 000 Vg, et la démission de Koshetchkine si vous voulez revoir votre maire de capitale. ». Le message est difficilement décrypté, certains des soldats, par nervosité n'ont même pas pu retenir leur rire en entendant le risible accent de l'individu. Pour la plupart des soldats, aucun doute, il s'agit d'un accent Albien.

Quinze minutes plus tard, deux snipers sont postés sur le toit d'un bâtiment situé juste en face de l'hôtel de ville. Dans le même temps, l'entièreté de la ville est déclarée en état de siège, des checkpoints sont donc installés rapidement à chaque entrée de la capitale, mais aussi à l'intérieur de la ville. Les dialogues s'avèrent compliqués entre le négociateur et les terroristes, l'accent de l'individu accentue la difficulté pour le dialogue de passer, d'autant plus qu'il est le seul de son commando composé à priori de trois personnes à savoir communiquer en russe.

Lorsqu'un sniper rapporte que l'un des preneurs d'otages vient de pointer d'un geste vif son arme de poing sur la tête de monsieur le maire, le ton monte pour le négociateur, qui ordonne que l'otage soit traité correctement. Sur ordre du dirigeant Koshetchkine, un groupe d'unités des forces spéciales est immédiatement envoyé devant la porte du bureau du maire, munis d'un bélier et d'un bouclier. À l'instant où l'ordre au nom de code Epsilon est donné, les sniper exécutent chacun deux des preneurs, pendant qu'au même moment les forces spéciales enfoncent la porte. Le troisième terroriste encore en vie prend le temps d'abattre le maire d'une balle dans la tempe, puis jette son arme, se met à genoux les mains derrière la tête, faisant exactement ce que les hommes des forces spéciales lui demandent de faire.

À l'extérieur, des dizaines d'ambulances et de véhicules militaires entournent le bâtiment. Les hommes du commando des forces spéciales escortent avec prudence leur prisonnier en direction de leur blindé. L'homme semble inexpressif, il ne dit rien alors qu'il est amené avec violence jusqu'à son entrée dans le blindé, qui part immédiatement de la scène.


« Les services de renseignement sont formels, tous les individus impliqués dans les attentats viennent du Pharois Syndikaali » Indique Boris Koshetchkine, Dirigeant de la République du Vogimska lors de son discours, « à l'heure où je m'exprime, un groupe rattaché aux opérations spéciales effectue une descente dans un appartement à Mostrigrad pour démanteler ce qu'il reste des terroristes semant la terreur ce soir dans les rues de notre capitale. » Il s'essuie nerveusement le front avec un mouchoir avant de reprendre, « Je pense évidemment aux victimes et à leurs proches, un hommage national sera rendu vendredi. Je pense également à notre maire, Nikita Ivanovich Soukhoroukov, sauvagement abattu par les chiens. » Un peu plus tard, il annonce que « l'expulsion immédiate de tous les ressortissants Pharois, Albiens, Lutharoviens, Norstalkiens et Kah-tanais, bien que ces derniers ne comptent qu'une petite dizaine d'individus, a été votée à l'unanimité au parlement Vogimskan, ainsi qu'une loi permettant la confiscation des armes à feu de toute personne considérée comme dangereuse ou suspecte. Le vis a aussi été serré sur les autorisations d'acquisition d'une arme à feu. Ont également été créés des unités anti-communistes, afin de lutter contre le communisme, illégalisé au Vogimska depuis 2005. Enfin, après entretien avec monsieur le Reponsable des Armées Artem Vladimirovich Baranov, nous en avons conclus que doivent être rapatriées les troupes stationnées en République Libre du Prodnov, elles seront placées en vigilance maximale dans les plus grandes villes du pays, y compris Nazadzhan et Monorosk, avec une attention particulière sur Vologiyev, où seront stationnés deux fois plus de régiments qu'ailleurs. Les services de renseignements intérieurs et extérieurs travaillent d'arrache pied à l'heure actuelle. Ces mesures extrêmes doivent être prises, il en est nécessaire au vu de l'offensive des Pharois et de leurs alliés sur le territoire Vogimskan. » Après quelques formalités, il ajoute que « le procès de l'individu arrêté par les services spéciaux aura lieu demain, mardi 18 novembre au matin au tribunal centrale. Est requise la peine de mort pour terrorisme, espionnage, multiples homicides volontaires, assassinat sur haut fonctionnaire, recel de malfaiteur, non-dénonciation de plusieurs crimes de troisième catégorie, non-assistance à personne en danger, détention d'armes de quatrième et cinquième catégorie non-déclarée et sans autorisation de port d'armes, trouble à l'ordre public, dégradation de bien public, destruction de bien public, dégradation de bien privé, destruction de bien privé. »

Koshetchkine s'exprime sur les faits.

