Activités étrangères en Aquitagne

Ce topic est ouvert à tous les joueurs possédant un pays validé. Vous pouvez publier ici les RP concernant les activités menées par vos ressortissants au Turkaïstan. Ceux-ci vous permettront d’accroître l'influence potentielle de votre pays sur les territoires locaux. Veillez toutefois à ce que vos écrits restent conformes au background développé par le joueur de l'Aquitagne, sinon quoi ils pourraient être invalidés.

Passant la frontière à l'intérieur d'une berline noire dont le capot est flanqué de drapeaux de Prima, la demoiselle de Limebec regarde le paysage défiler tandis que les voies criardes d'une opérette comique raisonnent dans l'habitacle du véhicule. Elle se ventile machinalement tandis que son conseillé, par ailleurs vassal de son père le comte de Limebec, lui donne dans les grandes lignes les informations diplomatique en provenance de la chancellerie royale. Elle est distraite et les bals et les réceptions, et les diners la rendent rêveuse et l'éloignent momentanément des instructions que lui transmet son homme d'affaire.

Une fois rendue à la capitale d'Aquitagne, un lapin de coursive lui ouvre la portière de la berline et elle entre dans l'ambassade, un manoir acheté à la vas vite et encore en rénovation. Lasse de son voyage, lequel lui aura donné une sorte d'indisposition passagère, l'ambassadrice présente au plus vite ses lettres de créance au roi, qu'elle salue cependant d'une profonde, élégante (mais aussi tendancieuse avouons le ...) révérence, avant de se retirer.

Note de renseignement d'Aquitagne: Cette jeune femme est une précieuse, une coquette, une femme de la cour. Elle n'est pas idiote mais ses mœurs laissent à désirer, cela dit sa noblesse est fort ancienne et ses usages parfaits, de plus son père a une fameuse réputation de bretteur dans le milieu du Béhourd, ayant été plusieurs fois champion du monde.

Sur les demandes officielles du Royaume Fédéral d'Aquitagne et conformément à un plan d'installation médité depuis longtemps et accéléré depuis peu sous les instances de Prima dans le cadre des démarches entreprises par Aquitagne de rejoindre l'Union Médiane des Traditionalistes, les dames charitables de l'Ordre des Clarisses de la Charité débarquent enfin dans le Royaume cousin d'Aquitagne et membre du futur « bloc » eurysien de l'UMT.

Les sœurs débarquent donc massivement pour fournir un soutien important à l'état d'Aquitagne via un dispositif médico-social complet incluant l'ensemble des compétences de l'Ordre. Concrètement ce sont pas loin de deux mille sept cent sœurs qui ouvrent quatre hôpitaux, cent écoles, dix orphelinats, dix centres d'action sociale et 30 hospices tantôt pour fous, tantôt pour vieillards, tantôt pour misérables.

L'objectif à long terme de cette installations ambitieuse étant le même qu'en Clovanie ou en Prima : Assurer un service médical et social complet dans un cadre de chrétienté où foi, assistance et charité se confondent totalement pour former entre elles une union indissoluble qui est proprement le Règne Sociale de Notre Seigneur Jésus Christ, c'est en tout cas de cette manière que l'entendent les sœurs, et, en huit siècles d'existence, l'Ordre n'a jamais été démenti par aucune autorités ecclésiastiques légitimes et authentiques.

Alors qu'Iban Haranburu est actuellement occupé par le conclave sur l'île de Rème, un journaliste aquitagnois du nom de Philipe Cassenière a publié un article dans le journal Flaviume Soir, très populaire en Aquitagne, où il accusait notamment le cardinal preferito youslève d'être affilié à l'Orga, la mafia youslève implantée surtout sur les côtes de la Leucytalée, notamment à Baltos, ville d'origine d'Haranburu. Pire, il serait, toujours selon les dires de M. Cassenière, impliqué lui même dans des règlements de comptes et des meurtres.

