08/07/2013
18:00:36
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National press - Presse nationale

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Presse

L'Histoire de la presse écrite au seins de l’Union a pris son essor plus tard qu'en Eurysie, après avoir été freinée par l'immensité des distances et la dispersion de la population. À la fin du 19 siècle, elle s'est accélérée grâce au dynamisme des grands journaux qui ont joué la carte du télégraphe et du progrès technique, pour toucher un public de masse. Alors qu'en 1750, 4 journaux représentaient à eux quatre un tirage annuel de 170 000 exemplaires, pour une population de 5 millions d’habitants dans l’ensemble des colonies, au début de la guerre du flocon noir en 1775, la population a plus que doublé, avec 10,5 millions d'habitants. Il y 37 journaux dont le tirage total annuel a lui été multiplié par sept, à 1,2 million d’exemplaires1. En 1800, l’Union comptent 359 journaux, pour une population de 7,2 millions d’habitants et un tirage annuel de 22,3 millions d’exemplaires. En un quart de siècle, le nombre des journaux a décuplé, leur tirage a été multiplié par 20, tandis que la population a seulement triplé1. Le Parti fédéraliste, qui veut la pleine application de la Constitution, crée de nombreux journaux, comme le Daily English, fondé en 1794 par le Sénateur H. Williams dans l’État d’Arlington.
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The memorie’s

WALTER HEDWARD DINCKLEY INVESTI PRESIDENT DE L’UNION

Investiture du Président Dinckley
Photographie de l’investiture de Walter H. Dinckley à la tête de l’Union des États du Grand nord d’Amnestie

Mardi 4 Janvier 2010 sonne le début d'un nouvel air pour l’Union des États du Grand nord d’Amnesty. Après une campagne électorale mouvementée entre les deux partis principaux du pays (Parti fédéraliste et le Parti unioniste) qui aura duré 6 mois, les grands électeurs du pays ont enfin tranché. Les deux candidats, Walter Hedward Dinckley, ancien gouverneur de l’État d’Arlington et Jean Burns Berry, ancien vice-président de l’Union, tous deux affiliés respectivement au Parti fédéraliste et au Parti unioniste ont débattu peu avant le résultat des élections. Les échanges furent mouvementés chacun défendait son programme avec force et courage face aux chiffres et aux interrogations des citoyens amnestyens.

Walter H. Dinckley, ancien Gouverneur de l’État d’Arlington avait été élu quelques mois auparavant à la tête du Parti fédéraliste par ses confrères, soutenant un programme « d’ouverture au monde, de capitalisme convaincu et d’écologie ». Pendant la durée de la campagne il n’a pas cessé de remettre en cause le bilan de l’ancien président Bill Cameron et de son vice-président. Il accuse l’administration Cameron d’avoir appauvri le pays et de l’avoir pollué en mettant en avant l’industrialisation de masse en dépit de la santé des Amnestyens. En face de Monsieur Walter H. Dinckley nous retrouvons Jean Burns Berry, ex-vice-président de Bill Cameron. Élu par ses pairs du Parti Unioniste, il fut témoin de la perte de la majorité au Sénat de son administration. Défendant l’isolationnisme, l’industrialisait et l’armement il sût se faire apprécier de la droite conservatrice et chrétienne du pays. Pendant toute la durée de la campagne, il défendit son bilan qu’il juge de « raisonnable » affirmant que l’arrivée de Dinckley à la présidence se solderait par la vente intégrale du pays aux profit des multinationales.

