03/07/2013
17:20:30
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Département impérial de l’énergie - 帝国エネルギー省

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Le Département impérial de l’énergie est l'organisme chargé d’organiser l’approvisionnement en toutes les énergies de l’empire. C'est un des 53 départements de l'administration impériale, dirigé par Fumiko Burujoa depuis 1992. Il est considéré comme l’un des départements les plus essentiels de l’empire, mais aussi un des plus ingrat puisque la considération du directeur du département est très basse et sa médiatisation très faible.

Bureau de l’électricité
Le bureau de l’électricité est chargé de produire, distribuer et vendre l’électricité burujoise, il est pour cela divisé en 3 secrétariats.

Le secrétariat de la production
Il est chargé de produire l'électricité burujoise dans les 5 régions de l’empire, par endroit il peut déléguer cette tâche à des sociétés locales publiques comme privées.

Producteur énergie :

Xinemane :
100% : secrétariat de la production : 7 centrales à charbon et 3 centrales à gaz

La consommation du Xinemane oscille entre 17 et 22 TWh par an.

La quasi-totalité de l’électricité du Xinemane est d’origine non renouvelable, entre 90 et 95%, essentiellement du charbon soit 7 centrales de 23 tranches dans les préfectures de Xineshoudu (470 à 900MW) et Tannan et 3 centrale à gaz de 2 tranches chacune (780MW), toutes dans la préfecture d’Onserleg. Le reste étant assuré par des barrages, aussi bien sur un lac que sur un fleuve mais de manière très subsidiaire, les xinemane étant beaucoup plus réticents que les métropolitains aux barrages et ils se trouvent tous dans la préfecture de Tsentont, comptant de nombreux jinuiens. Cependant, une centrale nucléaire de deux réacteurs est en construction dans la préfecture de Singye, elle pourrait, à terme, accueillir 6 réacteurs de 1400MW chacun.

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Centrale à gaz d'Okukonai

Ylma Jinu :
98 % : secrétariat de la production : 3 centrales à gaz de 16 tranches, 6 centrales à charbon de 24 centrales, 6 centrales nucléaire pour 28 réacteurs
0,9 % : préfecture de Congyeong : 2 centrales à gaz de 7 tranches chacune
0,3 % : coopérative des habitants du Sokseong : 1 centrale à charbon
0,3 % : société des industries d’Okukumo : 1 centrale à charbon
0,2 % : syndicat des artisans et commerçants de Shimakuno : multiples parcs à éoliennes
0,2 % : association des habitants de la préfecture de Tawashiri : 1 centrale à gaz
0,1 % : municipalité de Najin : multiples panneaux solaires et 4 barrages

La consommation d’Ylma Jinu oscille entre 75 et 80 TWh par an, selon les conditions climatiques.

Entre 70 et 80% de la production d'électricité est d’origine non renouvelable ; 15 à 20% de gaz et entre 20 à 30% de charbon et 30 à 40% de nucléaire.

La région compte 14 centrales à flammes, 8 centrales à charbon (187 à 1670 MW) et 6 à gaz (250 à 1980MW). Une bonne partie de ces centrales est située dans la minigapole de BongDang et dans les 2 préfectures associées du Grand Karaimu. Les 28 réacteurs nucléaires (920 à 1200MW) sont, quant à eux, tous situés dans les préfectures moins peuplées de l’Engan : Ikyeong, Souhoro… Plusieurs centrales à flammes devraient fermer dans les prochaines années, l’énergie nucléaire étant jugée moins polluante et nocive ainsi que moins cher à exploiter.

Entre 20 et 30% de la production d’électricité sont d’origine renouvelable, principalement de barrages dans les préfectures les plus montagneuses même si les énergies renouvelables se développent, avec de plus en plus de panneaux solaires sur les toits des bâtiments industriels ou commerciaux mais également par l’apparition des premières éoliennes. La plupart des rivières du pays comptent plusieurs barrages qui assurent un déploiement rapide de l'électricité dans les plus petites municipalités ou dans les bourgs isolés. Le nombre de barrages est tel que les services du département ne parviennent pas à déterminer avec certitude le nombre exact de ces dits ouvrages, les estimant tout de même à 20 grands barrages conventionnels (330 à 560MW), 7 barrages de turbinage (940 à 1/200MW) et plus de 1200 petits ouvrages (1 à 100MW). Deux grands barrages de turbinage sont en construction, un dans la préfecture de Hashiwara et un autre dans la préfecture de Horotama, chacune devrait produire 2.820MW.

