28/06/2013
10:25:21
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[ACCORDS] Recueil des accords et traités internationaux

Traité d'entente entre la Maronhi et le Grand Kah.

Source



À la suite de la déclaration commune de la Gran Man de la République Nationale-Socialiste de Maronhi et des Représentants élus des Communes, Républiques et Syndicats Unis du Grand Kah, en date du 15 juillet 2008, sur les principes d’entente et de coopération liant les deux territoires, les dispositions suivantes ont été convenues :

Principes généraux :

1.1 - Les objectifs recherchés par les deux parties sont de créer et de maintenir une situation de bon voisinage mutuellement bénéfique et de faciliter la compréhension entre leurs peuples et toute politique pouvant permettre l’amélioration de leur prospérité sans sacrifier leur dignité. Pour se faire.
1.2 - Les instances dirigeantes des gouvernements signataires s'assureront du respect du programme fixé ci-après. Ils se réuniront à cet effet quand cela sera nécessaire ou par le biais de représentants en vue d’assurer son suivi et son respect.
1.3 - Tout non-respect par l’une des deux parties du programme fixé ci-après entraînera la non-réciprocité légitime du programme pour l’autre partie.
1.4 - Le programme fixé ci-après pourra être amendé, modifié ou aboli sur accord des deux parties signataires.

Diplomatie :

2.1 - Les signataires reconnaissent leur souveraineté et leur droit à l'indépendance et à la dignité, définie ici comme le droit d'un peuple à disposer de sa culture et de son art de vivre.
2.2 - Les signataires ne feront rien qui nuira délibérément à leurs intérêts nationaux mutuels ou à ceux de leurs ressortissants, en dehors du cadre de leur loi, sur leurs territoires respectifs
2.3 - Les deux parties s’engagent à dépêcher une délégation diplomatique permanente sur leurs territoires respectifs, à leur offrir l’hospitalité ainsi que les moyens matériels nécessaires au bon fonctionnement de leur mission.
2.4 - Les deux parties s’engagent à régulariser selon leurs lois en vigueur les voyageurs issus de l’autre pays signataire.
2.5 - Les villes de Cuetlachquiauhco et Iwako sont par la présente jumelée. Ce qui signifie que leurs gouvernements respectifs entretiendront une ligne de communication directe et se rencontreront de façon régulière pour discuter de l’activité économique transfrontalière et de l’organisation d’évènements culturels, sportives, etc.

Économie :

3.1 - L’objectif de ce traité est d'ouvrir de façon prudente l’économie des pays signataires à une plus ample coopération, sans menacer leur résilience et leur indépendance.
3.2 - Les pays signataires s’engagent à travailler à la création de plateformes logistiques dans les villes de Cuetlachquiauhco et Iwako. Ces plateformes doivent être accessibles et connectées au reste des réseaux logistiques des deux parties par des routes modernes et un réseau de rail, soit compatibles entre elles, soit construites sur le même modèle standardisé d’un côté et de l’autre de la frontière, soit dotées d’un dispositif moderne permettant de faire transiter les trains d’un système de rail à l’autre..
3.3 - Les Pays signataires s’engagent aussi à construire un pont routier et ferroviaire permettant de lier les villes de villes de Cuetlachquiauhco et directement connecté aux plateformes logistiques citées dans l’article précédent.
3.4 - En attendant, les pays signataires s’engagent à assurer la continuité du bac assurant la liaison d’un côté à l’autre du fleuve Yawara, longeant la frontière Kah-tanao-Maronhienne..
3.5 - Le gouvernement de la République Nationale-Socialiste de Maronhi s’engage à consulter ses collectivités locales sur le projet de construction de centrales solaires et éoliennes proposées par le Grand Kah.
3.6 - Si le projet est considéré réalisable par les collectivités locales, les deux parties s’engagent à signer un traité quant au fonctionnement des actifs Kah-tanais, à l’allocation et au prix de l’énergie y étant produite et de la formation de personnel local pour leur fonctionnement.

Environnement :

4.1 - Les deux parties renouvellent leur engagement en faveur du respect et de la protection de l’environnement et de la santé publique.
4.2 - Les deux parties s’engagent à maintenir une coopération ouverte et transparente sur la question de leurs richesses naturelles communes.
4.3 - Les deux parties s'engagent ainsi à créer ou une organisation facilitant cette coopération, ou un statut spécial assurant la prise en charge de tout enquêteur ou chercheur souhaitant mener une estimation de la santé et des risques pour l’écosystème et les populations entourant ces richesses communes.
4.4 - Sont considérées richesses communes l’eau et l’air, en vertu du fait qu’ils ne sont pas contingentés d’un côté et de l’autre des frontières humaines. La pollution de l’eau et de l’atmosphère le long des provinces frontalières sera ainsi surveillée.
4.5 - En vertu de cette coopération, les deux parties s’engagent à conserver un esprit ouvert et attentif à toute réclamation liée à ces questions environnementales.

