15/08/2013
08:32:18
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Activités étrangères en Tcharnovie

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Activités étrangères en Tcharnovie

Ce topic est ouvert à tous les joueurs possédant un pays validé. Vous pouvez publier ici les RP concernant les activités menées par vos ressortissants en Tcharnovie. Ceux-ci vous permettront d’accroître l'influence potentielle de votre pays sur les territoires locaux. Veillez toutefois à ce que vos écrits restent conformes au background développé par le joueur de la Tcharnovie, sinon quoi ils pourraient être invalidés.
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MaintiendelapaixTcherie

08/11/2009
Juxent (République de Tchérie)

Le président de la République de Tchérie, Frédéric Gustafen, craint un inévitable conflit avec la Chérchérie voisine. Fin octobre, le chef de l'Etat s'est rendu à Meulière pour rencontrer le Triumvirat de Manche Silice et demander une aide militaire. Les triumvirs ont accepté d'envoyer un contingent de maintien de la paix commandé par le colonel Ernesto Huevos, déjà à l'œuvre entre février et mai 2009, pour une mission similaire dans la zone frontalière krono-youslève.

Les aéronefs siliquéens ont entamé leurs manœuvres dans l'espace aérien tchère. Une dizaine d'avions affrétés par l'armée déchargent les soldats du contingent pacificateur sur le tarmac de l'aéroport de Kenesbourg, la capitale. Le froid saisit les militaires, emmitouflés dans des doudounes kakis. Deux hélicoptères de transport lourd Klokan escortés par deux avions de chasse Zéphyr fendent l'air et se posent sur une base aérienne improvisée à Juxent. Ils n'ont pas l'autonomie pour aller plus loin, d'une seule traite. A la fin de cette journée du 2 novembre 2009, les 3 000 professionnels de cette opération spéciale sont présents en République de Tchérie.

Mouvement

"Nous avons coupé la poire en deux. J'ai conduit 1 500 hommes sur des positions à mi-chemin entre Kenesbourg et la frontière cherchère. Mon adjoint, le major Evariste Romek, va superviser l'installation de 1 500 autres soldats sur des points autour de Stabourg, une agglomération tchère à portée de canon. Le mandat est simple. Nous sommes là pour veiller à ce que nul coup de feu ne soit tiré. Notre priorité est de protéger les populations civiles. Nous nous réservons le droit de riposter si nous étions délibérément visés par des tirs ou toute autre manœuvre", résume le colonel Ernesto Huevos, rodé à l'exercice.

camps

Le colonel Huevos a rencontré le général Istan, celui-ci lui a parlé de "l'opération Schlagkraft", un vaste plan de montée en puissance de l'armée tchère pour être prêt à répondre à une offensive cherchère. Gêné aux entournures, l'expérimenté commandant du 1er régiment d'infanterie de Castelisière appréhende de se retrouver impliqué contre son gré dans le conflit. Il a demandé à ses officiers de sonder les soldats de la République de Tchérie sur leurs intentions réelles. Le colonel a également demandé à ses soldats de ne pas pavoiser. Dans les faits, les hommes en arme patrouillent non-loin des postes de frontière. La tension monte parfois.

Ce mercredi, un sniper cherchère a tenté d'abattre un drone de reconnaissance Buho utilisé par une équipe de pilotes siliquéens. L'objet visible au loin depuis les environs de Hasdroug, affolait la population locale. "Nous nous contentons de surveiller les mouvements aux abords de la frontière. En aucun cas nous ne constituions de menaces pour les cherchères et les habitants d'Hasdroug. Il faut raison garder. Des tirs de sommation, cela m'est égal mais des tirs visant des hommes ou du matériel de la mission de maintien de la paix, je dis non. A l'avenir, nous pourrons riposter. Je suis prêt à rencontrer quelqu'un au sein de l'état-major cherchère pour en discuter", explique le major Evariste Romek.
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Arrivée des sœurs de l'OCC en Tchérie

https://cdn.discordapp.com/attachments/1089615739180294194/1094143063510753350/f2dc9c97817f17df99e43af995062798--stewardess-air-travel.webp
Il faudra cependant de nombreux aller-retours pour que tout le monde arrive

Depuis la retour à l’Église Vieille Catholagnaise authentique de Volignon, les tchériens ont exprimées le désir et le besoin de pouvoir profiter des services des sœurs. Les sœurs, heureuses de revenir sur cette terre de foi et de sainteté, se sont empressées de donner satisfaction. La Tchérie formerait un triumvirat avec Prima et Aquitagne si elle n'était pas tombée sous la coupe malheureuse d'un pouvoir libéral.