Le cardinal de Sedjan, actuellement isolé du monde extérieur avec ses homologues afin de décider de l'identité du futur pape, n'a pas pu répondre à ces accusations mais c'est l’Église Catholique de Youslévie qui a prise l'affaire en main et a décidé de porter plainte pour diffamation. Peu de personnes ont répondues favorablement à nos sollicitations mais un l'avocat d'Haranburu a décidé de parler au nom de son client qui lui n'est absolument pas au courant de cette affaire.
"Ce n'est pas la première fois qu'Iban Haranburu est victime de ces accusations mensongères. D'habitude nous avons l'habitude de laisser passer et de ne pas nous soucier des dires mais dans ce cas-là nous avons choisi de porter plainte pour protéger l'intégrité de M. Haranburu. Nous sommes en effet dans un contexte particulier où nous ne pouvons nous permettre de voir un haut placé du christianisme se faire insulter de la sorte, d'autant plus que M. Cassenière n'a visiblement pas prit la peine d'enquêter et de se baser sur des faits avérés mais plutôt sur des rumeurs et des bruits de couloirs.
Au delà de ces accusations mensongères, je voudrais aussi dénoncer le parti-pris flagrant de ce soit-disant journaliste qui n'a cessé de dénigrer l’Église Catholane dans son article bien mois informatif que propagandiste. Je trouve cela dommage que cet homme salisse en même temps une institution suivit par des milliards de personnes, un homme de foi mais aussi la profession de journaliste qui se passerait bien de poids comme lui.
J'aimerai aussi pointer du doigts le racisme latent entourant les paroles de ce monsieur. Oui mon client est Vasque, oui mon client est né et a passé la majeure partie de sa vie à Baltos, tristement réputée pour être le fief de l'Orga, néanmoins cela fait-il de lui automatiquement un homme mauvais ? Un Vasque originaire des milieux défavorisés de Baltos ne peut-pas réussir sans mouiller dans des histoires sombres ?
Monsieur Cassenière n'a fait que répéter dans son article que mon client était un représentant d'une fausse Église corrompue mais si son Église à lui , la soit-disant "Vraie Église", est basée sur l'intolérance et la xénophobie, alors je vous garantie que mon client est bien heureux d'être accusé par cette homme. Ça montre en effet la vertu de son œuvre en opposition avec le dégoûtant labeur de celui que j'aurais le plaisir de rencontrer au tribunal".

La sœur Philomène est une religieuse on ne peut plus polyvalent. Elle est avant tout une jardinière hors pair, mais aussi une cuisinière adroite et réputée ainsi qu'une bonne couturière. Cela dit si il fallait choisir une compétence parmi toutes quelle maîtrise et dire qu'elle est la meilleure, ce serait sans conteste sa capacité à faire de la propagande discrète et du recrutement efficace pour l'ordre monastique féminin secret et terroriste que l'on nomme l'OMMAS (cf.ici).

Jusqu'à présent elle œuvrait adroitement et discrètement en Prima où se trouvait son couvent, mais maintenant qu'elle est en Aquitagne du fait d'un mouvement impromptu des effectifs, c'est dans ce pays qu'elle exerce son talent. Propagande et recrutement sont ses deux missions, elle ne se permet ni noyautage ni action directe, du reste ces mission ne sont pas disponibles dans sa large gamme de compétences qui n'inclue cependant ni le sport ni la violence.

Officiellement, donc, c'est une nonne tout a fait classique de l'OCC, elle est en charge du jardin et du potager d'une maison pour filles-mères. Elle a une bonne réputation et remplie fort bien ses fonctions publiques (sans négliger ses fonctions officieuses de recrutement et de propagande).

Ses motivations profondes qui lui ont fait rejoindre l'Ordre tiennent sans doute au ressentiment, elle aurait été abusée sexuellement durant son adolescence et son noviciat par des clercs masculins décadents, elle chercherait donc à se venger et à rectifier l'institution, au besoin par le sang (qu'elle fait verser indirectement par ses recrues).