Culture :

5.1 - Conformément aux objectifs affichés par les deux pays signataires, des mesures seront mises en place pour faciliter le transit de la culture et la compréhension mutuelle entre les peuples.
5.2 - Des droits douaniers préférentiels seront appliqués sur une liste de produits et d'objets présentant une valeur culturelle. Arts, littérature, film, loisirs.
5.3 - Des mesures administratives seront prises pour engager la reconnaissance progressive des diplômes universitaires selon une équivalence jugée cohérente par les instances gérant l’éducation supérieure dans chaque partie.
5.4 - Ces mesures administratives s'accompagnent d’une coopération sur la prise en charge d’étudiants issus de l’autre pays signataire : cette prise en charge concerne les questions de logement, de travail et d’inscriptions pédagogiques.
5.5 - Des échanges d'étudiants pourront être organisés à la discrétion des organismes chargés des études supérieurs et secondaires dans chaque partie.
5.6 - Les deux parties s’engagent à prendre des mesures bilatérales facilitant l’échange de reliques historiques et de tout objet destiné à l’exposition artistique dans le cadre d’échanges entre musées et expositions.
5.7 - Les deux parties s’engagent à prendre des mesures facilitant le passage de la frontière et à créer un statut de touristes facilitant toute démarche liée à l’entrée sur le territoire.


Fait en 2007 à Cuetlachquiauhco, les délégations maronhiennes et kah-tannaises étant présentes.
Charte de l'Union Médiane des Traditionalistes.
Source



Par la présente, Nous, les honorables pays signataires de cette Union Médiane des Traditionalistes (UMT) qui sommes aussi les peuples vrais et les défenseurs universels des belles traditions authentiques, après en avoir longuement débattus en toute liberté et amitié, déclarons au monde ce qui suit :

  • Premièrement, que dorénavant nous nous protégerons tous, et par tout les moyens possibles, de tous ceux qui par voie de guerre, d'influence ou d'ingérence tenteront d'intenter à nos identités ce qui, se faisant, s'apparente pour nous à une tentative de meurtre culturel et civilisationnel.

  • Deuxièmement, que désormais nous protégerons également et nous laisserons nous rejoindre tout ceux qui, tout en étant en paix avec leurs voisins ou bien étant en guerre mais de bonne foi et d'une guerre qu'ils n'ont pas désiré, désirent vivre sereinement dans leurs traditions et les transmettre à leurs enfants pour que ceux-ci les transmettent à leur tour aux leurs et ce jusqu'à la fin des temps.

  • Troisièmement, que tous les signataires de cette alliance, autant qu'il leur est possible, chercheront à tisser entre eux des liens économiques, politiques et culturels pour évoluer ensembles sur une terre authentique et saine, vivre dans un monde enraciné et serein, exempt de décadence morale et de vices sociétaux issus de la modernité.


  • La République Nationale-Socialiste de Maronhi y souscrit
    et s'engage d'ailleurs à tenir le paradigme prôné par l'UMT,

    "Il n'y a aucune corrélation nécessaire entre l'évolution technologique et l'évolution sociale. L'ordonnancement de la société et ses lois ne trouvent leur source ni dans le consensus ni dans la raison ou la science mais dans la tradition primordiale, en sorte que je tiens que l'essence de la tradition doit l'emporter sur toutes autres formes de considérations purement humaines, notamment culturelles et coutumières. J'accepte par ailleurs que hors de chez moi l'ancestralité puisse prendre des formes très dissemblables, voire opposées et je demeure malgré tout, sans me priver de m'y opposer sur les lignes qu'elles puissent prendre, disposé à les protéger de la modernité quand bien même il m'en couterait."

    Fait le 16/05/2008 à Legkibourg, toutes les délégations étant présentes (Clovanie, Xin, Tahoku).
    Accords de l'UMT (Union Médiane des Traditionalistes) sur les échanges scolaires et estudiantins.

    Source



    1. Chaque membre de l'UMT autorise chacun des autres membres à créer une école, étant sauve la doctrine du pays hôte et étant sauves et garanties toutes les mesures de surveillance que les agents des-dits pays jugeront opportunes.

    2. Chaque membre de l'UMT autorise par principe l'échange d’élèves, de tout niveau et de tout sexe, et se réserve le droit strict d'organiser comme il l'entend tout ce qui se passe sur son territoire dans le cadre de ce programme.

