12/06/2013
05:52:03
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Encyclopédie générale du Farisistan

Présentation générale
Nom officiel : République du Farisistan

Nom courant : Farisistan

Gentilé : Fari (désigne les habitants du Farisistan de confession chiite) ou Farisi pour l'ensemble des habitants du Farisistan

Langue(s) officielle(s) : Persan

Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Arabe

Drapeau :
.

Devise officielle : الله اكبر (Allāhu akbar)

Monnaie nationale : Rial Farisi

Capitale : Melatarabad

Population : 75 millions d'habitants



Aperçu du pays

Histoire:

Durant l'antiquité le Farisistan actuel est le lieu où se développent les premières civilisations grâce à l'essor de l'agriculture, de l'écriture et des villes, la plus connue d'entre elle est Actilone. Cette cité semi-mythique dont on n'a jamais retrouvé les ruines chute cependant durant la conquête par les eurysiens (à voir si rémiens ou noviss) en 95 avant J-C. Une révolution mènera à l'indépendance de ce comptoir avec l'arrivée au pouvoir de la dynastie Eranshahr, la religion de cette dynastie, et à l'époque d'une grande partie de la population, est le zoroastrisme, d'ailleurs une petite partie de la population croit encore en cette religion promeut par le prophète zoroastre.

A partir de 600, l'expansion musulmane touche le Farisistan et remplace le zoroastrisme dans la violence. Les Eranshahr chutent au profit d'une nouvelle dynastie, les Maranides, qui convertissent le peuple farisi dans le sang et chassent les zoroastriens dans les montagnes du sud du pays.
Le chiisme se développera peu à peu dans la société farisienne avant de devenir le culte officiel au XVème siècle par l'initiative de la nouvelle dynastie Alavide.
Les alavides régneront sans partage durant près de 350 ans avant de tomber en 1789 face à l'armée youslève, bien plus avancée technologiquement.

Durant la colonisation, il n'y a pas de grands changements, les youslèves utilisent le Farisistan comme un point d'ancrage, aussi bien commercial que militaire, dans la mer blême.
C'est au cours de la Guerre Civile youslève (1903-1904) que des velléités d'indépendance naissent au sein de la société farisi. Les militaires présents sur place doivent rentrer au pays pour tenter d'enrayer la Révolution puis, une fois la victoire des révolutionnaires, pour encadrer cette nouvelle République. C'est en 1910 que la Lutte pour l'Indépendance commence et les indépendantistes multiplient les attentats pendant deux ans avant que la République youslève, lassée par les pertes humaines et économiques pour entretenir et contrôler une colonie aussi lointaine du territoire métropolitain, acceptent l'indépendance du Farisistan en y plaçant comme Roi un lointain descendant des Alavides, Anas II.
A noter que cette décolonisation youslève sonne la fin du colonialisme youslève et que les deux pays n'ont plus aucune relation aujourd'hui.
Anas II met en place l'Assemblée de Préservation du Culte, il nomme sept familles, six chiites et une sunnite afin de faire respecter les lois coraniques et assurer la paix entre les sunnites et les chiites.

Une révolution a lieu en 1969, menée par un jeune militaire haut-gradé aux dents longues, Abdul-Bashit Hadad. Les révolutionnaires l'emportent, le petit-fils d'Anas II, Amine IV, est exécuté et Hadad prend le pouvoir et s'assure du soutien de l'Assemblée de Préservation en leur donnant une plus grande importance et en les corrompant.
Depuis, la paix sociale est assurée par l'achat des membres de l'Assemblée de Préservation, la propagande et des politiques entre le socialisme et le communisme. Comme expliqué dans la dernière rubrique de la candidature, Hadad est pro-persan et arabe, il va donc mener une politique de "farisisation" en renommant par exemple, avec l'accord de l'Assemblée de Préservation, la ville portuaire d'Iliopolis en Darija.