L'OMMAS lui a donc donnée la mission de recruter ainsi que d'organiser une planque en Aquitagne, dans une logique de base arrière,

Soucieuses de fournir une instruction complètes à leurs protégées, les sœurs de l'Ordre des clarisses de la Charité implantée en Aquitagne ont décidée d'aménager une ferme-école à coté d'un de leur lycées ruraux de jeunes filles. La structure d’accueil, léguée aux sœurs par un vieil homme sans famille qui s'est endormi du sommeil de la mort dans un des hôpitaux de l'Ordre, est une vieille ferme réhabilitée par l'Ordre dés qu'il en a héritée. Une plaque au nom du bienfaiteur, monsieur Jean, a été posé aujourd'hui, jour choisie pour l'inauguration de ladite structure.

Ce lieu spécial sera tenu exclusivement par une poignées de sœurs passionnées par d'agriculture ainsi que quelques autres qui se chargeront de l’hôtellerie. L'objectif de cette ferme-école est double : enseigner la maîtrise des travaux de la ferme et veiller à ce que ces demoiselles acquièrent la rusticité qu'il est toujours bon d'avoir même si on est destinée à être du monde ( ce qui, du reste, n'est pas la majorité des élèves en pension chez les sœurs).

La polyculture et le petit élevage sont au centre de la démarche agraire de l'endroit. Aussi, en plus d'un potager considérable où est planté en des carrés ordonnés (mais tout de même pleins de sauvagerie) une multitude d'herbes médicinales, condimentaires, ménagères et odoriférante, en plus des traditionnels légumes et fruits rouges divers; en plus, donc, de ce potager monumental, on compte également un verger non moins impressionnant on l'ont à planté une multitude de jeunes arbres fruitiers comme des pommiers, poiriers, des nectariniers, des cerisiers, des péchés et autre noyers, le tout convenable payé comme il convient. Du coté des animaux, l'on trouve évidemment la traditionnelle bassecour et ses poules, oies, pintades, paon, lapins et canards, du coté de l'élevage de gros animaux, l'on trouve des vaches, des moutons, des ânes, des chévres, quelques chevaux, des porcs et mêmes quelques autruches.

L'entretient et le bon suivi de ces animaux, arbres et herbes seront toute l'étude de ces jeunes demoiselles que l'on accueillera en ce lieu dans le cadre des voyages périscolaires. Évidemment il va de soi que le publique visé est essentiellement le publique urbain, cela dit, on a tous toujours quelque chose à apprendre et ces sœurs sont assurées des paysannes de premier ordre !

Les pensionnaires de l'Orphelinat de Sainte-Claire à Valentia ont chanté hier dans le cadre d'une concert caritatif destiné, précisément à lever des fonds la maison qui les accueille. La générosité d'une vielle veuve sans enfant avait déjà permis aux Les sœurs de l'OCC d'installer un orphelinat, celui de Saint-Claire en Aquitagne, dans un château vaste mais insalubre et passablement dangereux pour les enfants (remparts ruinés, puits mal sécurisé, problème d'isolation des bâtiments de vie, ect).

Les sœurs étant pauvres, comme l'on sait, elles ont donc organisé un concert pour récolter des fonds ou des bonnes volontés d'artisans. Il semble que le résultat fut au rendez-vous puis que le château est en chantier de rénovation et que des sommes considérables auraient étés récoltées laissant présager que l'ancienne place forte médiévale pourra bientôt être restaurée à fond pour assurer la sureté et le minimum de confort qu'il convient d'avoir quand on s'occupe d'enfants.

