02/07/2013
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[ECONOMIE] Entreprises Pérones

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Ce topic détaillera et expliquera l'impact des plus grandes entreprises Pérones.

Sommaire :

I - SEGRFP (Entreprise ferroviaire)
II - Nauriaulta Autopista (Entreprise de gestions des autoroutes)
III - Vivana Corporation (Entreprise à la pointe de la recherche et développement)
IV - Espola Grupo (Entreprise du BTP)
V - SEGMP (Entreprise de gestion des métros)
VI - Peron Airlines (Entreprise dans l'aviation)
VII - Xulta (Entreprise automobile)
VIII - Atola Style (Entreprise textile)
IX - Poklo (Entreprise dans la grande distribution)
X - Energià distribución (Entreprise pétrolière)

HRP
Liste non-exhaustive, elle pourra à terme s'agrandir
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I - SEGRFP

Nom complet : Societé d’État de Gestion du Réseau Ferré Péron
Date de création : 1er janvier 1980
Forme juridique : Societé publique gérée par l’État
Siège social : Quartier d’affaires de Rore

Bâtiment dans lequel le siège social de la SEGRFP se situe.

Actionnaire : État (100%)
Effectifs : 80'000 salariés
Site web : segrfp.pe
Chiffres d’affaires : 43.4 milliards FP (2008)
Résultat net : 4.4 milliards FP (2008)

Histoire :

Entreprise créée en 1980 à la suite de la fusion de toutes les entreprises privées ferroviaires existantes jusque-là telles que la Compagnie Est-Ouest, la Compagnie Nutienne et d’autres compagnies ferroviaires ayant leurs activités à Pérons. La Societé d’État de Gestion du Réseau Ferré Péron a donc vu le jour pour permettre à l’État de mettre la main sur les différentes entreprises ferroviaires qui existaient afin de les rassembler en une seule et même entité. Cependant, et pour faciliter ce changement, les trajets continuaient à être gérés par les entreprises locales jusqu’au 31 décembre 1980, et c’est en 1981, que la SEGRFP devient alors officiellement l’entreprise ferroviaire qui gère l’intégralité du réseau ferré péron et tout ce qui peut s’y rapprocher de près ou de loin.

L’entreprise se développe fortement dans les années 1990 à la suite de l’arrivée de la grande vitesse dans le monde ferroviaire et l’État investit alors 50 Milliards de Francs Péronais dans le seul but de construire les Lignes à Grandes Vitesses telles que nous les connaissons actuelles. En l’espace de 5 ans, ce sont donc ces LGV qui voient le jour :
- LGV Est-Ouest (reliant Rore et Abruste)
- LGV Sud (reliant Lourni à Abruste en passant par Moira)
- LGV Transversale Nord-Sud (reliant Burpo à Zalocion)
- LGV Transversale Est-Ouest (reliant Moira à Abruste)
- LGV Déviation Est-Sud (reliant Moira à Zalocion)
- LGV Déviation Est-Nord (reliant Moira à Burpo)

L’entreprise en profite également pour améliorer son offre et changer le matériel utilisé. Alors qu’auparavant l’entreprise utilisait des trains avec locomotives tractantes et des voitures tractées, l’entreprise met au point ce qui s’appelle communément aujourd’hui le TC, un engin automoteur BiBi (bimode, bicourant (diesel-électrique et 1.5 kV CC/25 kV 50 Hz)). Il faudra à l’entreprise environ 15 ans pour intégralement remplacer son parc.
Du côté des Train Très Rapide, ils seront au nombre de 20 lors de l’inauguration des Lignes à Grande Vitesses, la demande étant alors très fortement supérieur à l’offre, les prix furent au début exorbitant, mais au plus les rames sortaient d’usine, au plus les prix diminuaient. Il fallut là attendre 2003 pour que le dernier TTR sorte d’usine.

En 2000, après le succès des lignes à grande vitesse, le gouvernement étudie un projet de financement visant à desservir des zones plus reculées, le projet est cependant peu apprécié car nul doute qu’il sera à perte, mais les pertes sont compensées par les bénéfices non négligeables de l’offre à grande vitesse. Il fallut là plus d’1 an pour que le projet commence à voir le jour, et ce sont plusieurs lignes classiques qui voient le jour, telles que la ligne d’Abruste à Nasos, la ligne de Moira à Caron par Porta ou encore la ligne de Chalarina à Vegra. Il s’avèrera finalement que ces lignes sont rentables, en effet, elles rapportent même plus que certaines autres lignes régionales.