Deux idéologies totalement opposées qui caractérisent bien les différends entre les amnestyens présents dans les 9 États de l’Union. Bill Cameron a soutenu dans un communiqué du Marroon Palace dont vice-président, demandant à ses fidèles de faire de même en protégeant les bureaux de vote pour permettre d’éviter toute tentative de falsification. Une demande qui a bien entendu été jugée inconstitutionnelle par la Cour suprême qui a également demandé au Président sortant de retirer son poste le réseau social tweeter. Toutes ces réflexions n’ont pas réussies à déstabiliser le candidat Dinckley bien qu’il ne soit pas le favori. Les sondages le déclaraient pourtant perdant avec seulement 46% des suffrages pour 59% pour son rival. Les résultats ont étés annoncés dans la soirée et confirmés par le Sénat et la Cour suprême il y a maintenant quelques heures. Les derniers bureaux de vote ont également fini les dépouillements qui ont étés retransmis afin de connaître l’avis populaire. Les grands électeurs se sont également exprimés. C’est tout un pays qui a retenu sa respiration, les 5 millions d’adhérents du Parti unioniste et les 7 millions du Parti fédéraliste attendaient dans les « fans zone » mise en service dans les 9 États. Le résultat est sans appel, c’est bien Walter Hedward Dinckley qui est élu Président de l’Union avec plus de 43,01 % des suffrages exprimés et plus de 370 grands électeurs. John Burns Berry s’incline donc avec 35,45% des voix. Le taux d’abstentionnisme a légèrement baissé passant sous la barre des 18,91 %. Toute la fin de nuit les partisans du nouveau président élu firent la fête, c’est une véritable euphorie collective qui s’empare du pays et des états ayant voté majoritairement pour Monsieur Dinckley. Celui-ci confie lors d’une interview totalement improvisée du The memorie’s :
    - Je ne sais vraiment pas quoi dire, c’est une victoire pour l’Union qui, après plusieurs années de défaillance se relève enfin. C’était mon souhait le plus cher, je tiendrai mes promesses, d’ici 4 ans, le pays deviendra une puissance mondiale à part entière et rayonnera comme il le fut jadis sur la scène internationale. Guidés par les vagues jusqu’à la liberté !
    W. H Dinckley

Carte électorale
Représentation des élections sur la carte électorale. Rouge > Unioniste, Bleu > Fédéraliste

De l’autre côté de l’échiquier politique c’est avec tristesse que l’on apprend la défaite du vice-président sortant. D’autres pleurent, d’autres crient au mensonge et à la triche. Nous avons tenté d’interviewer le candidat battu, sans succès. Aucun signe de vie du côté du Marroon Palace qui préfère rester muet sur la situation. Alors que les Chambres des représentants des États de l’Union épluchent et valident les résultats, la cérémonie d’investiture a lieu en grande pompe dans l’après-midi. Nous savons déjà que le vice-président a refusé d’y prendre part, laissant seul son ancien patron à la cérémonie. C’est dans une voiture décapotable que le nouveau président remonte le boulevard Harald jusqu’à l’esplanade des 9 États. Il salua longuement la foule en délire ainsi que les membres de son équipe électorale. L’invité d’honneur fut tout de même honoré, Isabelle Deprey, Présidente de Saint-Marquise fut au premières loges aux côté de la Première dame et de ses enfants. C’est dans un smoking noir et une cravate bleue que Monsieur Dinckley s’avançât devant l’esplanade où l’attendait le procureur général de l’administration sortante, la Bible à la main. Sans des ni deux, le nouveau président élu mis sa main et répéta les paroles du procureur général :
    - Je jure, moi, Walter Hedward Dinckley, solennellement que je soutiendrai et défendrai la Constitution de l’Union des États du grand nord d’Amnestie contre tous ennemis, externes ou intérieurs, que je montrerai loyauté et allégeance à celle-ci, que je prends cette obligation librement, sans aucune réserve intellectuelle ni esprit de m'en distraire et je vais bien et loyalement m'acquitter des devoirs de la charge que je m'apprête à prendre. Que Dieu me vienne en aide.

Après un tonnerre d’applaudissements et les félicitations de tous les membres de l’équipe électorale et de l’opposition, est jouée ensuite la marche présidentielle par un bataillon de la Marine, elle est ensuite suivie de l'hymne national.