    3. Chaque membre de l'UMT travaillera sincèrement à créer autant d'équivalences et de passerelles que possible entre nos différents cursus scolaires respectifs pour faciliter au milieux les déplacement fructueux pour une année complète ou plus.



    Signé en août 2008 par Wama Toko, Représentant délégué de la République Nationale-Socialiste de Maronhi à l'Union Médiane des Traditionalistes.
    Délibérations sur les accords de Février 2010 entre la Maronhi et le Burujoa.

    Source burujoise

    Source maronhienne



    Décisions des directions des principaux départements de l'administration impériale burujoise :

    Affaires Étrangères
  • Création d’un bureau aux affaires maronhiennes au sein du département, ce bureau serait doté d’un chef de bureau et d’une équipe d’une cinquantaine de personnes qui serait entièrement dédié aux traitement des dossiers diplomatiques concernant vos administrations et entreprises, en complément de l’ambassade qui serait avant tout dédié aux particuliers.
  • Renforcement de l'ambassade du Burujoa en Maronhi, actuellement doté d’un ambassadeur, de 11 diplomates et 23 personnels administratifs et techniques, elle pourrait être dotée d’un ambassadeur, d’un ambassadeur en second, de 25 diplomates et 60 personnels administratifs et techniques. L'augmentation des moyens de l'ambassade répond aussi bien à une augmentation globale de nos moyens dans nos administrations que de la hausse continue et importante des visas de tout type vers le Burujoa ou de l’enregistrement de burujois sur le registres consulaires.
  • Création de 7 consulats, comme les 7 provinces maronhiennes. Ces consulats seraient dotés d’un consul et d’une petite dizaine de diplomates et personnels administratifs et techniques et faciliterait l’accès à nos services diplomatiques et consulaires sur l’ensemble du territoire marhoniens.
  • Facilitation des voyages entre le territoire impérial et la Maronhi avec un nouveau système d’entrée, pour un voyage à destinée touristique ou professionnelle d’une durée maximale de 15 jours ou à destinée familiale d’une durée maximale de 30 jours, seul un passeport en vigueur sera demandé, il sera cependant demandé de justifier le caractère touristique, professionnel ou familiale du voyage. Pour un voyage à destination scolaire d’une durée maximale de 12 mois, un passeport en vigueur et une déclaration simplifiée de visas sera demandé. En dehors de ces motifs où au-delà de ces durées, un passeport en vigueur et un visa courant sera demandé. Ce système peut être vu comme un système transitoire avant des procédures encore plus simplifié si ce cela est concluant.
  • Réciprocité des décisions, si vous acceptez l'augmentation des moyens de notre ambassade et la création des 7 consulats, j'accepterais volontiers que vous en fassiez de même et que vous ouvrez des consulats dans chacune des régions impériales.

  • Instruction impériale
  • Révision des programmes scolaires intégrant davantage d’histoire maronhienne. Actuellement, les programmes scolaires impériaux intègrent peu l’histoire de la Maronhi malgré les riches relations que nous entretenons, l’objectif est qu’au moins 3 heures d’histoire par an soit entièrement dédié à l’histoire maronhiennes.
  • Création de cursus universitaire sur l’histoire ou les langues de Maronhi, il existe déjà des cursus spéciaux sur les régions de l’empire et étant donné les riches relations que nous avons entretenu, et que nous entretenons encore, il nous paraît essentiel qu’un certain nombre de burujois soient spécialisés sur les enjeux de la Maronhi. Il serait idéal que ces étudiants puissent passer au moins une année dans une université maronhienne.
  • Attribution de 750 places des universités impériales de Karaimu à des ressortissants maronhiens pour favoriser leur inscription dans nos facultés. Actuellement, plusieurs milliers de jeunes maronhiens postulent dans les universités impériales, à l’excellence reconnue, et souvent sans grand succès, malgré de très bons dossiers. Avec ces places dédiées, davantage de maronhiens pourront intégrer une université burujoise.
  • Création d’une plateforme d’échange pouvant permettre à plusieurs dizaines de milliers de maronhiens ou burujois de pouvoir étudier dans le pays de l’autre et ainsi enrichir ses connaissances et sa culture sur l’autre.

  • Informations et propagande
  • Ouverture d'une succursale de la P-TV en Maronhi avec la création de 8 chaînes de télévision : 1 généraliste et nationale et 7 canaux régionaux. Nous savons qu’actuellement les services de télévision sont limités, aussi bien en offre sur l’écran qu’en diffusion dans le pays. Nous vous proposons l'ouverture de ces 8 chaînes de télévision pour étoffer votre offre télévisuel et nous sommes également prêts à créer des infrastructures de télédiffusion pour que l’ensemble du territoire maronhien soit couvert par la télévision.