En 2004, l’entreprise subit une légère restructuration, et pour attirer de nouveaux candidats face au manque qui s’annonce, l’entreprise se voit injecter plusieurs centaines de millions de Francs Péronas visant à faire la promotion de l’entreprise et à augmenter les salaires de l’ordre de 10 à 15%. Cette opération aura été un succès, et la réputation de l’entreprise s’envole ainsi que le nombre de candidats. Le nombre de salariés augmenta de près de 65'000 à 78'000 au cours de cette année.


Activités :


La Societé d’État de Gestion du Réseau Ferré Péron est dans les domaines du transport de voyageurs, du transport de marchandises et réalise la gestion, l'exploitation et la maintenance du réseau ferré national appartenant à l'État. Elle gère également la recherche, et l’élaboration des machines utilisées sur le réseau ferré par le biais de ses filiales différentes. En effet, la SEGRFP gère un nombre de filiales incalculables allant activités liées au transport de personnes ou de marchandises, à la logistique ou à des activités d'études et d'ingénierie des transports, mais parfois fort éloignées du chemin de fer telles que des entreprises de bus ou de sondages ou bien même de l’immobilier. À l’heure actuelle, le nombre de salariés dans l’entreprise mère la SEGRFP s’élève bien en-dessous des 10'000 et la majorité des salariés employés par la SEGRPF travaillent dans une de ses filiales.

En moyenne, l’entreprise fait circuler plusieurs milliers de trains commerciaux et une centaine de trains de frets par jours, permettant de transporter plusieurs dizaines de milliers de tonnes de marchandises par jours.

L’entreprise est également responsable des gares desservies, elle en gère l’équipement, la longueur des quais, et tout ce qui peut être associé à la gare, tels que les parkings etc.

Du côté de l’immobilier, sa filiale immobilière possède plusieurs centaines de logements à travers le pays. Elle les met à disposition des conducteurs de trains faisant des découchés le temps d’une nuit. Et lorsque ceux-ci sont inoccupés, elle les propose à la location à des particuliers ou à des professionnels à des prix attractifs.

Pour sa filiale constructrice, ce sont près de 10'000 salariés qui sont employés allant des ingénieurs aux constructeurs en passant par les hauts-cadres. Cette filiale gère tout ce qui est en rapport avec le parc matériel géré par l’entreprise.


Projets :


Les objectifs de la marque pour la décennie à venir sont les suivants :
- Augmenter la vitesse des TTR et franchir la barre des 300km/h
- Desservir encore plus de destinations
- Atteindre la barre des 100'000 salariés
- Augmenter le chiffre d’affaires à 50 milliards de Francs Péronais
- Augmenter l’offre de transport là où elle est à la limite de la saturation
- Continuer à garantir la sécurité des voyageurs
- Mettre l’accent sur les énergies vertes
- Réduction des coûts d’exploitation
- Rester préparé face à une potentielle ouverture à la concurrence
5502
Nauriaulta Autopista

Date de création : 21 septembre 1928
Forme juridique : Société privée à capitaux anonymes
Siège Social : Quartier d’affaires de Rore

Image du bâtiment contenant le siège social de Nauriaulta Autopista au sein du quartier d'affaires de Rore

Actionnaire : Actionnaires institutionnels (81.4 %) Salariés (6.8 %) Actionnaires individuels (11.8 %)
Effectifs : 10’000 (2008)
Site web : nauriaulta-autopista.pe
Chiffres d’affaires : ~ 5 milliards FP (2005)
Résultat net : ~ 300 millions FP (2005)

Histoire :

Entreprise créée par un homme d’affaires normanien le 21 septembre 1928. Elle est, à la suite d’un appel d’offres, l’entreprise mandatée par l’État pour gérer le réseau autoroutier. Cependant, pour des raisons économiques et politiques, l’État refuse de subventionner les autoroutes, jugées moins sûres et moins rapides que le train. C’est donc à la suite d’appels d’offres et grâce à de nombreux prêts contractés que l’entreprise commencera à construire et gérer des autoroutes.

