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Les religions au Burujoa

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Les religions au Burujoa, Hanaoïsme partie 1 - Introduction générale

L’Hanaoïsme repose sur l'idée que chaque culture a ses propres dieux et déesses, chacun représentant différents aspects de la vie et de l'univers. Les hanaoïstes croient qu’ils n’existent pas de hiérarchie entre les dieux et qu'ils doivent être honorés et vénérés ensemble.

temple
Un temple dédié à Mokosh à Sokseong
Chaque culture annexée par l’empire a apporté ses dieux ou transformé les dieux existants, mais également de nouveaux rites ou pratiques religieuses.

Voici une liste des principales divinités, en terme de cultes et de croyances, dans tout l’empire :
- dieux Xin: Tian, le dieu du ciel, Feng Po Po, la déesse du vent, Yu Huang, le dieu de la richesse et de l'abondance
- dieux jinuens: Seowangmo, la déesse de la santé, Jangueo, la déesse de la nourriture, Munsu, le dieu de l'amour
- dieux ylmasiens : Hachiman, le dieu de la sagesse, Inari, la déesse de la nature et de l'agriculture, Amenominakanushi, le dieu de la création, Amatera, déesse de la chance, de la fortune et protectrice famille impérial
- dieux vomogorodiens : Perun, le dieu de la foudre et de la guerre, Mokosh, la déesse de la fécondité et de la famille, Yemanja, la déesse de la mer
- dieux cendanois : Libertas, la déesse de la liberté, Aero, le dieu des voyages, Technos, le dieu de la technologie.

Les pratiques religieuses hanaoïstes comprennent des prières, pour demander guidance, protection, richesse, santé aux dieux. Ces prières peuvent être prononcées à voix haute ou murmurées, selon les dieux et contiennent des mantras, des chants ou des incantations, selon la région. Ils peuvent aussi faire des offrandes, principalement des objets de valeur, de la nourriture, des fleurs et de l'encens. On trouve également des rituels, des fêtes, des pèlerinages et des célébrations, qui peuvent varier selon la colonie. Les hanaoïstes peuvent choisir de se concentrer sur un ou plusieurs dieux ou déesses en particulier, comme il est souvent le cas au Vomogorod ou Tairopototo, ou de les honorer tous ensemble, comme dans le reste de l'empire.

L'Hanaoïsme encourage principalement la tolérance et le respect des autres cultures et croyances, et promeut l'unité et la compréhension entre les peuples.
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Les religions au Burujoa, Hanaoïsme partie 2, les dieux d’origines Xin

Tian, dieu du ciel
Tian est selon la légende, créé au début des temps en même temps que les autres dieux pour réguler le ciel et les éléments, il est vénéré comme le créateur et le protecteur de l'univers. Ne sachant que faire dans le vide, les dieux commencèrent à se disputer ; à se battre entre eux et acquièrent au cours de leurs combats des capacités divines et c’est au cours de ces combats que Tian a créé le monde en utilisant sa magie divine et en ordonnant aux éléments de se placer en leur lieu approprié. Il a ensuite créé les animaux et les plantes pour peupler le monde, et enfin, il a créé les premiers humains pour leur donner la vie et la conscience. Par la suite, c’est également ces combats qui ordonnent la place des dieux et déesses dans le monde.

Tian est donc vénéré pour son pouvoir créateur et sa bonté envers les humains. Les hanaoïstes ont commencé à lui offrir des sacrifices et des prières pour lui demander de les protéger de la météo et d'autres dangers, et pour les bénir avec une bonne récolte et une vie prospère. Au fil des siècles, l’Hanaoïsme est devenue de plus en plus populaire, et Tian est devenu un dieu très vénéré dans de nombreuses régions du monde. Les hanaoïstes continuent de lui offrir des sacrifices et des prières, et il est devenu un symbole de force, de bonté et de sagesse pour des millions de personnes. Il est dit que Tian a un temple céleste, assimilable au Soleil, où il réside avec les autres dieux et déesses et où les âmes des défunts sont amenées pour être jugées et récompensées ou punies en fonction de leurs actions sur terre. Les hanaoïstes croient que s'ils ont vécu une vie juste et bonne, ils seront récompensés par une vie éternelle dans le temple de Tian.