Le dirigeant terminera son discours calmement, toujours souhaitant ses condoléances, l'air grave.
8001
24 Mars 2009
Nouvelles du Vogimska.

Média 100% indépendant de l'Etat Vogimskan.
Le dernier ressortissant Pharois expulsé hier soir.

Dans un communiqué, le haut commandement de la Milice locale de Mostrigrad a annoncé hier soir l'exclusion du dernier migrant Pharois encore présent sur le sol Vogimskan. Un officier interrogé déclare : « Toute l'équipe peut se féliciter du travail mené à bien par notre bien-aimé commandant Dezhniov, qui parallèlement s'est chargé de bon nombre de missions d'exclusion de clandestins Pharois fraîchement débarqués de manière illégale sur le territoire. » En effet, la Milice de Mostrigrad se charge également avec la coopération des gardes-côtes Vogimskans des affaires de débarquements illégaux, légèrement plus fréquents depuis l'attentat de Novembre dernier. D'après certains citoyens interrogés, la crainte de voir toujours plus de terroristes débarquer au Vogimska est réelle, et en vient à rendre les habitants de plus en plus anxieux dans un contexte de forte crise diplomatique. L'inaction de l'Etat Pharois face à ces débarquements illégaux de leurs ressortissants est révélateur : les haut-fonctionnaires Pharois sont consentants à laisser ces brutes sauvages ôter toujours plus de vies.
Le Gouvernement, pour l'occasion, a assuré que les sanctions à l'égard des Albiens sont parfaitement assumées et ne seront pas revues avant que des excuses ne soient prononcées de la part du Gouvernement Pharois, et tant que le blocus maritime persistera.


Action contre les fausses informations Pharoises.


Celles qui sévissent sans arrêt depuis des mois. Voici quelques déconstructions de fausses informations parues dans les médias Pharois.

Le Vogimska plus corrompu que jamais.

Bien qu'il n'est pas nié que la corruption est bel et bien toujours existante au Vogimska, un média Pharois affirme qu'elle serait grandissante, comparant même l'actuel taux de corruption à celui de l'ère Kazantsev. Or, les récentes études montrent notamment que le taux de corruption au Vogimska serait à peine supérieur à celui du Pharois Syndikaali, notamment la plus récente, celle publiée par l'Université de Warenburg en Kaulthie. Pourquoi ne pas parler de la corruption au sein du gouvernement Pharois ? Seriez-vous l'un de ces méchants pays autoritaires où il est interdit d'atteindre aux intérêts financiers de vos haut-fonctionnaires ? Pendant ce temps, les choses n'allaient jamais aussi vite dans les rouages de la machine du Vogimska, celle que les ennemis de la Nation veulent ralentir en la salissant.

Le Vogimska, un pays contrôlé par des latinos.

Une information ayant fait parler d'elle pour avoir provoqué le rictus chez bon nombre de Vogimskans. En effet, beaucoup ont appris qu'ils étaient contrôlés par les latinos. À la recherche d'un Alguareno dans les rues de Vologiyev, notre collègue Polyna Kozyrev s'est donnée bien du mal. Après des heures de travail, enfin la première personne à la peau brune s'est montrée, et a bien évidemment été interrogée. Il s'agit d'un touriste, en quête de dépaysement et de découverte qui semble ne pas apprécier les destinations touristiques les plus convoitées par ses concitoyens Alguarenos, un excentrique. Il déclare ne rien contrôler au Vogimska après avoir évidemment été interrogé par notre collègue sur le ton du sarcasme.
Peut-être sommes-nous dans la mauvaise ville ? Peut-être est-il plus probable de rencontrer des Alguarenos à Mostrigrad, deuxième ville du Vogimska, et portuaire. Il suffit d'un coup d'œil bien attentif pour se rendre compte que la moyenne des couleurs de peau à Mostrigrad est encore plus blanche qu'à Vologiyev où les gens sont pourtant plus blancs que la neige qui y tombe en cette période de l'année.
Mais alors d'où vient cette fausse information ? Après seulement quelques instants de réflexion, il nous est revenu le souvenir des nombreux financement de l'ONC à l'intention du Vogimska, notamment pour sa protection nationale vis-à-vis des puissances impérialistes et terroristes étrangères comme le Pharois Syndikaali. Ces financement n'ont rien de politique et ne s'arrêtent qu'à des rentrées d'argent, l'information a pourtant été bien accessible à ce sujet très médiatisé. Les Pharois ne lisent-ils pas la presse Vogimskane ? Ils n'étaient pourtant pas menacés d'exclusion lorsque cette affaire a été mise au clair. La théorie complotiste des Pharois sur le supposé contrôle de l'Alguarena sur le Vogimska est donc fondée sur une fainéantise de la part des Pharois.