  • Défense Nationale
  • Poursuite des exercices conjoints. Si le premier exercice naval se révèle positif, de nouveaux exercices pourraient avoir lieu sur des terrains équatoriaux terrestres de Maronhin tempéré de Cendane ou hivernal du Vomogorod.


  • Réponses officielles du gouvernent de Maronhi rapportées par l'Assemblée des Man auxdites décisions :

    Affaires Étrangères
  • En réponse à l'édification d'un bureau aux affaires maronhiennes au Burujoa, nous nous permettrons de mettre en service un secrétariat dédié à la question impériale au sein de notre propre administration des affaires étrangères pour nous seconder dans notre appréhension des questions burujoises.
  • Le gouvernement maronhien se réjouit déjà du renouveau, placée sous une si belle étoile, de nos relations ancestrales, et à ce titre, fournira gracieusement le personnel nécessaire au renforcement de notre ambassade sur votre sol. Nous vous ferons parvenir d'ici peu les fiches de l'ambassadeur en second, des 14 nouveaux diplomates, ainsi que des 36 nouveaux membres du personnel administratif et technique. De plus, nous ne manquerons pas d'en faire autant pour l'ambassade burujoise de Siwa et vous invitons dès à présent à nous faire parvenir tout le personnel que vous jugerez nécessaire dans la mesure du raisonnable ; nous nous chargerons bien entendu de loger l'intégralité dudit personnel.
  • Nous permettons volontiers à l'Empire Burujoa d'installer ces consulats dans les différents édifices que nous mettrons à sa disposition et placés sous l'autorité des 7 Chiji des provinces maronhiennes, à savoir : Monsieur Nakanoin Azai pour la province de Hué, Monsieur Kaneko Terutane pour la province d'Ogata, Madame Oku Chima pour la province de Sung, Monsieur Cui Jia pour la province de Jingyu, Madame Eyota Apoko pour la province de Kwanétipi, Monsieur Waki Tapa pour la province de Ahminikya, et Monsieur Nawa Wakikwé pour la province de Teyotéko. En retour, et comme demandé, sont d'ores et déjà décidées les équipes que nous vous ferons parvenir pour former les consulats des 6 régions impériales du glorieux Empire du Burujoa.
  • Puisque déjà discutées au préalable parmi nos divers échanges, les propositions quant à la simplification des voyages entre le territoire impérial du Burujoa et national de Maronhi seront discutées à l'Assemblée des Man, bien que déjà plébiscitées par le Conseil restreint et par la Gran Man, dame Kouyouri en personne. Nos populations renforçant chaque jour un peu plus leur lien, ces dernières trouverons sans doute dans ces divers accords les moyens de voyager plus aisément. De plus, et comme nous en avions déjà fait mention, nous vous proposons de soumettre à notre étude commune la possibilité d'ouvrir exceptionnellement entre nos deux pays la double nationalité à qui, de nos citoyens, répondraient aux critères d'admissibilité décidés pour l'occasion.

  • Instruction Impériale
  • Enseignant naturellement une part déjà conséquente de l'histoire du Burujoa aux classes du primaire et du secondaire ainsi que dans le supérieur, et allouant une nette part de notre budget de recherche à notre histoire commune, nous nous montrons tout à fait disposés à participer à l'élaboration d'un programme d'histoire maronhienne pouvant remplir les 3 heures par an dédiées à ladite matière, et travaillée en étroite collaboration par nos départements de l'Instruction respectifs ainsi que par nos chercheurs en Histoire.
  • Les langues créoles et maronhos (kwanés, ahminis et teyos) de Maronhi étant particulièrement étudiées, et faisant toujours l'objet d'une recherche conséquente, les universités de Siwa, Fujiao et Lawao accueilleront avec le soutien officiel du gouvernement l'ouverture de cursus de langues pour les étudiants burujois. Le nombre de places allouées aux Burujois dans ces universités est encore à discuter. De plus, pour renforcer la recherche linguistique et ouvrir les horizons de nos étudiants, chercheurs et futurs chercheurs.
  • Nous remercions les responsables des universités impériales de Karaimu pour la place conséquente accordée à nos étudiants et nous promettons d'encourager, au même titre que nos structures éducatives nationales, à favoriser nos meilleures pousses pour rejoindre lesdites universités.
  • Ayant soumis auprès de notre Département de l'Instruction nationale l'idée du projet de plateforme d'études entre le Burujoa et la Maronhi, et à la lumière de qui a déjà été accompli en la matière avec les honorables nations de l'Union Médiane des Traditionalistes, nous nous montrons particulièrement intéressés par les diverses questions sur de potentiels échanges scolaires et étudiants.