Rappelons que les orphelins sont dénués de famille et à ce titre seuls au monde, la famille étant la structure naturelle de l'homme. Sans le soutien de la communauté, ils ont voués à un sort funeste. Les sœurs qui ont une mission sacrée et divine d'assistance aux plus faibles, veillent religieusement sur leurs orphelins, non seulement au matériel mais encore à l'intellectuel et évidemment aussi spirituel. De toutes les œuvres, les sœurs de l'OCC considèrent les œuvres pour l'enfance comme les plus importantes et parmi celle-ci l'assistance aux orphelins est la plus haute. Néanmoins, elle ne rapporte rien et coute fort cher, il est donc indispensable d'organiser régulièrement des manifestations de bienfaisance comme celle qui vient d'avoir lieu.

Par ailleurs, n'oublions pas que faire la charité est une œuvre particulièrement saine en ce qu'elle permet à tout le monde de s'en sortir. Celui qui reçoit voit sa vie considérablement simplifiée, voir sauvée, celui qui donne voit son âme être considérablement sanctifiée, voir sauvée. Ainsi, tout le monde est gagnant. Quand au gain pour la société, outre le fait qu'elle devient plus agréable à Dieu, il est indéniable que d’empêcher les gens de mourir dans la rue et donner plus d'enfants à la patrie est une tache belle et bonne.

L'épisode s'ouvre sur Charles qui est en train de couper les ronces à la machette afin de faire sortir de la broussaille les soubassements en silex de l'ancienne grange. Il parvient a eu dégager deux vieilles ardoises qui servaient originairement de toiture au bâtiment ruiné, il se rend ensuite dans un coin du domaine et y gratte de la main un affleurement dont il retirera un morceau de craie. Il retourne alors vers la maison tout en taillant la craie.

Pendant ce temps, les filles prennent leur petit déjeuner que leur prépare Caroline et tout ce petit monde parle avec curiosité et appréhension de la rentré scolaire qui a lui ce jour. Charles entre alors et remet craies et ardoises aux deux plus grandes filles, la petite dernière étant trop petite, signifie que ces l'heure et leur dit d'y aller en leur disant qu'elles aimeront l'école. Les gamines sortent et prennent le chemin vers la Noisetiére. Caroline est inquiète, Charles la rassure, puis il parle de la grange et du fait qu'il aimerait l'avoir réparé le plus tot possible ainsi que d'autres considérations agraires.

On retourne sur les filles viennent de quitter la maison et qui sont sur le chemin aux ornières qui n'a pas été empierrée depuis longtemps, c'est le chemin qui relie la Noisetiére au Val de la Plume et que nos protagonistes ont pris en épisode 1. Ces deux demoiselles parlent et se chamaillent sur la route. A un croisement, elles croisent des filles de leur age, certaines sont en robes simples et rapiécées comme les leurs, d'autres portent des robes d'un bien meilleur tissu. En discutant, elles apprendrons que bien que faisant la même route, les filles avec les meilleurs robes ne vont pas à l'école avec elles mais vont chez le baron, lequel a un précepteur qui instruit sa fille et tout les enfants de la noblesse. Les filles Inglants apprendrons que la fille Filshuile n'a pas le droit d'aller chez le baron malgré les instances de sa mère, mais qu'elle doit aller dans l'école pour le Tiers Etat.

Elles se séparent donc devant le fortin tandis que nos deux héroïnes continuent vers l'école, la cloche retentit dés qu'elles arrivent. L'école est une annexe de l'église à laquelle elle est adossée, c'est presque une grange, mais tout y est maçonné en pierre, à l'exception des bancs et des pupitres, qui sont de bois, et du large tableau noir. Une religieuse, la sœur Élise (OCC) est la maîtresse d'école. Elle inscrit les enfants sur son registre, s’enquière rapidement de leur niveau scolaire, elles lui répondent que leur mère leur a appris des choses.