    - Aujourd’hui, une génération née dans l’ombre de la crise économique assume de nouvelles responsabilités, dans un monde réchauffé par le soleil de la liberté, mais menacé encore par de vieilles haines et par de vieux fléaux. Élevés dans une prospérité sans rivale, nous héritons d’une économie qui fut l’une des plus puissantes du monde [...]
    Aujourd’hui, alors qu’un ordre ancien disparaît, le nouveau monde est plus libre, mais moins stable. La chute des anciens états leader du monde a réveillé de vieilles animosités et engendré de nouveaux dangers. C’est clair, l’Union doit continuer à persister dans ce monde que nous avons tant contribué à bâtir. [...] Quand nos intérêts vitaux sont menacés, ou que la volonté et la conscience de la communauté internationale sont défiées, nous devons intervenir, par la diplomatie pacifique tant que c’est possible, par la force si nécessaire.
    [...] Mais notre plus grande force, c’est le pouvoir de nos idées, qui sont encore nouvelles dans de nombreux pays. [...] Nos espoirs, nos cœurs, nos mains sont avec ceux qui sur chaque continent construisent la démocratie et la liberté. Leur cause est la cause de l’Union.

Après ce discours, le Président et son vice-président prirent tous deux la direction du Marroon Palace où plusieurs décrets furent signés tels que l’arrêt temporaire des mines à travers tout le pays.
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The World

LA GUERRE AU KRONOS, INVASION OU MESURE DE PROTECTION INTERNATIONALE ?

Investiture du Président Dinckley
Caricature à l’effigie de Baldassare Calabraise, Président communiste de la République de Kronos, illustrant son impérialisme flagrant.

Depuis la révolution de 2007, le Kronos est sous le joug d’un régime communiste totalitaire dirigé par le tristement célèbre Baldassare Calabraise. Les révolutionnaires qui chassèrent le Président Edmondo Mancuso du pouvoir mirent en place un régime dictatorial et totalitaire dont le chef de l’État recueillait tout les pouvoirs (législatif, judiciaire et exécutif). Une situation qui fut rapidement dénoncé par de nombreux gouvernements étrangers (Lofoten, Alguarena, Novigrad, Jashuria) qui accusent le nouveau régime Kronien de commettre de nombreuses exactions sur son peuple. Plusieurs cas de déportation de masse d’opposants politiques vers les colonies d’Afarée ont également pu être recensés par des ONG indépendantes. La situation bien qu’inquiétante n’était toutefois pas un danger pour la stabilité mondiale, jusqu’à l’acquisition par l’Armée Kronienne de missiles balistiques et d’autres armes de destruction massive. L’instabilité du pouvoir en place, et ses méthodes impulsives sont un véritable danger pour les nations du monde, mettant à mal la stabilité régionale et plus globalement mondiale.

En raison de ce danger imminent, les pays membres de l’Organisation des nations Commerçantes (Provinces-Unies du Lofoten, Îles fédérées d’Alguarena, République fédérale du Novigrad, Troisième République du Jashuria...) ont annoncé la tenue d’exercices militaires dans la zone d’influence de la République Kronienne, ce qui fut rapidement blâmé par les autorités despotiques de Calabraise. Suite à cela, la protestation dans les provinces d’Afarée redoubla afin d’attirer l’attention des flottes de l’ONC concernant leurs conditions de vie déplorables, les inégalités flagrantes et les répressions gouvernementales via l’armée populaire. Un peuple à bout de souffle qui a poussé les pays de l’ONC à libérer ses colonies via l’opération « ananas fortunéen ». Après une ultime menace du gouvernement Kronien envers la coalition commerçante, la riposte prirent de court les gouvernements mondiaux. Bien que prévisibles, plusieurs casus belli ont étés présentés à la communauté internationale afin de justifier cette intervention « nécessaire » pour la stabilité internationale tels que :