En 1930, les études sont lancées pour réaliser une autoroute devant rejoindre Rore à Abruste. Cependant, celle-ci ne verra jamais le jour dans cette configuration, l’agglomération d’Abruste ayant dans un premier temps refusée ce projet. Celui-ci sera alors détourné et terminera sur la pointe Nord-Ouest du Pays. Les travaux de ce projet débuteront en 1932 et s’achèveront en 1940.

Dès lors, l’Autoroute fut un grand succès et la vitesse maximale de 150km/h permit de grandement concurrencer les trains qui à cette époque ne dépassait guerre les 100km/h. L’entreprise fit alors un bond économie grâce aux recettes des péages, des contrats liés aux aires d’autoroutes et aux publicités mises à dispositions sur l’autoroute.

L’autoroute A1 satura très rapidement, et dès 1942 commencèrent les travaux de l’autoroute A2. Cette autoroute partirait elle du sud de Rore et rejoindrait l’Autoroute A1 en longeant la frontière sud jusque Zalocion avant de remonter en bifurquant pour fusionner avec l’Autoroute A1. Cette autoroute désengorgera en partie l’Autoroute A1 mais les besoins furent plus grands.

En 1950, ce sont donc les Autoroutes 3 à 12 qui voient le jour face aux demandes des différentes communes.

En 1955, après plus de 15 ans, les premiers dommages structurels sur l’Autoroute A1 apparaissent et face aux différents accidents provoqués par ces derniers, Nauriaulta ouvre une filiale d’entretien et sécurité. Elle investit donc pour réparer et maintenir en état le goudron et elle investit également dans des équipements de sécurités tels que les radars, panneaux à messages variables et elle lance une radio en continue jouant de la musique à toute heure de la journée avec des interruption en cas de messages importants devant être diffusés.

En 1970, les Autoroute 13 à 15 voient le jour pour mieux desservir le centre du pays, alors jusque-là, peu desservi que ce soit en train ou en voiture. La même année, le gouvernement décide de passer une loi, qui oblige les constructeurs automobiles à automatiquement passer sur la radio de Nauriaulta lorsque la voiture se trouve sur l’autoroute. Ce système fonctionne par un capteur qui détecte l’entrée sur l’autoroute, et un autre qui détecte la sortie de cette dernière.

C’est dans les années 2000 que les dernières autoroutes voient le jour. Les autoroutes 16 à 19 visent donc à améliorer les correspondances entre les autoroutes principales, les autoroutes 20 à 22 ont quant à elles un but de desservir les zones encore non desservies.

En 2010 devraient démarrer les travaux d’une autoroute 23 visant à desservir Ascoste en provenance de Zalocion.


Activités :

L’entreprise mère gère donc l’exploitation du réseau autoroutier et des infrastructures autoroutières.

Elle gère donc par cela la construction des aires d’autoroutes, qu’elles délèguent ensuite à sa filiale Naurialta Descansar.

Elle gère les péages et les infrastructures de paiement pour entrer sur l’autoroute. L’entreprise a pour principe de mettre un péage où l’on récupère un ticket dès l’entrée sur le réseau et le paiement s’effectue dès la sortie. À la sortie, le ticket calcule le temps mis et la distance parcouru, et s’il détecte des excès de vitesses, il applique des amendes arbitraires au prix du ticket. Le prix moyen du kilomètre sur le réseau autoroutier est de 0.04 Franc Péronais alors qu’il était à près de 0.1 lors des débuts. En cas d’excès de vitesse, ce sont des majorations allant de 50 à 300% qui sont appliqués. Cette démarche est une démarche de prévention et « assure la sécurité de tous sur le réseau » selon l’Entreprise.