centrale
Barrage à turbinage dans la préfecture de Minaribo

Enfin il existe un réacteur nucléaire expérimental dont la conception est 100% d'origine burujoise dans la préfecture d’Asadaka, qui doit être la première étape d’un développement plus massif du nucléaire. Deux autres réacteurs sont en projet dans la même préfecture, un autre est en construction dans la préfecture de Kikomoto (1400MW).


Cendane :
87% : secrétariat de la production : 4 centrales nucléaires de 12 réacteurs
4% : Préfecture de Jincity
1,8 % : Préfecture de Negui
1,6 % : Préfecture de Duntrie
1,2 % : Préfecture d’Ecatecas
0,4 % : Préfecture de Malarberry
0,3 % : Préfecture de Carsard
0,2 % : Préfecture d’Acalia
0,1 % : Préfecture de Whiteson
0,1 % : Préfecture de Maura

La consommation de Cendane oscille entre 19 et 24 TWh par an, selon les conditions climatiques.

La production d'électricité de Cendane est la plus divisée de l'empire, puisque chaque préfecture a le droit de construire autant de moyens de production d'électricité qu'elle le souhaite. Cela est possible après une longue campagne du Comité des Préfectures entre 1986 et 1989 lorsque le système électrique de la région était très défaillant. En 1989, en même temps que l'autorisation est accordée au préfecture, la centrale nucléaire de la préfecture d'Acalia est mise en service, ce qui rend inutile un grand nombre de projets portés par les préfectures, dont une gigantesque centrale à gaz de 22 tranches, près de Maura. Ces 4 centrales représentent l'essentiel des moyens de production du secrétariat de la production.

Au cours des années 1970 et 1980, la production d'électricité était si défaillante à Cendane, qu'en 1982 un grand plan de construction de centrales nucléaires est lancé. Ce plan aboutit à la construction de 12 réacteurs de 1200MW, 2 dans la préfecture de Whiteson, 3 dans la préfecture de Duntrie, 3 dans la préfecture de Malarberry et 4 dans celle d'Acalia.

Du côté des préfectures, on retrouve principalement des petits champs d'éoliennes ou de panneaux photovoltaïques dans les préfectures de Maura, Whiteson, Carsard et Ecatecas. Dans les préfectures de Negui et Duntrie, on retrouve 3 grands barrages. Et dans les autres préfectures, uniquement des centrales à gaz.

Vomogorod :
57 % : павлоска энергия - pavloska energiya
43 % : secrétariat de la production

La consommation électrique du Vomogorod est la plus élevée du Burujoa, en se référant à la consommation par habitant, avec entre 11 et 15 TWh par an, principalement à cause des conditions climatiques plus rudes que dans le reste de l’empire.

L’entièreté de la production électrique est d’origine non renouvelable, cette production est assurée par 5 centrales à charbon, détenus par pavloska energiya, ces centrales compte en tout 22 tranches, de 22 à 340MW et 4 centrales à gaz du secrétariat de la production, pour 12 tranches de 600MW. Aucunes centrales à énergies renouvelables n'est déployé au Vomogorod, les barrages et les panneaux solaires seraient très largement inefficaces en raison des conditions météorologiques difficiles : gel important des cours d'eau, chute de neige abondante et régulière... Enfin, pour les éoliennes, le vent est soit trop faible, soit trop fort pour qu'elle fonctionne de manière efficace. Cependant, une centrale nucléaire, comprenant un réacteur de 1400MW, est en construction dans la préfecture de Burugrad. L'objectif de cette centrale est de réduire la dépendance de la région à l'électricité carboné de pavloska energiya.

Tairopototo :
50% : павлоска энергия - pavloska energiya : 2 générateurs à pétrole
25% : compagnie générale d’électricité : 1 générateur à pétrole
25% : société tairopototoise des générateurs : 1 générateur à pétrole

La consommation de Tairopototo oscille entre 1,9 et 2,4 TWh par an, selon les conditions climatiques.