Qu'à cela ne tienne ! Les sœurs arrivent en masse pour ouvrir, rouvrir ou bien bâtir,et rebâtir, ou encore entreprendre ou reprendre ce qui fut entrepris. A noter que plus encore qu'ailleurs, la plupart des sœurs qui arrivent sont natives de Tchérie ou proviennent de familles originaire de ce pays, ce qui ne fait qu'augmenter l'excitation pour l'accomplissement de leur mission sainte et sacré.

Concrètement, c'est trois milles religieuses qui ouvrent :
  • 4 hôpitaux
  • 70 écoles
  • 20 centres d'action sociale, principale pour les filles mères et les sans abris.
  • 10 orphelinat

  • Évidemment, tout ne sera pas immédiatement opérationnel malgré la bonne volonté des religieuses mais la motivation est palpable et tout ce fera au plus vite. Les donations, les ruines, et bien sur le patrimoine existant de l’Église en Tchérie seront le fond sur lequel ce système de bienfaisance se mettra en place.
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    Une guerre injuste se déroule au Prodnov et des civils et militaires y sont tués. Encore le produit d'une dictature sanglante ! Cette guerre de réunification insensée touche en premier la population, alors fait un dont aux CdD. Ces dons seront reversés à la RPL.

    Envoyé vos dons pour que la paix soit un rêve devenu une réalité au Prodnov !


    Les Chevaliers du Devoir

    Let's build the world of tomorrow, with love as our only foundation!

    https://media.discordapp.net/attachments/1070343857167929426/1094010012810092615/les_chevaliers_du_devoir.png?width=570&height=571


    HRp
    Il y a une faute sur l'affiche, c'est dictature et non pas dicature ^^
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    Dossier secret défense

    Données officielles sur l'opération militaire Loduarienne en Chérchérie


    Personnel combattant déployé :
    • 200 officiers de commandement militaire
    • 700 soldats des forces spéciales terrestres
    • 100 soldats des forces spéciales aéroportées
    • 1 350 soldats de l'armée de terre Loduarienne
    • 50 soldats de l'armé de l'air et de l'espace Loduarienne
    • 20 médecins militaires
    • 50 infirmiers militaires
    • 30 soldats du génie militaire

    Personnel non combattant déployé :
    • 50 espions Loduariens
    • 150 agents de surveillance intérieure

    Personnel perdu au cours des combats :
    • 22 soldats de l'armée de terre Loduarienne, secteur de la défense antiaérienne (morts)
    • 20 soldats de l'armée de terre Loduarienne, secteur de la défense antiaérienne (blessés)
    • 7 espions (morts)
    • 2 espions (blessés)
    • 3 espions (en fuite)
    • 2 espions (capturés)
    • 15 agents de surveillance intérieure (morts)
    • 23 agents de surveillance intérieure (blessés)
    • 5 agents de surveillance intérieure (en fuite)
    • 10 agents de surveillance intérieure (capturés)

    Matériel militaire déployé :
    • 2 500 armes d'infanterie de 4ème génération
    • 250 mitrailleuses lourdes de 3ème génération
    • 100 mortiers légers de première génération
    • 100 lance-roquettes de seconde génération
    • 50 lance-missiles antichars de seconde génération
    • 10 mortiers tractés de seconde génération
    • 5 canons tractés de seconde génération
    • 10 canons automoteur de première génération
    • 5 lance-roquettes multiples de première génération
    • 10 canons antiaériens
    • 5 canons antiaériens mobiles
    • 4 canons antiaériens lance-missiles
    • 25 véhicules blindés légers de seconde génération
    • 25 transports de troupes blindés de seconde génération
    • 25 véhicules de combat d'infanterie de première génération
    • 15 chars légers de première génération
    • 5 chars d'assaut de première génération
    • 15 véhicules légers tout terrain de 3ème génération
    • 5 autobus de seconde génération
    • 25 camions de transport de seconde génération
    • 1 bulldozer de première génération
    • 3 véhicules de transmission radio de première génération
    • 2 véhicules radars de première génération
    • 5 avions de chasse de 4ème génération (retirés du déploiement)
    • 5 avions d'attaque au sol de 1ère génération
    • 3 chasseurs bombardiers de 1ère génération (retirés du déploiement)
    • 8 avions de transport tactique de première génération (stationnés en Loduarie, à usage utilitaire lorsque besoin) )
    • 5 avions ravitailleurs de première génération (stationnés en Loduarie, à usage utilitaire lorsque besoin)
    • 10 hélicoptères légers polyvalents de première génération
    • 5 hélicoptères de transport moyen de première génération
    • 100 mines anti-personel de première génération
    • 30 mines antichars de première génération
    • 3 missiles de croisière air-sol de première génération (retirés du déploiement)

    Matériel militaire perdu :
    • 10 canons antiaériens (détruits)
    • 5 canons antiaériens mobiles (détruits)
    • 4 canons antiaériens lance-missiles (détruits)