Comme tous les dieux hanoïstes, il a une fête dédiée, le 21 juillet, qui inclut des prières collectives dans les temples, des offrandes, des chants et des danses traditionnelles Xin dans des grands espaces dégagés à l’aube ou au crépuscule. Le soir de grands feux d'artifice sont tirés et de grands feux de joie sont allumés pour célébrer l'éclat de Tian.

Feng Po Po, gardienne des vents
Feng Po Po est la déesse qui est vénérée comme la gardienne des vents. Selon la légende, elle a été créée en même temps que les autres dieux et a acquis des capacités de régulation des vents et des tempêtes. Les gens croyaient que les vents pouvaient causer des dommages considérables à leurs récoltes et à leurs maisons, ils ont donc commencé à vénérer Feng Po Po pour la protéger d'eux. Feng Po Po est décrite comme étant une femme belle et majestueuse, avec des ailes qui lui permettent de voler à travers les cieux. Elle est souvent représentée avec un chapeau de pagode et un éventail, symbolisant son pouvoir sur les vents. Plus globalement, elle est considérée comme la déesse de tous les vents, de tous les souffles de vie et de tous les mouvements du monde.

Sa fête est également l’occasion de grandes réjouissances, le 3 octobre, avec en premier lieu des offrandes de fruits et de légumes de la dernière récolte mais également des objets en papier, symbole du vent au Xinemane. Vient ensuite une grande et longue cérémonie religieuse, menée par une dizaine de prêtres et prêtresses, en revêtus de costumes élaborés conduisant des danses et prières complexes, pendant que les fidèles dansent et chantent.
Sa fête est également un grand moment de réjouissance pour profiter des derniers temps cléments de l’année, avant les premières tempêtes et gelées blanches. C’est pour cela que de grands dîners collectifs et de multiples jeux et concours en plein air sont organisés dans tout l’empire. Plus globalement, la fête de Feng Po Po est la “dernière fête de l’année”, puisque pendant des siècles les semaines et mois suivants cette fête était marquée par des conditions climatiques extrêmement dures et par une grande sobriété de vie. Cette fête a un triple but : remercier des temps cléments, demander un hiver doux et enfin espérer un printemps vigoureux.

Yu Huang, dieu de la richesse et de l'abondance
Yu Huang est le dieu de la richesse et de l'abondance, selon la légende, il était autrefois un mortel ayant vécu une vie simple et honnête. Cependant, grâce à sa diligence et à sa bonne fortune, il est devenu de plus en plus prospère et a finalement attiré l'attention des dieux. Impressionné par sa richesse et sa générosité, les dieux ont décidé de l'honorer en le transformant en un dieu à part entière. Depuis ce jour, Yu Huang est considéré comme le protecteur de tous ceux qui cherchent à améliorer leur richesse et leur abondance, et il est souvent imploré de favoriser la prospérité des individus et des entreprises.
Outre son rôle en tant que dieu de la richesse et de l'abondance, Yu Huang est également considéré comme un protecteur des voyageurs et des marchands, et il est souvent imploré de veiller sur les voyageurs et de favoriser les transactions commerciales.

La fête de Yu Huang, à l’inverse de celle de Feng Po Po, se déroule en début d’année, le 3 avril, elle commence par une procession solennelle à travers les rues des villes et villages, durant laquelle les gens défilent avec des offrandes pour Yu Huang. Ces offrandes comprennent des aliments, de l'argent, des bijoux et autres objets de valeur qui symbolisent la richesse et l'abondance. Une fois arrivés à l'autel de Yu Huang, les fidèles s'inclinent profondément devant le dieu et présentent leurs offrandes. Les prêtres consacrent alors les offrandes à Yu Huang en récitant des prières et en faisant brûler de l'encens. La fête se poursuit avec des cérémonies de danse et de musique qui sont destinées à honorer Yu Huang et à implorer sa bénédiction pour une année prospère et abondante. Les gens mangent et boivent ensemble pour célébrer la richesse et l'abondance, et il est considéré comme très chanceux de pouvoir participer à la fête de Yu Huang.
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Les religions au Burujoa, Hanaoïsme partie 3, les dieux d’origines jinuennes

