15/08/2013
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Re- Création de l'Aquitagne

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Création de pays : L'Aquitagne


Généralités :



Nom officiel : Royaume fédéral d'Aquitagne
Nom courant : L'Aquitagne
Gentilé : Aquitagnois(e)

Inspirations culturelles : France, Royaume-Uni
Situation géographique :


Langues officielles : Le Français et le Latin
Autres langues reconnues : Le Breton et le Savoyard

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle : Dieu, le Roy et le peuple
Hymne officiel :

Monnaie nationale : Livre royale fédérale £ (1£ = 1,139€)

Capitale : Flaviume

Population : 31 874 306 habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :

L'Aquitagne est un Royaume Fédéral composé de cinq Grands-Duchés: chacun est tenus par des membres de la Famille Royale. Le Royaume est régi par une monarchie constitutionnelle (dont les principes sont expliqués plus bas dans la Constitution du Royaume d'Aquitagne), dont la figure majeure est le Roy Philipe VII le Bien Pensant depuis son couronnement en 2004. Pays ouvertement traditionaliste voire xénophobe, il rejette les noveltés des pays décadents (l'usage de l'informatique est réservé à a classe dirigeante, et seul le Gouvernement et les quelques industriels peuvent utiliser des cartes bancaires, la plèbe ne peut que payer avec monnaies sonnantes et trébuchantes : pas de billets bien entendu).

Mentalité de la population :

La population Aquitagnoise aime profondément la famille régnante : en 2007, trois terroristes communistes ont tenté de tirer sur le Prince Dauphinois Eric qui faisait un bain de foule, mais ils furent arrêtés et lyncher sur place par les sujets de Sa Majesté. Elle est si calme est paisible que les forces de police remplacent souvent les autres fonctionnaires pour s'occuper. En effet, les Aquitagnois ne manifestent aucun besoin de voler : le train de vie luxueuse de la Famille Royale et l'extrême générosité de Sa Majesté permettent le plein emploi dans notre beau pays, et grâce à l'instauration d'un salaire minimal et d'un système de sécurité sociale en 1937, le pouvoir d'achat n'est pas un sujet qui pose problème.


Place de la religion dans l'État et la société :

Le Roy tient sa Couronne de Dieu : c'est pourquoi la religion Catholique a une forte importance dans le pays. Toutes les fêtes et prescriptions catholiques sont rigoureusement appliquées (l'avortement est formellement interdit et la famille traditionnelle est la seule envisageable.), et la messe est célébrée en latin. L'autorité pontificale est exercée par le Pape Paul XVII résidant au Primat, qui nomme les cinq cardinaux des Grands-Duchés. Bien que la majeur partie de la population soit de confession catholique, une certaine tolérance est observée envers les païens (tous ceux qui ne sont pas catholiques): ils sont simplement exclus des postes de fonctionnaires et ne peuvent recevoir aucune allocation sociale.


Politique et institutions :



Institutions politiques :

Constitution du Royaume Fédéral d'Aquitagne


Article Premier


Le Chef de l'Etat est le Roy : il est couronné par le Pape en la Cathédrale Saint Rémi, et réside au Palais de Castelarbor, à Flaviume. Il choisit et nomme son Premier Chancelier et ses Chanceliers, qui constituent le Gouvernement. Il dispose du droit de grâce, de veto, partage avec le Parlement l'initiative de la Loi et peut dissoudre ce dernier quand il le souhaite. Personnage sacré, il est impensable qu'il soit détrôné.


Article Second


Le Parlement est composé de la Chambre des Honorables, et de l'Assemblée des Hauts-Barons: leurs membres sont élus au nombre de 58 par Grand-Duché, respectivement par le peuple et par la noblesse. Ces deux Chambres partagent l'initiative de la Loi avec Sa Majesté, et le Parlement réuni peut, à la limite d'une fois tous les deux ans, voter le renversement du Gouvernement avec une majorité de sept sixièmes des voix.

Article Troisième


Sa Majesté partage et délègue son pouvoir aux Grands-Ducs: ceux-ci sont chargés de représenter le Roy dans les Grands-Duchés, et lui sont entièrement soumis. Le Roy les nomme et les destitue comme il lui sied. Les Grands-Duchés sont au nombre de cinq : York, Valenciot, Bavoir, Sibertet et Colomb.

Article Quatrième


Sa Majesté s'octroie le droit me modifier ou de remplacer la présente Constitution.