    Missions opérées :
    • surveillance terrestre continue (actuellement en pause)
    • surveillance radar continue
    • 214 missions de reconnaissance militaire terrestre
    • 172 missions de surveillance aérienne
    • 29 missions d'entraînement militaire terrestre (milieu rural)
    • 27 missions d'entraînement militaire terrestre (milieu urbain)
    • 14 missions d'entraînement militaire aérien
    • [OFFENSIVE] 5 bombardements aériens sur sites sensibles
    • [OFFENSIVES] 12 bombardements d'artillerie sur site sensible
    • [OFFENSIVES] 7 missions d'attaque spéciales (opérés par les forces spéciales)

    Pertes affligées aux ennemis durant les offensives :
    • 894 résistants civils Chércheres (morts)
    • 235 résistants civils Chércheres (blessés)
    • 52 résistants civils Chércheres (capturés)
    • 47 bâtiments civils ennemis (détruits)
    • 21 bâtiments civils ennemis (capturés)
    • 3 bâtiments militaires ennemis (détruits)
    • 346 civils Chérchérie (morts)
    • 514 civils Chércheres (blessés)

    Infrastructures contrôlées :
    • Base militaire Loduarienne de Chérchérie
    • Aérodrome militaire Loduarien de Chérchérie
    • Baraquements militaires
    • Hangars militaires
    • Station radar militaire
    • Centre de commandement militaire Loduarien de Chérchérie
    • Hôpital militaire Loduarien de Chérchérie.

    Soldats et matériels étrangers actuellement présents au sein des forces Loduariennes :
    • 1000 soldats professionnels Chércheres
    • 10 000 armes légères d’infanterie de 3ème génération
    • 10 lance-roquettes de première génération
    • 10 lance-missiles anti-char de première génération
    • 5 mortiers tractés niveau de première génération
    • 5 canons tractés niveau de première génération
    • 10 véhicules de transports de troupes blindés niveau de première génération
    • 100 véhicules de combats d’infanterie niveau de première génération
    • 2 hélicoptères de transport moyens de première génération

    Statut de l'opération militaire Loduarienne en Chérchérie : EN PAUSE
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    https://zupimages.net/up/23/05/t91z.jpg

    La terreur vient d'apparaître dans le ciel Tchére.

    https://www.aerotime.aero/images/Tupolev-Tu-95MSM-Bear-strategic-bomber-1024x682.jpg

    Après leur départ il y a quelques heures des montagnes de Galaisie, 2 bombardiers Bumbar-GG3, accompagnés de 6 chasseurs bombardiers Furtivision-C1 ainsi que de 5 chasseurs de supériorité aérienne Furtivision-Se7 sont arrivés dans le ciel Tchére, survolant la capitale Tchére à 2000 mètres d'altitude.

    Chose menaçante certe, mais qui s'est avérée de courte durée. En effet, tous ces avions ont atterrit dans la base militaire Loduarienne de Chérchérie, actuellement enclavé au sein du territoire Tchére.

    Nous avons également appris que la camarade Secrétaire Général était actuellement en train de se rendre en Tchérie pour une rencontre au sommet avec les dirigeants Tchéres, alors il est fort probable que ce récent survol militaire de la part de notre aviation militaire soit lié avec cette rencontre.
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    Arrivé de l'ambassadeur nordiste en RFT

    Ce 19 juin, l'ambassadeur nordiste arriva enfin. Il avait été retardé par plusieurs évènements et n'avait été nommé que sur le tard, après une réforme diplomatique. En effet, l'Empereur avait annoncé vouloir redonner une place à l'aristocratie dans la politique diplomatique en les privilégiant en tant qu'ambassadeur. Le marquis Philibert de Mazet allait donc devoir assurer la gestion de son ambassade en plus de la gestion de son marquisat. Fort heureusement, il pouvait déléguer les affaires courantes à son conseil dans l'Empire, mais il devrait parfois s'absenter de la RFT pour les évènements les plus importants. Les autres diplomates de l'ambassade devront donc le représenter dans ces moments-là. Il s'installa et entreprit de rédiger une lettre à l'attention du Ministre des Affaires Étrangères ainsi qu'à la présidente afin de leur préciser ces subtilités ainsi que de leur présenter ses salutations sellons les modalités diplomatiques.

    https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/0/01/Leroy_de_Saint-Arnaud_-_photo_Pierson.jpg/420px-Leroy_de_Saint-Arnaud_-_photo_Pierson.jpg
    Le marquis Philibert de Mazet
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    Le globe - Globale

    Logo
    Ecrit par : Honor Harrington
    Fait le : 30/09/2011

    Tchérie : Une présence Teylaise pour assurer la paix

    Alors que la paix est signée en Tchanovie avec les diverses factions, Teyla a proposé son aide pour veiller à ce que le traité de paix soit respecté. Cela n'est pas toujours facile face aux diverses difficultés mais parfois le terrain révèle de bonnes surprises. Enquête et interview sur une initiative diplomatique du Royaume de Teyla.