Seowangmo, la déesse de la santé

Seowangmo sans doute la déesse la plus respectée de l’Hanaoïsme. Elle est notamment connue pour être la seule déesse à ne pas avoir pris part aux combats initiaux, mais au contraire pour être venue au chevet de tous ces camarades et de tous les avoir soigné. Elle est également connue pour son immense pouvoir de guérison et sa capacité à protéger les gens contre les maladies et les blessures. Elle est considérée comme une déesse très sage et compréhensive, qui écoute attentivement les prières de ceux qui viennent à elle pour demander son aide. Elle est également une des rares déesses à descendre du Soleil et à se méler au reste du monde, sous diverses formes de femmes, mais souvent une jeune femme ou au contraire une femme âgée, presque centenaire.

Les journées de Seowangmo sont consacrées à aider les gens. Elle passe ses journées à écouter les prières des gens qui viennent la voir, à les guider sur le chemin de la guérison et à leur apporter une aide spirituelle. Elle est également considérée comme une déesse très juste et équitable, qui ne favorise aucun groupe en particulier et travaille sans relâche pour aider tous ceux qui en ont besoin.

Malgré son immense pouvoir, Seowangmo est une déesse très humble et accessible. Ses préceptes millénaires se répandent aujourd’hui dans le monde entier puisqu’elle encourage les gens à prendre soin de leur santé en adoptant un mode de vie sain, en mangeant des aliments sains et en pratiquant régulièrement des activités physiques. Elle leur montre également comment trouver la paix intérieure à travers la méditation et la prière. Aujourd’hui sa notoriété et son culte dépassent les simples fidèles hanaoïstes, puisque des millions de personnes suivent ses préceptes ou son mode de vie, constituant presque un nouveau mode de vie proche d’une forme de pureté, telle qu'on la trouvait autrefois en Ylma Jinu, en marge du développement économique effréné de nombreux pays.

La fête de Seowangmo est célébrée chaque année le 20 mai pour honorer la déesse de la santé et la remercier pour ses bénédictions sur la santé et la longévité des gens. La fête est une occasion pour les gens de se rassembler pour prier ensemble et offrir des sacrifices en l'honneur de Seowangmo.Le jour de la fête, les gens se réunissent dans les temples dédiés à Seowangmo, où ils offrent des fruits, des légumes, des tisanes, de l’eau pure des herbes et d'autres aliments considérés comme bénéfiques pour la santé. Les prières sont dites pour demander la protection et la guérison pour ceux qui sont malades, ainsi que pour remercier la déesse pour les bénédictions de santé qu'elle a apportées à ceux qui sont en bonne santé.
En plus des offrandes alimentaires, les gens peuvent aussi offrir des bijoux, des objets en or et en argent, ainsi que des parfums pour remercier Seowangmo pour sa bonté. Les temples sont décorés de fleurs et de guirlandes de papier coloré, et les fidèles dansent et chantent des prières en l'honneur de la déesse. La fête de Seowangmo est une occasion pour les gens de se rappeler l'importance de prendre soin de leur santé et de la préserver pour l'avenir. Les célébrations se terminent par un grand banquet communautaire, où les gens partagent de la nourriture et des boissons en l'honneur de Seowangmo. Elle est instrumentalisée par le département de la Santé pour promouvoir de multiples politiques de santé publique.

Jangueo, la déesse de la nourriture

Jangueo est considérée comme la déesse de la nourriture et de l'abondance. On dit qu'elle a le pouvoir de contrôler les récoltes et les sources de nourriture sur les terres burujoises bénites

Jangueo est également considérée comme une déesse bénéfique et généreuse, toujours prête à aider ceux qui sont dans le besoin. On dit que si l'on offre des prières et des offrandes à Jangueo, elle bénit les récoltes et garantit une année de récolte abondante.

La fête de Jangueo est célébrée au milieu du printemps, le 4 juin, à l'arrivée des premières récoltes de la saison. Ses adeptes, principalement des paysans, se rassemblent pour célébrer la générosité de Jangueo et pour lui exprimer leur gratitude pour les récoltes abondantes. On offre des céréales, des fruits et des légumes en sacrifice, et on danse et chante pour honorer la déesse.

