04/07/2013
23:18:15
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[CONFIDENTIEL] Etat-major Pontarbello et forces armées de l'ANPL

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ÉTAT-MAJOR DES FORCES MILITAIRES DE L’ARMÉE NATIONALE DU PONTARBELLO LIBRE



Forces armées du Pontarbello

SOMMAIRE


I. Forces armées
I.A - L'Armée Nationale du Pontarbello Libre (armée régulière)
I.B - La Force ASCARA, un corps d'élite.
Logo de la force Ascara
Écusson militaire des forces armées ASCARA.



I.B - FORCE ASCARA (armée non conventionnelle)
Données confidentielles


La Force Ascara est une force armée interarmes, intégrée à l'Armée Nationale du Pontarbello Libre (ANPL). Elle a été mise en œuvre pour la première fois en février 2007, lors de la guerre d’indépendance du Pontarbello. C'est une force de réaction rapide composée des unités d'élite et des meilleurs équipements présents au sein des forces armées de la République d'Union Nationale du Pontarbello.

Étymologie

La force Ascara tient son nom du verbe d’action “Ascara” (signifiant masquer en portugais), car comme son nom l’indique, la force Ascara a vocation à tromper l’ennemi, en développant des tactiques au combat jusqu’ici inédites dans les conflits contemporains, si bien que le nombre opposant et la réelle composition du contingent importe peu, par la présence d’une force agile chargée d’adapter sa réponse à la menace ennemie. L’une de ces tactiques notoires est celle exercée par les unités blindées pontarbelloises de la Force Ascara qui, alignées sur une ligne de crête, ont pu tenir tête à un ennemi par dix fois supérieur.

Représentation iconographique

La représentation de la force Ascara à travers le champs médiatique pontarbellois mais aussi international, est centralisée par la création d'un écusson militaire. Celui-ci va bien entendu reprendre les couleurs du Pontarbello, jeune nation indépendance depuis 2007, également la date à laquelle la force Ascara a été créée, s'agissant de l'une des principales forces engagées pour aider le pays à recouvrir son indépendance. Sur un plan beaucoup plus allégorique, la Force Ascara est représentée par une créature sous-marine car sa première apparition publique s'est faite par la conduite d'une opération amphibie sur la pointe sud d'Aleucie.

Une opération militaire, destinée à renverser le régime collaborateur à l'autorité impériale listonienne, la force colonisatrice eurysienne de ce qui deviendra plus tard, en sortie de guerre d'indépendance, le Pontarbello. C'est ce qui vient expliquer la présence d'une couronne sur la tête de ladite créature car elle avait vocation pourfendre le régime impérial dans ses possessions ultramarines.

Historique

Initialement opposée à l’Empire colonisateur listonien, puis aux brigades solaires kah-tanaises lorsque celles-ci ont envahi le territoire par dix fois plus nombreuses, la force Ascara a su entretenir sa réussite, grâce au concours d’hommes et de femmes d’expérience, engagés contre un ennemi innombrable. De cette lutte désespérée, plusieurs personnalités militaires se sont effectivement distinguées de façon positive, au gré de l’évolution du conflit.

Le colonel Jonatan Yepes est l'officier en charge du commandement de la force Ascara.
Portrait du Colonel Jonatán Yepes, commandant de la Force Ascara.

Aujourd’hui, la Force Ascara est placée sous le commandement direct du Colonel Jonatán Yepes, un militaire de renom et à la réputation croissante, pour ses faits d’armes lorsqu’il dirigeait le 2e escadron blindé dans la passe de Carosinhos lors de la guerre d’indépendance, mais aussi pour la conduite des opérations de libération dans le territoire péninsulaire sous occupation militaire pharoise. Des actions militaires d'importance, puisqu'elles se sont accompagnées de nouveaux affrontements affrontements avec le Pharois Syndikaali et ses alliés, venus libérer les soldats pharois capturés et emprisonnés dans la pénnsule pour s'être opposés par les armes à un contingent de l'Armée Nationale du Pontarbello Libre, venu effectuer une opération de lutte contre la contrebande.

Composition

Bien que la renommée de la Force Ascara se soit constituée sur le déploiement de sa force blindée, le caractère opérationnel de cette force prend en considération des moyens bien plus importants, tournés vers les actions aéroportées ou les bataillons d’infanterie de choc. Derrière ce terme aussi abstrait et imprécis que la Force Ascara, il faut identifier une composante semblable à celle d’une brigade, soit en matière de ressources humaines, l’équivalent de six milliers d’hommes dont une partie d’entre eux demeure toujours en formation ou positionnée sur une fonction non-combattante, afin d'optimiser le caractère opérationnel des unités qui le sont.

Néanmoins et indépendamment des ressources humaines dédiées, la force Ascara se distingue par la diversité de ses composantes militaires puisqu’elle intègre des unités blindées, héliportées, maritimes ou simplement motorisées.