Le Vogimska responsable du blocus Pharois.

Il faut avant tout rappeler que ce média n'est pas un média parodique, cette calomnie a bel et bien été écrite dans les médias du Pharois Syndikaali. Rien de surprenant lorsqu'on connaît le tempérament des Pharois. Les sanctions ont été appliquées de manière légitime aux ressortissants Pharois, Albiens, Kah-Tanais, Lutharoviens et Norstalkiens, le blocus de la marine Pharoise est cependant loin d'être légitime. Est-ce qu'un de vous aurait, par mégarde, commis un attentat au Pharois Syndikaali ?
Il semblerait que notre gouvernement soit responsable de ce blocus. Est-ce indispensable de rappeler à qui appartiennent ces navires de guerre ? Qui a donné l'ordre de les envoyer au large de nos côtes ? Sur qui sont braqués les cannons de ces navires ? Pour tout dire, sur vous, citoyens. Le Pharois Syndikaali est prêt à tuer des civils, des femmes et enfants, dans l'unique but de conquérir et d'assouvir ses besoins impérialistes tout en rejetant la faute sur ceux qui veulent vous protéger. Ainsi va la manière Pharoise de procéder.

Il a par le même temps été évoqué le supposé souvenir heureux de l'entente et de l'aide Pharoise au Vogimska lors de la Révolution Bleue il y a deux ans et demi. Une révolution gagnée d'avance par le camp anticommuniste, les Pharois n'ont fait qu'accélérer la victoire inévitable de l'Etat Central voulu par le peuple contre les forces séparatistes du Gordyp. Nous ne connaissons personne qui ne se souvient avec enthousiasme de l'heureuse cohabitation avec les Pharois. Ici, à Mostrigrad, personne ne les regrette. Pour cause, leur tendance à prendre trop de place, non tant physiquement (même s'ils mangent bien, ces Pharois) mais surtout au niveau de la société. Quand ça commence à parler avec un fort accent Albien, tout le monde tourne le dos en grimaçant. Ces Pharois dont la volonté première était sans le moindre doute la colonisation de nos terres. Envoyés par leur Gouvernement, ces migrants venaient dans l'espoir de rendre le Vogimska dépendant du Pharois Syndikaali afin de faire accepter au Gouvernement de Vologiyev tous les désirs des Pharois sur un plateau d'argent, voire d'or dans le cas présent.
Nous étions nombreux au Vogimska à avoir vu d'un mauvais œil la migration Pharoise acceptée par Kazantsev. Bon débarras.

Pour en finir sur ce point, les Pharois parlent au sujet du blocus sur la décision d'un seul homme. Il semblerait que Koshetchkine ait été le seul à décider de l'expulsion des ressortissants des pays terroristes. Il va sans dire que dans une réalité parallèle où ces dires seraient réels, le Vogimska serait déjà sous les protestations contre le pouvoir Koshetchkine qui prend des décisions à lui seul. Cependant dans notre réalité, une unique manifestation contre les sanctions est à déplorer, celle de Vologiyev en janvier ayant rassemblé 150 personnes. Difficile de s'en souvenir, n'est-ce-pas ? Ce pays n'est pas Gouverné par les mains d'un unique homme, le Vogimska, depuis la fin du communisme ne sera jamais plus une République Bananière. Pour rappel, la décision de sanctionner les nationalités concernées par les attentats de Nord-Vologiyev a été votée à l'unanimité par le parlement du Vogimska.

Les criminels Vogimskans, collaborateurs des Pharois.

