[OCC] et [OCSAS] Action des Puissances étrangères

Action des Puissances étrangères
Ici vous pouvez écrire vos mouvements d'influence ou vos RP. Cependant il n'y a pas de mécanique d'influence, aussi vous ne pouvez pas gagner de points d'influence. Mais je vous assure que je tiendrais compte de ce que vous aurez entrepris.

L'ombre menaçante de Cataclysmic plane sur l'Ordre des Clarisses de la Charité
Dans les méandres tortueux du paysage politique fujiwans, l'organisation controversée Cataclysmic tisse sa toile d'influence, étendant ses griffes sur des institutions jusqu'alors épargnées par le tumulte politico-idéologique. L'Ordre des Clarisses de la Charité (OCC), vénérable institution religieuse et caritative, se retrouve aujourd'hui en plein cœur d'une tempête médiatique, prise en étau entre ses valeurs d'entraide et de justice sociale, et les pressions des membres de Cataclysmic, bien décidés à imposer leur vision.

Les révélations glaçantes d'insiders, tels des murmures dans la nuit, évoquent des rencontres secrètes et des échanges tendus entre des membres influents de Cataclysmic et des représentants de l'OCC. Les nationalistes, mus par une détermination inébranlable, auraient sommé l'Ordre de soutenir publiquement leurs positions conservatrices et de s'aligner sur leurs vues en matière de politique sociale.

Mais les pressions ne se seraient pas arrêtées là. Selon des sources anonymes, les membres de Cataclysmic, impitoyables dans leur quête de pouvoir, auraient proféré des menaces voilées à l'encontre de l'OCC, insinuant que leur refus de coopérer pourrait avoir de lourdes conséquences pour l'Ordre et ses membres. La peur, telle une ombre insidieuse, s'insinue ainsi dans les couloirs de l'OCC, mettant en péril l'indépendance et la sérénité de cette institution ancienne. Le vent de révolte souffle au sein de l'aile gauche du parti de l'Aube, majoritaire dans le pays, outrée par les agissements de Cataclysmic et les tentatives d'asservissement de l'OCC. Les voix s'élèvent, tel un chœur indigné, pour protéger l'intégrité de l'Ordre des Clarisses de la Charité, symbole d'unité et de solidarité dans un monde en proie à la division.

Alors que le spectre de Cataclysmic plane sur l'OCC, il nous appartient de suivre avec attention l'évolution de cette situation inquiétante et de soutenir ceux qui résistent à la mainmise des nationalistes sur des institutions dédiées à l'amour du prochain et au bien commun. Puissent les voix des justes triompher face aux menaces et aux pressions, et l'OCC continuer à œuvrer pour un monde meilleur, libre de l'ombre menaçante de Cataclysmic.

Le Crépuscule de la Charité : Les tensions montent alors que l'Ordre des Clarisses fait face à l'opposition croissante au Fujiwa

Dans l'obscurité paisible du quartier de Yamanote à Shinhoma, la sœur Aiko, une dévote de l'Ordre des Clarisses de la Charité, se faisait un chemin silencieux à travers les rues en pierre vieillies par le temps. Ses pas résonnaient faiblement, se perdant dans le sommeil de la ville. C'était une femme d'une grande piété, d'une grande résilience, et pourtant, ce soir, un froid inconnu parcourait son échine, comme une présence prédatrice dans l'ombre. À peine avait-elle tourné au coin d'une ruelle étroite et sombre qu'elle entendit un bruit sourd. Son cœur manqua un battement. Elle tourna la tête, ses yeux s'écarquillèrent, juste à temps pour voir trois silhouettes imposantes surgir des ténèbres, leurs regards sombres et féroces. Un cri guttural résonna dans l'air : « Partez ! » La menace était claire, et la terreur de sœur Aiko aussi réelle que la froide brique contre laquelle on la plaqua.

La brutalité de l'assaut la prit par surprise. Son souffle fut coupé lorsque sa tête heurta le mur, l'air vibrant de la violence de l'impact. Alors qu'elle se reprenait, une deuxième figure s'avança, un bâton menaçant à la main. Sans aucune hésitation, il leva le bâton et le laissa retomber avec une force impitoyable, frappant sœur Aiko dans l'abdomen. Elle fut projetée sur le sol froid et dur, la douleur irradiant à travers tout son corps. Le goût du sang remplissait sa bouche, mais elle ne cria pas. Elle refusait de leur donner cette satisfaction. Au lieu de cela, elle murmurait une prière entre ses dents serrées, une lueur déterminée dans ses yeux. « Votre dernier avertissement, » gronda l'un des assaillants, sa voix glaciale transperçant l'air. « La prochaine fois, nous ne serons pas aussi cléments. »

Et comme des spectres, ils s'évanouirent dans la nuit, laissant sœur Aiko seule, à lutter contre la douleur. Il était 22 heures, une nuit sans lune au cœur de la ville. Takuya, un vieil homme, profitait de la tranquillité nocturne pour promener son shiba inu, Hachi, dans le parc voisin. Soudain, le chien s'est arrêté, son regard fixé sur une forme sombre à quelques mètres de là. Intrigué, Takuya s'est approché et a découvert avec horreur la religieuse de l'OCC, blessée et en état de choc. Agissant rapidement malgré son âge avancé, Takuya a aidé la religieuse à se lever et l'a soutenue jusqu'à sa maison à proximité. Il a soigné ses blessures du mieux qu'il pouvait avec son kit de premiers secours et lui a offert un refuge sûr pour la nuit.