L'école se passera bien, durant les récréations, on voit que la fille Filshuile, Aurélie, a une personnalité abominable, elle essaye par ailleurs d'approcher les murs de rondin du fortin, on entend sortir de l'intérieur les rumeurs d'une leçon de piano et l'on voit une poignée d'enfants, dont les nobles domestiques de la scène du chemin. Aurélie annonce que c'est Marie-Alphonsine, la fille du baron, qui est au piano. C'est elle qui a la plus belle toilette, plus belle que celle d'Aurélie, qui déjà, pourtant, est très au dessus de celles des autres, y compris les petites nobles.

Le soir, les deux écoles s’achèvent et tout le monde repart, elles font la route de retour avec les deux petites nobles, qui leur diront que leurs péres sont honorés, l'un est garde barrière pour la voie Fortuna-Travie via Prima, l'autre est le garde champêtre du secteur de la Noisetière. Tout ce petit monde se sépare au carrefour et les deux filles entrent à la maison.

La grange est entièrement dégagée de ses ronces et la maçonnerie du soubassement est redressée tandis que les ronces finissent de brûler en un tas un peu plus loin. Charles enlève son chapeau et essuie sa sueur affichant un large sourire du travail qu'il a effectué ce jour. Nous passons ensuite au dîner, Charles interroge les filles, elles disent du mal d'Aurélie, Charles y met un peu de mesure, il ne faut pas être trop vulgaire, même quand on parle des bourgeois, puis elles parlent du précepteur et de l'école pour les nobles et que ce n'est pas juste qu'il y ai deux écoles. Charles va alors expliquer en détail le système des ordres et bien montrer qu'il est nécessaire que les clercs, les nobles et Tiers Etat soit bien à part, que ça permet l'équilibre. Il leur dit qu'il faudra le dire à la fille de Filshuile, et que les bourgeois qui s'approchent trop de la haute noblesse, comme c'est le cas de la fille du baron, c'est à dire la noblesse féodale, souvent finissent souvent mal et Charles leur demande de toujours montrer une extrême déférence vis à vis de la demoiselle de la Noisetière.

Le lendemain, les filles repartent tandis que Charles continue de remonter les murs de la grange. Une fois arrivées devant le fortin, elles voient qu'Aurélie est dans le jardin et gratte l’amitié avec Marie-Alphonsine, la fille du Baron, laquelle étaient en train de regarder les roses du jardin avec quelques autres filles nobles. Elles lui font signe de venir, elle les ignore magistralement et continue de montrer ses airs. A un moment, la demoiselle de la Noisetiere lui demande de partir, Aurélie n'y fait pas attention, du coup, les deux filles du chemin, respectueusement celle du garde barrière et celle du garde champêtre, l’attrape et la jette hors du jardin du fortin et elle tombe dans la boue du chemin, laquelle macule toute sa robe, ce qui se passe dans l'hilarité générale. Ce que entendant la baronne sort sur la terrasse du Fortin, elle reconnaît la fille de Filshuile maculée de boue et elle deux filles qu'il l'on poussée de la raccompagner chez elle pour qu'elle se change.

Plus tard, dans la journée, la baronne passera chez les Filshuile pour s'enquérir de leur fille et ira ensuite à l'école pour dire quelques mots sur la nécessité d'obéir à la noblesse. Elle exigera des excuses d'Aurélie qui les donnera penaude et pleurante. Puis elle rappellera en sortant de son décolleté un petit révolver en .22lr que la noblesse a le droit de vie et de mort sur le Tiers Etat et que celui-ci doit se soumettre sans réserve.


Le soir, Charles dira que tout qu'il a enfin fini sa grange et qu'il va pouvoir acheter des bovins dés demain, qu'il s'est renseigné déjà chez un bouvier du coin qui lui ferai un prix et que tout cela est très bien. Puis entendant ce que ses filles lui disent concernant les événement du jour, il rappellera sérieusement et affectueusement qu'un bourgeois ne doit jamais chercher à s'introduire dans le monde des nobles, et surtout qu'il faut toujours obéir à son suzerain même quand cela nous coûte et que seuls les brigands ne le font pas, que dans ce cas ils doivent être punis.