  • Massacre de la population aux frontières
  • Déportation de la population dans des usines chimiques d’Afarée
  • Acquisition d’armes de destruction massive en grande quantité
  • Menace de massacre des grandes villes de pays hostiles au régime

Les objectifs édictés par la coalition sont également source de problèmes pour l’alliance rivale nommée l’UNCS (l’Union Nationale Communiste socialiste) composée de la République de Kronos, de la Loduarie Communiste, de la Chercherie etc. Plusieurs pays membres étant déjà impliqués dans le conflit entre la Kaulthie et le Valheim, notamment par la livraison d’armement et l’aide à la formation des soldats valhémien n’ont pas officiellement annoncé d’intervention armée dans les provinces du sud afin de soutenir leur allié tout en dénonçant les tentatives dites « impérialistes » de l’ONC tout en ciblant personnellement l’Alguarena et le Lofoten.

  • Arrêt du programme d'acquisition de missiles balistiques et de SNLE. Démilitarisation du Kronos nord-afaréen
  • Fermeture des camps de travaux forcés et des usines chimiques en Afarée, où des prisonniers politiques sont envoyés en esclavage.
  • Garantir aux citoyens kroniens souhaitant passer la frontière du pays de pouvoir le faire sans risque pour leur intégrité physique.
  • Arrestation du dictateur Baldassare Calabraise pour sa présentation à une cour de justice internationale et constitution de tribunaux populaires kroniens portant jugement et condamnations des soutiens et hauts fonctionnaires, du régime sanglant et criminel de Pendragon.
  • Organisation d'élections libres en Nord-Afarée.

Le Président fraîchement élu a convoqué son administration au sujet de la crise kronienne afin de réussir à anticiper les éventuelles retombées économiques qui pourraient toucher l’Union dans les prochains mois. Le Sénat a également ouvert une commission sénatoriale afin de surveiller l’avancée du conflit pour ne pas être pris de court si le conflit augmente d’intensité. Le Secrétaire d’État, Steeve J. Arlington a demandé aux ressortissants susceptibles d’être proches de la zone de conflit, dans les pays voisins ou au Kronos même, de quitter le plus rapidement les lieux via les ambassades des pays membres de l’Organisation des nations Commerçante. En espérant que la situation se calme et que la paix soit de nouveau de vigueur. Lors d’un déplacement le Président de l’Union, Walter H. Dinckley a confié aux médias :
    - Il est bien entendu regrettable de voir un pays souverain se faire envahir pour des questions de sécurité mondiale. Toutefois cela était nécessaire, le régime du tristement célèbre B. Calabraise ne doit plus être une source d’instabilité surtout lorsque son pays est à cheval sur deux continents. Nous ne prendrons pas part au conflit ni économiquement parlant ni militairement. Mais je n’en pense pas moins, plus le Kronos est affaibli plus le monde se portera mieux.
    Walter H. Dinckley

Le Président du Parti Unioniste soutient quant à lui également une passivité tout en restant aux côtés de l’Organisation des nations unies quitte à enfreindre la neutralité d’actions exigée par le Président de l’Union :
    - L’Administration Dinckley a prononcée un discours totalement convenable lors de la cérémonie d’investiture, appelant à la stabilité mondiale, diplomatiquement tant que c’est possible et par la force si nécessaire. Il est temps d’appliquer cette fameuse résolution, tout en restant en retrait, l’ONC s’en charge, sachons la soutenir.
    Winston C. Daueur

La situation reste sous surveillance accrue.
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Arlington Post

THOMMY ALEXANDROV VADERLAND, LE SÉNATEUR QUI PROTÈGE LES MINORITÉS !

Thommy A. Vaderland
Photographie de Thommy A. Vaderland, Sénateur de l’État d’Arlington, fervent défenseur des droits des minorités amérindiennes.