Elle gère également l’entretien de son réseau grâce à sa filiale Nauriaulta Mantenimiento dans laquelle l’entreprise investi plus de 25% de son chiffre d’affaires. Pour l’entretien, l’entreprise n’hésite pas à fermer toute une autoroute si nécessaire, comme en 1999 ou l’autoroute A8 a été entièrement fermée pendant 6 mois pour permettre à l’entreprise de prendre soin de la chaussée. Cette filiale a également pour but de construire des voies de détresses dans les zones dangereuses et les pentes dangereuses pour permettre aux conducteurs dans une situation délicate de sortir indemne d’une situation compliquée. Ces dernières auraient sauvé plus de 1000 personnes au total. Enfin, cette filiale gère la pose et le bon fonctionnement des téléphones de secours situés à chaque kilomètre.

L’entreprise gère également par le biais de sa filiale Nauriaulta Información la radio évoquée précédemment. Cette filiale gère également la bonne visibilité et la bonne propreté des panneaux autoroutiers et des bornes autoroutières indiquant le point kilométrique actuel.


Projets :

- Maintenir un état de propreté irréprochable sur le réseau autoroutier
- Convaincre le gouvernement de repasser la limite de vitesse à 150km/h
- Étendre le réseau pour desservir encore plus d’endroits
- Passer de 2 à 3 voies pour les petites autoroutes et de 3 à 4 voies pour les plus grandes
- Proposer plusieurs radios au choix des usagers
- Disposer de plus de radars et de PMV
- Ouvrir une filiale gestion d’urgence dans le but de positionner à des points clés des services de secours prêt à intervenir rapidement en cas d’accident
- Continuer à rester concurrent face au train
- Avant 2030, proposer des autoroutes de 2 voies réservés aux camions
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Vivana Corporation

Date de création : 10 juin 1870
Forme juridique : Société privée à capitaux publics
Siège Social : Quartier d’affaires de Rore

Image du bâtiment contenant le siège social de Vivana Corporation au sein du quartier d'affaires de Rore

Actionnaire : Actionnaires institutionnels (34.1 %) Salariés (15.2 %) Actionnaires individuels (50.2 %)
Effectifs : 40’000 (2008)
Site web : vivana-corporation.pe
Chiffres d’affaires : ~ 12 milliards FP (2008)
Résultat net : ~ - 3 milliards FP (2008)

Histoire :

Entreprise créée par un homme d’affaires Péron 10 juin 1870. Elle est la première entreprise officiellement créée dans le but de la recherche et développement à Péronas. Elle se retrouve à l’heure actuelle le leader à la pointe de la technologie dans de nombreux domaines, tels que la médecine, l’ingénierie, le génie civil, les sciences naturelles telles que les mathématiques, la physique, la chimie, la géologie. C’est grâce à ses nombreuses filiales qu’elle reste encore productive et la pointe de la recherche.

En 1920, plus de 50 ans après sa fondation. Elle est officiellement reconnue par l’État comme entreprise d’utilité publique. C’est alors que les subventions commencent à arriver, et que la recherche s’élargit. En effet, initialement créée dans le but d’avancer la recherche en médecine. Les nombreux moyens disponibles pour donner suite à l’acquisition de subventions ont largement suffit à augmenter la productivité et à étendre l’étendue de recherche. L’État reconnut à ce moment que cela aura été trop tardif, et aura donc largement contribué financièrement au succès de l’entreprise.

C’est en 1950, après l’entrée en bourse de l’entreprise que de nombreuses filiales voient leurs créations. On y recense la filiale Mécanique, Chimie, Physique parmi ces dernières. Ces dernières se rempliront dans un premier temps de chercheurs et savants étrangers, qui par la transmission de leurs connaissances ont permis à l’entreprise de rattraper le retard sur ces domaines. L’entrée en bourse a également permis à l’entreprise de pouvoir s’assurer de financements supplémentaires pour les recherches.

En 1979, l’entreprise fait une découverte majeure dans le monde du ferroviaire en coopération avec d’autres puissances étrangères. C’est l’arrivée de la Grande Vitesse dans le monde ferroviaire. C’est à la suite de cela que l’État ordonne la fusion des différentes entreprises ferroviaires afin d’en faire qu’une et de contrôler correctement cette innovation majeure.


Dans les années 1990, l’entreprise arrive à être pionnière dans de nombreux domaines différents. Ses finances sont plus que sereines et les recherches avancent à des rythmes plus que satisfaisants. C’est là que l’entreprise devient reconnue dans l’entièreté du pays, voire même à l’internationale.