Géographie :
Le Farisistan est situé au niveau de la corne afaréenne. Son climat est détaillé sur le schéma ci-dessus.
Carte climatique
.
Climat Désertique
Climat chaud et humide
Climat chaud et sec
Climat montagneux

La capitale Melatarabad est situé à l'ouest du pays, c'est la ville la plus peuplée du pays voir même du monde avec 22 millions d'habitants. Son nom signifie sans doute "béni des dieux" en ancienne langue autochtone. Les deux autres villes principales sont Darija et Khodaraku, la première est une ville portuaire et la seconde est une des principales destinations de pèlerinage du culte chiite et musulman avec sa grande mosquée réputée dans le monde entier. Ces trois villes ont une démographie assez énorme, elles abritent en effet presque les trois quarts de la population du pays à elles trois.
Au niveau topographique, le Farisistan peut être considéré comme un énorme plateau, découpé par des vallées encaissées.
Au sud les montagnes forment une frontière naturelle avec une partie du Banairah notamment. Il n'y a qu'un fleuve notable, l'Aladumue, qui prend source peut avant Melararabad et qui se jette dans le golfe Farisi au niveau de Darija. L'Aladumue est un des fleuves les plus pollués de la planète.

Mentalité de la population :
La population est dévolue aux ayatollah et au président Hadad. Cela est sans aucun doute dû pour les premiers à la grande foie du peuple farisi et pour le second à la propagande qui assomme à longueur de journée le peuple. Les minorités sont particulièrement acquises à Hadad qui les représente face à l'Assemblée de réservation du Culte qui est elle chiite et représente la majorité de la population.
Les Fari sont privilégiés dans la société même si il n'existe pas de trop grande différences entre les chiites et les minorités musulmanes, ces derniers vivent entre eux de manière plutôt pacifique. Cependant, les autres minorités sont clairement mises à l'écart et vivent dans les bidonvilles de Darija.

Place de la religion dans l'État et la société :
La religion a une place prépondérante dans la société et au sein de l’État farisi. L'islam est reconnue comme une religion d’État.
La majorité de la population chiite, les ayatollah sont d'ailleurs très influents (voir Institutions et politiques). Il existe une minorité sunnite principalement dans le sud du pays ainsi qu'une minorité alaouite, présente principalement à Khodaraku et dont Hadad de cette confession. Quelques chrétiens, juifs et zoroastriens subsistent malgré les persécutions.


Politique et institutions

Institutions politiques :
Abdul-Bashit Hadad est de fait le président de la République du Farisistan suite à son coup d’État.
Il a l'appuie des de l'Assemblée de Préservation du Culte, dirigée par le Grand Ayatollah Farahani. Ce conseil est composé de 7 Ayatollah appartenant tous aux sept mêmes familles depuis des siècles. L'Assemblée de Préservation a un rôle vital pour n'importe quel dirigeant car elle a un pouvoir de vie ou de mort sur lui. Hadad a trouvé la solution car il arrose ces sept familles d'argent très régulièrement.
Il existe bien une Assemblée Nationale mais elle a un rôle très réduit et ne sert qu'à conforter les choix d'Hadad et la propagande, son Président est d'ailleurs un cousin d'Hadad.

Principaux personnages :
Abdul-Bashit Hadad: Président de la République du Farisistan, il peut être considéré comme un dictateur.
Neraman Farahani: Grand Ayatollah, fait partie de la famille Farahani
Familles Khamenhaa, Jalili, Soroush, Zadeh, Ebrahim, Reza. Les six autres familles de l'Assemblée de Préservation du Culte, les Reza représentent la minorité sunnite.

Politique internationale :
Le Farisistan est (par l'intermédiaire d'Hadad) panarabe, panpersane et panafaréen, il tente par conséquent d'unir les peuples d'Afarée et est particulièrement hostile à toutes autres nations maniant l'ingérence, l'ONC est donc vu comme l'ennemi ultime. Comme la République se veut socialiste et traditionaliste, il ne serait donc pas étonnant de voir le Farisistan rejoindre une des deux alliances.
Relations très tendues avec l'Ismaël et soutien massif des rabbaqs.
Voir une possible harmonisation avec le Banairah et le Varanya.
2401
Lois au Farisistan

Législation d'identité et âge

Majorité civile : Pas de majorité civile
Majorité judiciaire : 15 ans pour les hommes, 9 ans pour les femmes.
Majorité sexuelle : Pareil que pour la majorité judiciaire
Service militaire : Obligatoire pour les hommes
Droit de nationalité : Droit du sang
Laïcité : Aucune laïcité, la religion chiite est religion d'Etat et les Fari sont avantagés par rapport au reste de la population