Logo de la force Ascara
ORBAT de la force ASCARA (clic gauche pour agrandir)


1º Batalhão de Infantaria

1ª Companhia de Infantaria
  • 250 soldats professionnels,
  • 250 armes légères d'infanterie,
  • 5 véhicules de combat d'infanterie,
  • 10 transports de troupes blindé,
  • 15 véhicules blindés légers,
  • 30 véhicules légers tout-terrain,
  • 5 camions de transport,
  • 15 mitrailleuses lourdes,
  • 10 lance-missiles antichars,
  • 2 mortiers légers,
  • 15 lance-roquettes.

2ª Companhia de Infantaria
  • 250 soldats professionnels,
  • 250 armes légères d'infanterie,
  • 5 véhicules de combat d'infanterie,
  • 10 transports de troupes blindé,
  • 15 véhicules blindés légers,
  • 30 véhicules légers tout-terrain,
  • 5 camions de transport,
  • 15 mitrailleuses lourdes,
  • 10 lance-missiles antichars,
  • 2 mortiers légers,
  • 15 lance-roquettes.

3ª Companhia de Infantaria
  • 250 soldats professionnels,
  • 250 armes légères d'infanterie,
  • 5 véhicules de combat d'infanterie,
  • 10 transports de troupes blindé,
  • 15 véhicules blindés légers,
  • 30 véhicules légers tout-terrain,
  • 5 camions de transport,
  • 15 mitrailleuses lourdes,
  • 10 lance-missiles antichars,
  • 2 mortiers légers,
  • 15 lance-roquettes.

1ª Companhia de Infantaria Aerotransportada
  • 250 soldats professionnels,
  • 250 armes légères d'infanterie,
  • 2 avions de transport hybdrides,
  • 4 véhicules de combat d'infanterie,
  • 5 véhicules de transmission radio,
  • 10 véhicules blindés légers,
  • 20 véhicules légers tout-terrain,
  • 30 mitrailleuses lourdes,
  • 20 lance-missiles antichars,
  • 5 mortiers légers,
  • 30 lance-roquettes.

2ª Companhia de Infantaria Aerotransportada
  • 250 soldats professionnels,
  • 250 armes légères d'infanterie,
  • 2 avions de transport hybdrides,
  • 4 véhicules de combat d'infanterie,
  • 5 véhicules de transmission radio,
  • 10 véhicules blindés légers,
  • 20 véhicules légers tout-terrain,
  • 30 mitrailleuses lourdes,
  • 20 lance-missiles antichars,
  • 5 mortiers légers,
  • 30 lance-roquettes.

1ª Companhia de Infantaria Anfíbia Motorizada
  • 250 soldats professionnels,
  • 250 armes légères d'infanterie,
  • 4 chalands de débarquement,
  • 8 chars d'assaut,
  • 15 chars légers,
  • 20 véhicules de combat d'infanterie,
  • 5 véhicules de transmission radio,
  • 20 véhicules blindés légers,
  • 20 véhicules légers tout-terrain.


2ª Companhia de Infantaria Anfíbia Motorizada
  • 200 soldats professionnels,
  • 200 armes légères d'infanterie,
  • 4 chalands de débarquement,
  • 8 chars d'assaut,
  • 15 chars légers,
  • 20 véhicules de combat d'infanterie,
  • 5 véhicules de transmission radio,
  • 20 véhicules blindés légers,
  • 20 véhicules légers tout-terrain.

1º Batalhão de Reconhecimento

1ª Companhia de Reconhecimento Motorizada
  • 150 soldats professionnels,
  • 150 armes légères d'infanterie,
  • 3 chars légers,
  • 10 véhicules de combat d'infanterie,
  • 5 transports de troupes blindé,
  • 20 véhicules blindés légers,
  • 30 véhicules légers tout-terrain,
  • 4 véhicules de transmission radio,
  • 1 véhicule radar.

2ª Companhia de Reconhecimento Motorizada
  • 150 soldats professionnels,
  • 150 armes légères d'infanterie,
  • 3 chars légers,
  • 10 véhicules de combat d'infanterie,
  • 5 transports de troupes blindé,
  • 20 véhicules blindés légers,
  • 30 véhicules légers tout-terrain,
  • 4 véhicules de transmission radio,
  • 1 véhicule radar.

2ª Companhia de Reconhecimento Motorizada
  • 150 soldats professionnels,
  • 150 armes légères d'infanterie,
  • 3 chars légers,
  • 10 véhicules de combat d'infanterie,
  • 5 transports de troupes blindé,
  • 20 véhicules blindés légers,
  • 30 véhicules légers tout-terrain,
  • 4 véhicules de transmission radio,
  • 1 véhicule radar.

1º esquadrão de helicópteros de ataque e reconhecimento
  • 100 soldats professionnels,
  • 100 armes légères d'infanterie,
  • 10 hélicoptères d'attaque,
  • 15 hélicoptères légers polyvalents,
  • 3 hélicoptères de transport moyens.

