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Activités étrangères au Farisistan

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Activités étrangères au Farisistan

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8 décembre 2009 - CONFIDENTIEL - Les relations diplomatiques entre la République Sacrée de Mandrarika et la République Chiite du Farisitan, une étape incontournable pour la survie des régimes totalitaires en Afarée?


Listing des principaux dictateurs du continent afaréen.
Les dictateurs et les gouvernants totalitaires peuvent-ils s’unir pour défaire le risque d’une ingérence étrangère et d’un coup d'État dirigé contre eux?

Après avoir constaté l’aggravation de la stabilité afaréenne et la survenue d’actes possibles d’ingérence sur le continent afaréen, le cas kodedan tout particulièrement en tête, de nombreux leaders du monde totalitaire sont soucieux d’explorer des pistes leur garantissant un maintien au pouvoir. Le Premier Mandrar Rakoto Manorohanta, actuel dictateur de la République Sacrée de la Mandrarika, n’échappe pas à ces craintes. Des craintes d’autant plus confirmées le concernant, qu’il subit déjà les rivalités imposées par les seigneuries de guerre associées à la Force Clanique Combattante, un rassemblement de pillards décidés à prendre le pouvoir par la force en Mandrarika. Si la menace posée par les membres de la FCC restent à minimiser, avec une chance ridicule de pouvoir renverser le gouvernement basé à Mpiko, les agissements de ces soudards à l’international peuvent faire craindre une opération de sécurisation du Basango par un contingent étranger. Personne n’aurait à proprement parler, l'envie ou la légitimité pour venir détrôner le Premier Mandrar dans son pays, clairement pas. Cependant, les agissements des soudards de la FCC à l’international, comme au Kodeda par exemple, peuvent attirer l’intérêt de puissances étrangères vers la conduite d’opérations de lutte contre les seigneuries de guerre en Afarée, voire leurs bastions installés en Mandrarika.

Outre la menace d’une ingérence étrangère, portée par des nations à la gouvernance dite “représentative”, la situation intérieure d’un pays n’est pas non plus une donnée négligeable et bon nombre de dictateurs finissent lapidé ou massacré sous les coups de leur propre peuple. En effet, sur le plan intérieur, il ne faut pas oublier que le moindre cas de pénurie, particulièrement sur le plan alimentaire, peut dresser les foules contre son dirigeant, indépendamment du niveau de force ainsi que de représailles, que ce dernier est en mesure d'exercer sur sa population.

Les dictatures pouvant être sujettes à des embargos ou des restrictions commerciales, il apparaît comme d’autant plus opportun, de permettre aux dictatures de commercer entre elles, pour satisfaire un maximum des besoins nationaux et avec eux, faire taire l’esprit révolutionnaire ou encore libertaire qui toucherait les populations dans le cas d’un début de disette.
Assurer des échanges commerciaux pérennes entre les nations totalitaires pour maintenir l’approvisionnement des besoins nationaux, développer la coopération militaire pour asseoir les régimes dictatoriaux grâce à un prémice d’armée professionnelle, tels sont les enjeux défendus par la gouvernance (dictatoriale) de la République Sacrée de Mandrarika, incarnée par un gourou et un cercle de conseillers parmi les plus sectaires au monde. Il faut dire qu’après avoir vu l’évincement du Shah varanyen par des forces révolutionnaires aidées de puissances étrangères, et la gravitation des intérêts étrangers autour du Kodeda en proie aux tensions, le risque d'intervention étrangère armée en Afarée n’a jamais été aussi grand que présentement. “Les dictateurs ont aujourd’hui matière à s'interroger sur leurs capacités à se maintenir au pouvoir car il y a un réel risque à tenir d’une main de fer son pays sans disposer d’alliés de proximité. Des alliés militaires, pour aider au maintien de l’ordre et de la stabilité face à des mouvements contestataires voire insurrectionnels, mais également des alliés économiques ainsi que commerciaux, pour leurs capacités à soutenir le niveau de vie actuellement en place sous un régime dictatoriale et largement bousculé par des actions de guerre commerciale et économique hostiles, portées depuis l’étranger.

