11h41,
Palais de la Gloire, Legkibourg.
Pétroléon V s'était levé de bonheur. Assis à son bureau et réglant encore quelques petites affaires, il attendait l'arrivée imminente de certains de ses ministres. Razoumikhine des Affaires Étrangères ainsi que Joffrin de la Guerre et des Armées étaient de la partie. Il avait devant lui une petite pochette verte flanquée du mot "Gondo" écrit en capitales au feutre rouge. À l'intérieur, tous les projets que son gouvernement et lui avaient médité quant à ce pays.
Il attendait avec impatience cette conversation avec le Président du Gondo. Même s'il ne s'agissait que d'un simple coup de téléphone, il plaçait beaucoup d'espoirs dans ce petit État afaréen. Tourisme, lutte contre les rebelles, nombreux étaient les objectifs clovaniens au Gondo.
Trois coups retentirent à la porte du Bureau de l'Empereur. Ayant autorisé les visiteurs à entrer d'une voix forte et décidée, Pétroléon V vit apparaître dans la grande pièce les deux hommes qu'il attendait, accompagnés d'une secrétaire portant le gros téléphone noir qui servait pour ce genre d'occasion. Celui-ci posé devant lui, il composa le numéro transmis par les représentants gondolais et actionna le haut-parleur.
Pétroléon V :
Monsieur le Président, bonjour. Nous sommes très honoré de pouvoir correspondre avec vous ce matin. Nous attendions depuis longtemps que le lien se fasse entre nos deux nations. Nous avons pris l'initiative, et vous y avez répondu favorablement sur tous les points : rien ne pourrait Nous faire davantage plaisir. Nous entrevoyons un avenir radieux entre Clovanie et Gondo, et nous espérons qu'il pourra se réaliser. Laissez-moi vous présenter les deux merveilleux hommes qui se trouvent à mes côtés en ce moment-même.
Tout d'abord, Monsieur Gaspard Razoumikhine, dont vous avez déjà pu apprécier la plume, Ministre Impérial des Affaires Étrangères.
Razoumikhine :
Bonjour Monsieur le Président, très honoré.
Pétroléon V :
Et à sa gauche, Monsieur Paul Joffrin, Ministre de la Guerre et des Armées. Il est ici pour évoquer le sujet des groupes rebelles que, sans pessimisme aucun, nous nous devons de nous débarrasser avant de passer aux joyeux sujets.
Joffrin :
Très honoré aussi, Monsieur le Président.
Pétroléon V :
Bien, maintenant que les présentations sont faites, nous pouvons entamer cette discussion.
Il attendait avec impatience cette conversation avec le Président du Gondo. Même s'il ne s'agissait que d'un simple coup de téléphone, il plaçait beaucoup d'espoirs dans ce petit État afaréen. Tourisme, lutte contre les rebelles, nombreux étaient les objectifs clovaniens au Gondo.
Trois coups retentirent à la porte du Bureau de l'Empereur. Ayant autorisé les visiteurs à entrer d'une voix forte et décidée, Pétroléon V vit apparaître dans la grande pièce les deux hommes qu'il attendait, accompagnés d'une secrétaire portant le gros téléphone noir qui servait pour ce genre d'occasion. Celui-ci posé devant lui, il composa le numéro transmis par les représentants gondolais et actionna le haut-parleur.
Pétroléon V :
Monsieur le Président, bonjour. Nous sommes très honoré de pouvoir correspondre avec vous ce matin. Nous attendions depuis longtemps que le lien se fasse entre nos deux nations. Nous avons pris l'initiative, et vous y avez répondu favorablement sur tous les points : rien ne pourrait Nous faire davantage plaisir. Nous entrevoyons un avenir radieux entre Clovanie et Gondo, et nous espérons qu'il pourra se réaliser. Laissez-moi vous présenter les deux merveilleux hommes qui se trouvent à mes côtés en ce moment-même.
Tout d'abord, Monsieur Gaspard Razoumikhine, dont vous avez déjà pu apprécier la plume, Ministre Impérial des Affaires Étrangères.
Razoumikhine :
Bonjour Monsieur le Président, très honoré.
Pétroléon V :
Et à sa gauche, Monsieur Paul Joffrin, Ministre de la Guerre et des Armées. Il est ici pour évoquer le sujet des groupes rebelles que, sans pessimisme aucun, nous nous devons de nous débarrasser avant de passer aux joyeux sujets.
Joffrin :
Très honoré aussi, Monsieur le Président.
Pétroléon V :
Bien, maintenant que les présentations sont faites, nous pouvons entamer cette discussion.