1ª Companhia de Reconhecimento de Infantaria
  • 250 soldats professionnels,
  • 250 armes légères d'infanterie,
  • 10 véhicules blindés légers,
  • 10 véhicules de combat d'infanterie,
  • 50 véhicules légers tout-terrain,
  • 5 camions de transport,
  • 5 véhicules de transmission radio,
  • 2 véhicules radar,
  • 2 ponts mobiles,
  • 20 lance-roquettes,
  • 10 lance-missiles antichar,
  • 500 mines antipersonnels,
  • 100 mines antichars,
  • 4 mortiers légers.

2ª Companhia de Reconhecimento de Infantaria
  • 250 soldats professionnels,
  • 250 armes légères d'infanterie,
  • 10 véhicules blindés légers,
  • 10 véhicules de combat d'infanterie,
  • 40 véhicules légers tout-terrain,
  • 5 camions de transport,
  • 5 véhicules de transmission radio,
  • 2 véhicules radar,
  • 2 ponts mobiles,
  • 20 lance-roquettes,
  • 10 lance-missiles antichar,
  • 500 mines antipersonnels,
  • 100 mines antichars,
  • 4 mortiers légers.

1º Esquadrão de Reconhecimento Aéreo
  • 100 soldats professionnels,
  • 100 armes légères d'infanterie,
  • 20 drones de reconnaissance,
  • 10 hélicoptères légers polyvalents,
  • 3 avions de transport hybrides,
  • 1 avion radar de type AWACS,
  • 1 avion de guerre électronique,
  • 20 chasseurs-bombardiers.

1ª Seção Regimental de Reconhecimento
  • 40 soldats professionnels,
  • 40 armes légères d'infanterie,
  • 6 véhicules blindés légers,
  • 6 véhicules légers tout-terrain,
  • 2 véhicules de transmission radio,
  • 1 véhicule radar.

2ª Seção Regimental de Reconhecimento
  • 40 soldats professionnels,
  • 40 armes légères d'infanterie,
  • 6 véhicules blindés légers,
  • 6 véhicules légers tout-terrain,
  • 2 véhicules de transmission radio,
  • 1 véhicule radar.

1º Batalhão de Apoio de Fogo

1ª Companhia de Artilharia Aerotransportada
  • 150 soldats professionnels,
  • 150 armes légères d'infanterie,
  • 1 avion de transport hybride,
  • 4 hélicoptères de transport lourd,
  • 20 canons tractés,
  • 30 camions de transport,
  • 6 véhicules blindés légers,
  • 15 véhicules légers tout-terrain,
  • 10 mortiers tractés.

2ª Companhia de Artilharia Aerotransportada
  • 150 soldats professionnels,
  • 150 armes légères d'infanterie,
  • 1 avion de transport hybride,
  • 4 hélicoptères de transport lourd,
  • 20 canons tractés,
  • 30 camions de transport,
  • 6 véhicules blindés légers,
  • 15 véhicules légers tout-terrain,
  • 10 mortiers tractés.

1ª Companhia de Artilharia Autopropulsada
  • 200 soldats professionnels,
  • 200 armes légères d'infanterie,
  • 10 canons automoteur,
  • 30 lance-roquettes multiples,
  • 10 véhicules de transmission radio,
  • 5 véhicules de combat d'infanterie,
  • 5 camions de transport,
  • 10 véhicules légers tout-terrain,
  • 10 véhicules blindés légers.

1ª Companhia de Morteiros Pesados
  • 200 soldats professionnels,
  • 200 armes légères d'infanterie,
  • 30 mortiers tractés,
  • 6 véhicules de transmission radio,
  • 40 véhicules légers tout-terrain,
  • 10 véhicules blindés légers.

1ª Companhia de Artilharia Mecanizada
  • 250 soldats professionnels,
  • 250 armes légères d'infanterie,
  • 30 canons automoteur,
  • 20 chars légers,
  • 10 véhicules blindés légers,
  • 8 véhicules de transmission radio.

1ª Companhia de Engenharia
  • 250 soldats professionnels,
  • 250 armes légères d'infanterie,
  • 30 véhicules blindés légers,
  • 20 chars légers,
  • 10 véhicules de combat d'infanterie,
  • 10 chars de dépannage,
  • 10 camions de transport,
  • 10 bulldozers,
  • 6 ponts mobiles,
  • 8 véhicules de déminage.

1ª Companhia de Artilharia Blindada de Defesa Antiaérea
  • 250 soldats professionnels,
  • 250 armes légères d'infanterie,
  • 50 canons antiaériens mobiles,
  • 10 canons antiaériens fixes,
  • 20 véhicules légers tout-terrain,
  • 10 chars légers,
  • 2 véhicules radar,
  • 8 véhicules de transmission radio.

1ª Companhia de Defesa Antiaérea
  • 250 soldats professionnels,
  • 250 armes légères d'infanterie,
  • 40 lance-missiles antiaériens,
  • 15 véhicules légers tout-terrain,
  • 2 véhicules radar,
  • 8 véhicules de combat d'infanterie,
  • 15 véhicules blindés légers,
  • 8 camions de transport,

1º Batalhão de Suporte

Célula de Comandamento Operacional
  • 80 soldats professionnels,
  • 80 armes légères d'infanterie,
  • 2 véhicules radar,
  • 6 véhicules de transmission radio,
  • 6 véhicules blindés légers,
  • 10 véhicules légers tout-terrain,
  • 2 hélicoptères légers polyvalent.