Droits fondamentaux

Liberté d'expression : Sur le principe garantie mais dans les faits tout est contrôlée
Liberté de culte : Chacun est libre de croire ou de ne pas croire mais les non-chiites et plus largement les non-musulmans sont discriminés
Liberté de rassemblement : Interdite sauf autorisation des autorités
Liberté d'association : Interdite sauf autorisation des autorités
Droit de grève : Interdit
Droit d'entreprendre : Limité
Droits des femmes : Inexistants
Droits des enfants : Inexistants
Droits des animaux : Inexistants sauf pour certains animaux sacrés
Droit d'héritage: Pas d'héritage, tout est récupéré par l'Etat
Double nationalité: Tolérée
Esclavage : Interdit dans les faits mais tous les hauts gradés farisi en possèdent

Législations morales et civils

Divorce : Interdit
Relation sexuelle hors-majorité sexuelle : Interdit
Relation sexuelle hors-mariage : Interdit
Relation extra-conjugale : Interdit
Relation et mariage consanguin : Pas le droit d'avoir des relations ou de se marier avec son frère, son père, sa mère ou sa sœur mais sinon c'est autorisé
Polygamie : Autorisée pour les hommes fari, jusqu'à trois femmes
Contraception : interdite
Adoption : Interdite
Avortement : Interdit
Euthanasie : Interdit
Homosexualité : Interdit
Mariage homosexuel : Interdit
Adoption homosexuelle : Interdit
Transgenrisme : Interdit
Prostitution : Sur le papier interdit mais il suffit de se promener dans les faubourgs des plus grandes villes du pays pour se rendre compte que cette interdiction est largement contournée.
Pornographie : Interdite
Sectarisme : Autorisée mais comme tout les non-chiites ils sont discriminés

Législations sur la sécurité :

Possession d'arme à feu : Interdite
Espionnage domestique : Interdite
Torture : Autorisée pour les militaires si ces derniers considèrent que c'est nécessaire
Peine capitale : En vigueur

Législations supplémentaires

Clonage : Interdit
Recherche génétique : Interdite
Organismes génétiquement modifiés : Autorisée
Jeux de hasards : Interdits sur le papier mais pareil que la prostitution
Consommation d'alcool : Interdite
Consommation de tabac : Interdite
Consommation de Cannabis : Interdite
Consommation de stupéfiants : Interdite


La théorie du Darwinisme à l'Ecole : Interdite
Engrais et pesticide dans l'agriculture : Utilisation autorisée
Additifs alimentaires dans les aliments : Utilisation autorisée
11983
La présentation des membres de l'Assemblée de Préservation du Culte


Grand Ayatollah
Neraman Farahani


A

Âge : Environ 78 ans

Biographie :
Neraman Farahani est né à Khodaraku dans la première moitié des années 1930. Dès sa naissance, il est destiné à devenir homme de foi. Et quand on naît dans une des Sept Familles, devenir homme de foi signifie devenir ayatollah. Il étudie donc la théologie dans la grande hawza de Khodaraku où son perd, le Grand Ayatollah Farokh Farahani, enseigne.
Très rapidement, le jeune homme est intégré aux réunions de l'Assemblée de Préservation du Culte. Malgré son jeune âge, à peine une vingtaine d'années à l'époque, Neraman Farahani est reconnu comme quelqu'un de très intelligent et rusé.
En 1961, son père décède et c'est tout naturellement que Neraman embrasse cette vie d'ayatollah. En 1969, quand arrive la révolution menée par Abdul-Bashit Hadad, Farahani conseille à ses compères de ne pas prendre parti et d'observer quel camp en sortira vainqueur. Finalement, les ayatollahs reconnaissent, sans grand entrain, le socialiste comme leader du pays. Faharani reste l'un des ayatollahs les plus hostiles à son encontre. C'est notamment lui qui pousse pour la création des Messagers du Prophète en 2007. Il n'en reste pas un moins un négociateur hors-pair, capable de manipulé n'importe qui.
D'un point de vue religieux, c'est aussi l'un des plus conservateurs de l'Assemblée de Préservation du Culte.



Qualité(s) :
_ Pieux
_Intelligent
_Diplomate

Défaut(s) :
_Ambitieux
_Orgueilleux
_Manipulateur

Particularité :

Victime d'une chute de cheval alors qu'il n'avait pas dix ans, il a bien failli mourir prématurément. Il réussi tout de même à survivre après des long d’alitement et ne pu jamais remarché correctement. Il garde encore des traces de cette accident, en effet le vieil homme boitille légèrement de la jambe droite.