  • Informations et Propagande
  • La qualité de contenu de la P-TV burujoise et la compétence de ses équipes ne sont plus à démontrer. En raison de la confiance mutuelle que nous nous accordons et que nous croyons pleine de bonnes intentions, votre proposition a été soumise par le Département de l'Information. Ainsi, les services du Kongoinko accepteront volontiers l'émission d'une P-TV maronhienne nationale en soumettant cette dernière aux lois en vigueur en Maronhi ainsi qu'au contrôle de l'Agence nationale de surveillance de l'audiovisuel. Comme il en est de coutume en Maronhi pour ce qui est de l'émission médiatique provinciale et locale, l'information ne sera pas soumises aux mêmes normes que pour la P-TV nationale, mais dépendront exclusivement des injonctions des Chiji provinciaux ainsi que du respect des bonnes mœurs et des lois maronhiennes.

  • Défense Nationale
  • Nous souhaitons de tout cœur que nos manœuvres prochaines se montrent fort concluantes pour, comme vous le souhaitiez vous-même, poursuivre à l'avenir nos exercices communs, aussi bien sur terre et mer qu'au ciel, et aussi bien sur votre espace que sur le nôtre. L'établissement de structures de stages de survie interarmées et permanentes en milieux difficiles (équatorial, hivernal, etc) pourrait en outre renforcer la coopération de nos états-majors respectifs, en plus de préparer nos divers corps d'armée à de nouveaux environnements d'intervention et de combat.


  • Décisions et modifications approuvées par les gouvernements de Maronhi et du Burujoa en février 2010.
    Délibérations sur les accords de Mars 2010 entre la Maronhi et le Burujoa.

    Source burujoise

    Source maronhienne



    Décisions des directions des principaux départements de l'administration impériale burujoise :

    Culture et Sport :
  • Des candidatures communes lors d'appels à candidatures mondiales pour l’organisation d'évènements culturels. Même si la candidature pour l’organisation conjointe de la coupe du monde de basket a été un échec, elle a tout de même permis de grandement rapprocher nos administrations respectives et il serait bête d’arrêter sur un premier échec. Ces candidatures seraient aussi bien pour l’organisation de compétitions sportives, d'événements culturels mais également à des appels d’offres lors de grandes conventions : littérature, patrimoine, cinéma…

  • Sport :
  • Des compétitions sportives communes, il peut être envisagé l’organisation de tournois communs ou les meilleures équipes de chaque pays s'affrontent lors de compétitions se déroulant dans les 2 pays. Cela pourrait être le cas pour tous les arts martiaux, l'athlétisme, le cyclisme ou encore la natation.

  • Économie :
  • Développement économique, l’argent étant à la base de tout dans le monde d’aujourd’hui, il paraît évident que nos coopérations mutuellement bénéfiques doivent intégrer cet enjeux du développement économique. Cette notion est assez vague et dépasse largement les compétences de nos administrations respectives, cependant les idées ci-dessous peuvent aider à ce beau projet qu’est le développement économique.
  • Alignement monétaire, actuellement nos monnaies ont des taux de change relativement différent, l’Ikko s’échangeant sur le modèle de la “base 100” alors que le Flairy est sur le modèle de la “base 1000”, cela entraîne donc un risque plus élevé de perte de change que si nos monnaies avaient la même base. Il pourrait être idéal de baser nos monnaies sur les mêmes bases mais cela pourrait s’avérer très contre productif, une base 100 pénaliserait nos exportations quand une base 1000 pénaliserait vos importations. De ce fait, il faudrait mettre en place un mécanisme qui pourrait nous permettre de garantir le taux de change le plus fixe possible, en conservant nos bases différentes. Cela pourrait prendre la change d’un échange de monnaie, actuellement le Flairy est gagé uniquement sur les stocks d’or de la Banque Impériale Burujoise, la BIB qui détient actuellement plus de 846 tonnes d’or arrive à garder notre monnaie stable. Si dans un avenir proche nous enrichissons la gageure de notre monnaie en y intégrant des liquidités étrangères, nous pourrions garantir un taux de change stable entre nos deux pays. D’après les modélisations de la BIB, cette stabilité pourrait être obtenue après un transfert de 50 milliards d’Ikko contre 500 milliards de Flairy.
  • Allègement des droits de douanes, actuellement les droits de douanes entre nos deux pays sont aux niveaux moyens actuellement en vigueur dans le monde entier, entre 30 et 50%. Pour améliorer nos relations économiques, il serait idéal que les droits de douanes soient très fortement réduits, d’après les analyses du département de l’économie, les droits de douanes pourraient être baissés à 6% l'agro-alimentaire, le textile, l'habillement et la chaussure, ainsi que dans le secteur des véhicules de transport terrestre et même 3% sur le reste des produits. Les recettes de ces droits de douanes étant très peu significatives, cette suppression ne pèsera d’aucune façon sur nos finances publiques et ne sera que bénéfique pour toute personne ou entité souhaitant commercer entre le Burujoa et la Maronhi.