1ª Companhia de Logística
  • 150 soldats professionnels,
  • 150 armes légères d'infanterie,
  • 50 camions de transport,
  • 10 camions-citernes,
  • 20 véhicules utilitaires,
  • 6 véhicules de transmission radio,
  • 12 véhicules blindés légers,
  • 10 véhicules de combat d'infanterie.

2ª Companhia de Logística
  • 150 soldats professionnels,
  • 150 armes légères d'infanterie,
  • 50 camions de transport,
  • 10 camions-citernes,
  • 20 véhicules utilitaires,
  • 6 véhicules de transmission radio,
  • 12 véhicules blindés légers,
  • 10 véhicules de combat d'infanterie.

1ª Companhia de Transmissão
  • 120 soldats professionnels,
  • 120 armes légères d'infanterie,
  • 10 camions de transport,
  • 25 véhicules de transmission radio,
  • 16 véhicules blindés légers,
  • 4 véhicules de combat d'infanterie.

1ª Companhia de Detecção e Vigilância por Radar
  • 120 soldats professionnels,
  • 120 armes légères d'infanterie,
  • 8 camions de transport,
  • 6 véhicules radar,
  • 6 véhicules de transmission radio,
  • 12 véhicules blindés légers,
  • 4 véhicules de combat d'infanterie.

1ª Companhia hospitalar
  • 150 soldats professionnels,
  • 150 armes légères d'infanterie,
  • 12 camions de transport,
  • 20 véhicules utilitaires,
  • 6 véhicules blindés légers,
  • 4 hélicoptères de transport moyens,
  • 1 hélicoptère de transport lourd,
  • 2 hélicoptères légers polyvalents.

1º Esquadrão de Logística Aerotransportada
  • 150 soldats professionnels,
  • 150 armes légères d'infanterie,
  • 12 camions de transport,
  • 10 véhicules légers tout-terrain,
  • 4 avions-ravitailleurs,
  • 10 hélicoptères de transport moyens,
  • 3 hélicoptères de transport lourds,
  • 8 hélicoptères légers polyvalents.

1ª Companhia de Polícia Militar
  • 150 soldats réservistes,
  • 150 armes légères d'infanterie,
  • 8 camions de transport,
  • 10 véhicules légers tout-terrain,
  • 10 véhicules blindés légers,
Logo de l'armée régulière pontarbelloise, l'Armée Nationale du Pontarbello Libre
Écusson militaire des forces régulières de l’Armée Nationale du Pontarbello Libre.



I.A - ARMEE NATIONALE DU PONTARBELLO LIBRE (ANPL) / ARMEE REGULIERE - DONNEES HRP


Histoire

L’armée régulière du Pontarbello est connue sous l’acronyme ANPL, pour Armée Nationale du Pontarbello Libre. Cette armée a été créée en Alguarena, et s’est composée initialement d’ex-citoyens listoniens en exil sur le territoire fédéral et de mercenaires qui fondèrent plus tard, la Brigade du Jaguar Paltoterran. Son nom sans équivoque se lie nécessairement à son histoire puisque l’Armée Nationale du Pontarbello Libre a été créée pour libérer la péninsule pontarbelloise des forces impériales listoniennes l’ayant colonisée, et défendre ledit territoire des menaces environnantes, telles que les brigades solaires kah-tanaises qui l’ont envahi peu de temps après la déclaration d’indépendance.

L’ANPL se veut une armée populaire puisqu’elle s’est formée sur la base d'hommes et de femmes particulièrement engagés contre le régime impérial colonisateur. Ses premières unités combattantes se battaient déjà sur le front depuis des mois avant de percevoir leur premier salaire, un salaire conditionné à la libération de leur patrie. Depuis, que chacun se rassure, l’armée a été professionnalisée et institutionnalisée, accordant le versement permanent des soldes aux fantassins et dans les délais impartis par le calendrier de paie. Mais ce passif contribue à nous faire réaliser le puissant volontariat qui a nourri les premiers engagements de citoyens listoniens, parmi les soldats de l’ANPL.

Force indépendantiste connue et reconnue à l’international, l’Armée Nationale du Pontarbello Libre est aujourd’hui (2009) la base même de la classe politique pontarbelloise, fournissant l’essentiel de la gouvernance locale, à l’instar du puissant Général Leopoldo Sapateiro, commandant-en-chef des forces de l’ANPL et autorité suprême à la tête du pays.



Soldats pontarbellois en train de combattre dans les rues de Santialche, lors de la guerre d'indépendance en février 2007.
Les soldats de l'ANPL, se sont illustrés au combat lors de la libération du territoire péninsulaire face aux forces coloniales de l'Empire listonien.