* * * * * * * * * *
Conservateur

*
Pieu



Ayatollah
Mahdi Khamenhaa


A

Âge : Environ 85 ans

Biographie :
Si Neraman Farahani, comme la plupart des ayatollahs, était destiné à le devenir, c'est tout le contraire pour l'ayatollah Khamenhaa. Benjamin d'un fratrie de quatre garçons et trois filles, Mahdi était donc quasiment certain de ne pas devenir membre de l'Assemblée de Préservation du Culte. Il va donc faire un choix plutôt inhabituel et va aller étudier dans la célèbre université d'Albigark. Entre temps, deux de ces frères et son père meurent subitement touchés par une épidémie de peste, Mahdi passe donc numéro deux dans la hiérarchie mais est toujours derrière son grand frère, Jahangir qui devient ayatollah a seulement 18 ans.
Mahdi va donc se lancer dans une carrière d'homme d'affaire et faire fortune dans le textile, notamment en Youslévie où il devient un grand ami du créateur de la célèbre marque de vêtement Ardil, Txomin Erremandu. Là-bas, il va mener une vie de débauche bien loin de ce qui est toléré en temps normal pour un membre des Sept Familles.

Malheureusement, son frère Jahangir périt lui aussi à cause d'une seconde épidémie de peste. N'ayant pas enfanté, Jahangir ne laisse donc aucun hérité derrière lui. Le seul mâle de la famille Khamenhaa encore en vie n'est autre que Mahdi, qui doit donc abandonner sa vie de luxe pour reprendre le flambeau et éviter des guerres de succession.
Il a néanmoins du mal à se faire à sa nouvelle vie pieuse et n'a jamais vraiment abandonnée son ancienne. Il n'a jamais vraiment pu s'intéresser aux affaires de l'Assemblée de Préservation du Culte et encore aujourd'hui, le désormais octogénaire n'hésite pas à organiser des soirées privées qui feraient pâlir les orgies lofotenoises.



Qualité(s) :
_ Grand réseau
_Richesse
_Grand homme d'affaire, il est un très bon négociateur

Défaut(s) :
_Luxure
_Désintérêt des affaires du pays
_Méconnaissance de l'islam


Particularité :

Contrairement aux six autres ayatollahs, Mahdi Khamenhaa ne donne aucun enseignement à la grande hawza de Khodaraku. Aussi bien car il n'est absolument pas intéressé que parce qu'il n'a aucune connaissance de la religion pour laquelle il n'a d'ailleurs reçu lui même qu'un faible enseignement lorsqu'il était jeune.


* * * * *
Neutre

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Impie




Ayatollah
Nasser Reza


A

Âge : 22 ans

Biographie :
Nasser Reza est le plus jeune des membres de l'Assemblée de Préservation du Culte. A peine entré dans la vingtaine, il contraste avec les six autres vieillards que sont les ayatollahs.
Le jeune home ne devait accéder à ce poste aussi important aussi tôt. En effet, son père, Mohammed, est tragiquement décédé alors qu'il n'avait même pas la cinquantaine. On ne connaît toujours pas les causes exactes de son décès même s'il il semblerait qu'il ai succombé d'une intoxication alimentaire. Les rumeurs et bruits de couloirs vont donc bon train et tout le monde à déjà son suspect favori concernant cette affaire.
Il est vrai que les Reza n'ont pas que des amis, au contraire. Représentante de la minorité chiite du Farisistan, la famille n'est donc pas très aimée des six autres qui composent l'Assemblée de Préservation du Culte. De l'autre côté, Abdul-Bashit Hadad avait bien compris le tort que pouvait causer les Reza aux autres ayatollahs, il était donc devenu grand ami avec Jibril, le grand-père de Nasser. Les deux hommes s'entraidaient jusqu'à la mort de Jibril et la succession de Mohammed, qui lui avait décidé de rompre avec cette alliance tacite entre sa famille et les révolutionnaires, provoquant la colère de ces derniers.
Nasser a donc une lourde pression sur les épaules et devra, durant son mandat qui durera jusqu'à sa mort, faire face à bien des menaces venant de tous les côtés.



Qualité(s) :
_Intelligent
_Populaire au sein de la minorité sunnite
_Connaissance impressionnante de la religion pour son âge

Défaut(s) :
_Timide
_Intimidable
_Vulnérable


Particularité :

Nasser est décris comme un jeune homme renfermé et peu à l'aise dès qu'il s'agit d'interagir avec d'autres personnes. Il préfère s'enfermer des jours durant dans ses quartiers pour étudier le Coran et d'autres livres philosophiques ou théologiques.