    Photo

    Cela fait près de deux mois que les premières équipes sont arrivées en Tcharnovie anciennement Tchérie. Elles ont prit place dans la capitale du pays, dans un hôtels modestes au frais de l'état de Teyla. La première équipe à arriver est composée d'hommes et de femmes venant du milieu médical. Ils sont ici pour observé la bonne tenue du traité de paix par les autorités de la Tcharnovie mais aussi par les acteurs de la santé. Elle propose son aide particulièrement dans les régions reculées et ayant subit de plein fouet la guerre. L'équipe est composée de divers spécialistes, cardiologue, neurologue, chirurgiens, etc.
    Elle se déplace dans tout le pays et souvent dans les régions où le manque de soin est le plus important. C'est donc une soixantaine de personnes qui parcourent le pays à travers deux équipes et quatre fourgons pour remettre des rapports réguliers quant au respect du traité de pays. Patrick Clembert membre de cette mission et cardiologue témoigne.

    "Depuis que nous sommes, la nous avons parcoure plus de mille kilomètres, pour l'autre équipe, nous sommes dans la même fourchette. C'est un véritable périple pour s'assurer que les dispositions du traité de paix en matière médical soient respectées. D'autant plus, comme vous le voyez nous n'avons pas forcément les moyens de déplacement nécessaire. Certains nous rejoignent en train, en faisant du stop. L'organisation est dure à mettre en place dans ses circonstances, mais on y arrive, car on a besoin de nous. Cela nous donne la force nécessaire ( il sourit ). Au propos de notre mission, nous observons les autorités médicales du pays, les soignants, etc pour savoir s'ils respectent le traité de paix. Nous avons signalé au total cinq non-respect ce qui est un taux très faible dans un contexte comme celui-là. Ce qui nous surprend le plus c'est l'accueil que nous avons reçu. Au bout de quelques jours sur une même zone géographique les doutes se dissipent sur nos intentions et la population est, je dirai satisfaite de nous voir. Bien que cela varie parmi les ethnies au sein du pays. On voit l'espoir de la paix paraître dans les yeux des gens. Le Royaume de Teyla à proposé a une initiative nécessaire.

    L'équipe médicale n'est pas la seule présente. Depuis deux semaines une équipe d'observateur accompagné par six députés, deux de la majorité et quatre de l'opposition s'aventurent avec l'équipe d'observation en vu des prochaines des élections. Au total, le Royaume a dépêché plus de cent observateurs pour s'assurer de la régularité des prochaines élections. La aussi l'accueille fut bonne des instances politiques du pays. Aurélie Delporte nous raconte les premiers jours de son aventure pour la défense de la démocratie et de la paix selon elle :

    C'est une mission importante que la majorité entend mener à bien. Il s'agit de permettre des élections transparentes, sans qu'on puisse remettre en cause les résultats afin de permettre la paix. Nous avons mis plusieurs choses en place. Nos équipes sont en lien avec les députés d'opposition et les équipes publient chaque semaine un rapport public et que nous transmettons au gouvernement qui compile la vie démocratie du pays en plus de pointer les irrégularités potentielles dans diverses institutions. Corruption, non prise en compte des différentes ethnies, etc. Notre but n'est pas de s'immiscer dans la politique intérieure du pays. Nous mettons en place un dossier aussi si le Parlement souhaite nous auditionner. Nous avons remarqué que la surreprésentation des ethnies dans le système politique du pays peut conduire à refaire naître les tensions, les rancœurs entre les ethnies dans un jeu de pouvoir.

    En-dehors du système politique qui ne favorise certaine action, le Royaume du Teyla est irrité par le temps pris par la présidente et le gouvernement pour annoncer les nouvelles élections comme promis dans le traité de pays. Le Royaume augmente petit à petit la pression sur la Tcharnovie à ce propos. Le Premier ministre a récemment pris la parole devant la Chambre haute de Teyla, dans sa prise de parole, le Premier ministre n'a pas exclu un déplacement diplomatique en Tcharnovie pour le développement des liens entre nos nations tout en indiquant qu'un lien doit être établi que si la démocratie est garantie au peuple de Tcharnovie.

    "Monsieur le Noble, votre question est tout à fait légitime. Nous sommes en contact permanent avec le gouvernement de Tcharnovie. Nous présentons nos réticences sans retenue au gouvernement face au temps pris pour l'organisation des élections. C'est un sujet majeur pour le gouvernement de Sa Majesté. Si le gouvernement n'obtient pas une réponse satisfaisante, j'avertirai les chambres qui composent le Parlement. Toutefois, il me semble opportun d'évoqué l'idée d'un voyage en Tcharnovie pour évoquer ce sujet directement avec les principaux intéressés. Ca serait un honneur pour moi de renconter Madame la présidente Geneviève Kulbrath."