La vie de Jangueo reste un mystère pour la plupart des croyants et de multiples prêtres essaient de comprendre sa vie. On sait seulement qu’elle a été créée en même temps que les autres dieux. Mais malgré ce mystère son culte reste important pour les agriculteurs et les peuples qui dépendent de la nourriture pour leur subsistance. Célébrée chaque année depuis des siècles, la fête de Jangueo est un symbole de la générosité divine et de la gratitude humaine.

Munsu, le dieu de l'amour et de la beauté

Munsu est connu pour son charme et son charisme. Il est aimé de tous, car il apporte de la joie et de l'espoir dans la vie des gens. Munsu est également très talentueux et est considéré comme l'un des plus beaux chanteurs et danseurs. Il a également participé au grand combat des dieux, mais sa beauté et son charme sans égal lui ont permis de gagner plusieurs combats sans porter un seul coup à son adversaire, en particulier aux déesses.

À présent, Munsu est vénéré par de nombreux fidèles, qui lui apportent des offrandes pour implorer son aide dans leurs relations amoureuses. Il est également célébré lors de grandes fêtes annuelles, il n’a pas de dates spécifiques, chaque année le grand prêtre demande à Munsu ses dates. A cette occasion, les fidèles dansent et chantent en son honneur, pour célébrer l'amour et la beauté qu'il incarne. C’est également la période où la plupart des grandes cérémonies de mariage sont organisées pour bénir les couples qui s'unissent, sous le regard bienveillant de Munsu. Les nouveaux mariés portent des vêtements blancs et sont couronnés de fleurs, et les invités dansent et chantent pour célébrer leur amour. En fin de journée, de grandes processions se forment, où de nombreux burujois défilent dans les rues avec des lanternes colorées, en remerciant Munsu pour son amour et sa beauté. La fête se termine par un grand feu d'artifice pour célébrer la beauté, l'amour et la lumière qu'il apporte dans le monde.
Enfin, le prince héritier Leonhard, est de plus en plus comparé à Munsu, son allure d’ange, ses cheveux d’or, ses yeux d’azur, son allure élancée et son “corps de rêve” fait penser à certains fidèles qu’il serait la réincarnation de Munsu sur terre.
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Les religions au Burujoa, Hanaoïsme partie 4, les dieux d’origines ylmasiennes

Hachiman, le dieu de la sagesse et de la stratégie
Hachiman, dieu de la sagesse et de la stratégie, est connu pour sa sagacité et son intelligence hors du commun. Il est considéré comme le protecteur des guerriers, des stratèges et des conseillers, et est souvent appelé à offrir des conseils avisés dans les moments les plus critiques. Hachiman est né de l’union entre le dieu de la guerre, Perun, et la déesse de la liberté, Libertas. Dès son plus jeune âge, il montre un grand talent pour la stratégie et la pensée logique. Il étudie auprès des dieux mais également des plus grands sages et guerriers, en descendant sur Terre et acquiert une grande connaissance des arts militaires et de la tactique. Au fil des ans, Hachiman acquiert une grande réputation en tant que conseiller et stratège. Il aide de nombreuses fois les empereurs burujois lors des guerres. Il est considéré comme le planificateur de la colonisation burujoise. Il est particulièrement respecté pour son sens de l'honneur et son engagement envers la justice. Malgré sa sagesse et son intelligence, Hachiman est également connu pour son humilité et son désir de servir les autres. Il ne vit pas dans le Soleil, mais parcourt le monde discrètement pour acquérir de nouvelles connaissances ou observer discrètement les conflits en cours.

La fête de Hachiman est plus confidentielle et célébrée par les guerriers, le 10 novembre, les stratèges et les conseillers. On y offre quelques prières pour solliciter son aide et son soutien dans les moments de crise. On rend également hommage à son engagement envers la justice et son sens de l'honneur.