Composition (les éléments en cours d'acquisition et de recomposition)

Composante terrestre a écrit :
1 brigade d’infanterie mécanisée comprenant (en cours d’acquisition):
  • 8 000 soldats et autant d'armes légères d’infanterie,
  • 200 transports de troupes blindés,
  • 100 véhicules de combat d’infanterie,
  • 100 véhicules blindés légers,
  • 50 lance-missiles antichars,
  • 100 lance-roquettes,
  • 100 mitrailleuses lourdes,
  • 15 canons automoteurs,
  • 50 chars légers,
  • 20 chars d’assaut,
  • 250 camions de transport,
  • 50 canons antiaériens mobiles,
  • 20 lance-missiles antiaériens,
  • 20 engins du génie (bulldozers + chars de dépannage),
  • 3 ponts mobiles,
  • 200 véhicules légers tout-terrain,
  • une vingtaine de drones de reconnaissance,
  • une vingtaine de véhicules de commandement (véhicules de transmission radio et véhicules radar),
  • une centaine de pièces d’artillerie (canons et mortiers tractés).

Composante aérienne a écrit :
1 escadron de l’aviation légère avec en son sein :
  • 120 soldats et autant d'armes légères d'infanterie,
  • une dizaine d’appareils aériens dédiés au transport de troupes,
  • une vingtaine d’appareils aériens dédiée au combat et à l’appui air-sol.

Composante maritime a écrit :
1 garde-côte et 1 commando d'infanterie de marine
  • 400 soldats et autant d'armes légères d'infanterie,
  • 10 chars d'assaut,
  • 20 chars légers,
  • 5 drones de reconnaissance,
  • 1 sous-marin d'attaque,
  • 2 chalands de débarquement,
  • 2 patrouilleurs maritimes,
  • une dizaine de vedettes rapides.


Paysage montagneux


LE ESTAGIO DE FORMACAO EN COMBATE EM ZONAS MONTANHOSAS (EF-CZM)

(trad: le stage d'entraînement au combat en zone montagneuse, à Monte Neiva)


Section d'infanterie de la Force Ascara pontarbelloise, investissant un village fictif en montagne au titre d'un exercice militaire
Le sergent-major Severino de Freitas, chef de section d’infanterie au sein de la Force Ascara, identifiant la localisation d'une position adverse.

C’est aux abords de la cordilheira laranja, dans le Pontarbello du Nord, que les chefs de groupe de la “Force Ascara”, une unité d’élite pontarbelloise et grand artisan de la libération de la péninsule, se sont livrés à des exercices peu communs, tournés vers l’engagement du combat en zone montagneuse.

Ce stage, conçu et préparé par la prestigieuse académie militaire de Santilache, a pour but de préparer à un engagement opérationnel dans des milieux en haute altitude et parfois même enneigés.

Le stage du EF-CZM prépare les cadres des troupes pontarbelloises, présentement ceux de la Force Ascara, à l’engagement opérationnel en zone montagneuse, avec une autonomie de décision complète, de manière à ce que l’encadrement maîtrise leur environnement de combat et ne soit pas subordonnés à un soutien actif de toute la chaîne de commandement une fois sur zone et dans des théâtres où les fréquences radio peuvent être perturbés.

Compte tenu du durcissement des engagements militaires contemporains et l’engagement des hostilités entre le Pontarbello et le Grand Kah, la Cobaricie ou encore le Pharois Syndikaali, il est apparu évident d’amener une pluvalue tactique aux stagiaires de ce stage pour conduire des actions de soutien militaire en théâtre montagneux sur son propre sol et même lorsque cela pourrait s’avérer nécessaire, à l’international.

Toute la semaine, les chefs de groupe ont été confrontés à des scenarii tactiques nombreux et réalistes. Des situations notamment documentées à partir des archives de guerre relatant les expériences de combat dans le conflit autour de la guerre d’indépendance ou encore celle contre les brigades solaires kah-tanaises.

“Les experts sont tentés de croire, que bien que la bataille de la passe de Carosinhos fut décisive pour stopper la progression, que celui-ci aurait pu être au mieux stopper, au pire fortement ralenti, au sein de la cordilheira laranja. Aussi notre enjeu aujourd’hui est de former nos troupes au combat en zone montagneuse, pour que tous les avantages tactiques puissent être exploités en cas de nouveau conflit sur notre sol mais potentiellement également à l'international, au titre d’une opération extérieure…” explique le sous-officier de cette unité de renom.

Et pour donner un peu de concret à son propos, le sergent-major Freitas nous relate l’exercice du jour, qui repose sur l’interception d’un ennemi au sein d’un village installé sur les cols, tandis que celui-ci cherche à s’infiltrer au sein du territoire et à rejoindre une zone refuge. L’exercice est filmé par des drones de reconnaissance fournis par l’armée fédérale d’Alguarena et analysé en période de debriefing.

Plusieurs objectifs rythment le stage et viennent évaluer la réussite de ses stagiaires:
    Le premier objectif est orienté vers la reconnaissance de zone (appréciation des tenues de secteur).
    Le second intervient dans la localisation de l’ennemi (évaluation des déplacements sous couverture).
    Le troisième réunit l’interception et la destruction (une évaluation portée sur toutes les phases d’engagement de l’ennemi).