Les minorités amérindiennes crient la joie face à l’adoption au Sénat d’un texte de loi proposé par le Parti fédéraliste. C’est un jeune sénateur, Thommy Alexandrov Vaderland, qui a eu l’audace de présenter le projet devant un Parti unioniste hostile et prêt à une joute verbale avec le Parti présidentiel. Épaulé par le vice-président de l’Union, (qui, pour l’occasion, présida la séance) mais également par le Sénateur McCarthy whip de la majorité. Mais pourquoi ce texte fait-il tant réagir l’opposition unioniste ? Tout simplement parce qu’elle vise l’industrie et les multinationales présentent dans le pays. Eux, qui préconisaient dans leur programme l’ultra-industrialisation du pays afin de s’enrichir rapidement. Ce texte qui, en plus de freiner les plans de l’opposition, interdit définitivement l’exploitation des zones amérindiennes réunies en réserve (eau, bois, animaux…). Ce vote intervient peu après un décret présidentiel suspendant l’exploitation des réserves à des fins commerciales, représentant tout de même 70% des motifs de déforestation.

Peu de temps après les résultats du vote, des milliers d’Amérindiens sont sorti de leur refuge en voiture afin de manifester leur enthousiasme et leur ambition pour l’avenir. Accueillis par des militants fédéralistes ils ont pu poser à de nombreuses reprises sur des photos. Le chef de la communauté amérindienne au sein de l’union s'est entretenu au téléphone avec le Président de l’Union mais également avec la secrétaire à l’Intérieur Cathy S. Waters. Malgré cette euphorie presque collective des militants unionistes rassemblés sous la demande de l’ancien vice-président de l’Union et ex-candidat aux élections présidentielles, John Burns Berry. Ils ont pu rencontrer à plusieurs reprises les groupes amérindiens dans les rues mais aucun heurt n’a été déclaré par les polices étatiques. Les patrons des entreprises concernées seront reçus par la secrétaire au Travail, Charlene G. Richardson afin de faire un point sur les possibles retombées économiques qui pourraient toucher ses multinationales. « Un accord est de vigueur » réclame un militant unioniste qui était descendu dans la rue pour protester. Malgré tous ses agitations, des centaines de partisans fédéralistes ont assisté au discours du Sénateur Vanderland.
    -Chers amis, nous voilà après des heures de débats, le sentiment du devoir accompli. Il y a quelques mois, j’ai été élu par les habitants de l’État d’Arlington afin de les représenter au Sénat. Là-bas, j’ai pu faire la connaissance de nombreuses familles descendantes de tribus amérindiennes […] exclus de la société à cause de leur couleur de peau, de leur religion et de leurs habitudes. Nous, qui nous sommes autoproclamé « peuple de la liberté » devons devenir, le « peuple de la diversité ». […] Devenant Dieu nous avons juré l’égalité devant la loi, tout en mettant en esclavage un peuple mère de notre nation. Cette loi est bien plus qu’une mesure de protection, c’est une mesure de reconnaissance des abus qui ont été commis par nos ancêtres mais également par nous, leurs descendants sur les minorités amérindiennes […] je promet de servir et de protéger ses minorités et se sera l’une des tâches principales du Parti fédéraliste.

Le Marroon Palace par la voix de sa porte-parole Patricia G. Campbell, a salué la décision du sénat d’adopter le texte peu de temps après le décret présidentiel. Ajoutant également que l’administration soutiendrait toutes mesures visant à la reconnaissance du « génocide amérindien ». Plusieurs collectifs ont affirmé leur soutien au Parti fédéraliste tout en demandant la continuation des progrès tout au long du mandat. Cela en passant par l’écologie, le capitalisme modéré et l’ouverture au monde. Du coté de l’ancien locataire du Marroon Palace c’est un silence radio, aucune information n’a été communiqué depuis sa villa de Little-Marquian. Mais que pense l’opinion publique en général ? Bien que des milliers de militants unionistes sont de sortie dans les rues plus de 65% de l’opinion publique se dit favorable à cette avancée historique. Par ailleurs, une majeure partie de la population demande également la création d’un poste d’Administrateur aux forêts et aux questions indigènes. Un premier vote accepté, l’Administration Dinckley semble prometteuse.
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The memorie’s

LES SERVICES DE POLICE CONFRONTÉS À UNE RECRUDESCENCE DE VIOLENCE

Police fédérale l’État du Danoka
Arrestation d’un individu par la police fédérale à Heraldy en Danoka.