Inari, la déesse de la nature
Inari est la déesse de la nature, elle a participé au combat des dieux mais elle perd la plupart de ses combats et descend donc sur la très jeune Terre. Elle y trouve alors des êtres humains vivant en harmonie avec la nature. Inari est alors vénérée pour ses pouvoirs sur les récoltes, les animaux et les éléments naturels. Inari a une personnalité douce et bienveillante, aime aider les gens à trouver la paix et la prospérité. Cependant, au fil du temps, les humains ont commencé à détruire la nature et à exploiter les ressources de la terre sans réfléchir à l'impact de leurs actions. Inari a été profondément peiné par cette situation et a décidé de se retirer du monde pour méditer sur la meilleure façon de protéger la nature. Elle retourne alors sur le Soleil. Au bout de nombreux siècles de méditation, Inari réalise qu'elle ne peut pas tout faire seule et qu'elle doit inspirer les gens à changer leurs habitudes et à travailler ensemble pour protéger la nature. Elle revient donc à nouveau sur Terre, plus déterminée que jamais à enseigner aux gens à respecter et à prendre soin de la nature.

De nos jours, Inari est vénérée et invoquée par les hanaoïstes qui cherchent à protéger la nature et à vivre en harmonie avec elle. La fête de Inari, le 10 septembre, célèbre son retour dans le monde et l'importance de protéger la nature pour les générations futures. Ses disciples apportent des offrandes de nourriture, de fleurs et d'eau pure pour honorer Inari et lui montrer leur gratitude pour son enseignement et sa bénédiction. Elle est une déesse les moins vénérés de l’empire.

Amenominakanushi, le dieu de la création manuelle
Amenominakanushi est le dieu de la création manuelle et de la main-d'œuvre. Il a obtenu une place de choix lors du combat des dieux grâce à ses nombreuses armes et outils mais se contentera Selon la légende, Amenominakanushi a créé les outils et les compétences nécessaires pour que les humains puissent construire et travailler la terre, permettant ainsi à la civilisation de se développer et de prospérer. Le culte d'Amenominakanushi était très populaire parmi les artisans et les travailleurs, qui considéraient le dieu comme leur protecteur et leur guide spirituel. Ils croyaient que les bénédictions d'Amenominakanushi les aideraient à accomplir leur travail avec plus de talent et de succès.
Sa grande fête est organisée le 29 septembre pour célébrer ses pouvoirs créateurs et pour remercier, des défilés avec des charrettes et des outils de construction décorés sont organisés, suivis de cérémonies religieuses où les gens apportent des offrandes pour honorer Amenominakanushi, souvent des outils fabriqués au cours de l’année.


Amatera, déesse de la famille impériale
Amatera est la déesse de la prospérité et de la chance, mais surtout de la famille impériale. Selon la légende, elle a été invoquée par la famille Burujoa, au moment où elle commençait à gagner en pouvoir et influence, mais pas. Les membres de cette famille ont offert des sacrifices et des prières à Amatera, lui demandant de les aider à devenir plus puissants et plus riches.
Amatera a répondu à leurs prières en leur accordant sa faveur et sa bénédiction. Les membres de la famille Burujoa ont commencé à connaître une série de succès commerciaux et politiques, et ils ont rapidement augmenté leur puissance et leur richesse.
Une fois l’empire fondé, les Burujoa continuèrent à vénérer Amatera, lui offrant de nombreux sacrifices, parfois humains comme en Maronhi, et des prières pour remercier pour les bénédictions qu'elle leur avait accordées. Ils ont également commencé à construire des temples et des autels dédiés à Amatera, pour lui rendre hommage et pour continuer à lui demander sa faveur.
Au fil des siècles, la famille Burujoa est devenue la famille impériale la plus puissante et la plus riche du monde, et ils ont étendu leur empire sur de nombreuses régions. Les sujets de l’empire continuent de vénérer Amatera comme une déesse de la prospérité et de la chance, et elle est devenue un symbole de la réussite et de la richesse pour des millions de personnes.
Amatera a offert des bénédictions et des offrandes à la famille Burujoa en réponse à leurs prières dévouées et à leur dévotion envers elle. Selon la légende, ces bénédictions seraient la richesse, la prospérité, la réussite commerciale et politique, ainsi que la santé et la longévité pour les membres de la famille.
Il est également dit que Amatera a accordé des pouvoirs surnaturels à certains membres de la famille Burujoa, tels que la capacité de prédire l'avenir ou de contrôler les éléments naturels. Les temples et les autels dédiés à Amatera sont intégralement financés sur les deniers personnels de la famille impérial qui veillent à ce qu’ils soient remplis d'offrandes de nourriture, de bijoux et de trésors mais également que des cérémonies soient régulièrement organisées pour lui rendre hommage