Forger des liens économiques et commerciaux entre les puissances afaréennes, fussent-elles totalitaires, est également le gage de ne pas avoir à les affronter un jour car les liens deviendraient suffisamment étroits, que tout conflit éclatant entre les deux nations leur serait lourdement préjudiciable.
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17 décembre 2009 - CONFIDENTIEL - Les dictateurs afaréens, en quête de soutiens par-delà les frontières.


Ligue des dictateurs continentaux
L'Afarée, un terreau fertile pour l'émergence d'une ligue des dictateurs continentaux?


Qui a dit que les dictateurs misaient toute leur survie sur l’étalage de la force brute? Depuis plusieurs dizaines d'années, les dictateurs sont régulièrement la cible de coalition internationale, dont le dernier exemple en date est celui du Shah varanyen. Dans ces circonstances, il est particulièrement peu probable de voir les dictateurs maintenir éternellement les moyens militaires permettant la sauvegarde du régime contre une opération militaire, chirurgicale ou massive… “Un dictateur ne peut pas, militairement parlant, tenir les loups éloignés de sa pâture, la force brute d’un dictateur est tout juste bonne à asseoir son autorité sur le peuple. Dès que celle-ci est dirigée à l’extérieur, les liasses de billets ou l’étalage de puissance brute incitent toujours les soldats de la dictature à se rallier à la coalition étrangère” confie Moroko Biju, historien mandrarikan en exil en Alguarena après avoir qualifié de dictateur le Premier Mandrar.

Un constat sévère qui l’a amené à conclure que “même les dictateurs ont besoin d’amis”.

Et l’amitié n’a pas vocation à se limiter aux alliances militaires, l’enjeu premier des coopérations développées par les dictatures est d’ordre commercial car la pérennité des approvisionnements garantit la satisfaction du peuple, “il n’y a rien de plus inévitable que le temps et un peuple affamé” disait Osbar Querazar, un célèbre seigneur de guerre mandrarikan qui régna sur une bonne partie de l’actuelle Mandrarika, avant sa défaite et son exécution par son dirigeant en fonction, Rakoto Manorohanta. Un exemple et contre-exemple donc puisque le dictateur, bien qu’ayant assis une certaine autorité sur sa communauté, a pu être défait par une partie d’entre elle, soulevée par celui qui se présentait comme un prophète, l’actuel premier mandrar à la tête du pays.

Mais considérant les opérations et les révolutions qui ont ébranlé le Varanya ou la Mahrénie, l’importance de soutenir une politique économique viable dans les pays totalitaires refait surface et l’impréparation étalée au grand jour par un bon nombre des dictatures présentes à travers le monde, a légitimement de quoi effrayer les derniers tyrans de la scène internationale.

Réputées isolationnistes, les dictatures ont vocation à se transformer, si elles souhaitent survivre dans un monde internationalisé et sujet à l’interventionnisme de puissances étrangères.
Mais pour s’entourer de manière efficace, les dictateurs n’ont malheureusement pas d’options infinies et les invitations entre nations parias, vont finir par s’échanger avec une facilité déconcertante. “Les parias versus le reste du monde”, un titre que les journaux mondiaux pourraient déjà faire paraître, compte tenu de l’évidence qui tend à se dessiner par le rapprochement de plusieurs dictateurs entre eux, à l’instar de Rakoto Manorohanta pour la République Sacrée de Mandrarika, Abdul-Bashit Hadad pour la République Chiite du Farisitan, et enfin Abangaye Dinfa pour la République “démocratique” du Majanda.