C’est dans les années 2000 que la situation se complique, l’entreprise commence à faire face à des problèmes budgétaires, et chaque année depuis 2004, l’entreprise engrange des résultats nets négatifs. Rien d’alarmant face aux montagnes d’argents accumulées jusque-là. Cependant la loi Pérone est stricte, si après 7 ans l’entreprise n’arrive pas à remonter la pente, elle sera placée sous liquidation judiciaire. L’entreprise a jusque donc fin 2011 pour ressortir avec une année où les chiffres nets sont en positifs.


Activités :

L’entreprise a donc pour but la recherche dans une liste de domaines scientifiques bien distincts. Pour citer : les mathématiques, la physique, la chimie, la géologie, l’électronique, l’informatique, l’ingénierie, le génie civil, la robotique.

L’entreprise possède également une part importante d’enseignants-chercheurs qui hors de leurs temps de recherche, se voient affectés à l’enseignement supérieur de Péronas. En effet, leurs expériences et leurs savoirs est grandement apprécié et au plus la formation se veut être chargée voire compliquée, au plus d’enseignants-chercheurs de Vivana Corporation sont affectés à la formation. Pour citer l’ancien PDG de Vivana Corporation, la future élite se doit d’être formée par l’élite actuelle.

L’entreprise possède environ une cinquantaine d’antennes de recherche, développement et formation, comme leur nom l’indique, trois types d’activités :
- La recherche, c’est donc là que les chercheurs travaillent à faire évoluer les connaissances et découvrir de nouveaux spectres de recherche et ainsi de suite, en effet, un bon nombre de scientifiques s’accordent à dire que les connaissances et le recherche sont inépuisables.
- Le développement, c’est après la phase de recherche, c’est ici que les chercheurs s’occupent de comment appliquer cette nouvelle connaissance et donc de la développer pour la rendre utile à tous. Elle gère les brevets, la fabrication et la vente sur le marché des découvertes pouvant l'être.
- La formation, c’est ici qu’a lieu la formation d’étudiants ou de nouveaux chercheurs recrutés. On estime à plusieurs milliers d’étudiants le nombre d’étudiants étant affectés aux différentes antennes de recherche de Vivana Corporation. Elles correspondent actuellement à ce que Péronas peut former de mieux et de plus compétent dans de nombreux domaines scientifiques.



Projets :

- Rester compétitive à l’internationale
- Convaincre le gouvernement de dépasser l’année de 2011 pour redresser la situation financière
- Continuer l’implémentation des antennes de recherche, développement et formation partout dans le pays
- Construire un campus étudiant privé, dans le désert, tel une cité miniature pour accueillir des milliers d’étudiants élitistes, capable de permettre à Vivana Corporation d’avancer dans de nombreux domaines
- Partager son savoir à l’international et en tirer des bénéfices
- Ouvrir de nouvelles filiales de recherche axées sur le spatial et l’intelligence artificielle
- S'implanter à l'international et compter sur l'appui de ces savoirs locaux

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Espola Grupo

Date de création : 12 janvier 1944
Forme juridique : Société publique autogérée
Siège Social : Quartier d’affaires de Rore

Image du bâtiment contenant le siège social d'Espula Grupo au sein du quartier d'affaires de Rore

Actionnaire : État (100%)
Effectifs : 100’000 (2008)
Site web : grupoespola.pe
Chiffres d’affaires : ~ 143 milliards FP (2008)
Résultat net : ~ 12 milliards FP (2008)

Histoire :

Pour donner suite à un appel d’offres du gouvernement pour le besoin d’avoir une entreprise dans le secteur du Bâtiment et des Travaux Publics. Le gouvernement a décidé de choisir Espola Grupo pour construire les projets démarrés par l’État pour le compte du pays. L’entreprise est dès lors entièrement financé par l’État, mais les résultats du passé ont permis à l’État de leur confiance et de leur laisser l’autogestion de l’entreprise sans influences de l’État.

Malgré des débuts litigieux et des résultats nets négatifs, l’entreprise réussit dans les années 1950 à remonter la tendance en utilisant une stratégie pourtant osée. Elle diminue les heures de travail. À l’inverse de ce que cela laissait présager, diminuer les heures de travail tout en gardant un salaire stable augmentait considérablement la productivité, les résultats nets commencèrent à redevenir positifs et l’État commença alors à investir plus d’argent dans l’entreprise.