Outre les simulations d’engagement, le stage dispense des instructions tactiques autour de la gestion des armements par temps froid, du déplacement sur surfaces enneigées, de la construction d’abri de combat ainsi que des positionnements statiques, sont essentiels.

Malgré la rudesse des conditions d’exercice en montagne, avec certains pics de la cordilheira laranja particulièrement enneigés, le programme du EF-CZM est apprécié des chefs de groupe pour la transposition terrain qu’il offre et la reconstitution des situations d’engagements vécues par les forces pontarbelloises et kah-tanaises, peut-être même à quelques dizaines de kilomètres de l’emplacement où se concentrent aujourd’hui les entrainements. “Les expériences de combat en zones montagneuses ont véritablement été sous-exploitées durant la guerre d'indépendance et constitue un axe d’amélioration majeur pour nos forces armées de demain” expose le colonel Jonatán Yepes, commandant de la Force Ascara et héros de la guerre d’indépendance.
Logo de la police militaire du Pontarbello


POLICIA MILITAR DE PONTARBELLO
Données confidentielles


Présentation de la police militaire
Prises de vue de la police militaire et de son commandant, le Colonel Reynaldo Fontes (clic gauche pour agrandir)


Définition héraldique
L'un des premiers points les plus flagrants en ce qui concerne l'appréciation des armoiries de la police militaire pontarbelloise, est nécessairement les couleurs nationales du bleu nuit et du marron terre, deux couleurs rappelant que le Pontarbello s'est forgé dans la guerre mais qu'il constitue désormais une terre autonome ainsi que souveraine, face à un quelconque ennemi qui lui serait opposable.

Le deuxième élément entrant en considérant dans l'étude des armoiries de l'institution est nécessairement la présence d'une croix catholique, marquée de lauriers sur ses extrémités. Le recours à un symbole de la chrétienté vise à donner un caractère sacré à la mission des contingents de la police militaire, une forme d'approbation qui ne viendrait plus de l'état mais de l'Eglise catholique elle-même, ce qui en terme d'image, est nettement plus appréciable voire acceptable des populations locales. Ainsi, la police militaire ne se fait plus l'oppresseur d'une force étatique, d'une institution indéboulonnable, mais le bras armé d'une représentative divine terrestre, sur laquelle les importantes communautés catholiques pontarbelloises, peuvent compter.

Vient à la suite de ces symboles, la présence d'une tête de lion couronnée et de couleur noire. Le lion est, malgré sa localisation strictement afaréenne, un symbole fort du pays car il incarne le courage, la force et la majestuosité de l'animal suprême. Un animal qui entre un peu dans la mentalité nationale ou en tout cas défendue par le Général Leopoldo Sapateiro, notamment la logique du suprémacisme culturel et identitaire pontarbellois, face à des nations étrangères qui ont, par des actes plus ou moins grossiers, amené la guerre et la défiance sur le sol péninsulaire. Le lion incarne donc un espoir vaillant, de restaurer la terre pontarbelloise et de tenir éloigné les ennemis qui s'en approche. La couleur noire renvoie au caractère secondaire de la police militaire puisqu'elle n'a pas vocation à directement défendre l'intégrité du pays sur le front, mais à initier des actions de contre-renseignements pour défendre son pays, tant des ennemis de l'extérieur, que de l'intérieur...

Champs d’action et principales missions
La polícia militar est une institution interarmées, c’est-à-dire qu’elle a vocation à exercer simultanément son autorité ainsi que ses compétences, sur les armées pontarbelloises terrestres, aériennes ou navales présentes au sein de la péninsule. En marge de ces prérogatives et au sein de la dictature pontarbelloise, portée par sa junte militaire, la polícia militar du Pontarbello occupe aussi un rôle central pour des missions tendant simultanément entre le maintien de l'ordre, la répression et le contrôle de la population.

Cette force atypique est généralement constituée de soldats entraînés spécifiquement pour les missions de maintien de l'ordre et de collecte du renseignement auprès des populations. De manière plus flagrante, leur principale fonction consiste à faire respecter les lois et les directives émanant du régime dictatorial mis en place par le Général Leopoldo Sapateiro à l’indépendance du pays.

Organisation
La dénomination même de police militaire, vient nous laisser entendre qu’elle fait reposer son organisation sur une structure hiérarchique. Le contingent de la police militaire, identiquement à ses frères d’arme présents au sein de l’Armée Nationale du Pontarbello Libre (ANPL) ou au sein de la force ASCARA, affiche donc une organisation stricte et échelonnée, qui reflète à l’identique ou presque, le commandement autoritaire ambitionné pour chaque institution du pays. Symbôle suprême du caractère militaire de cette force, la présence à sa tête, d’un parterre de gradés et officiers clairement dénommés sous les grades de l’armée régulière. Là où la police qu’un quelconque état pourrait évoquer un commissaire, un directeur de service ou de département, la République d’Union Nationale du Pontarbello ne veut laisser place à aucune ambiguïté, par l’instauration et l’affichage d’une hiérarchie militaire comme il en est question avec la nomination à sa tête en 2010, du Colonel Reynaldo Fontes.

