Demande d'inscription au patrimoine mondial des traditions concernant les animaux dits "magiques" par la commuanuté anthropologique internationalePays : Empire Suprême du Tahoku
Catégorie : À choisir entre : Patrimoine immatériel
Nom de la proposition : Animaux mythiques de compagnie : adoration, rites, rôles sociaux et rapports de puissance
Photo :
Description :
Il est bien connu des nobles tahokais que certains animaux présentent des caractéristiques stupéfiantes : déformations, proportions ou taille anormales, motifs originaux, ... Ces traits particuliers attestent, selon les croyances tahokaises, de pouvoirs magiques, de malédictions ou de signes des Dieux. Il est donc primordial de savoir reconnaître ces signes et de les interprêter correctement, que ce soit pour briller en société, savoir si des terres sont aptes à l'occupation humaine ou déterminer le tournant d'une bataille. Il existe par conséquent toute une science de lecture des traits originaux des animaux, voire même dans certains cas des plantes. Les animaux mythiques, ou magiques, sont également un signe de puissance, utiles à montrer à ses invités, à la cour, ou à offrir en tant que cadeau diplomatique. C'est ainsi que de nombreux aristocrates collectionnent les animaux rares, les gardant aux petits soins, leur servant de gages de respectabilité et leur apportant bonne fortune. Pour les croyants shintoïstes, ces animaux sont la preuve de l'existence des esprits des forêts, des océans...qui se manifestent entre autres par ces formes matérielles et organiques. Il va de soi que les espèces ont des significations différentes.
Etat de conservation : Ces pratiques sont rentré dans la culture des hautes classes de la société tahokaise, et ce depuis des siècles. Néanmoins, du fait du faible nombre de personnes pouvant se procurer ces animaux de compagnie rare, certaines traditions sont dépendantes d'un très faible nombre de personnes, et la propagation des théories scientifiques modernes pourraient finir par mettre à mal les croyances à leur propos, ou à les dénaturer, et ainsi faire perdre tout le patrimoine vivant associé.