Difficile d'obtenir des informations à ce sujet pour un Vogimskan en raison de la dangerosité du monde de la pègre. Alors comment cela peut-il être aussi facile pour un Pharois ? Simplement, ces derniers se contentent de tenter de rassembler un maximum de Vogimskans contre le pouvoir. Manque de chance, le grand sentiment de patriotisme est également ressenti chez les criminels Vogimskans. C'est ce que nous assure Igor (prénom modifié afin de préserver l'anonymat du détenu), en prison depuis 2007 pour contrebande et complicité de braquage à main armée. Il déclare également que l'écrasante majorité des organisations criminelles Vogimskanes, y compris celle dont il a fait partie, préfèrent perdre une affaire plutôt que de collaborer avec ces criminels venus d'Albi. « Les bandits Vogimskans ne seraient pas devenus bandits par choix, ils font généralement leurs affaires de leur côté en snobant les Pharois qui venaient régulièrement les aborder. » déclare Vladimir (prénom encore une fois modifié afin de préserver l'anonymat), récemment arrêté par la Milice de Yekategarsk pour des faits similaires à ceux d'Igor.
Les Pharois seraient-ils à court d'amis au Vogimska, au point de vouloir se mettre les criminels dans la poche ? Difficile à dire, mais à première vue la réponse est oui.


Tant de fausses informations, de bêtises qui prouvent la faiblesse des Pharois en Eurysie de l'Est. Sans même citer toutes les calomnies écrites dans les médias de propagande du Pharois Syndikaali, il est déjà possible de se faire une idée sur le type de régime qui dirige le Pharois Syndikaali.



PSB
5881
04 Décembre 2010
Discours de Boris Ivanovich Koshetchkine, Dirigeant de la République du Vogimska.



Vologiyev, le samedi 4 Décembre 2010.



Boris Koshetchkine a écrit :
❝ Chers concitoyens du Vogimska, soldats dévoués et peuple résilient,

Aujourd'hui, je me présente devant vous, non seulement en tant que dirigeant, mais également en tant que gardien de notre nation et de nos valeurs. Nous sommes à l'aube d'une ère nouvelle, un tournant décisif où notre détermination et notre unité sont plus que jamais nécessaires.

Mes chers compatriotes, il est temps de faire face à la réalité qui nous entoure. Le Pharois Syndikaali et ses alliés communistes, la Lutharovie, le Kronos et la Loduarie, tentent de nous imposer leur vision oppressive du monde. Ils cherchent à nous asservir, à étouffer notre liberté et à nous dépouiller de notre identité nationale. Regardez autour de vous, mes compatriotes, et souvenez-vous de notre passé douloureux. Il fut un temps où notre Vogimska était plongé dans les ténèbres du communisme, où la liberté de pensée et d'expression était réprimée, et où nos aspirations individuelles étaient étouffées par un État totalitaire. Mais nous nous sommes libérés de ces chaînes. En 2004, nous avons proclamé notre révolution, rejetant fermement le joug du communisme. Nous avons embrassé la voie de la liberté, de la démocratie et de la souveraineté.

Cependant, mes compatriotes, nos ennemis ne dorment jamais. Ils continuent de menacer notre mode de vie et notre avenir prospère. Leurs tentatives pour semer la discorde et la subversion au sein de notre nation ne resteront pas impunies. Nous devons nous dresser avec une fermeté absolue, prêts à défendre notre souveraineté, notre culture et notre héritage. Le Vogimska est sur la voie de la grandeur, mes concitoyens. Notre nation est une étoile montante, un phare de liberté et de prospérité. Nous avons l'obligation de protéger notre héritage, de défendre nos frontières et de préserver notre indépendance. Les forces du Pharois Syndikaali et de ses alliés communistes cherchent à nous réduire au silence, à nous plier à leur volonté totalitaire. Nous ne permettrons jamais cela !

Nous nous tenons à un carrefour de l'histoire, mes compatriotes. Le Prodnov est le témoin de cette confrontation entre les forces du bien et du mal. Une lutte acharnée se déroule entre la République Libre de Prodnov, symbole de liberté, et le régime oppressif du Pharois Syndikaali. Mes compatriotes, nous devons être unis dans notre résistance contre l'oppression. Nous devons montrer au monde notre détermination inébranlable à préserver notre mode de vie et à garantir la liberté de chaque individu. Le Vogimska est une terre de fierté et d'aspirations, où chacun peut réaliser son plein potentiel. Nous ne laisserons pas les chaînes du totalitarisme nous entraver à nouveau.