Communiquer sur sa fréquentabilité, c’est nouer des alliances, fussent-elles signées avec un état paria. “Deux ou trois dictateurs liés entre eux, auront toujours plus de poids à l’internationale qu’une démocratie isolée, l’alliance et le rapprochement est primordial” explique notre expert historien. “En outre, vous comprendrez que le rapprochement de dictateurs, peut jusqu’à un certain degré, favoriser l’acquisition d’armements qu’une dictature seule n’aurait pu se permettre d’acquérir. Les alliés possibles pour une dictature se comptent, malheureusement pour elle, sur les doigts de la main. Pourtant, tout n’est pas si noir pour le devenir politique de ces régimes sociopathes puisqu’il existe une importante concentration des dictatures : l’Afarée. “L’Afarée est un continent qui concentre à lui seul une bonne moitié des dictateurs actuellement présents dans le monde…”

Et même si ce sont des dictatures à l’économie marginale, l’association de plusieurs états appartenant à une même région, les rend particulièrement dangereux, par leurs capacités à s’entraider, militairement et logistiquement, bien plus que ne saurait le faire, une des puissances mondiales pour un allié éloigné de plusieurs dizaines de milliers de kilomètres. Les dictatures sont principalement afaréennes et la proximité joue en leur faveur, dans le cas où elles savent comment développer de nouvelles dynamiques inscrites sous un parcours gagnant/gagnant…

L'idée qu'une ligue puisse se dessiner entre les principales nations totalitaires d'Afarée, apparaît comme une perspective de plus en plus crédible, compte tenu des enjeux qu'ont les dictatures afaréennes à la faire, et les facilités géographiques ainsi qu'économiques qu'elles entretiennent pour sa mise en oeuvre.
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19 décembre 2009 - CONFIDENTIEL - La gouvernance Mandrarikane envisagerait la création d’une ligue réunissant les régimes totalitaires et les gouvernances autocrates comme celles du Farisistan et du Majanda.


Dos au mur, les dictateurs divent penser de nouvelles coopérations.
Des sources du renseignement, font état de tractations grandissantes autour du Premier mandrar, Rakoto Manorohanta, qui chercherait à liguer les dictateurs de l'hémisphère sud, majandais et farisistanais.

Une intervention militaire au Varanya, a suffi à exposer au grand jour, l’insécurité grandissante autour des régimes autocratiques et totalitaires. Des parias que la mondialisation a mis au ban de la scène internationale, et qui essaient tant bien que mal de former une relative crédibilité, économique, militaire et politique en somme. Un club de dictateurs de plus en plus restreint et maintenant contraint à la coopération entre eux, alors que l’Afarée reste l’un des derniers bastions continentaux, pour ce groupe élitiste qui a arrêté d’effrayer le monde. Le Majanda, la Mandrarika, le Farisistan, c’est dans ce (petit) panel de dictatures que les autocrates afaréens ont l’opportunité de créer un réseau salvateur à leur pouvoir. Se prévenir du rejet populaire, a longtemps été l’unique obsession des dictateurs afaréens, relativement délaissés de la scène internationale. L’intervention international, la mondialisation grandissante et la cristallisation des tensions autour des blocs de l’ONC et du Liberalintern, sont autant de facteurs qui incitent vivement les dictatures à se recentrer sur elles-mêmes et les autres régimes totalitaires, pour trouver les coopérations nécessaires à leurs renforcements, sans tendre la gorge à un nouvel ennemi imposé par l’adhésion à un des blocs en confrontation.

Différentes raisons et différents objectifs peuvent animer un rapprochement entre les trois nations réputées infréquentables mais le premier d’entre eux, c’est l’instinct de survie. En effet, la capacité des dictateurs afaréens à se maintenir au pouvoir, va grandement dépendre de leurs capacités à se soutenir mutuellement, un soutien d’ordre politique mais nourri par des relations économiques et commerciales grandissantes, de sorte à satisfaire les attentes primaires des populations qui vivent “sous leur joug”.

“Les dictateurs isolés sont soumis à des rapports de force d’ordre économique qu’ils ne peuvent pas contrôler. Leur moyen de survie le plus évident est alors de créer et d’entretenir un réseau crédible parmi les autres autocrates, pour maintenir les dynamiques commerciales indispensables à la satisfaction des besoins nationaux” soutient Iounis Babelchouk, un des nombreux politologues mandrarikans actuellement en exil pour avoir qualifié la gouvernance de Rakoto Manorohanta de “dictatoriale”. Les milices politiques, souvent à cheval entre les formations de police et celles militaires sont des alliés privilégiés du pouvoir pourvu qu’il sache prendre soin d’eux, mais face à une menace extérieur, dirigée par les arcanes d’une scène internationale, seul le soutien de puissances étrangères, elles aussi dictatoriales, peut faire la différence pour aider les régimes autocrates à garder la tête hors de l’eau.