  • Comités des Préfectures :
  • Les 5 Comités des Préfectures : Ylma Jinu, Vomogorod, Cendane, Xinamane et Tairopototo ont tous adopté à l'unanimité des motions en faveur de partenariats de jumelages entre nos municipalités et les vôtres. D’après les comités, les 60 capitales préfectorales sont toutes prêtes à signer un accord de jumelage avec une municipalité marohniennes. Il en est de même pour les préfectures qui sont prêtes à jumeler avec vos régions. Ces accords de jumelages permettraient d’appliquer sur le plan local les grandes lignes de nos “coopérations mutuellement bénéfiques”.


  • Réponses officielles du gouvernent de Maronhi rapportées par l'Assemblée des Man auxdites décisions :

    Culture et Sport
  • Nous n'avons évidemment pas pris comme exemple l'échec que fut la candidature pour la Coupe du monde de basketball 2009 et persévérons par la suite, aussi bien sur les plans culturel et sportif, à encourager notre rapprochement en soumettant aux diverses compétions et évènements, des candidatures reflétant aussi bien notre riche histoire commune que notre récente mais déjà solide amitié.

  • Sport
  • La récente fin des travaux de la Cité Olympique et tout aussi récent succès des Championnats internationaux de Tir à l'Arc à Fujiao nous ont convaincus que la Maronhi est désormais pleinement capable d'organiser et d'accueillir des compétitions sportives conséquentes. Nos Fédérations sportives se tiendraient tout à fait disposées, avec l'appui officiel du gouvernement, à organiser des évènements conjoints d'une telle nature dans nos pays respectifs.

  • Économie
  • Comme vous l'avez souligné, l'argent est à la base de tout dans le monde d'aujourd'hui et il est important que nos deux pays travaillent ensemble pour tirer parti des opportunités économiques qui s'offrent à nous. Le développement économique peut être un projet ambitieux, mais il est essentiel pour la prospérité de nos deux pays. Nous sommes convaincus que si nous travaillons ensemble, nous pourrons créer des opportunités pour nos entreprises et nos citoyens, tout en renforçant notre relation bilatérale. Nous sommes prêts à explorer toutes les idées qui pourraient aider à atteindre cet objectif, qu'il s'agisse de l'alignement monétaire, de l'allègement des droits de douane ou d'autres initiatives économiques.
  • Nous comprenons que l'alignement monétaire pourrait être bénéfique pour nos deux pays en termes de réduction du risque de perte de change. Cependant, il convient de noter que la mise en place d'un tel système peut être complexe et difficile à réaliser. Nous avons attentivement soumis à l'examen les avantages et les inconvénients d'une telle proposition, notamment en ce qui concerne les impacts sur les exportations et les importations. En ce qui concerne l'enrichissement de la gageure de la monnaie et le transfert proposé de 50 milliards d'Ikko contre 500 milliards de Flairy, l'examen approfondi a déterminé les caractères réalisable et bénéfique d'une telle mesure pour les deux parties.
  • Il est certain que la réduction des droits de douane devraient entraîner des avantages économiques en facilitant les échanges commerciaux et en stimulant la croissance économique. Cette réduction des droits de douane devrait aussi faciliter le renforcement de nos relations diplomatiques et encourager l'investissement étranger et la création d'emplois entre nos deux pays. Cependant, nous resterons alerte sur tout accroissement de la concurrence pour nos producteurs nationaux.

  • Comités des Préfectures
  • À l'image de vos Comités des Préfectures, les Chiji provinciaux de Maronhi ont tous sans exception, aussi bien pour les provinces côtières que du grand bois, autorisé les colloques de métropoles à soumettre leurs propres propositions de jumelage de municipalités.


  • Décisions et modifications approuvées par les gouvernements de Maronhi et du Burujoa en mars 2010.
    Traité d'avant-projet de partenariat stratégique entre la Maronhi et le Burujoa.