Ensemble, nous triompherons de l'ennemi qui se dresse devant nous. Ensemble, nous bâtirons un avenir radieux pour le Vogimska, où la démocratie, la prospérité et la liberté seront les pierres angulaires de notre société. Nous serons un phare d'espoir pour les nations opprimées, une inspiration pour ceux qui aspirent à la liberté véritable. Mes compatriotes, je vous appelle à embrasser la vision d'un Vogimska fort et résolu. Nous devons être prêts à tout sacrifier pour préserver notre nation et défendre nos valeurs. Dans cette lutte, nous devons rester vigilants, forts et solidaires. Le Vogimska a un avenir glorieux qui nous attend lorsque nous aurons vaincu l'ennemi. Nous construirons une nation puissante, fière et respectée, fondée sur les principes de la liberté, de la démocratie et de la prospérité. Nous ouvrirons nos frontières au monde, non pas pour plier devant l'oppression, mais pour montrer la force et la grandeur de notre peuple.

Chers concitoyens, nous sommes à l'aube d'une nouvelle ère. Faisons preuve d'une détermination sans faille, d'un courage indomptable et d'une foi inébranlable en notre cause. Que notre drapeau flotte haut, symbole de notre fierté et de notre volonté de préserver notre cher Vogimska.

Vive le Vogimska ! Vive la liberté ! Vive l'avenir radieux qui nous attend ! ❞


Discours de Boris Koshetchkine, Dirigeant de la République du Vogimska - 04/12/2010


Compte rendu de l'apparition publique de Boris Koshetchkine par le journaliste Serguey Godoremov, de l'Agence Nationale de Presse


Vologiyev, 4 Décembre 2010 - Aujourd'hui, le dirigeant du Vogimska, Boris Koshetchkine, a fait une apparition publique remarquée pour prononcer un discours passionné sur les défis auxquels fait face notre nation et la nécessité de combattre la menace communiste représentée par le Pharois Syndikaali et ses alliés.
Dans son discours devant une foule nombreuse rassemblée sur la place centrale de Vologiyev, Koshetchkine a rappelé le passé communiste douloureux du Vogimska et a exhorté la population à rester unie dans la lutte contre l'oppression et la perte de liberté. Le dirigeant a souligné la révolution anti-communiste de 2004, qui a marqué un tournant décisif dans l'histoire du pays. Koshetchkine a également évoqué le conflit en cours opposant les deux alliances, l'ONC et le Pharois Syndikaali, mettant l'accent sur la réunification du Prodnov sous la bannière de la République Libre du Prodnov, symbole de la fin du communisme eurysien. Il a exhorté le peuple du Vogimska à défendre sa souveraineté, sa culture et ses valeurs face à la menace communiste représentée notamment par le Pharois Syndikaali et ses alliés, la Lutharovie et la Loduarie entre autres.

Suite au discours de Koshetchkine, j'ai eu l'opportunité de recueillir les réactions de quelques passants sur la place centrale de Vologiyev. Les avis étaient variés, certains saluant le discours comme une démonstration de détermination et de patriotisme, tandis que d'autres exprimaient des inquiétudes quant à une rhétorique potentiellement totalitaire.

Olga Petrovna, une citoyenne âgée, a déclaré : "Le discours de Koshetchkine était fort et convaincant. Je me souviens des jours sombres du communisme, et je ne veux pas que notre pays retourne dans cette direction. Nous devons rester forts et unis pour préserver notre liberté."

Cependant, certains passants ont émis des réserves quant à la rhétorique du discours. Valeri Arefiev, un étudiant, a déclaré : "Je comprends l'importance de se protéger contre les menaces, mais nous devons aussi veiller à ce que notre gouvernement n'utilise pas cette situation pour restreindre nos libertés. Il est crucial de maintenir un équilibre entre la sécurité et les droits individuels."

Le discours de Boris Koshetchkine a certainement suscité des réactions passionnées parmi la population du Vogimska. Alors que notre nation est confrontée à des défis complexes, il est clair que la question de la menace communiste et de la préservation de la liberté restera au cœur des débats dans les jours voire les mois à venir.

SG
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