Grand défilé militaire Kronien et rencontre entre le Kronos, l'Arsurma et la Manche Silice (Pendragon, 20 septembre 2009)

Le 20 septembre 2009... C'était la date lors de laquelle devait se tenir un grand défilé militaire au Kronos pour célébrer et prouver la puissance du communisme mais aussi, montrer son amitié envers les différentes nations présentes.
Quelques heures avant le début de la parade, les invités arrivèrent uns par uns au palais des lumières de Pendragon, que presque tous avaient visité.
Lorenzo Geraert-Wojtkowiak, secrétaire général de la Loduarie communiste, arrivait en premier au palais. Il avait fait le trajet par avion, tout comme notre allié, Alexeï Vorpenko, dirigeant de la Lutharovie. Tous deux bénéficiaient d'une escorte musclée par l'armée de l'air Kronienne; escorte composée de 5 avions de chasse.
Baldassare Calabraise les salua tous les deux avec un grand sourire, il était heureux de voir ses alliés ici. Malheureusement, madame Andromède Caplan, de Lambroisie, n'avait pu faire le déplacement...

De leur côté, Kaneo Ars, oligarque Arsuri, Arkadi Ksiaz et Vittorio IV, Triumvirs Siliquéens, faisaient le trajet par bateau. Ils bénéficiaient eux aussi d'une escorte de grande envergure composée de 2 patrouilleurs et d'un sous marin d'attaque.
Au palais, Baldassare Calabraise salua Kaneo Ars, qu'il espérait compter dès aujourd'hui comme un de ses alliés. Puis, les deux triumvirs, Arkadi Ksiaz et Vittorio IV, furent salués.
"Monsieur Ksiaz, votre majesté, monsieur Vittorio IV... Je suis heureux de vous voir ici; malheureusement, je vois que madame Azafran n'a pas changé d'avis... C'est dommage. J'aurais aimé que tout le monde soit la pour notre rencontre ce soir."

Après avoir visité le palais des lumières de la capitale Kronienne, les invités montèrent a bord de grandes voitures noires, blindées évidement. Une pour chaque dirigeant.
Le convoi parti vers 13h30, dirigé par des policiers et militaires Kroniens. Après avoir parcourus quelques kilomètres en ville, tous arrivèrent a destination vers 13h50.
Acclamés par la foule déjà présente, les dirigeants marchèrent uns par uns sur un long tapis rouge, vers la petite scène installée a l'occasion; scène depuis laquelle ils allaient pouvoir admirer le défilé.
Baldassare Calabraise, lui, s'asseyait au milieu des dirigeants. Un photographe s'approcha d'eux et prit une photo des 6 chefs d'états rassemblés ici, a Pendragon.

Il était alors 14h, le défilé pouvait commencer...


PARTIE 1GRAND DEFILE KRONIEN


Un grand orchestre s'installa sous la grande statue de Baldassare Calabraise qui dominait l'avenue. Celui ci allait jouer les hymnes des différents pays présents aujourd'hui.


L'orchestre se mit alors a jouer l'hymne de l'Arsurma:
En tout premier, c'était les soldats Arsuri qui allaient défiler. On voyait alors marcher au pas, les 3000 soldats Arsuri envoyés défiler. Sur le grand écran installé sur une des faces d'un bâtiment, était affiché le drapeau de l'Arsurma.


Ce fut alors au tour de l'armée de Manche Silice de défiler. 1000 militaires paradèrent alors le long de l'avenue pendant que les musiciens jouaient l'hymne Siliquéen.
Sur le grand écran, comme pour l'Arsurma, le drapeau Siliquéen fut affiché.



Ensuite, fut affiché sur l'écran le drapeau de l'Union des Nations Communistes et Socialistes (UNCS) composé alors du Kronos, de la Loduarie communiste, de la Lutharovie et de la Lambroisie.


défilèrent alors, les 2000 soldats et les quelques véhicules blindés Lutharoviens, accompagnés de l'hymne de leur nation, joué par les musiciens.



Pendant quelques secondes, il n'y eut aucun bruit... D'un coup, le drapeau du Kronos s'afficha sur l'écran et les musiciens commencèrent a jouer l'hymne du pays.
L'armée Kronienne commença alors a défiler.