La polícia militar du Pontarbello est certes, présentée sous cette dénomination même d’unité militaire, une force martiale et l’extension du bras armé porté par la junte militaire du Général Leopoldo Sapateiro, cependant et considérant le contexte dans lequel celle-ci s’est créée, il est permis de penser que celle-ci occupe également une fonction de police politique, par sa capacité à entretenir simultanément une autorité sur la société civile et les institutions militaires. Un trait d’union au sein de la population nationale pontarbelloise, qui fait le jeu du gouvernement Sapateiro, bien décidé à lui octroyer les largesses suffisantes, pour s’imposer comme une force de collecte mais aussi de traitement des informations relatives à la population.

ORBAT d'un bataillon de police militaire
ORBAT d'un bataillon de la police militaire, chargé de l'ordre quotidien, de la lutte contre révolutionnaire et du contre renseignement.


Batalhão de polícia militar

Companhia de Infantaria

Pelotão de comandantes
  • 30 soldats professionnels,
  • 30 armes légères d'infanterie,
  • 3 mitrailleuses lourdes,
  • 4 véhicules légers tout-terrain,
  • 2 véhicules transmission radio.

Pelotão de infantaria motorizada
  • 42 soldats professionnels,
  • 42 armes légères d'infanterie,
  • 3 chiens de combat/sauvetage,
  • 4 lance-roquettes,
  • 2 mitrailleuses lourdes,
  • 2 drones de reconnaissance,
  • 4 véhicules blindés légers,
  • 2 camions de transport.

Pelotão de infantaria motorizada
  • 42 soldats professionnels,
  • 42 armes légères d'infanterie,
  • 3 chiens de combat/sauvetage,
  • 4 lance-roquettes,
  • 2 mitrailleuses lourdes,
  • 2 drones de reconnaissance,
  • 4 véhicules blindés légers,
  • 2 camions de transport.

Pelotão de infantaria
  • 31 soldats professionnels,
  • 31 armes légères d'infanterie,
  • 1 chien de combat/sauvetage,
  • 2 lance-roquettes,
  • 1 drone de reconnaissance,
  • 3 véhicules blindés légers,
  • 1 véhicule de combat d'infanterie,
  • 2 véhicules utilitaires.

Pelotão de infantaria medicalizada
  • 28 soldats professionnels,
  • 28 armes légères d'infanterie,
  • 1 hélicoptère de transport moyen,
  • 4 camions de transport,
  • 1 véhicule de transmission radio,
  • 1 véhicule léger tout-terrain.

Companhia de infantaria blindada

Pelotão de comandantes
  • 22 soldats professionnels,
  • 22 armes légères d'infanterie,
  • 3 véhicules utilitaires,
  • 1 véhicule léger tout-terrain,
  • 1 camion de transport,
  • 1 véhicule blindé léger,
  • 1 véhicule transmission radio.

Pelotão de infantaria blindado
  • 42 soldats professionnels,
  • 42 armes légères d'infanterie,
  • 4 véhicules blindés légers,
  • 2 transports de troupes blindés,
  • 1 véhicule utilitaire,
  • 2 véhicules de combat d'infanterie.

Pelotão de infantaria blindado
  • 30 soldats professionnels,
  • 30 armes légères d'infanterie,
  • 4 véhicules de combat d'infanterie,
  • 2 véhicules blindés légers,
  • 2 lance-roquettes,
  • 1 drone de reconnaissance.

Pelotão de infantaria montado
  • 44 soldats professionnels,
  • 44 armes légères d'infanterie,
  • 1 mitrailleuse lourde,
  • 10 véhicules légers tout-terrains,
  • 2 véhicules utilitaires,
  • 3 camions de transport,
  • 18 chevaux.

Companhia de Infantaria

Pelotão de comandantes
  • 26 soldats professionnels,
  • 26 armes légères d'infanterie,
  • 6 véhicules légers tout-terrains,
  • 2 véhicules de transmission radio,
  • 2 véhicules utilitaires,
  • 1 camion de transport.

Pelotão de engenheiros
  • 26 soldats professionnels,
  • 26 armes légères d'infanterie,
  • 2 véhicules utilitaires,
  • 4 camions de transport,
  • 2 bulldozers,
  • 2 drones de reconnaissance.

Pelotão de infantaria
  • 42 soldats professionnels,
  • 42 armes légères d'infanterie,
  • 3 véhicules utilitaires,
  • 1 drone de reconnaissance,
  • 4 véhicules légers tout-terrains,
  • 1 autobus.

Pelotão de infantaria
  • 42 soldats professionnels,
  • 42 armes légères d'infanterie,
  • 3 véhicules utilitaires,
  • 1 drone de reconnaissance,
  • 4 véhicules légers tout-terrains,
  • 1 autobus.