* * * * * * *
Plutôt conservateur

*
Pieux




Ayatollah
Ali Jalili


A

Âge : Environ 90 ans

Biographie :
Ali Jalili est le vétéran des ayatollahs. Il est en poste depuis les années 1940, donc presque 70 ans, un record pour un ayatollah. De nombreuses fois on lui a proposé de devenir le grand ayatollah mais il n'a jamais accepté, estimant que ce pouvoir supplémentaire le détournerait de la foi.
Né il y a presque cent ans, Jalili a vu les différents changements qui ont secoués la société farisi lors du dernier siècle. Les famines, les épidémies et les changements de régimes n'ont pas suffit à faire vaciller cet homme frêle qui ne paye pas de mine.
Très respecté au sein de l'Assemblée de Préservation du Culte, son avis compte énormément même s'il ne le donne quasiment jamais. Faible, il doit se déplacer en fauteuil roulant. Il est adulé par l'opinion public et est estimé par Abdul-Bashit Hadad, chose extrêmement rare pour un ayatollah. La légende raconte même qu'Hadad aurait un jour dit : "Jalili sera le seul ayatollah que j'épargnerais".
Sur le plan théologique, Jalili est bien évidemment très conservateur mais n'est pas le plus extrême.



Qualité(s) :
_Sage
_Expérimenté
_Respecté aussi bien par les ayatollahs que les révolutionnaires

Défaut(s) :
_Faiblesse physique
_
_


Particularité :

Ali Jalili et Nasser Reza sont devenus de bons amis. Le plus jeune et le plus vieux des membres de l'Assemblée de Préservation du Culte ont noués une réelle relation de confiance dans cet environnement méfiance et de complot. Ali admire les connaissances de Nasser et envie sa jeunesse quand au contraire, le jeune sunnite ne se lasse pas des enseignements et des anecdotes du vieux chiite. Les deux passent des heures à discuter et Ali est l'une des seules personnes avec qui Nasser arrive à discuter. Ali est aussi d'une grande aide au sein de l'Assemblée et n'hésite pas à supporter et aider Nasser face aux autres ayatollahs souvent très agressifs avec le jeune homme.


* * * * * * * *
Conservateur

* * *
Pieux




Ayatollah
Saeed Soroush


A

Âge : Environ 70 ans

Biographie :
Saeed Soroush est sans doute le plus atypique des ayatollahs. Tout comme Mahdi Khamenhaa, il n'était pas destiné à devenir un membre de l'Assemblée de Préservation du Culte. Cadet d'une fratrie de seulement deux frères, chose rare dans un pays où les moyens de contraceptions sont inexistants. C'était donc son grand frère, Aziz, qui devait prendre la succession de leur père à sa mort.
Saeed Soroush est donc parti étudier dans la prestigieuse université d'Albigärk où les idées révolutionnaires et libertaires des voisins pharois infusèrent dans son jeune esprit. Elles infusèrent si bien que Saeed quitta l'université pour s'engager dans la piraterie et parcourir les mers avec ses compagnons.
Cette vie dura une dizaine d'années jusqu'à ce qu'il apprenne que son frère renonçaient à ses responsabilités pour des raisons encore obscures aujourd'hui. Selon les rumeurs, Aziz était homosexuel et sa famille ayant découvert sa supercherie décida de l'écarter de l'Assemblée et de ses conflits pour le protéger. Devant le fait qu'il était désormais le seul successeur à son père, Saeed abandonna la piraterie et reprit le flambeau paternel afin de sauvegarder la lignée des Soroush à l'Assemblée de Préservation du Culte.

L'ayatollah pirate est une exception comparé à ses compères. Saeed Soroush n'est en effet pas du tout en phase avec les idées très conservatrices de la grande majorité des ayatollahs, il en est même à l'opposé. Toutefois, il n'est pas non plus très à l'aise avec la vision du socialisme qu'ont les révolutionnaires et Abdul-Bahsit Hadad. Pour l'instant, il jongle entre les deux institutions farisi assez bien mais cela ne peut durer qu'un temps



Qualité(s) :
_Cultivé
_Grand combattant
_Réseau avec le milieu pharois notamment

Défaut(s) :
_Ses idéologies qui ne collent ni vraiment avec celle de l'Assemblée ni vraiment avec celle d'Abdul-Bashit Hadad. Cette dualité peut être très dangereuse pour lui à terme.
_
_


Particularité :

Saeed Soroush arbore une cicatrice assez remarquable sous son œil gauche, souvenir de son ancienne vie de pirate.
Aussi, il est rarement sans son perroquet, un Amazone du nom de Nemo. Issu d'une race très intelligente, l'oiseau serait capable, selon certaines rumeurs, d'avoir des conversations courtes avec Soroush.