Huit avions de chasse et quatre avions d'attaque au sol survolèrent alors l'avenue, captant l'attention de tous les spectateurs.


15 000 soldats Kroniens ouvraient la marche. Tous levaient haut la jambe et frappaient le sol en rythme avec l'hymne Kronien. Arrivés au niveau du grand dictateur, les soldats levaient la main et se mettaient au garde a vous. Baldassare Calabraise, lui, restait droit, debout, la tête haute, il était fier de son armée.


Ensuite, les chars d'assauts et chars légers défilèrent a leur tour, accompagnés de véhicules de combat d'infanterie, de véhicules blindés, de canons tractés et de lance roquettes multiples.


Après cela, les nouveaux missiles Kroniens "Lucifers". Ils étaient tractés sur de grands véhicules capables de transporter de tels missiles. Les missiles balistiques Kroniens ne passaient donc pas inaperçus... Derrière eux, une grande affiche représentant le dirigeant Kronien.


D'un coup, le grand écran se mit a grésiller, il se connecta alors a une vidéo en direct, filmée depuis un hélicoptère Kronien. On y constatait la puissance maritime du pays ainsi que celle de la Loduarie communiste.
On y voyait alors deux portes hélicoptères côtes a côtes, un Kronien, un Loduarien:


Puis, 4 patrouilleurs, 2 corvettes et 10 vedettes firent leur apparition.


Enfin, pour en finir avec la puissance maritime de Kronos, trois sous marins: deux sous marins d'attaque et un sous marin lance missile. Pour prouver a tous l'efficacité de ceux ci, deux missiles de croisière mer-sol furent tirés depuis le sous marin lance missile Kronien "Léviathan".


L'écran devint noir.
Les 21 000 soldats rassemblés pour l'évènement se positionnèrent devant le dictateur, qui lui, s'avança vers le micro installé sur la scène, il allait faire un discours...



Tous les soldats répondirent alors aux dictateur: "HOURA!... HOURA!... HOURA!..."


Le défilé était alors terminé, il était 17h, les dirigeants rentrèrent au palais des lumières dans leur voitures respectives.


PARTIE 2LA RENCONTRE

Il était environ 17h20 lorsque tous arrivèrent au palais. Après quelques minutes de discussion avec Baldassare Calabraise, les dirigeants de la Lutharovie et de la Loduarie communiste quittèrent le palais et rentrèrent au pays.

Les deux triumvirs Siliquéens ainsi que l'oligarque Arsuri, eux, restaient au Kronos.
Tous étaient dans le hall d'entrée. Alors Baldassare Calabraise se dirigea vers eux et leur demanda:
"Alors, comment avez vous trouvé le défilé?"

Arkadi Ksiaz était mal à l'aise. Le défilé s'était éternisé et le discours de Calabraise avait été martial. Il avait aperçu dans les rangs du millier de soldats siliquéens quelques casques dodeliner, signalant les tics réprobateurs de certains militaires. Il en voulait aussi à Carmenita Azafran de s'être fait porter pâle. Il aurait pu compter sur sa compagnie pour passer ce moment difficile. Le staroste Tchenkov se forçait à sourire face à Calabraise. "C'était très impressionnant, un peu effrayant même quand les missiles Lucifer sont apparus dans mon champs de vision. Je pense que le message que vous teniez à faire passer à la communauté internationale est clair. Je crains malheureusement qu'il ne soit pas de nature à apaiser les tensions..."

Vittorio IV s'était régalé. Rares étaient les pays qui s'autorisaient encore aujourd'hui de telles démonstrations de force. Alors, pour le vieil homme grand amateurs d'armes et des questions de défense, cette manifestation soulevait des sentiments contradictoires. Le Kronos et ses alliés ont une incroyable force de frappe et il est positif d'entretenir de bonnes relations. L'armée de Manche Silice n'est pas au niveau mais tient à sa neutralité, et achète de l'armement à l'ONC. "Baldassarre merci pour ce défilé. Cela relativise celui que nous t'avons réservé la semaine dernière à Rio... Je crois que ces grand-messes, en jouant sur la fibre patriotique, raffermissent le sentiment national de la population"

