09/06/2013
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Diplomatie Aquitagnoise

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La Chancellerie


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Le Chancelier


Son Excellence

Son Excellence le Chancelier

Son Altesse Royale Alphonse est le premier frère du Roy Philipe VII le Bien-Pensant. En sa qualité de potentiel héritier de la Couronne, il a été fait en 2006 Grand-Duc d'York et a reçu le Grand-Croix de l'Ordre de Saint Augustin. Il est depuis 2008 Chancelier à la Diplomatie Aquitagnoise, et y mène une politique d'ouverture diplomatique.


Le Cabinet du Chancelier


Le chef de cabinet

Le Chef de Cabinet, François Pillar

Le conseiller aux affaires d'Eurysie: Lorent Monil
Le conseiller aux affaires du Nazum: Jules Fleuirt
Le conseiller aux affaires d'Afarée: Paul de Monarsi
Le conseiller aux affaires d'Aleucie: François Purteuj
Le conseiller aux affaires de Paltoterra: Louis Huitrest



États alliés


Prima
Royaume Vieux Catholique de Prima

Ambassadeur de Prima: Marie-Armeline de Limebec; Notre Ambassadeur: Louis Filort

Relation avec Prima: Les relations avec le Royaume de Prima sont ont ne peut plus cordiales. En effet, en plus d'une histoire et d'une culture partagée, les deux Royaumes ont en commun la possession d'un siège d'État membre au sein du Conseil restreint de l'Union Médiane des Traditionalistes, un État monarchique en Eurysie occidental, et un Concordat avec l'Eglise catholique de Volignon. Prima constitue, avec l'Empire Ambarois, un des plus grands alliés de la Couronne.


Saint Empire Ambarrois

Saint Empire Ambarrois

Ambassadeur d'Ambarr: Son altesse Impériale Agnès d'Ambare ;Notre Ambassadeur: Florent de Torres


Clovanie
La République Impériale Petroléonienne

Ambassadeur de Clovanie: Albert Planstrov; Notre Ambassadeur: André de Mauduit


Marohni
La République Nationale-Socialiste de Maronhi

Ambassadeur de Maronhi: ; Notre Ambassadeur: Jules de Vignaud


Xin
Céleste Empire des Ushong de la dynastie Xin

Ambassadeur de l'Empire Xin: ; Notre Ambassadeur: le colonel Michel de Marsac


Takoku
L'Empire Suprême du Tahoku

Ambassadeur du Tahoku: ; Notre Ambassadeur: André de Grival


État reconnus avec échange d'Ambassadeurs



Notre ambassadeur : Monsieur Georges de Malroy

Notre ambassadeur : Monsieur Théophile de Lieutant

Notre ambassadeur : Monsieur Aurélien de Succint

Notre ambassadeur : Monsieur Timothé de Grandchale

Notre ambassadeur : Monsieur Jules de Clarment

Notre ambassadeur : Monsieur François de Grosgoin

Notre ambassadeur : Monsieur Philipe de Croison

Notre ambassadeur : Monsieur André de Tallerand

Notre ambassadeur : Monsieur Théodore de Polinut

Notre ambassadeur : Monsieur Maxime de Paltore

Notre ambassadeur, Monsieur Jean de Sirret

Notre ambassadeur : Monsieur Paul de Thurqueim

Notre ambassadeur : Monsieur André de Groia

Notre ambassadeur : Monsieur Julien de Paltante

Notre ambassadeur : Monsieur André de Turnin

Notre ambassadeur : Monsieur Hippolyte de Renancourt

Notre ambassadeur : Monsieur Pierre de Clamit

Notre ambassadeur : Monsieur Édouard de Baillancart

Notre ambassadeur : Monsieur Paul de Chafouin

Nouvelle Canaan

Notre ambassadeur : Monsieur Antoine de Gripieux


Notre ambassadeur : Monsieur Georges Pompidex

Notre ambassadeur : Monsieur Jules de Fontang

Notre ambassadeur : Monsieur Théodor de Goypa


Notre ambassadeur : Monsieur Martin Opluit



État inféodé



volignon
État Pontifical de Voligon



ONG implantée en Aquitagne


OCC
Ordre des Clarisses de la Charité (OCC)

Implantation en Aquitagne de 2700 soeurs

Maisons en Aquitagne :154 dont :
- Hôpitaux : 4
- Hospices : 30
- Orphelinats : 10
- Écoles : 100
- Centres d'Action Sociale (CAS) : 10


Organisations dont est membre l'Aquitagne


UMT

Union Médiane des Traditionalistes

Représentant du Royaume Fédéral d'Aquitagne auprès de l'UMT: Julien Montini



OJI


Organisation Juridique Internationale (OJI)

Représentant du Royaume Fédéral d'Aquitagne auprès de l'OJI: Hervé de Fleutir
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Traités signés par le Royaume d'Aquitagne




Concordat entre le Royaume d'Aquitagne et l'Etat Pontifical de Volignon

aquitagne-volignon
Concordat signé à la suite de la Crise Moderniste


- Sa Sainteté le Pape de Volignon est reconnu par le Roy, au nom de tout le Royaume d'Aquitagne, seul et unique Souverain Pontife, Chef de la Chrétienté, Vicaire du Christ et digne successeur de Saint Pierre à la tête de la Sainte Eglise;
- Sa Majesté le Roy reconnait le ministère exercé par tout les prêtres, évêques, et cardinaux envoyés par Sa Sainteté le Pape pour le salut de son peuple: il les exempte de toutes formes d'impôts et leur garantit la sécurité sur le territoire Aquitagnois;
- Sa Sainteté le Pape légitime Sa Majesté le Roy et le conforte sur le trône Aquitagnois.