Composition politique de l'Assemblée des Honorables après les élections de 2008

AH

Principaux personnages :

SM le Roy Philipe VII le Bien Pensant, souverain par la grâce de Dieu depuis 2004 ;
SM la Reine Catherine de Prima, originaire de ledit Royaume et épouse de SM depuis 1992 ;
SAR le Prince Dauphinois Eric, héritier de la Couronne et Garde des Sceaux;

SE le Premier Chancelier, Guilaume IV, également Chef de l'Etat de l'Ambarres;
SAR Alphonse d'York, Chancelier à la Diplomatie Aquitagnoise, Grand-Duc d'York et frère du Roy ;
SAR Baudoin de Sibertet, Chancelier au Trésor, Grand-Duc de Sibertet et cousin du Roy ;
SAR Charles de Bavoir, Grand-Duc de Bavoir, oncle du Roy (il manigance pour le renverser.).

Politique internationale :

SM, le Roy veut une politique internationale promouvant les valeurs et les pratiques traditionnelles : c'est pourquoi il aspire à rejoindre l'Union Médiane Traditionaliste (UMT). Dans une volonté de s'intégrer à l'espace Eurysien, il souhaite tisser des liens forts avec les Nations du Vieux Continent (seulement, avec les Régimes monarchiques, cela va de soi.).


Histoire:

L'Aquitagne est issue de cinq clans: les Yorkshmits, les Bavertères, les Orlandorès, les Bruckères et les Aquitarois, dont l'origine se perd dans la nuit des temps. Bien que régie par les mêmes coutumes et traditions, et tous profondément païens, il n'avait de cesse de se faire la guerre, chaque chef de clan voulant conquérir celui des autres. Bien que l'Antiquité et le début du Moyen-âge soient marqués par leurs conflits, aucun ne parvint à s'imposer, et les cinq clans subsistèrent.

Mais l'arrivée de missionnaires catholiques du Primat, en 1267, changea la donne : les cinq clans se convertir. Le chef de clan Aquitarois, Arold III le Pieu, se précipita à Prima pour se jeter au pied du Souverain Pontife, afin de le reconnaître chef de la Chrétienté. Sa Sainteté, ayant mal entendu le nom de son clan, le nomma Roy d'Aquitagne: c'est donc d'un malentendu que provient le nom de notre glorieux royaume. Avec l'accord du saint-siège, Arold III (qui était devenu Arold I, Roy d'Aquitagne) rassembla ses armées, et avec des renforts du Prima, il conquit le clan des Brucktères. Seulement, il perdit la vie à la bataille d'Harwing en 1269, où son cœur fut transporter pas une flèche Brucktète: c'est son fils, Marc I le Valeureux, alors âgé de 15 ans, qui reçut la couronne : après avoir nommé son oncle François de Sibertet gouverneur du clan Brucktère sous son autorité (ledit gouverneur donna son nom au clan.), il partit avec son armée, dont les rangs étaient grossis par les troupes Brucktète, conquérir les Bavertères. Affolés, les Bavertètes se rendirent sans livrer combat, et le Roy annexa le clan à son Royaume en 1273, qui devenait une des plus puissantes de la Chrétienté. Une fois, sa soif de batailles assagit, il se mit à gouverner : il créa les hôpitaux publics et investit dans la science, ce qui recula le taux de mortalité Aquitagnois. Il s'éteignit paisiblement à 53 ans, en 1307. Son fils et son petit-fils ne marquèrent pas l'histoire de leurs empreintes: on sait seulement qu'un des deux à choisi la ville de Flaviume comme capitale et lieu de résidence de la famille royale.

En 1327, sous le règne du Roi Philippe IV le Fédérateur, les clans des Yorkshmits et des Orlandorès s'allièrent pour détruire l'Aquitagne, et envoyèrent des milices pour piller le royaume près des frontières : ce fut le début de la Guerre de Huit Ans. Outré, Phillipe rassemblé une ost, pris l'oriflamme et partit venger ses sujets. À Rockewell, dans le Yorkshmits, ils durent reculer devant la coalition, et se retranchèrent dans un château qu'ils avaient pris aux Orlandorès. Comble de malheur, la coalition décide de l'assiéger : le Roy prend donc la décision d'envoyer un messager au Roi de Prima et à l'Empereur d'Ambarres. Fort heureusement, ceux-ci arrivent en personne avec leurs armées, alors que les Aquitagnois étaient assiégés depuis 7 mois : ils les libérèrent. Pendant 6 ans, le conflit s'enlisa : il n'y avaient que de temps en temps des escarmouches et des pillages des deux côtés, et le pape commença à s'impatienter : il finançait une partie de l'armée royale et ses propres troupes y étaient mobilisées. Il menaça SM d'excommunication si ce dernier ne faisait rien pour hater la fin de la guerre. En bon chrétien, le Roy obéit: il choisit attaquer par surprise le plus faible des clans de la coalition, les Orlandorès, et de les isoler des Yorkshmits. Il y parvint en 1335, et annexa après 5 mois de batailles ce clan, qu'il renomma en Colomb. Mais il restait les Yorkshmits: seulement, les Aquitagnois avaient si bien manigancer que ces derniers ignoraient la situtation des Orlandorès. Persuadés qu'il les rejoindraient, ils partir dans le but d'assiéger Flaviume, la capitale, mais furent arrêter et défait par Philippe IV. Ainsi prit fin la Guerre de Huit Ans, et depuis lors, le royaume d'Aquitagne a le territoire et les frontières qu'on lui connaît, et les cinq clans sont unis sous l'autorité de la Couronne. C'est de 1335 que date la réforme de l'Administration territoriale, qui transforma les clans en Grand-Duchés, sous le nom d'York, de Bavoir, de Colomb, de Sibertet, et de Valenciot.