Le sénateur unioniste Gérald A. Grensein a attiré l'attention de l’hémicycle ce lundi à la suite d'un certain nombre de ses collègues sur la recrudescence de la délinquance dans les milieux urbains, mais aussi dans nos campagnes ; sur le problème préoccupant des agressions plus nombreuses dont sont victimes les convoyeurs de fonds ; sur les incidents, violences, viols et vols qui ont lieu dans des établissements scolaires en plus grand nombre ; et sur le manque d'effectifs de police fédérale et de la garde nationale, ou l'impossibilité qu'ils ont de donner suite à ces agressions ou à ces vols, ne pouvant assurer la sécurité des personnes et des biens.

Le Gouvernement est particulièrement attentif à l'évolution des phénomènes de violence dans les banlieues et plus particulièrement aux alentours ou à l'intérieur des établissements scolaires. C'est pourquoi le département de l'intérieur a récemment pris une série de mesures qui visent à accroître la présence policière sur la voie publique dans les secteurs urbains sensibles et à la rendre plus efficace. Le déploiement de compagnies républicaines de sécurité dans les grandes agglomérations, l'affectation prioritaire des jeunes fonctionnaires dans ces mêmes lieux, la limitation des gardes statiques, la réduction du nombre de policiers détachés, la généralisation des patrouilles à deux, l'aménagement des horaires d'îlotage, vont dans ce sens. Elles visent également, dans le cadre d'une véritable police de proximité, à favoriser le contact des policiers avec la population et notamment les jeunes.

En outre, le budget de 2010 prévoit la création de plusieurs centaines d'emplois de policiers, destinés à renforcer notamment les effectifs consacrés à la police de proximité, c'est-à-dire à la sécurité au quotidien. Cependant, le problème de la violence dans les banlieues ne peut être résolu par le seul renforcement du dispositif policier, qu'il soit préventif, dissuasif ou répressif. Les phénomènes constatés ces derniers temps, la réapparition des bandes, les méfaits commis dans les lycées, ont une origine plus profonde liée à une urbanisation mal adaptée et à des facteurs d'insertion scolaires, économiques, sociaux qu'il convient de mieux maîtriser pour que les jeunes appartenant aux milieux les moins favorisés trouvent une place au sein de la société et échappent ainsi à l'engrenage de la délinquance ou de la drogue. Ceci implique le développement d'un politique de la ville, faite de solidarité et de partenariat, entre toutes les administrations et instances locales publiques et privées concernées.

Pour ce qui concerne plus spécifiquement le rôle de la police fédérale et de la garde nationale, il convient de préciser que si elles ont pour mission prioritaire la sécurité des citoyens, celles-ci inclut aussi la circulation routière. Le coût social et humain des infractions commises dans ce domaine, 54 457 tués et 1 296 394 blessés ces cinq dernières années, ainsi que le coût économique, plus de 100 milliards par an, rappellent s'il en était besoin, la nécessité et l'aspect incontournable des dispositions prises à ce titre. Au demeurant, ces contrôles effectués sur le réseau routier concrétisent une présence policière tout aussi dissuasive pour les délinquants que pour les mauvais conducteurs, et contribuent ainsi pleinement à la sécurité générale. L'indispensable engagement des forces de l'ordre en matière de sécurité routière ne se fait donc pas au détriment de la lutte contre la délinquance mais en complémentarité.