Companhia de Operações Especiais

Pelotão de comandantes
  • 22 soldats professionnels,
  • 22 armes légères d'infanterie,
  • 3 véhicules légers tout-terrain,
  • 1 véhicule de transmission radio,
  • 1 hélicoptère de transport moyen,

Pelotão de investigação e assistência
  • 20 soldats professionnels,
  • 20 armes légères d'infanterie,
  • 2 hélicoptères de transport moyens,
  • 2 chiens de combat/sauvetage.

Pelotão de investigação e assistência
  • 36 soldats professionnels,
  • 36 armes légères d'infanterie,
  • 1 transport de troupes blindé,
  • 1 chien de combat/sauvetage,
  • 3 véhicules de combat d'infanterie,
  • 2 véhicules blindés légers,
  • 1 camion de transport,
  • 1 véhicule léger tout-terrain.

Pelotão de luta antiterrorista
  • 30 soldats professionnels,
  • 30 armes légères d'infanterie,
  • 2 chiens de combat/sauvetage,
  • 2 transports de troupes blindés,
  • 2 véhicules de combat d'infanterie.

Création et naissance de l'institution
Si la polícia militar a vocation à collecter des informations auprès de la population et porter des investigations auprès de quiconque sans avoir à rendre de compte à qui que ce soit au sein des institutions militaires si ce n’est le pré-carré de conseillers politico-militaires du Général Leopoldo Sapateiro et lui-même, c’est parce que sa formation est intervenu dans un contexte politique compliqué au sein du Pontarbello.

En effet, quelques mois avant la création de cette unité remarquable, le Général Leopoldo Sapateiro achevait un bras de fer avec les autorités pharoises, pour assurer l’extinction de l’influence locale entretenue par l‘autre partie. Un bras de fer qui est depuis longtemps, sorti du champ politique, notamment par l‘accomplissement d’actions armées visant la libération totale du territoire occupé par les troupes pharoises.

Cet acte de guerre, assumé et même revendiqué par les autorités pontarbelloises, a entamé une animosité pérenne avec Pharot, qui a tenté par l’emploi d’un état fantoche constitué par le Porto-Mundo, de délivrer un coup de force chargé de laver cette infamie, par la libération des prisonniers militaires pharois détenus au Pontarbello. Une entreprise audacieuse, pour laquelle le régime pharois et porto-mundois ont souhaité s’entourer de soutiens locaux, y compris parmi les institutions militaires du pays. Il faudra alors attendre l’assaut porto-mundois sur la prison militaire de Santialche, pour mettre à jour ces complicités acquises à l’ennemi et présentes au sein de l’Armée Nationale du Pontarbello Libre.

L’échec de l’assaut sur le pénitencier de Santialche, va toutefois interrompre le processus d’évacuation des félons et permettre leur arrestation dans les 12 heures qui suivent l’attentat. Ces arrestations mettent alors à la vue des autorités, la complicité d’une dizaine de soldats affiliés à l’Armée Nationale du Pontarbello Libre, acquis à la cause de l’ennemi et prêt à soutenir ses actions hostiles et armées sur le territoire péninsulaire. Une révélation grave, qui met en émoi la société civile du pays, que le gouvernement Sapateiro tentera d’apaiser par l'exécution de chaque soldat félon, accusé de rien de moins que la haute trahison.

L'autre spécificité de la police militaire pontarbelloise est qu'elle n'a pas d'ORBAT qui lui serait propre à son contingent. La police militaire est effectivement un contingent ayant vocation à se disséminer au sein d'autres unités, par l'entretien d'une antenne au sein du régiment ou de la brigade, pour échanger et questionner des combattants. Pour exemple des plus concrets, il est permis de citer le cas de la 1ª Companhia de Polícia Militar, une unité directement intégrée au sein de la force ASCARA et qui vient tenir un rôle de vigie au sein des institutions militaires, pour repousser des menaces tantôt portées de l'extérieur, tantôt issues de l'intérieur.

Outre la valeur martiale des hommes et des femmes qui la composent, la police militaire du Pontarbello est aussi une force politique, par l'adhésion totale de ses membres, avec la politique long-termiste du dirigeant Leopoldo Sapateiro, qui fait à la fois office de dirigeant mais aussi de guide suprême.

Commandement
Le commandement de la police militaire, est assuré par le Colonel Reynaldo Fontes, qui est connu pour être un proche du Général Leopoldo Sapateiro, jadis placé sous son commandement direct. Considérant la forte popularité du Colonel Jonatán Yepes, commandant de la Force Ascara et héros de la guerre d'indépendance pour s'être illustré face aux brigades paramilitaires kah-tanaises lors des batailles de chars à Caroshinos, le positionnement d'un proche du Général Leopoldo Sapateiro, à la tête d'une institution distincte des armées régulières, peut légitimement offrir un garde-fou appréciable par le dictateur car le Colonel Reynaldo Fontes lui est dévoué et il ne dispose pas d'une notoriété suffisante pour trouver le soutien des populations en cas de prise du pouvoir.
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