Le matin venu, après avoir remercié Takuya pour son aide inestimable, la Sœur Aiko, bien que toujours éprouvée par les événements de la nuit précédente, reprit la route vers le collège religieux de la ville. La détermination brûlait dans ses yeux alors qu'elle se préparait à partager son expérience traumatisante avec ses collègues sœurs. Le voyage à travers la ville, bien que court, sembla durer une éternité. Chaque pas qu'elle faisait résonnait de la détermination de ne pas rester silencieuse, de ne pas permettre que son épreuve passe inaperçue. Malgré sa peur, elle avait une mission à accomplir - dénoncer l'injustice dont elle avait été victime. À son arrivée, ses collègues la reçurent avec des cris de surprise et de préoccupation. La nouvelle de l'attaque se répandit rapidement parmi elles. L'indignation et la peur se mêlèrent à une résolution silencieuse. L'agression contre la Sœur Aiko avait mis en lumière la réalité de leur situation et l'importance de leur mission : résister à l'intimidation et rester fidèles à leurs principes et à leur foi ou se résigner pour le départ.

La Manœuvre Législative : Le Nouveau Front de Cataclysmic contre l'OCC

Le soleil se couchait sur l'imposant bâtiment du parlement fujiwans. Assis dans les couloirs de marbre silencieux, certains membres de Cataclysmic, l'organisation politico-religieuse conservatrice, hochaient la tête en signe de consentement mutuel. Leur plan d'expulser l'Ordre des Clarisses de la Charité (OCC) du territoire fujiwans avait échoué, non pas par manque d'effort, mais par la résilience des bonnes sœurs qui refusaient de céder à l'intimidation. Cependant, Cataclysmic n'était pas déconcerté, loin de là. La violence n'avait pas fonctionné, certes, mais il existait d'autres moyens, plus subtils et peut-être plus efficaces pour parvenir à leurs fins. Le leader du groupuscule, l'imperturbable ASŌ Okada, réfléchissait déjà à la suite des événements. Sa prochaine tactique : user du pouvoir législatif pour forcer le départ de l'OCC. Et pour cela, il avait l'intention de rallier à sa cause les législateurs d'extrême-droite du parti Saenuri.

Le parti Saenuri, bien qu'il ne soit pas majoritaire au parlement, disposait d'un certain poids dans les décisions politiques du pays, notamment grâce à son soutien parmi les populations conservatrices et nationalistes du Fujiwa. En faisant appel à leurs tendances antithétiques à l'influence étrangère, ASŌ Okada espérait les convaincre de la nécessité de légiférer contre l'OCC. Il n'en fallut pas plus pour que les législateurs de Saenuri acquiescent. Ils voyaient dans ce partenariat une opportunité de renforcer leur propre agenda politique, tout en limitant l'influence d'une organisation religieuse étrangère sur le sol fujiwans.

La situation n'échappe pas à l'attention du parti au pouvoir, le Parti de l'Aube. Alors que l'aile droite du parti est de plus en plus inquiète face à l'OCC, elle semble prête à soutenir l'offensive de Saenuri. Même si cela pourrait entraîner des tensions au sein de la majorité gouvernementale, l'idée d'une menace potentielle à la sécurité nationale représente pour eux une cause suffisante pour s'allier à Saenuri. Par ailleurs, la gauche n'est pas en reste face à ces enjeux. Certains membres du Cercle Socialiste, bien que traditionnellement plus enclins à soutenir les causes humanitaires, commencent également à s'inquiéter des dérives sécuritaires que pourrait engendrer la présence continue de l'OCC sur le sol fujiwans. Ils craignent que les tensions sociales ne s'exacerbent davantage si l'activité de l'OCC se poursuit sans entraves. En même temps, Cataclysmic envisageait de lancer une campagne de lobbying intensive pour convaincre le public et les législateurs du bien-fondé de leur proposition. Ils allaient utiliser tous les moyens disponibles, y compris les médias sociaux, les publications en ligne, et des rassemblements publics, pour attirer l'attention sur ce qu'ils présentaient comme un problème urgent.

Cependant, cette stratégie était risquée. D'une part, il y avait le danger que cette démarche soit interprétée comme une tentative d'éradiquer la liberté religieuse et d'expression, fondamentale dans une démocratie. D'autre part, même si la loi était adoptée, elle pourrait être contestée devant les tribunaux pour violation des droits de l'homme et des libertés fondamentales. C'est dans ce contexte tendu que Saenuri, soutenu par l'ombre de Cataclysmic et potentiellement par des alliés au sein de l'Aube et du Cercle Socialiste, prépare à présenter un projet de loi visant à limiter l'activité de l'OCC. Si la tension monte, le résultat de cette bataille politique reste toutefois incertain. Les bonnes sœurs de l'OCC ont prouvé leur résilience face à l'adversité. Prêtes à se battre, elles ne laisseront pas une telle attaque législative se produire sans riposter. Le bras de fer est loin d'être terminé.

Ainsi commença un travail conjoint de Cataclysmic et de Saenuri pour présenter un projet de loi visant à limiter l'activité de l'OCC au Fujiwa. De sombres jours s'annonçaient pour les bonnes sœurs. Mais alors que le vent semblait tourner en faveur de Cataclysmic, l'issue de cette bataille n'était pas encore décidée. Les sœurs avaient montré une grande résilience face à l'adversité, et elles ne seraient certainement pas intimidées par un combat dans l'arène politique. La lutte, loin d'être terminée, ne faisait que commencer.