[Ambassades] Création d'ambassades

Maximiliano Gentileza est un pharo-listonien originaire de la Caprice Coast. Lusophone natif, il est candidat tout désigné pour représenter les intérêts du Pharois Syndikaali en sud-Aleucie.

Ancien haut fonctionnaire de l'administration impériale aux affaires de gouvernance coloniale, il se montre un interlocuteur de confiance pour la population albienne locale avec qui il entretient de bons rapports. Lors de la rétrocession des colonies listoniennes au Pharois Syndikaali, Gentileza participe à la transition administrative entre les deux pays et choisit de rester à la Caprice Coast où sa famille est installée.

Il intègre les cercles de cohabitation pharo-listonienne dès les premières heures de la décolonisation et devient rapidement un intermédiaire privilégié pour le gouvernement pharois.

Après en avoir fait l'un de ses conseiller ministériel aux affaires listoniennes, le Capitaine Ministre Mainio décide de le nommer ambassadeur dans le monde lusophone et hispanophone en 2009.

Alfredo Esperanza Montezuma est issu des peuples autochtones du Grand Kah. Bien qu’issu d’une famille de langue quechua, Montezuma s’échine à devenir un hyper-polyglotte, parlant aussi couramment le nahuatl, le français, l'espagnol et l'anglais.

Comme beaucoup d’hommes de sa génération, il a combattu la dictature à la fin des années 90 avant de participer à la reconstruction de sa commune à une échelle plus locale. Après des études en traduction, Alfredo Esperanza Montezuma parti travailler dans le Commissariat aux Affaires Extérieures en qualité d’interprète et de secrétaire.

Sa force de travail et son efficacité lui permirent de grimper les échelons jusqu’à être élu diplomate de l’Union, poste qu’il honora dans plusieurs ambassades du continent Paltoterran avant de se voir missionné à la tête de la délégation en Rousmala.

Parvati Saramayong est ambassadrice de la Troisième République du Jashuria depuis maintenant une dizaine d’années. Née à Agartha, elle a été pendant longtemps rattachée à l’Institut Culturel Jashurien, organisme dans lequel elle a longtemps promu le développement du tourisme. Elle sera présente pour un mandat de cinq ans au sein de l’ambassade jashurienne en Rousmala, conformément aux protocoles jashuriens.

Rosalina Brandão a grandi dans une famille aisée de la péninsule pontarbelloise, lorsque celle-ci était encore sous la domination coloniale de l'Empire listonien. Sa famille détenait effectivement une exploitation familiale spécialisée dans la culture et la manufacture du tabac, qu'elle a repris à son compte en 1994.

Cependant, les années 2000 ont lourdement été préjudiciables à l'économie de l'Empire listonien, qui s'est mis à dos un bon nombre des partenaires commerciaux tels que la Troisième République du Jashuria, les Provinces-Unies du Lofoten et la Fédération d'Alguarena. Cette politique étrangère désastreuse, ponctuée de guerres commerciales, n'a pas été très impactant pour la métropole impériale de la Listonie, il est vrai. Mais elle a été lourdement préjudiciable aux exportations et importations, et même à bien des égards fatale, à l'économie de plusieurs territoires impériaux ultramarins, très dépendants de partenaires commerciaux étrangers que la métropole listonienne avait volontiers négligé.

Son entreprise familiale ne survivant pas à la crise économique de 2007, et la terrible inflation qui ébranla l'Empire listonien, Rosalina Brandão a prêté sa voix à la défense des intérêts (d'abord économiques et commerciaux) des provinces listoniennes ultramarines. Mais la révolution armée qui éclata la même année, portée par le Général Leopoldo Sapateiro, commandant-en-chef des forces de l'Armée Nationale du Pontarbello Libre, amena l'indépendance au sein de la péninsule et lui permit de très vite s'investir en politique.

La révolution passée, le nouveau gouvernement de la République d'Union Nationale du Pontarbello a rapidement exprimé la nécessité de reconvertir certains de ses tribuns à des rôles clés, visant la représentation de la nation sur la scèen internationale. C'est ainsi donc, que Rosalina Brandão est venue occuper les fonctions d'ambassadrice dont l'affectation en devenir semble clairement dirigée vers la Patrie du Rousmala.

Simón Velázquez est, malgré un parcours de formation somme toute classique en la matière, un diplomate émérite qui cumule pas moins de vingt ans d'expérience, sur des fonctions d'attaché diplomatique. L'internationalisation croissante de la Fédération d'Alguarena depuis les années 2000, a conduit ce dernier à saisir des opportunités nouvelles, telles que l'occupation de fonction d'ambassadeur auprès de plusieurs nations aleuciennes comme le Garaguay ou le Bochizuela, les nouveaux géopolitiques de la région aleucienne ont toutefois conduit les autorités fédérales alguarenas, à convenir d'une nouvelle affectation au Rosumala, sous couvert d'une implantation d'ambassade réussie.