carte

Le fils de Philippe IV, Louis VII l'Autoritaire, dota le royaume de sa célèbre devise : en 1356, les Grands-Ducs tentèrent de prendre le pouvoir. SM les fit tous crucifier, et dit alors "Seul Dieu, le Roy et le peuple sont ici souverains ! Dieu, le Roy et le peuple !". On lui doit également notre beau drapeau, qui depuis flotte fièrement au-dessus de toutes nos maisons.

Mais en 1478, le royaume connut une grave crise institutionnelle : en effet, le Roy Sigebert II partit rejoindre notre Seigneur en laissant trois enfants au royaume : deux fils et une fille. Seulement, les deux fils se succédèrent sur le trône tous les deux en l'espace de 4 mois, car tout deux moururent mystérieusement sans laisser d'enfants. C'est là qu'est l'os : c'était la première fois que le Roy mourrait sans héritier mâle. Alors les Hauts-Barons furent divisés : les uns étaient pour donner la couronne à la fille de Sigebert II, Geodfille au Gros Nez, et les autres pour abolir la dynastie des Arlemites (celle du roi Arold I) pour élire un nouveau Roy. Ils débattaient à l'Assemblée, lorsque le vieux maréchal Gaucher de Charmillon prononça la célèbre citation : "Jamais femme ne ceindra couronne en Aquitagne!". Aux barons d'acquiescer et d'élire un nouveau Roy, Charles III le Magnifique.

Ce dernier voulut magnifier l'image royale : il modernisa le Palais de Castelarbor et fut le plus grand mécène de son temps : le pape lui jalousait ces magnifiques vitraux, une spécialité Aquitagnoise inimitable.

Mais le plus illustre des Roys d'Aquitagne est sans contestation possible Henri VIII le Sage (1604-1696): monarque éclairé, il dota le royaume de sa Constitution, partageant ainsi de son plein gré l'initiative de la Loi avec le Parlement. Très aimé du peuple, il créa la livre royale fédérale, et lui donna un cours avantageux qui puisse permettre à tous ces sujets de manger à leurs suffisances. Mais à sa mort en 1696, son fils, Henri IX, hérita d'un royaume endetté jusqu'au cou: pour y remédier, il décida de spolier de leurs biens tous les païens du royaume, et leur interdit de s'exiler. Il modernisa l'armée et fortifia les frontières : tous les souverains d'Eurasie furent soulagés lorsqu'il mourut d'un rhume en 1745.

Son petit-fils, le Roy George II le Curieux, lorsqu'il monta sur le trône en 1789, se dit qu'il y avaient peut-être des terres à conquérir par delà les océans, des richesses à voler, des peuples à exploiter. Il partit lui-même avec 20 000 hommes en expédition à ces fins, mais c'était la première expérience maritime de l'Aquitagne, et les deux bateaux coulèrent au large de l'actuel Fortuna. Apeurés par cet échec, les Aquitagnois se renfermèrent sur eux-mêmes, et pendant près d'un siècle, le pays n'évolua pas, les Roys se succédant sans y remédier.

Mais cela changea lorsque Henri XV monta sur le trône : persuadé que les malheurs du royaume étaient une punition divine, car la Couronne tolérait l'existence des païens sur son sol: il entreprit une opération de déportation de tous les infidèles vers le Lac aux Impies, et fit noyer les 700 000 païens que contait le royaume, un par un, pour qu'il connaisse le sort du Roy George II. Les historiens appellent communément l'opération de l'année 1902 : " le nettoyage au karcher ". Hélas, ce bon Roy fut assassiné par un communiste en 1906, on se demande encore pourquoi. Son fils, Philippe VI le Bon, le père de notre souverain, lui succéda alors qu'il était âgé de 3 ans. Lorsqu'il fut en âge de régner, il dota le pays des allocations sociales, baissa les impôts, construisit de nouvelles écoles catholiques, et fut extrêmement généreux avec les plus modestes d'entre nous. Souvenons-nous dans nos prières du Roy Philippe VI le Bon, qui s'est éteint paisiblement en 2004, la veille de son 98e anniversaire.
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Est-ce mieux ainsi?
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Bonjour,

C'est mieux, je te valide. Attention toutefois, nous jouons en 2010, ton jeu va devoir s'adapter à cette réalité chronologique. Bonne chance pour la suite !
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