    Source



    À la suite de la déclaration commune de la Gran Man de Maronhi et de l'Empereur du Burujoa sur les principes d’entente et de coopération liant les deux territoires, les dispositions suivantes ont été convenues :

    Chapitre 1 : Renforcement des Liens Diplomatiques

  • Article 1 : Coordination des Affaires Étrangères
  • Les États signataires de ce traité, reconnaissant l'importance d'une coordination efficace, établissent un bureau dédié aux affaires diplomatiques au sein de leur département des affaires étrangères respectif. Des consultations régulières seront planifiées pour faciliter la convergence de nos politiques étrangères et renforcer nos relations.

  • Article 2 : Renforcement des Services Diplomatiques
  • Afin de promouvoir une communication fluide et constante, chaque parti signataire s'engage à renforcer ses services diplomatiques au sein de ses ambassades. De plus, l'établissement de consulats dans chaque entité décentralisée contribuera à un engagement mutuel plus proche et efficace.

  • Article 3 : Facilitation des Circulations
  • En vue de promouvoir la compréhension mutuelle, les signataires s'engagent à faciliter les déplacements des citoyens entre leurs territoires respectifs. Les voyages à des fins touristiques, éducatives et professionnelles ne seront soumis qu'aux exigences du passeport national et impérial.

  • Article 4 : Coopération Diplomatique
  • Chaque signataire s'engage à adopter une politique étrangère favorable à l'autre partie. Toute mesure diplomatique majeure nécessitera une consultation préalable, démontrant ainsi notre engagement envers une collaboration harmonieuse.

    Chapitre 2 : Échange Culturel et Académique

  • Article 5 : Enrichissement Historique
  • Les États signataires intègreront dans leurs programmes scolaires une part de l'histoire de l'autre partie, contribuant ainsi à une compréhension approfondie de nos cultures respectives et de nos relations passées.

  • Article 6 : Cursus et Études Croisées
  • Afin de promouvoir une immersion culturelle plus profonde, les signataires établiront des cursus de langue et d'histoire de l'autre partie dans les universités publiques, offrant ainsi aux étudiants une occasion unique d'explorer les racines et les valeurs de l'autre.

  • Article 7 : Plateforme d'Échanges Étudiants
  • Les États signataires créeront une plateforme d'échanges étudiants, réservant des places pour les ressortissants de l'autre partie dans chaque université publique. Cette initiative renforcera les liens entre les jeunes générations et encouragera la coopération académique.

  • Article 8 : Coopération Pédagogique
  • Les échanges d'enseignants et de chercheurs entre les signataires seront fortement encouragés, promouvant ainsi le partage des connaissances et le développement académique mutuel.

    Chapitre 3 : Partage de l'Information et de la Connaissance

  • Article 9 : Base de Données Universitaires
  • Les États signataires contribueront à l'établissement d'une base de données universitaires commune. Celle-ci recueillera toutes les recherches académiques dans divers domaines ainsi que les ressources physiques des bibliothèques universitaires, favorisant ainsi le partage du savoir.

  • Article 10 : Média d'État Collaboratif
  • Les signataires accepteront volontairement la création d'un média d'État, principalement financé par l'autre partie. Ce média favorisera la diffusion d'informations objectives et promouvra la compréhension mutuelle.

    Chapitre 4 : Renforcement Économique

  • Article 11 : Stabilité Monétaire
  • Les États signataires s'engagent à maintenir un taux de change unique et garanti entre leurs monnaies respectives, encourageant ainsi la stabilité économique et le commerce équitable.

  • Article 12 : Commerce Facilité
  • Afin de favoriser les échanges commerciaux, les signataires appliqueront des droits de douane minimaux, facilitant ainsi le flux de biens et de services entre leurs territoires.

  • Article 13 : Rapprochement Industriel et Énergétique
  • Les États signataires encourageront progressivement le rapprochement de leurs secteurs industriels et énergétiques respectifs, renforçant ainsi la complémentarité économique à long terme.

  • Article 14 : Implantation Entreprise Avantagée
  • Chaque signataire offrira des conditions préférentielles pour l'établissement des entreprises agréées de l'autre partie sur son territoire, stimulant ainsi la croissance économique mutuelle.

    Chapitre 5 : Coopération en Matière de Santé

  • Article 15 : Partage Médical et Sanitaire
  • Les États partis au traité établiront des mécanismes de partage d'expertise médicale, de ressources sanitaires et de bonnes pratiques pour répondre aux défis de santé publique.

  • Article 16 : Recherche Médicale Conjointe
  • Ils encourageront la recherche médicale collaborative pour lutter contre les maladies émergentes, développer de nouveaux traitements et améliorer les systèmes de santé.

    Chapitre 6 : Sécurité et Stabilité Régionales

  • Article 17 : Coopération en Matière de Sécurité
  • Les États partis au traité collaboreront en matière de sécurité régionale en échangeant des informations sur les menaces potentielles, en organisant des exercices conjoints et en renforçant les capacités de prévention et de gestion de crises.