Après avoir profité du spectacle du défilé, Kaneo Ars fut content de voir qu'on perdit le moins de temps possible démontrant du sérieux de Baldassare Calabraise. Après avoir eu le temps de se présenter aux représentants Siliquéens, l'oligarque répondit à M.Calabraise qui était revenu vers eux :

Grandiose, c'est le mot pour décrire un défilé mettant à ce point en valeur la puissance d'une armée. Bien que nos systèmes économiques soient différents, cela reste magnifique de voir des nations dans lesquelles les valeurs patriotiques sont autant prônées que dans le votre et c'est un plaisir d'être ici.

Après cette prise de parole, il attendit ce qu'allaient en dire les autres.

Après la réflexion faite par Arkadi Ksiaz, Calabraise répondit:
"Je l'ai dis lors de mon discours, nous voulons apaiser les tensions. Nous privilégierons la diplomatie a la guerre. Effectivement, faire un défilé militaire pour le montrer n'est peut être pas la meilleure solution, cependant, il faut bien montrer a nos ennemis que nous sommes capables de nous défendre."

Baldassare Calabraise souriait en entendant les paroles de Vittorio IV.
"Ce défilé était un peu une manière pour moi de vous remercier pour le magnifique et grandiose défilé auquel j'ai assisté en Manche Silice. J'espérait que celui ci vous plaise. Si c'est le cas, j'en suis satisfait."

Kaneo Ars enchaina. Baldassare Calabraise, toujours souriant, lui répondit:
"Je vous remercie pour vos compliments. Je suis heureux de pouvoir vous accueillir ici aujourd'hui. Nous qui n'avions pu conclure d'accord lors de notre dernière Visio conférence, nous le ferons ici, je l'espère."

Après cette brève discussion, Baldassare Calabraise conduisit les invités jusqu'à la salle ou allait se dérouler la rencontre. La même que d'habitude. Les triumvirs Siliquéens, eux, connaissaient déjà les lieux.
C'était une grande salle décorée de rouge. Au milieu, une grande table ovale. Autour de celle ci, 3 petites chaises luxueuses. En bout de table, un grand fauteuil noir, sur lequel allait s'asseoir le grand dictateur.
Les drapeaux des trois pays avaient été exposés sur le mur, au dessus du fameux buste en bronze de Calabraise.

Le dirigeant Kronien débuta:
"Bien, nous voila installés, nous pouvons commencer...
Par quoi voulez vous commencer?

Vittorio IV se lança. Les triumvirs savaient que l'occasion d'échanger directement avec Kaneo Ars ne se représenterait pas de si tôt. La diplomatie d'Arsurma voyait avec beaucoup de méfiance les avances des pays d'Eurysie. Le ministre des affaires étrangères avait été prompt à taxer la tentative de partenariats d'entreprise néo-coloniale. Il fallait dissiper rapidement tout mal entendu.

- Nous sommes heureux de faire enfin connaissance avec Kaneo Ars. Contrairement au Kronos nous ne sommes pas un pays Afaréen. Dans un passé plus ou moins lointain, nous nous sommes aventurés là-bas pour faire des affaires. Cela a pu s'apparenter dans certaines situations à des vols de ressources. Le sang à coulé. Nous sommes en pleine remise en question sur le sujet. Aujourd'hui, la situation est différentes. Nous traitons tous nos partenaires d'égal à égal. Baldassare peut en témoigner. Nous visons l'équilibre des parties. Personne ne doit être lésé.

Surpris d'être le premier le premier sujet de cette rencontre, Kaneo Ars se mit droit et répondit à monsieur Vittorio IV :

Bien entendu nous sommes heureux que les ambitions des Eurysiens en Afarée et dans le sud passent par la diplomatie et en souhaitant la paix. Cependant, notre nation cherche tout de même à ne pas devenir dépendante de pays étranger comme cela s'est vu avec Kronos récemment et nous nous en excusons. De plus, nous ne souhaitons pas non plus que notre rapprochement avec certaines nations vienne à nous entraver lors de nos choix et de notre diplomatie. Mais nous sommes tout de même particulièrement heureux de pouvoir nous montrer ici avec vos deux nations bien que surtout pour le Kronos, ma venue à aussi pour but de vous montrer que nous désirons tout de même montrer que nous désirons tout de même un rapprochement avec vous. Nous espérons tout de même que vous nous comprenez sur ce point.