Enfin, s'agissant des agressions perpétrées à l'encontre des transporteurs de fonds, celles-ci restent en nombre très limité et sont en diminution ; dix-neuf pour les six premiers mois de l'année contre vingt-neuf dans le même temps en 2009. Cependant, leurs circonstances parfois dramatiques amènent les services de police à réagir avec la plus grande fermeté au niveau des enquêtes judiciaires et des études sont en cours pour déterminer les meilleures dispositions à même de les prévenir.
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The World

ETAT D’URGENCE DÉCRÉTÉ, QUELS CHANGEMENTS SUR LE TERRITOIRE NATIONAL ?

Photographie de soldats de la garde nationale.
Peloton de la garde nationale, stationné devant le Gerdenarld Tower (annexe du Sénat).

Depuis le discours alarmant du Président de l’Union concernant la situation internationale, le sénat a voté une proposition de loi visant à l’instauration de l’état d’urgence. Provenant des rangs du Parti fédéraliste, cette proposition semble pourtant contre-productive selon plusieurs experts politiques qui soulignent un manque de transparence concernant le respect des droits humains (vie privée, liberté de mouvement, liberté d’expression…). Bien qu’autorisée par l’article XVI de la constitution fédérale, l’état d’urgence a pour but de protéger l’état en cas de danger militaire, sanitaire ou écologique pour une durée maximum de 12 mois et minimum de 3 mois. Concrètement, la vie risque de drastiquement changer avec les risques d’attentats terroristes commandités par des puissances étrangères hostiles à l’Union et plus globalement au libéralisme économique étant depuis toujours, le mode de vie et de fonctionnement du continent alleucéen.

Mais concrètement quels changements ? Tout d’abord, les services de police fédéraux et locaux seront remplacés par les services de renseignements. Ceux-ci continueront d’exercer leur métier et leurs devoirs mais sous la supervision de l’Antareese (nom des services de renseignements nationaux). Les services médicaux, les fonctionnaires de tous bords seront remplacés par l’armée et leur travail sera assuré par des militaires en uniforme. Une école sur deux (en alternant une semaine sur deux) sera fermée en faveur du télétravail. La circulation d’arme, leur port et la vente de munitions sera totalement interdite. Les pouvoirs des gouverneurs seront suspendus et rattachés directement au pouvoir du sénat et de l’administration Dinckley jusqu’à la fin de l’État d’urgence. Il en va de même pour les sénats locaux qui seront suspendus et serviront seulement d'organe consultatif pendant la période d’urgence. La vente d’alcool et de tabac sera fortement diminuée pour éviter tout risque de contrebande et de réunion.

Les positions politiques à l’Internationale prise par le Président Dinckley ont été vaguement salués par le Parti fédéraliste et le Parti unioniste. L’anticommunisme flagrant et peu caché du chef de l’État a permis au pays de se ranger du côté de l’Organisation des Nations Commerçante sans y adhérer. Ce rapprochement fut très vite contesté par la Loduarie Communiste déclarant l’Union comme un ennemi. Suite à cet événement une Commission sénatoriale dirigée par le Sénateur Douglas O. McDenright s’est réunie soutenant le travail du secrétaire d’État qui fut convoqué à plusieurs reprises. La conclusion est la suivante : Nous, par la Grâce de dieu, sénateurs de l’Union et membres de la Commission McDenright attestons du professionnalisme et de la rigueur du secrétaire d’État de l’administration Dinckley, de ce fait, annulons toutes les charges prises en son encontre. Que Dieu lui vienne en aide.

Après cette annonce, le département d’État a classé la Loduarie comme pays hostile et donc a interdit à tous les aéronefs en provenance de cette nation de survoler le territoire de l’Union. Des sanctions économiques et commerciales seront prises assure le secrétaire au commerce Steven N. Wells.
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Arlington Post

UN AMNESTIEN DEVIENT L’UN DES HOMMES LES PLUS INFLUENTS DU MONDE !