Tairopototo est la région burujoise la moins gourmande en électricité, favorisée par des conditions climatiques avantageuses. Cependant, la production d'électricité est assez rudimentaire, les 3 sociétés de production se partagent 4 générateurs à pétrole des années 1970. La société tairopototoise des générateurs possède ainsi un générateur de 540MW dans la préfecture de Kolokulu, la compagnie générale d’électricité possède le générateur de 670MW de la préfecture de Tekatibara et pavloska energiya possède 2 générateurs de 670MW dans la préfecture de Kūlanakauhale. Ces générateurs au pétrole sont de plus en plus défaillants et ils arrivent que des coupures d'électricité ponctuelles ont lieu. Par ailleurs, l'ensemble de l'électricité étant produite par des entreprises privées non locales, le sous investissement dans les générateurs, privatisés en 1977 est chronique.

Pour pallier à ces carences, il est prévu qu'au cours de l'année 2010 les générateurs soient nationalisés et remplacés à terme par une centrale électrique plus efficaces, stables et moins polluantes

Le secrétariat de la distribution
Le secrétariat de la distribution est chargé d’assurer la distribution de l'électricité, aussi bien à haute, moyenne et basse tension.
De ce fait, le secrétariat de la distribution doit construire et entretenir toutes les lignes électriques de l'empire, toutes tensions, mais également les transformateurs et les compteurs. Pendant plusieurs décennies, le secrétariat devait surtout déployer des lignes, d'abord dans les grandes villes, ensuite entre les grandes villes, puis dans les petites villes. Depuis la fin des années 1980, le secrétariat est davantage rentré dans une phase d'entretien des lignes, et de consolidation des liaisons électriques intra régionales.
Maintenant, en parallèle de l'entretien continue des câbles électriques, l'accent est également mis sur le développement des liaisons à grande distance, après la liaison YlmaElec entre Karaimu et BongDang en 1999, puis les liaisons SudEngan (CongYeong-Indiga) et JinuEner (Okukonai-Karaimu) en 2002, c'est maintenant les liaisons inter régionales qui sont en cours de déploiement, avec 2 câbles sous marins entre Ylma Jinu et le Xinemane et un câble entre Ylma Jinu et le Vomogorod. Ces nouvelles liaisons participent à la consolidation et la sécurisation de l'approvisionnement en électricité, l'objectif étant qu'en cas de défaillance d'une centrale ou de plusieurs centrales d'une même région, les centrales d'une région voisine lui viennent en aide. Elles permettent également de mieux répartir l'électricité non pilotable produite par les éoliennes et les panneaux solaires.

Le département est assez remarquée dans ses méthodes de travail avec de très nombreuses rues ou beaucoup de fils électriques survolent la chaussée. Ces rues survolées de câbles, surtout visible en Ylma Jinu, sont maintenant un des symboles du Burujoa.

Le secrétariat des ventes
Le secrétariat de la distribution est chargé d’assurer la vente de l'électricité produite à tous, aussi bien les particuliers, les entreprises que les administrations. Il est, dans la plupart des cas, qu'un intermédiaire entre le secrétariat de la production, qui fournit gratuitement l'électricité, et les consommateurs, qui paient directement les factures. Le secrétariat reverse alors un forfait au secrétariat de la distribution et 170 Flairy (0,17$) par kw/h au secrétariat de la production. Dans certains cas, le secrétariat doit acheter l'électricité produite par les entreprises privées, pour ensuite les revendre directement aux consommateurs. Le consommateur paye le même prix que pour l'électricité publique 200 Flairy (0,20$) du kw/h mais reverse 190 Flairy (0,19$) aux producteurs privés.

Le secrétariat des ventes compte également un réseau assez dense de "comptoir énergétique", plus de 190 boutiques servant d'interfaces entre les consommateurs et les secrétariats énergétiques. Parfois, ces comptoirs sont installés dans des stations services, des délégations mais de plus en plus ce sont des boutiques en propre. En 2015, le nombre de comptoirs énergétiques devrait être porté à 250, avec un développement accrue dans des municipalités de plus petite taille.
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