Amatera aurait offert des objets magiques et sacrés aux membres de la famille Burujoa pour les aider dans leur quête de pouvoir et de richesse. Selon la légende, ces objets seraient des petites amulettes porte-bonheur, des miroirs magiques qui peuvent révéler l'avenir, et des bâtons de pouvoir qui pouvaient contrôler les éléments naturels.
Il est dit que l'un des objets les plus précieux offerts par Amatera est un sceptre enchanté, qui donne à son porteur le pouvoir de commander aux armées et de vaincre ses ennemis. Ce sceptre a été transmis de génération en génération au sein de la famille Burujoa, et a été utilisé pour soutenir l’expansion territoriale et la domination burujoise dans le monde .

Il y a aussi une histoire qui dit que Amatera a offert une couronne magique à la famille Burujoa qui leur a permis de vivre plus longtemps et d'être plus résistants aux maladies. Cette couronne est un symbole de leur statut de famille impériale et est conservée comme un trésor précieux dans le grand temple de Karaimu, à l’instar des amulettes, miroirs et sceptre magique.
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Les religions au Burujoa, Hanaoïsme partie 5, les dieux d’origines vomogorodiennes

Perun, le dieu de la foudre et de la guerre
Perun est l'un des premiers dieux Hanaoïste, il existe depuis plusieurs millénaires et était le dieu principal de la religion polythéiste locale du Vomogord. C’est un dieu puissant responsable de la foudre et de la guerre. Il est considéré comme un leader parmi les autres dieux et est souvent appelé à prendre les décisions les plus importantes pour le bien de l'univers. Il aurait perdu face à Amatera et Tian lors du combat final mais passe volontiers tout son temps libre sur le Soleil.

Perun est un dieu imposant, à la peau épaisse et aux muscles saillants, toujours vêtu d'une armure d'acier et armé de son énorme hache. Il est respecté pour sa force titanesque et sa détermination, mais également craint pour sa colère explosive. Il peut déclencher d’immenses catastrophes juste en posant sa hache sur le sol.

Malgré le temps, une grande partie du folklore pré colonial a été gardé par la légende hanaoïstes. Ainsi un jour, une menace est apparue sur le monde. Une force maléfique, connue sous le nom de Voda, avait commencé à prendre le contrôle de différents mondes et à terroriser les habitants. Les dieux se sont rassemblés pour discuter de la situation et décider de la meilleure approche. Perun a pris la parole et a déclaré qu'il était temps d'agir. Il a suggéré de former une armée divine pour combattre Voda et protéger les mondes menacés. Les autres dieux ont accepté son plan et Perun a été nommé chef de l'armée. Perun et ses troupes ont voyagé à travers le monde entier en danger, affrontant Voda et ses troupes à chaque étape. La guerre a été longue et difficile, mais Perun a mené ses troupes avec force et détermination, utilisant sa foudre pour écraser l'ennemi. Finalement, Voda a été vaincu et les mondes menacés ont été sauvés.

Depuis ce jour, Perun est considéré comme un héros même parmi les dieux. Il est vénéré pour sa sagesse et sa détermination, et est souvent appelé à conseiller les autres dieux sur les questions de guerre et de défense. Malgré son statut de dieu de la guerre, Perun est également connu pour sa générosité et sa protection des faibles et des opprimés. Il est une figure importante pour les peuples du Burujoa et son nom est associé à la justice, à la force et à la protection.