    Dans son dernier rapport, l'équipe d'observation a pointé du doigt ce temps beaucoup trop long pour déclarer de nouvelle élection. Avec la déclaration du Premier ministre devant une chambre du parlement, cela augmente considérablement la pression sur la présidente Geneviève Kulbrath, l'actuelle présidente.

    Du côté de la population, on attend beaucoup de cette présence Teylaise. La population est ravie de la présence du Royaume pour l'instant, notamment pour l'apport médicale. Toutefois, la franche nationaliste du pays voit la présence de Teyla comme une insulte à la souveraineté de la Tcharnovie, mais pour l'instant cette tendance est visible que dans certains territoires et ethnies bien particuliers. Toutefois, le gouvernement de Teyla est soucieux que ce phénomène augmente, par conséquent la volonté d'une visite augmente en plus au vu de cet enjeu. Montrer que le Royaume est respectueux de la pleine souveraineté de la Tcharnovie sera le sujet d'une rencontre si elle a lieu.
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    Pendant ce temps, en Chérchérie...


    Les deux derniers avions Loduariens prirent place sur la piste de décollage de la base militaire Loduarienne de Chérchérie. Aiguillés depuis la Loduarie et ses satellites, ces deux avions étaient les derniers matériels Loduarien à partir de la Chérchérie, plus précisément de la Tcharnovie, anciennement Tchérie. Ces deux derniers avions symbolisaient, pour beaucoup au sein de la Tcharnovie, le départ définitif d'une armée ennemie, une armée ennemie qui faisait peur.
    Demandez donc au Chérchères. Ceux-ci, parmi ceux qui ont vécu les bombardements, n'ont pas oublié. Surtout les sons. Le son des avions à basse altitude, le son de leurs tirs de roquettes, le son des explosions, le son du feu, le son des cris des blessés, le son des râles des morts. Non, personne en Chérchérie n'a oublié, et surtout pas le son, ce qui est ironique quand on sait que les bombardements ont fait perdre une bonne partie de leur audition à ceux qui ont eu l'occasion de les entendres.

    Ces deux avions partis, le son fit à nouveau surface. La Loduarie s'était engagée à détruire ses installations en Chérchérie envers le Gouvernement Tchére, et la Loduarie réalisa sa promesse. L'un des deux avions repassa au dessus de la base, larguant une unique bombe à un endroit préalablement calculé par les ingénieurs Loduariens, sur la base Loduarienne. Cette unique bombe, en explosant, déclencha une réaction en chaîne à travers toute la base Loduarienne, et suite à un placement de nombreux explosifs à travers toute la base Loduarienne par les ingénieurs Loduariens, celle-ci se retrouva détruite par d'importantes explosions. De la Loduarie, il ne restait officiellement qu'un tas de cendres, littéralement. La seule construction qui fut laissée intacte était un petit monument en pierre, placé en bordure de la base, dans la forêt, en hommage aux morts Loduariens de la défense antiaérienne, tués alors qu'il protégeaient leurs camarades du feu aérien dévastateur du Kah.


    Wait a minute
    Attendez, vous pensez vraiment que la Loduarie allait juste simplement partir ?

    75 soldats se déplaçaient à travers les denses forêts de Chérchérie. Dans plusieurs 4x4 civils, ceux-ci roulaient, partant le plus loin possible de la base militaire Loduarienne, enfin de ce qu'il en restait. Armés, et membres de l'élite des forces spéciales Loduariennes de Chérchérie, ceux-ci se dirigeaient vers un territoire ami au sein de la Tcharnovie : la Tzuistie.
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    Curiosité tout à fait légale en Chérch... Tchér... Tcharnovie !

    Les dernières actualités en Tcharnovie était des plus inquiétantes et risquaient de déstabiliser cette brave union avec qui le Duché souhaitait se rapprocher. Si son influence était limitée, elle disposait d'une armée conséquente bien trop capable de provoquer un joli désordre. On ne peut pas dire que le Duché avait déployé des efforts particulièrement importants jusqu'à présent, mais les quelques correspondances et l'aide humanitaire était déjà un prémisse à l'établissement d'échanges plus étroits et il n'était pas question de laisser on ne sait quel trouble gâcher ces efforts aussi maigres soient ils.

    L'opération "Makrélité" fut donc initiée et consistait simplement pour le moment à établir une observation plus rapprochée de la situation, avec le développement d'un réseau de renseignement sur place. Les axes d'actions étaient toutefois limités faute de libre circulation autorisée entre les deux puissances. Impossible de massivement envoyer des agents sur le terrain, il fallait se contenter du maigre accès qu'offrait l'ambassade. Il va sans dire que c'est là une opération délicate que d'effectuer des renseignements pas nécessairement illégaux par l'intermédiaire d'une ambassade, et suffirait à entacher salement la réputation du Duché et ce pour un objectif que beaucoup qualifieraient de négligeable. Mais le risque était approuvé par Alexandra Boisderose qui approuva le lancement.

