Contexte youslève :
Nul besoin de rappeler la situation entre Kronos et la Youslévie, depuis maintenant un an et demi les deux pays se toisent et alors que les tensions étaient un peu retombée avec une reprise du dialogue entre les deux dirigeants, Baldassare Calabraise et Heran Romeretegui, le début du mandat de Leone Vaillancour a complètement enterré les espoirs de désescalade.
En même temps, et alors que la Youslévie commence à émerger de la masse des pays afin de s'affirmer petit à petit dans un cercle de plus en plus fermé de nations, la Manche-Silice entame des relations avec Kronos alors que quelques temps auparavant les siliquéens avaient fait un grand pas vers les youslèves.
Ce mouvement diplomatique n'a évidemment pas plus au Conseil qui a prestement envoyé une missive assassine au triumvirat de la Manche-Silice en proposant une rencontre afin de mettre les choses au clair, et aussi pourquoi pas pour faire affaire, les libéraux restant avant tout des commerçants.
Nous voilà donc le 14 décembre sur le perron du Palais de l'Union avec une Leone Vaillancour qui attend l'arrivée de la délégation siliquéenne tout en se remémorant les différents angles d'attaque et les arguments qu'elle pourrait utiliser.
La Directrice du Conseil était perdue dans ses pensées quand le grand portail du palais s'ouvre et laisse passer une fois de plus un cortège de berline noire et de motos de la police youslève.
En même temps, et alors que la Youslévie commence à émerger de la masse des pays afin de s'affirmer petit à petit dans un cercle de plus en plus fermé de nations, la Manche-Silice entame des relations avec Kronos alors que quelques temps auparavant les siliquéens avaient fait un grand pas vers les youslèves.
Ce mouvement diplomatique n'a évidemment pas plus au Conseil qui a prestement envoyé une missive assassine au triumvirat de la Manche-Silice en proposant une rencontre afin de mettre les choses au clair, et aussi pourquoi pas pour faire affaire, les libéraux restant avant tout des commerçants.
Nous voilà donc le 14 décembre sur le perron du Palais de l'Union avec une Leone Vaillancour qui attend l'arrivée de la délégation siliquéenne tout en se remémorant les différents angles d'attaque et les arguments qu'elle pourrait utiliser.
La Directrice du Conseil était perdue dans ses pensées quand le grand portail du palais s'ouvre et laisse passer une fois de plus un cortège de berline noire et de motos de la police youslève.