La fête de Perun a lieu du 10 au 14 juillet, c’est une des fêtes les plus importantes de l’année. Tout commence par la décoration des villes et villages avec de nombreuses tentures et décorations très colorées.
La première journée est surtout marquée par de grands sacrifices, d’animaux fermiers et de vin et les prêtres de Perun allument les grands feux de joie.
Le lendemain, la matinée est marquée par des danses, des chants et des jeux de force pour honorer la puissance de Perun. Les guerriers s'affrontent dans des compétitions de combat pour montrer leur courage et leur détermination, tandis que les enfants participent à des courses de vitesse pour honorer la rapidité de la foudre de Perun.
Le 12 juillet est le jour où de grands défilés militaires sont organisés dans tout l’empire. Initialement seul Karaimu avait un défilé, mais depuis quelques années les villes de garnison et les capitales coloniales ont également leurs défilés. L'après-midi est marquée par de très grands exercices grandeur nature des forces de l’ordre, parfois en pleine ville.
Le 13 juillet est une journée plus tranquille, de grandes prières collectives sont données avant des sacrifices et la viande des animaux est aussitôt consommée lors de banquets géants. Le soir, des contes et légendes guerrières sont racontés au coin des feux de joie.
Le 14 juillet est également une journée tranquille de prières et de piété mais clôturée par d’immenses spectacles mettant en scène tantôt la vie de Pérun, tantôt des prouesses guerrières. Le spectacle de Karaimu est titanesque avec plus de 100.000 figurants dont presque 50.000 pour la scène finale et un feu d’artifice coûtant plus de 5 millions de dollars, ce qui en fait le plus cher du monde, juste derrière celui du 31 décembre, toujours à Karaimu.

Pendant toutes ces fêtes, des feux de joie sont entretenus devant les temples et chaque soir de grands feux d’artifices sont tirés pour reproduire la lumière et le son de la foudre.

Mokosh, la déesse de la terre et de la fécondité
Mokosh est l'une des premières déesses et est considérée comme la mère de toutes les formes de vie. Elle est associée à la terre fertile, à la croissance et à la fécondité. Sa vie est très peu connue, on pense qu’elle est presque toujours restée sur le Soleil.

Les hanaoïstes célèbrent sa fête annuelle, le 15 mai, depuis des temps immémoriaux, en reconnaissance de sa contribution à la vie sur leur monde.Les habitants de tout l’empire apportent des offrandes de nourriture, de fleurs et d'autres articles symboliques, en signe de gratitude pour les dons de la déesse. Le jour de la fête, ils se réunissent autour des temples consacrés à Mokosh pour célébrer en dansant, chantant et priant. Un élément central de la fête est la procession en l'honneur de Mokosh, qui traverse les villages et les villes. La procession était menée par un grand char orné de fleurs et de fruits, sur lequel se trouvait une statue de la déesse. Les habitants se rassemblent le long du parcours pour honorer Mokosh et demander sa bénédiction pour une nouvelle année de croissance et de fécondité. En fin de journée, la procession atteint enfin le temple principal de la ville ou du village consacré à Mokosh, où des offrandes supplémentaires sont déposées aux pieds des statues de la déesse. Les prêtres offrent des prières pour remercier Mokosh pour ses dons et pour demander sa protection pour l'année à venir. Enfin, une grande cérémonie est organisée pour célébrer la déesse, avec à nouveau de la musique, des danses et des chants.


Yemanja, la déesse de la mer

Yemanja est la déesse de la mer mais également la protectrice des voyageurs en mer, des pêcheurs et des marins. Elle est souvent invoquée pour apaiser les tempêtes et les vagues déchaînées.
Depuis la nuit des temps, Yemanja est vénérée par les peuples de la côte du Vomogorod. On raconte qu'elle était apparue sous forme d'une belle jeune fille aux longs cheveux d'or et à la peau dorée, qui avait émergé des vagues pour s'installer sur la plage. Elle était accompagnée d'une multitude de créatures marines telles que des poissons, des dauphins et des tortues, qui avaient immédiatement reconnu en elle leur protectrice. Elle réside dans une grotte, source d’un des plus grands pèlerinages de l’empire. Les pèlerins et les marins lui offrent des offrandes pour obtenir ses faveurs et sa protection,

La fête de Yemanja est célébrée chaque année, le 9 août, avec un grand enthousiasme le long des côtes de l’empire. Les gens se rassemblent pour danser, chanter et offrir des offrandes à la déesse de la mer. On y décore les plages avec des fleurs et des fruits, on y prépare de grandes festivités gastronomiques avec des poissons et des crustacés frais, et on y organise des compétitions nautiques pour honorer Yemanja. Les marins les plus chevronnés se rassemblent pour célébrer leur déesse, en lui racontant les aventures de leur vie sur les mers, et en lui demandant de les protéger pour les années à venir. Les temples du bord de mer organisent des cérémonies de purification et des bénédictions de navires pour protéger contre les tempêtes. C’est également ce jour-là que les bateaux les plus grands ou précieux sont mis à l’eau.
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