    Fait en 2010 à Karaimu, les délégations maronhienne et burujoise étant présentes.
    Traité de partenariat stratégique sur les circulations entre la Maronhi et le Burujoa.

    Source



    À la suite de la déclaration commune de la Gran Man de Maronhi et de l'Empereur du Burujoa sur les principes d’entente et de coopération liant les deux territoires, les dispositions suivantes ont été convenues :

    Préambule :

    L’Empire Burujoa et la République Nationale-Socialiste de Maronhi s’engagent à faciliter la libre circulation des personnes, tout en assurant la sûreté et la sécurité de leurs peuples, en établissant un espace de liberté, de sécurité et de justice.

    L’Empire Burujoa et la République Nationale-Socialiste de Maronhi s'engagent à offrir à leurs habitants un espace de liberté, de sécurité et de justice sans frontières intérieures, au sein duquel est assurée la libre circulation des personnes, en liaison avec des mesures appropriées en matière de contrôle des frontières extérieures, d'asile, d'immigration ainsi que de prévention de la criminalité et de lutte contre ledit phénomène.

    Chapitre 1 : Libre Circulation des Personnes

  • Article 1 :
  • L’Empire Burujoa et la République Nationale-Socialiste de Maronhi forment ensemble un marché unique.

  • Article 2 :
  • Le marché unique forme un espace sans frontière physique interne.
    La libre circulation des Burujois et des Maronhiens sans restriction judiciaire liée à leur mobilité est libre, totale, sans aucune entrave à l’intérieur dudit marché.

  • Article 3 :
  • Le marché unique forme un espace sans barrière qui instaure la suppression des contrôles aux frontières intérieures pour tous les ressortissants burujois et maronhiens.

  • Article 4 :
  • L’Empire Burujoa et la République Nationale-Socialiste de Maronhi s'engagent à renforcer et harmoniser la surveillance des frontières extérieures de leur marché unique.
    Tous les habitants du Burujoa et de la Maronhi peuvent entrer dans le marché unique sur simple présentation de leur carte d’identité ou de leur passeport.

  • Article 5 :
  • L’Empire Burujoa et la République Nationale-Socialiste de Maronhi mettent en place une politique de visa, de courte durée, commune.
    L’entrée des ressortissants des pays tiers dans le marché unique pourra faire l’objet d’un régime d’exemption de visa, à l’issue d’un commun accord entre les autorités burujoise et maronhienne.

  • Article 6 :
  • À titre transitoire, l’Empire Burujoa et la République Nationale-Socialiste de Maronhi mettent en place un système de déclaration simplifiée d’entrée ou de sortie du territoire.
    La déclaration simplifiée peut être effectuée librement avant le départ ou immédiatement après arrivée. En cas d’absence de déclaration, le récalcitrant est renvoyé dans son pays d’origine où il pourra faire l’objet de poursuites judiciaires ultérieures.

    Chapitre 2 : Libre Circulation des Capitaux

  • Article 7 :
  • Le marché unique forme un espace sans frontière financière interne.
    La libre circulation des capitaux est libre, totale, sans aucune entrave à l’intérieur dudit marché.

    Chapitre 3 : Libre Circulation des Biens et des Services

  • Article 8 :
  • L’Empire Burujoa et la République Nationale-Socialiste de Maroni acceptent la libre circulation totale des biens et services.
    Les activités de service ne concernent que les activités à caractère industriel, les activités à caractère commercial, les activités à caractère artisanal et les activités à caractère libérale.

  • Article 9 :
  • L’accès des biens et services au marché unique est conditionnée à des normes sanitaires et écologiques communes, sauf en cas d'accords entre les partis pour des raisons spécifiques à la réalité d'un des territoires.

    Chapitre 4 : Droit d’Établissement

  • Article 10 :
  • Le marché unique concerne également la liberté d’établissement des particuliers comme des sociétés résidants dans l’Empire Burujoa ou dans la République Nationale-Socialiste de Maronhi.

  • Article 11 :
  • Pour les séjours de moins de trois mois : la possession d'un document d'identité ou un passeport en cours de validité constituera la seule exigence imposée aux habitants de l’Empire Burujoa et de la République Nationale-Socialiste de Maronhi.
    L’État d’accueil peut toutefois exiger que les personnes concernées signalent leur installation dans le pays, à l’issue d’un préavis.

  • Article 12 :
  • Les restrictions à la liberté d'établissement des ressortissants d'un État membre dans le territoire d'un autre État membre sont interdites.



    Fait en 2011 à Siwa, les délégations maronhienne et burujoise étant présentes.
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