Dernier foyer des principaux régimes totalitaires, l’Afarée est raisonnablement la pierre angulaire d’une manoeuvre politique destinée à sécuriser les régimes totalitaires dans le monde, puisque ce continent combine dans un périmètre régional, la plus grande concentration de dictateurs et autocrates, ce qui favorise nécessairement les dynamiques et les coopérations envisagées pour eux.

Arborant les préceptes religieux qui constituent le fondement de sa secte, le premier mandrar Rakoto Manorohanta veut défendre l’alliance des autocrates au titre du développement de l'universalité, une doctrine émanant du culte caaganiste, actuellement à la tête du pouvoir en Mandrarika et qui prétend pouvoir réunir l’entièreté des êtres humains, sous un but commun ainsi qu’au sein d’une même communauté.

“Notre monde ne sera que plus reluisant et prospère, si nous nous entourons de meneurs et de dirigeants constants” aurait affirmé le dictateur mandrarikan en comité restreint formé de ses conseillers. L’appui de la Mandrarika, pour des dictatures encore fragiles telles que le Farisistan, ne serait pas anodin, compte tenu de la capacité des forces armées mandrarikanes, à pouvoir projeter un peu d’éléments de l’aviation et une force terrestre grâce au concours de manoeuvres aéroportées. Des garanties notables pour les petites nations totalitaires qui voudraient s’assurer d’un soutien militaire crédible, pour la survivance de leur règne.
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logo de la direction du renseignement d'état, inscriptions en persan avec l'œil omniscient au milieu d'un logo stylisé

Direction du Renseignement d'Etat (DRE)


CLASSIFICATION : CONFINEE
DIFFUSION : RESTREINTE A LA NATION

NOTE RELATIVE AUX ACTIVITES DE LA DRE EN REPUBLIQUE CHIITE DU FARISISTAN
NUMERO : 2651-2011
DRE-POPS
SAF-AFE-FAR
le 02/07/2011
à Bandarhan

Le document contient une annexe à la classification supérieure renvoyant aux citations expurgées dans le cadre de la diffusion de cette note.

La République Chiite du Farisistan, pays voisin de la République faravanienne, est le seul état dans la région évalué par la Direction du Renseignement d'Etat (DRE) avec un indice d'instabilité modéré. Son système politique est jugé comme imparfait, ce qui le rend vulnérable aux crises habituelles du continent. En tant que tel, République Chiite du Farisistan représente aujourd'hui le risque le plus élevé, bien que raisonnable, à la République faravanienne dans sa sphère immédiate.

Le 12 juin 2011, la République faravanienne a signée avec la République Chiite du Farisistan un accord de normalisation des relations diplomatiques. Cet accord sommaire comprend l'ouverture mutuelle d'ambassades des deux républiques dans leurs capitales respectives.

Au vu de la posture sécuritaire adoptée le [CITATION EXPURGEE A L'ANNEXE NUMERO UN] par le cabinet de la présidence de la république ; dans le but d'établir une image claire de la situation sécuritaire de la République faravanienne et de ses voisins ; à la suite de la demande d'informations exprimée par [CITATION EXPURGEE A L'ANNEXE NUMERO DEUX] : la DRE adopte les mesures suivantes :
- Ouverture d'une antenne de la DRE dans l'ambassade faravanienne en République Chiite du Farisistan
- Lancement d'une procédure standard de veille sur l'ambassade de la République Chiite du Farisistan à Bandarhan

L'antenne dans l'ambassade faravanienne en République Chiite du Farisistan sera composée de [CITATION EXPURGEE A L'ANNEXE NUMERO TROIS] personnels. Les personnels auront à charge la veille et l'anticipation géopolitique générale de la République Chiite du Farisistan. L'antenne identifiera et prendra également contact standard avec les personnels officiels de la République Chiite du Farisistan.