Monseigneur Mikael McDinar, nouveau Secrétaire d’Etat chargé de l’Intérieur.
Le Cardinal Mikael McDinar, nouveau Secrétaire d’Etat chargé de l’Intérieur du Pontificat de Catholagne.

Peu de temps après la nomination du nouveau saint-père, Pie XVI, le collège des cardinaux s'est empressé de nommer les nouveaux membres du gouvernement apostolique. Il était sorti plusieurs prénoms pour le poste de secrétaire à l’Intérieur mais c’est bien un amnestien qui fut nommé à ce poste crucial de l’état saint. Monseigneur Mikael McDinar n’est pas inconnu des services étatiques de la Catholagne, ayant occupé des fonctions sous la gouvernance du Pape Christophe de 2005 à 2010. Aujourd’hui expulsé au poste de secrétaire (ministre) de l’Intérieur il devient l’une des personnes les plus influentes du monde auprès des croyants mais également des pays officiellement de confession catholique.

Né le 29 avril 1971 dans un village près de la frontière lofotène, il naquit dans une famille avec de faibles revenus mais extrêmement croyants. Après l’abstention de son diplôme il rejoint l’Université d’État John Smith où il apprit les rudiments de la politique et des sciences économiques et sociales (tout en suivant une formation pour devenir prêtre). Peu de temps après la validation de son cursus de Foix, Mikael décida d’arrêter ses études pour se consacrer à Dieu. C’est après plusieurs années de dur labeur qu’il est accueilli de jour au lendemain au saint-siège, c’est le plus jeune prêtre à le rejoindre. Il gravit petit à petit les échelons jusqu’à devenir le secrétaire personnel du Pape Christophe peu de temps avant sa mort en 2010. Il est visible à ces obsèques internationales et même entrain de tenir le cercueil.

Pendant les élections il n’encouragea pas le nouveau saint-père lors de sa campagne auprès des autres évêques, préférant le jeune Eliott de Lillehämmer le prenant pour un symbole de modernité. C’est lors de la défaite de celui-ci qu’il prit la décision de le rejoindre jusqu’à sa nomination. C’est grâce à son engagement, bien que tardif, que Monseigneur McDinar fut nommé à la tête du secrétariat chargé de l’Intérieur de Catholagne, disposant ainsi d’un immense pouvoir et cela malgré la concurrence.

Les avantage suite à sa nomination sont nombreux :

- Il dirige la Police.
- Les archives nationales.
- Les archives secrètes.
- La publication de livres.
- A sous son commandement direct 4 régiments de Gardes pontificaux (sois 4 000 hommes).
- Possède un droit de grâce.
- Préside certaines cérémonies en l’absence du Saint-père.
- Peut accueillir les dignitaires étrangers en l’absence du Saint-père.

Régiment X d’hallebardier
Un Sergent-Major de la Garde pontificale après avoir prêté serment au nouveau souverain pontife et au Secrétaire à l’Intérieur.

    « Je jure de servir avec fidélité, loyauté et honneur le Souverain Pontife Pie XVI et ses légitimes successeurs, ainsi que de me consacrer à eux de toutes mes forces, offrant, si cela est nécessaire, ma vie pour leur défense. J’assume également ces engagements à l’égard du Sacré Collège des cardinaux pendant la vacance du Siège apostolique. Je promets en outre au commandant et aux autres supérieurs respect, fidélité et obéissance. Je jure d'observer tout ce que l'honneur exige de mon état. »
    Texte lu par le nouveau Secrétaire que les recrues doivent écouter attentivement.

    « Moi, [nom de la recrue], je jure d'observer loyalement et de bonne foi tout ce qui vient de m'être lu. Aussi vrai que Dieu et nos Saints Patrons m’assistent. »
    Texte lu un à un par les soldats..
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