Fondé en 1909, Le Daily Star est un quotidien lofotène anglophone publié majoritairement dans la ville du Sutherlands de Lübeck Il a la plus grande distribution de tous les quotidiens de ce Landesdeler, si on exclue les grands médias nationaux. Il dépasse les 300 000 exemplaires par jour (distribués presque entièrement dans le Sutherlands et dans une moindre mesure dans les provinces anglophones du Midlands). Le journal met l'accent sur la couverture de nouvelles régionales de la grande région métropolitaine de Lübeck et de Pembertøn.
La ligne éditoriale du Star est gouvernée par les principes de son fondateur, Arthur Lee Atkinson. Atkinson, fut le rédacteur en chef du journal de 1909 à 1928, avait une forte conscience sociale et défendait nombre de causes associées avec l'État-providence moderne : les pensions de vieillesse, l'assurance sociale, l'égalité homme-femmes et l'universalité du système scolaire, des principes qui guident toujours les positions du journal.
Aujourd'hui le Daily Star promet toujours des valeurs telles que l'union et l'harmonisation des Fylker et des Landsdeler (au détriment du fédéralisme), les libertés civiles et individuelles, l'engagement civique et communautaire et le rôle nécessaire du gouvernement central.
Le journal a presque toujours appuyé le Parti Social Démocrate. Pendant les années du Grand Repli, il met en avant certains candidats du Front Populaire aux élections locales, ce qui lui vaut d'être régulièrement perquisitionné et mis sous pression par les autorités fédérales et le FSD, en vain.
La ligne éditoriale du Star est gouvernée par les principes de son fondateur, Arthur Lee Atkinson. Atkinson, fut le rédacteur en chef du journal de 1909 à 1928, avait une forte conscience sociale et défendait nombre de causes associées avec l'État-providence moderne : les pensions de vieillesse, l'assurance sociale, l'égalité homme-femmes et l'universalité du système scolaire, des principes qui guident toujours les positions du journal.
Aujourd'hui le Daily Star promet toujours des valeurs telles que l'union et l'harmonisation des Fylker et des Landsdeler (au détriment du fédéralisme), les libertés civiles et individuelles, l'engagement civique et communautaire et le rôle nécessaire du gouvernement central.
Le journal a presque toujours appuyé le Parti Social Démocrate. Pendant les années du Grand Repli, il met en avant certains candidats du Front Populaire aux élections locales, ce qui lui vaut d'être régulièrement perquisitionné et mis sous pression par les autorités fédérales et le FSD, en vain.
The Spectator est un journal lofotène hebodmadaire de langue anglaise. Basé à Pembertøn, il est de tendance libérale à conservatrice. Distribué dans tout les Provinces-Unies, et tiré à près d'un million d'exemplaires par semaine, il s'agit de l'un des journaux nationaux à plus fort tirage au Lofoten. Il est en plus le second journal local en importance, après le Daily Star. Il est publié dans tous les Landsdeler sauf l'Archipel du ponant.
La ligne éditoriale du journal est conservatrice et orientée vers le monde de la finance. Toutefois, depuis 1998 et le lancement d'un concurrent, le Polar News, sur la même ligne conservatrice, le journal a décidé de tendre de plus en plus vers un libéralisme plus ou moins progressiste.
Au cours des dernières années, The Spectator a quelquefois été accusé de « French bashing » après la publication de certains articles francophobes. Le dernier cas est arrivé en septembre 2002, lorsque la journaliste vedette de l'hebdomadaire, Debra Ellegaard qui impose la prédominance du français dans l'affichage commercial des Provinces francophones du Midlands, la cause d'une série d'erreurs médicales médiatiques qui touche le système hospitalier medlandais. Les coupables étaient des professionnels anglophones, et la journaliste prétendait que le décret fédéral du Ring qui officialise le multilinguisme et le multiculturalisme marginalise les personnes qui ne sont pas « Francophones de souche ». Cette controverse avait pris une ampleur inégalée lorsque plusieurs politiciens ont vivement protesté. Le Jarl de la Province de Montcalm, principalement visée, Jean de Lalande, ainsi que la Chancelière Fédérale, Sigrid Olfgarsson, avaient écrit au journal pour condamner l'article en question.
Après avoir d'abord défendu le droit de sa journaliste de présenter ses opinions, The Spectator a fini par présenter ses excuses. La journaliste Debra Ellegaard a finalement été licenciée par le journal, sans indemnités.
Depuis, le journal tente de se racheter une respectabilité en modérant les sujets intercommunautaires. Traditionnellement, les éditorialistes affichent un soutien appuyé au Parti de l'Union.
La ligne éditoriale du journal est conservatrice et orientée vers le monde de la finance. Toutefois, depuis 1998 et le lancement d'un concurrent, le Polar News, sur la même ligne conservatrice, le journal a décidé de tendre de plus en plus vers un libéralisme plus ou moins progressiste.
Au cours des dernières années, The Spectator a quelquefois été accusé de « French bashing » après la publication de certains articles francophobes. Le dernier cas est arrivé en septembre 2002, lorsque la journaliste vedette de l'hebdomadaire, Debra Ellegaard qui impose la prédominance du français dans l'affichage commercial des Provinces francophones du Midlands, la cause d'une série d'erreurs médicales médiatiques qui touche le système hospitalier medlandais. Les coupables étaient des professionnels anglophones, et la journaliste prétendait que le décret fédéral du Ring qui officialise le multilinguisme et le multiculturalisme marginalise les personnes qui ne sont pas « Francophones de souche ». Cette controverse avait pris une ampleur inégalée lorsque plusieurs politiciens ont vivement protesté. Le Jarl de la Province de Montcalm, principalement visée, Jean de Lalande, ainsi que la Chancelière Fédérale, Sigrid Olfgarsson, avaient écrit au journal pour condamner l'article en question.
Après avoir d'abord défendu le droit de sa journaliste de présenter ses opinions, The Spectator a fini par présenter ses excuses. La journaliste Debra Ellegaard a finalement été licenciée par le journal, sans indemnités.
Depuis, le journal tente de se racheter une respectabilité en modérant les sujets intercommunautaires. Traditionnellement, les éditorialistes affichent un soutien appuyé au Parti de l'Union.