    C'est ainsi que fut lancé cette campagne de renseignement, sur deux axes :

    -Le premier, presque officiel et tout à fait légal, par l'intermédiaire de l'ambassadeur Xavier Despalmiers. Rien de secret ni la moindre tentative de dissimulation, le représentant sylvois avait pour missions d'échanger avec tous les politiciens locaux qu'il pouvait croiser dès que la situation était propice sur l'affaire à venir. Il fallait piocher un maximum d'informations sur les enjeux impliqués dans cette crise à venir, et sur l'approbation des deux belligérants. Il fallait également tâter le terrain : était-ce là juste une mésentente classique qui n'irait pas plus loin que des joutes verbales ? Ou cela risquait t'il de réellement dégénérer en opération armée ?

    -Le second axe était plus délicat et demandait d'établir un réseau parmi les locaux. La tâche partait avec des difficultés initiales : peu de contact dans la région, des agents même pas encore très aguéri au tchère, influence très légère sur place. Il fallait donc commencer par le bas et se familiariser avec les locaux pour former les agents à dialoguer avec eux et bien s'imprégner de leur culture de la négociation. C'est donc dans des bars que les agents officiels se rendaient sans réelle discrétion pour échanger et peut être même tisser des amitié, l'alcool pouvant être un sacré catalyseur dans ce processus.
    Il n'était toutefois pas juste question d'apprendre à palabrer comme un tchère en saisissant toutes leurs références culturelles, il fallait vraiment commencer à trouver des candidats pour étendre le réseau. Et là un bae est mine de rien un environnement favorable pour trouver des sujets endettés, dépendants à l'alcool ou au jeu, ayant besoin d'aide et pouvant plus facilement se laisser séduire par la corruption. L'agent sylvois se lançait donc à la recherche de complices pas encore très fiables mais faciles à soudoyer pour ensuite mener des opérations de renseignement plus en profondeur.

    Ainsi s'initiait l'opération Makrélité, prévu pour se faire sur le long terme. C'est progressivement que le réseau de complices se renforcera avec des agents toujours plus fiables et imprégnés dans le tissu de Tcharnovie. L'objectif à l'heure actuelle n'est pas de mener la moindre action ou intervention mais d'avoir un regard direct sur place pour tirer des informations sur le climat et la politique, et éviter de se laisser prendre de cours.
    Est également planifiée l'implantation d'agents dans la région du Bas-Littanor, bien que ce ne soit pas pour un futur immédiat.
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    Déclaration du Premier ministre Antoine Carbasier sur la situation au Bas-Littanor


    Cette déclaration est faite durant une conférence de presse.
    Au vu de la déclaration, elle est reprise par les médias du Royaume de Teyla.


    Messieurs, dames. Dans un premier temps, je souhaite rendre hommage aux victimes dues à l'irruption du conflit soudain en Tcharnovie. De ce fait, je demande à ce qu'on respecte une minute de silence.

    La minute de silence est respectée, le Premier ministre reprend le fil de sa prise de parole.

    Je vous remercie. Malheureusement, la situation a évolué en Tcharnovie. En effet, il y a peu des troupes de l'armée de la région du Littanor ont franchi la frontière régionale pour envahir la Sloménie. Cette attaque est condamnée unanimement par le Conseil des Régions Autonomes Tcharnoves. Le Royaume de Teyla en fait de même, nous condamnons de lamanière la plus ferme cette attaque, cette invasion. Le Royaume de Teyla mène actuellement une mission en Tcharnovie. À travers divers moyens, il s'assure que le traité de paix est respecté par toutes les parties. Nous pouvons confirmer que cette mission s'effectue toujours et s'effectuera toujours selon les conditions prévues par la Tcharnovie en étroite collaboration avec nous. La paix est un idéal à atteindre pour le bien de tous. Rien ne pourra remettre en cause la paix tant voulue par les civils, la population, je le dis rien. Le Premier ministre appuie fortement sa prononciation du mot "Rien" durant cette dernière phrase.

    Le Royaume appelle les deux parties à négocier un cessez-le-feu pour permettre l'arrivée de l'aide humanitaire ainsi que l'échange de prisonniers de guerre. Nous appelons la région de Littanor à retirer ses troupes immédiatement. Le massacre de civils est un crime qui doit être punit des plus sévèrement. Le Royaume de Teyla s'engage à ce que les criminels, qu'importe leurs origines soient punis. Nous défendrons le peuple de Tcharnovie contre les crimes de guerre.

    Le Royaume de Teyla soutient l'initiative du gouvernement central dans sa demande de trêve d'une trentaine de jours. Le Royaume se tient à disposition des autorités de la Tcharnovie concernant toute demande d'aide, quelle que soit la nature de l'aide.