Kaneo Ars se tût alors afin d'attendre ce qu'allaient en dire les dirigeants avec lui.

Baldassare Calabraise répondit alors au dirigeant Arsuri.

"Vous savez, notre objectif n'est pas de faire de votre nation une nation dépendante des nôtres. Bien que vous ayez pris notre proposition de construction de base militaire comme une sorte de... "provocation". De toute manière, tout comme les Triumvirs de Manche Silice, nous nous sommes remis en question, et nous n'avons plus cette idée en tête.
Par rapport a la Manche Silice, justement, vous n'avez absolument rien a craindre, tout ce qu'ils veulent c'est faire des affaires. Et d'ailleurs, a propos de cela, accepteriez vous de créer une route et des accords commerciaux qui lieraient et profiteraient a nos trois nations?
Ensuite, j'aimerais que vous me parliez des accords que vous souhaiteriez créer avec notre état."

Vittorio IV voulait enfoncer le clou et prit la parole immédiatement après Calabraise. "Faire des affaires voire même accepter de nous retrouver dans une situation de dépendance par rapport à l'assurance ! Je m'explique. Grands consommateurs de poisson, nos pêcheurs se servaient jusqu'à maintenant dans les mers de l'hémisphère nord qu'un excès de prélèvements à asséché. Désormais, nous prospections l'hémisphère sud et devons avoir des "ports amis" pour faire des escales techniques et marchandes. Il est déterminant pour la Manche Silice de disposer d'un partenaire dans cette région. Je rejoins Calabraise sur les routes maritime. Nous trouverons chacun notre compte dans le traçage de routes sûres pour nos marines marchandes respectives à travers les océans séparant l'Afarée et l'Europe"

Oui, après tout nous avions déjà prévue la création d'une route maritime avec Kronos alors ajouter la Manche Silice au projet est le bienvenue surtout si cela permet d'aider les citoyens de vos nations à s'approvisionner. Sinon pour les accords que nous devons signer entre nos nations de Kronos et de l'Arsurma, comme nous en avions parlé au téléphone; en plus de la création d'une route maritime sûr, nous avions aussi conclu de l'implantation d'une branche de notre agence de voyage dans votre capitale et nous étions mis d'accord pour que l'inverse soit aussi fait dans la notre.

Les propos de Kaneo Ars étaient appréciés des triumvirs. Vittorio IV ne voulait pas perdre de temps. Il tira de la poche pectorale de son veston d'apparat une carte. "Si je puis me permettre", lança-t-il avant de déboucher le capuchon d'un beau stylo encore et de tracer sur l'océan des voies maritimes possible. Il avait appris par cœur la toponymie de l'Arsurma mais n'était plus certain de l'orthographe. "Honnêtement, si l'on se rapprochait, nous serions très contents. Pour ne rien vous cacher, nous préparons un partenariat économique avec le Shuharri pour nous procurrer du poisson. Nous n'avons pas à ce jour les moyens de faire un déplacement maritime direct de nos ports siliquéens jusqu'aux confins de l'hémisphère sud. Une escale en Arsurma serait un sacré atout ! Et l'occasion pour vos commerces locaux de vous faire un peu d'argent avec nos marins et pêcheurs en permission", ajoutait-il.

En effet, une route comme celle-ci est très attrayante et c'est avec plaisir que nous vous aiderions à subvenir à vos besoins en ressources halieutiques. Pour ce qui est des îles Nurnur er Arnur, s'y trouvent quelques espèces protégées mais cela vous permettra tout de même d'avoir accès à un certain nombre de poissons exotiques. De notre coté, l'Etat travail avec l'AVA, une agence de voyage et je vous invite si vous le souhaitez à développer notre économie touristique l'un avec l'autre en passant par eux, je vous laisserai vous informer sur leur propre page. Personnellement, l'Arsurma n'a pas de demandes particulières si ce n'est que de développer ensemble nos relations diplomatiques et économiques.