Dans les années 1970, l’entreprise a été mandatée par le gouvernement pour l’un des plus projets de son histoire, la rénovation et la mise à niveau de plus de 50% des bâtiments face à un grand manque de respects des critères d’habitation, allant d’un manque d’isolation voire à des risques d’effondrement. C’est au total plus de 2 millions de maisons et plusieurs milliers d’immeubles qui vont être rénovés sur plus de 15 ans.

En 1979, l’entreprise enregistre de tellement hauts bénéfices que l’État réduit ainsi son financement dans l’entreprise, en effet, l’entreprise termine désormais chaque année avec des résultats nets à plus de 10 milliards de Francs Péronais. L’État continue donc à diminuer chaque année ses investissements jusqu’en 1985 où le plancher de 50 milliards de Francs Péronais.

Dans les années 1980, en coopération avec Vivana Corporation, l’entreprise investit dans la recherche et le développement de nouveaux engins de construction pouvant être utile à l’entreprise et aux gros projets du bâtiments. Ces travaux sont opérés par la filiale Espola Tech et sont entièrement financés par les sommes encaissées les années précédentes

L’entreprise reste encore aujourd’hui la principale entreprise dans le monde du BTP, de nombreuses petites entreprises s’en plaignent et ont du mal à continuer à prospérer, en effet, aucune autre entreprise ne peut réellement s’installer de manière sereine dans ce secteur. Espola Grupo possède donc le monopole de ce secteur. La fronde monte et de nombreux employés et/ou ouvrier du secteur du BTP demandent au gouvernement d’agir pour empêcher le monopole.


Activités :

L’entreprise est donc présente dans le secteur du Bâtiment et des Travaux Publics. C’est l’entreprise la moins chère et la plus présente sur le marché Péron. L’entreprise gère un nombre conséquent d’effectif et des agences sont présentes partout sur le territoire. En effet, où que l’on se trouve à Péronas, une agence Espola Grupo est forcément située à moins de 25 km.

L’entreprise gère différentes facettes d’un chantier en fonction des demandes, mais de manière générale, pour un chantier, l’entreprise :
- Gère la phase de conception grâce aux travaux d’architectes renommés et réputés. Le prix varie en fonction de la qualité et de la complexité des travaux. S’en suit le travail des ingénieurs pour voir si ce que les architectes proposent est réalisable.
- Gère la phase de préparation, elle prépare en effet tout ce qui sera utile pour un chantier donné allant de la main d’œuvre aux équipements en passant les matériaux utiles à la construction. Là encore le prix varie selon le chantier car ce dernier requiert différentes mains d’œuvres ou différents équipements.
- Gère la phase du chantier, les deux phases précédentes sont mises en application afin de satisfaire les demandes initiales du client.

L’entreprise doit donc également répondre aux demandes du gouvernement Péron pour les Bâtiments d’Intérêt Publique, auquel cas elle se voit infliger de grosse sanction financière. Cela n’est encore heureusement jamais arrivé.

L’entreprise a pour l’heure réaliser plusieurs bâtiments d’intérêt publics tels que différents ministères, mairies et ambassades à Péronas. Son plus gros chantier reste pour le moment la construction d’un stade de football ultra-moderne en 2000. En effet, en 1990, Péronas ordonner la création d’un stade de football national auprès d’Espola. C’est plusieurs milliers d’ouvriers qui travailleront sur ce chantier, et malheureusement, 12 y décédèrent de manques de sécurité. Depuis cet accident, plus aucun ouvrier n’est décédé sur chantier.


Projets :

- Garder son monopole
- Convaincre le gouvernement de ne pas agir et de conserver le monopole
- Augmenter les résultats d’années d’années en années
- Recruter activement de la nouvelle main d’œuvre face à celle actuelle qui devient trop vieillissante
- S’étendre à l’international et ouvrir de nouvelles agences en dehors de Péronas pour développer et partager le savoir-faire de l’entreprise
- Continuer la coopération avec Vivana Corporation dans le but de continuer à rester à la pointe de la technologie dans de nombreux domaines


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