    Par ses derniers mots, le Premier ministre à laissé la porte ouverte pour une intervention militaire. La conférence prit fin dans un déferlement de question notamment sur la questions d'une possible intervention militaire. Mais toutes les questions furent refusées.

    conférence de presse
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    La Tcharnovie intéresse encore, mais cette fois ci les industriels privés !

    Les importants gisements de charbon dont dispose la Tcharnovie auraient fait parler d'eux jusqu'au Duché de Sylva, se faisant entendre par les industriels privés. Si les centrales à charbon ne sont pas connues pour fournir l'électricité la plus abordable, il peut rester compétitif en fonction de certains critères auxquels répond Tcharnovie : notamment l'abondance et la proximité des gisements. Le coût de la main d'œuvre locale est également analysé, mais devrait selon les premières estimations rester suffisamment raisonnables.
    Les études de marchés et analyses des bénéfices effectués par diverses sociétés aussi bien sylvoises que tcharnoves sont plutôt prometteuses et parle d'un mégawattheures à 40 dollars (soit 4000 cuivrettes sylvoises). Cela représenterait un approvisionnement stable et raisonnablement couteux pour l'industrie, faisant de Tcharnovie un terreau intéressant au développement d'usines et manufactures.

    Les autorités tcharnoves sont donc contactées afin d'établir l'ensemble des autorisations requises par les industriels privés de Sylva, représentés par Ambre Récifjaune. Il est question d'établir un plan d'investissement sur cinq ans pour développer une industrie du jeu : figurines, gadgets électroniques, plateau de jeu en tout genre. Le plan est déjà mûrement réfléchis sur tous les plans et inclut :
    -L'approvisionnement en électricité assuré par YsaCharbon pour faire tourner les manufactures.
    -Un autre approvisionnement auprès de Rasken pour tous les produits pétroliers requis, le plastique étant un élément essentiel nécessaire en quantité pour les jouets.
    -Une industrie locale qui pourrait se développer avec la main d'œuvre autochtone, à voir toutefois pour se tourner vers certaines régions aux habitants moins chers.
    -Un approvisionnement en composant électronique depuis Sylva directement, bien que la question soit en cours d'étude pour se tourner vers des fournisseurs d'Eurysie plus proches et économiques.
    -Il est également possible que l'industrie agricole de Tanska soit employée pour fournir tous les composés végétaux (notamment les étoffes pour la peluche).

    Les produits seraient comme dit essentiellement des jouets pour enfant, incluant peluches, poupées, figurines, jeux de sociétés, consoles de jeu portatives bas de gamme, maquettes et autres larges gammes de petites merdouilles en plastique dont raffole les enfants (pour jouer comme manger).
    Le marché potentiel serait assez large, incluant tout les pays libéraux d'Eurysie du nord avec qui Sylva entretient de bonnes relations : Tanska, Teyla, Zélandia, Caratrad, et Tcharnovie également tant qu'à faire.

    Pour faire approuver l'ensemble des autorisations requises, Ambre Récifjaune met les moyens : diner d'affaire, établissement d'un réseau de contact, petits cadeaux (toujours dans un cadre légal). Il faut que tout le nécessaire puisse être fait et validé rapidement.
    Une campagne de communication est également planifiée dans ce sens, dans un premier temps pour promouvoir auprès de la population l'implantation de cette industrie qui est présentée comme une aubaine économique : de nouvelles usines qui embaucheront, demanderont plus d'électricité qui encouragera YsaCharbon à se développer et embaucher à terme, et distribueront une large quantité de produit pour contribuer à l'activité économique de Tcharnovie avec le reste de l'Eurysie. Tout les médias traditionnels de Tcharnovie par lesquels peut passer Récifjaune sont employés, elle met également les moyens pour louer des diffusions publicitaires à la télévision locale et faire parler un peu quelques experts vantant les avantages d'investissements étrangers.
    2034
    "Mais quel pays de merde."



    Le soldat qui avait lâché cette phrase lisait le journal, assis à une table, dans l'un des hangars que les forces Tzuistes avaient concédés aux Loduariens. Un autre soldat, également assis à la même table, renchérit.

    Oui, et alors ? Tu t'en étais pas rendu compte quand on était en Chérchérie ?

    Alors le lecteur du journal leva les yeux. Enfin son œil. L'autre il l'avait perdu il y a peu.

    Je ne m'en souviens que trop bien, camarade. Il montra son œil caché par un morceau de tissu pour appuyer son propos. La véritable question maintenant, c'est qu'est-ce qu'on fout ici ? Aux yeux du gouvernement, je suis déjà inapte à servir au sein des forces spéciales, à cause d'un foutu résistant Chérchère, et maintenant on est là, déployés en mission spéciale top secrète, sous peine d'être immédiatement exécutés si on en révèle les composants à une personne tierce, je le précise, et en plus, cette mission est sous l'égide du Commando Rouge ! Alors je veux bien combattre pour mon pays, ou bien autre chose, mais pourquoi nous laisser dans ce fichu pays qui deviendra bientôt un trou à rats à ciel ouvert si les choses continuent ? Sérieusement je me le demande !