Le personnel ne bénéficiera pas [CITATION EXPURGEE A L'ANNEXE NUMERO QUATRE] et se verra attribuer [CITATION EXPURGEE A L'ANNEXE NUMERO CINQ] en lien avec ses capacités propres. Pas d'autres mesures particulières sont à prévoir pour la conduite des opérations.

Pour mener à bien la mission, l'ambassade se verra équipée du matériel suivant :
- Postes cryptés de communication avec la centrale de la DRE et accès au réseau confiné de la Direction.
- Dispositif [CITATION EXPURGEE A L'ANNEXE NUMERO SIX] de recueil de renseignements.

La mission est considérée de caractère permanent, ne justifie pas [CITATION EXPURGEE A L'ANNEXE NUMERO SEPT] et sera réévaluée tous les semestres. Les dispositions d'urgence habituelles quant à l'assainissement, l'évacuation ou le renforcement de l'antenne dans le cas de crises seront prises.

L'attaché forces armées de l'ambassade et son personnel sont autorisés à être associés aux activités de veille standards.

La veille sur l'ambassade de la République Chiite du Farisistan à Bandarhan ne fera pas recours aux techniques de [CITATION EXPURGEE A L'ANNEXE NUMERO HUIT] ni aux méthodes [CITATION EXPURGEE A L'ANNEXE NUMERO NEUF].

DISPOSITIF APPROUVE PAR LE DIRECTEUR DU RENSEIGNEMENT D'ETAT


LE DOCUMENT EST DISPONIBLE AUX PROCEDURES DE DECLASSIFICATION A PARTIR DU 02/07/2111

Message secret
Information secrète réservée aux personnes autorisées
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Hawkeye de la Nörilka


Un terrain vague , bien à l'abri des regards, propriété foncière des Messagers du Prophète, avait été soigneusement sélectionné pour être le point de départ d'une livraison particulière.
Dans le ciel, de biens étranges oiseaux noirs opéraient un ballet aérien fort étrange, une vision peu commune pour les habitants locaux de la région : il s'agissait mi-hélicoptères, mi-avions, ces aéronefs de transports tactiques aériens hybrides, modèle Hawkeye, dont la compagnie Nörilka avait fait l'acquisition récemment et était très fier.
La maniabilité, l'interopérabilité, la polyvalence et surtout la discrétion de ces appareils qui ne nécessitaient pas de longues pistes de décollage mais un espace plat réduit pour décoller et atterrir en faisait un indéniable atout dans le monde du fret et de la logistiques.

Deux Hawkeyes étaient maintenant au sol, et le personnel diligenté de la Nörilka s'occupaient du chargement. Conformément aux prescriptions de la compagnie, ils ne posèrent aucun question, et se contentèrent en silence de procéder à la manutention des containers anonymisés et sécurisés.

Pas de signature, seulement des transferts de code électronique, et les pilotes n'avaient que pour seule arme, un pistolet scanner par infra-rouges destinée à lire les codes barres des containers chargés. Qui étaient les Messagers du Prophète, que voulaient t ils, pourquoi, et qui éaient ils ? Ils n'en avaient cure ! Leur mission ? Acheminer les marchandises au point de livraison, en toute sécurité, en toute confidentialité, et dans les délais impartis.

Le pilote, en uniforme noir, s'approcha de l'un des hommes vêtu d'un sari et d'un turban, tenue traditionnelle faristanaise, et lui tendu une tablette numérique digitale :
- "Monsieur, si vous voulez bien énoncer le code à haute voix je vous prie"

D'une voix grave et rauque, après s'être râclé la gorge, l'homme au sari, s'exécuta de bonne grâce : "12-24-56-07-09-44. "

Le système de reconnaissance vocale fit le reste. La tablette exprima alors d'une voix mécanique : "code d'authentification validé. Commande prête à être expédiée."

Le pilote s'inclina fit un bref salut en tendant sa main vers sa casquette.
- "Je vous remercie monsieur, vous serez informé de la livraison comme prévu par message crypté. Au revoir"

- "Que les pensées de notre Prophète vous accompagnent"
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