*
Progressiste

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En proie au doute





Ayatollah
Naser Zadeh


A

Âge : Environ 51 ans

Biographie :
Tout comme l'ayatollah précédent, Naser Zadeh a étudié à l'école islamique de Khodaraku mais aussi dans une université étrangère au Farisistan. Contrairement à Soroush, Zadeh a lui passé ses années universitaires à Lacrima di Perla, sur le territoire fortunéen de la côte afaréenne du Deltacruzando.
Zadeh est encore en de nombreux points bien différent de Saeed Soroush. Avec peu de considérations pour les affaires politiques, le deuxième ayatollah le plus jeune malgré sa cinquantaine d'années passée est pourtant un fin conspirateur et négociateur. Peu lui importe que son interlocuteur soit un révolutionnaire ou un intégriste, l'objectif est d'être dans le camps qui propose le plus d'argent. Homme vénal, Naser Zadeh n'en est pas moins un puits de savoir et est très rusé. Ces deux qualités réunis font de lui un personnage très dangereux dont tout le monde se méfie.
Certains disent qu'il pourrait même réussir à détrôner l'indéboulonnable Farahani si l'envie lui prenait. A l'évocation de cette théorie, Zadeh répondra sans doute que cela ne risque pas d'arriver car être Grand Ayatollah ne paye pas assez bien.

Des rumeurs, dont quelques unes sont assez drôles, nourrissent le fantasme sur l'insondable Zadeh. On l'a affilié aux oligarques carnavalais ou à l'Orga youslève. D'autres affirment que c'est un espion de la Sérénissime qui aurait réussit à l'attirer dans ses filets durant ses années universitaires. Peut-être que tout cela est vrai, peut-être que tout cela est faux. Toutefois, une seule chose est certaine: Naser Zedah n'est fidèle qu'a lui même et suivra toujours ses intérêts.



Qualité(s) :
_Cultivé
_Très intelligent
_Réseau inconcevable

Défaut(s) :
_Craint par les révolutionnaires et les ayatollahs. Ne pas avoir d'alliés mais que des ennemis potentiels pourrait se retourner contre lui.
_Corruptible
_Peut pêcher par orgueil ou excès de confiance


Particularité :

Ses yeux bleus-verts et son teint un peu plus pâle que les autres est lui aussi source de nombreux potins. Est-il un bâtard ? Là aussi la question reste entière.


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Neutre

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Se fiche de ces considérations





Ayatollah
Jaffar Momeni


A

Âge : Environ 75 ans

Biographie :
Jaffar Momeni est l'un des piliers de l'Assemblée de Présservation du Culte. Destiné dès le plus jeune âge à devenir ayatollah Jaffar était un élève brillant doté d'une grande intelligence et d'une psychologie peu commune dans le milieu où il évolue.
Très tôt, il se lie d'amitié avec Neraman Farahani et deviennent très proches. Momeni est le seul confident qu'à Farahani et est aussi son plus grand conseiller. Ses avis sages et souvent juste sont d'une grande aide pour le Grand Ayatollah.
Jaffar Momeni fait aussi jouer ses dons de psychologue et de conciliateur pour calmer les querelles au sein de l'Assemblée et éviter que le fragile équilibre ne vacille. Momeni a bien compris que l'ensemble des caractères, parcours et aspirations des six autres membres du conseil des ayatollahs était une dangereuse bombe à retardement si quelqu'un ne s'occupait de jouer les médiateurs.
Pour le bien du Farisistan, Momeni est aussi l'interlocuteur principal d'Abdul-Bashit Hadad. Bien qu'il honnisse le dictateur, il est conscient que le précaire statu quo dans le pays ne tient qu'à un fil.


Plusieurs sources affirment que Momeni est assez gravement malade et que ses jours lui sont comptés. Ultra présent sur la scène médiatique en tant que bras droit de Farahani, chacune des ces interventions est scrutée afin de repérer d'éventuels signes de faiblesse.



Qualité(s) :
_Fin psychologue
_Loyal
_

Défaut(s) :
_Manque de charisme
_Faiblesse physique
_


Particularité :
Jaffar Momeni est très petit. Il ne mesure en effet qu'un mètre soixante à peine.



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Conservateur

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Pieu
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