    Alors que le soldat avait fait monter le ton, l'autre lui répondit calmement.

    Tu sais camarade, si nous sommes là, c'est pour une bonne raison. Je ne la connais pas, mais le camarade Secrétaire Général n'aurait jamais déployé des soldats du Commando Rouge comme nous sans bonne raison. Et surtout dans un pays où il n'a presque plus d'accès. Alors oui, nous ne sommes pas des membres du groupe Alpha-6, mais quand même, quelque soit la raison de notre présence, elle est sûrement bonne.

    Mouais. J'espère qu'elle est bonne, camarade.

    De toute manière, si on nous ordonne de combattre, a-t-on le choix ? Et sérieusement, même si on l'avait, ferions nous le choix de le refuser, le combat ?

    Nan, ça jamais, camarade.

    La question est réglée, camarade. On est dans un pays de merde, et on va sûrement y être un bon bout de temps, mais au moins, on est pas dans la partie la plus touchée. Et pis de toute manière, ce qui se passe au bas-Littanor ne nous regarde pas, à moins que le gouvernement finisse par nous y envoyer.

    Mouais. Je vais prendre un thé, tu viens ?

    Putain camarade, faut vraiment que tu perde cette habitude de boire des thés.

    Et ainsi continua la discussion entre ces deux soldats, loin de leur nation. Où ça ?

    Dans un pays qui allait bientôt à qui il s'était adressé.
    2690
    Quelque part au Bas-Littanor, février 2012.

    Olsen regarda sa montre, 6h37. Le Soleil commençait à se pointer à l'horizon. Derrière lui, les hélice encore chaudes de l'avion de transport plaqué d'une cocarde tanskienne terminaient tout juste de tourner. L'avion venait de se poser et déjà on commençait à le décharger. Lui était arrivé quelques heures auparavant, dans l'appareil précédent avec le personnel médical, l'Etat-Major restreint et son petit détachement. Sur sa tenue, exceptionnellement, un drapeau tanskien teinté de gris permettait aisément de l'identifier. Il n'en avait pas l'habitude. Faire une mission humanitaire non plus. C'était là sa première venue en Tcharnovie, et étonnamment il n'était pas venu combattre.

    Depuis plusieurs heures déjà la dizaines d'hommes et la femme du détachement surveillaient la descente des soixante tonnes de matériel médical et de première nécessité des appareils tanskiens tout juste posé. C'était tout, Olsen n'avait rien d'autre à faire. Son fusil, par moment, il s'était même surpris à le laisser en bandoulière, une première en dix ans. "L'Humanitaire ça vous change" lui avait dit un médecin sur le trajet. L'humanitaire il n'y connaissait rien. Pour le moment, c'était juste apaisant.

    Pour la majorité des hommes et des femmes à bord des appareils de la 46e escadrille aérienne, cette mission n'était pas la première "projection humanitaire" à l'étranger. La première était Port-Hafen. Certains avaient jugés qu'il était encore trop tôt pour affronter les horreurs humaines, pour la majorité, il fallait aider à nouveau. Le brief avait été clair. La situation au Bas-Littanor relevait plus d'un bref conflit meurtrier que d'un massacre listonien. Des tensions avec des forces Littanite ou Slomènes pourraient survenir, guère plus. Point de ville entièrement détruite, a priori.

    La navigation entre la République ddu Plateau de Litnasir et la République de Srimaturg serait probablement chaotique. Ils n'en savait rien. Les officiers d'Etats-Major avaient juste préciser une chose : en aucun cas la mission humanitaire n'avait vocation à s'interposer entre les anciens belligérants, encore moins à interférer. Il fallait aider les civils dans le besoin selon les volontés des autorités confédérales, c'est tout. point d'obéissance à la Sloménie ou au Littanor, uniquement aux autorités fédérales. La pire situation pourrait être une reprise de conflit, auquel cas il faudrait évacuer. Si cela venait à arriver, Olsen et ses hommes avaient pour mission de protéger les membres d'équipages coûte que coûte et de ne répliquer que si directement attaquer. Il s'agissait d'aider, uniquement d'aider.

    Une question restait néanmoins en suspend, comment se mouvoir à travers la région pour bien distribuer l'assistance humanitaire où nécessaire. Certes, plusieurs SUV seraient loués, mais une dizaine d'hommes surarmés, à peine identifiable, se déplaçant à travers la région pourrait rapidement provoquer des incompréhensions parmi les forces militaires et paramilitaires régionales. Olsen, comme les autres, n'a pas fait de la diplomatie son métier.

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