Traité d'Amitié entre le Royaume Fédéral d'Aquitagne et le Saint Empire Ambarois



Article 1: Objectifs du traité

Les Parties contractantes, le Saint Empire Ambarois et le Royaume Fédéral d'Aquitagne, désireuses de renforcer leurs relations bilatérales et de promouvoir une coopération mutuellement bénéfique, concluent le présent Traité d'Amitié.

Les Parties s'engagent à développer des liens d'amitié, de respect et de coopération basés sur les principes de souveraineté, d'égalité, de respect mutuel et d'intérêts communs.

Article 2: Échange diplomatique

Les Parties conviennent d'établir et de maintenir des ambassades dans leurs capitales respectives, afin de faciliter la communication et la coopération bilatérales.

Les ambassades seront dirigées par des diplomates de haut rang, désignés par les autorités compétentes de chaque Partie.

Les Parties s'engagent à faciliter le travail des diplomates et à leur accorder les privilèges et immunités diplomatiques conformément aux normes internationales.

Article 3: Coopération économique

Les Parties reconnaissent l'importance d'une coopération économique solide et s'engagent à promouvoir le commerce bilatéral et les investissements mutuels.

Les Parties encourageront les échanges commerciaux, la création de joint-ventures et la participation à des projets économiques communs, dans le respect des lois et des réglementations de chaque pays.

Les Parties favoriseront l'échange d'informations et d'expertise dans des domaines tels que l'industrie, l'agriculture, les technologies avancées, le tourisme et d'autres secteurs économiques d'intérêt commun.

Article 4: Coopération culturelle et éducative

Les Parties reconnaissent l'importance de la coopération culturelle et éducative pour renforcer les liens entre leurs peuples.

Les Parties encourageront les échanges culturels, tels que des festivals, des expositions, des concerts et d'autres événements culturels, afin de promouvoir une meilleure compréhension mutuelle et d'enrichir les expériences culturelles de leurs citoyens.

Les Parties faciliteront également les échanges universitaires, les programmes d'études à l'étranger et la coopération académique dans le but de favoriser le partage des connaissances et le développement de compétences.

Article 5: Coopération en matière de sécurité

Les Parties reconnaissent l'importance de la sécurité et de la stabilité régionales et s'engagent à coopérer dans ce domaine.

Les Parties échangeront des informations pertinentes sur les questions de sécurité, y compris la lutte contre le terrorisme, le crime organisé, la cybercriminalité et d'autres formes de menaces transnationales.

Les Parties peuvent envisager des exercices conjoints, des formations et d'autres formes de coopération pour renforcer leurs capacités de défense et de maintien de l'ordre.

Article 6: Règlement des différends

Tout différend découlant de l'interprétation ou de l'application du présent Traité sera résolu par des consultations amicales entre les Parties.

Si un différend persiste, les Parties peuvent convenir de recourir à des mécanismes de médiation, de conciliation ou d'arbitrage, conformément aux procédures établies.

Article 7: Entrée en vigueur et durée du traité

Le présent Traité entre en vigueur à la date de sa signature par les représentants autorisés des Parties.

Le présent Traité est conclu pour une durée indéterminée. Toutefois, chaque Partie peut résilier le Traité en notifiant par écrit à l'autre Partie avec un préavis de six mois.

En foi de quoi, les soussignés, dûment autorisés par leurs gouvernements respectifs, ont signé le présent Traité d'Amitié.
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L'affaire Haranburu


Chacun à en tête les profondes divisions entre l'Eglise du Volignon et l'Eglise de Catholagne. Le très populaire journal Flaviume Soir a décidé, au début du prétendu conclave dont a découlé l'élection du Faux Pape Pie XVI, d'envoyer un journaliste en Catholagne afin de couvrir l'événement, et la rédaction a choisi le sieur Philipe Cassenière. Issu d'une famille modeste mais très pieuse, M. Cassenière a toujours eut à coeur de défendre la vrai religion, la vraie foi, et le seul et unique Saint-Siège.

Alors M. Cassenière s'est attelé à la tâche. Il a sauté sur toutes les failles qu'il a trouvé dans le système catholagnique, dénoncé tous les crimes commis par les soi-disants cardinaux qui prétendaient monter à la tête de l'Eglise. Mais ses articles ne sont pas passé inaperçus, notamment celui où il critiquait le sieur Haranburu, prétendu cardinal en Youslèvie. Dans cet article, le sieur Cassenière accusait le sieur Haranburu d'agir de concert avec l'Orga, une mafia youslève. Ce à quoi l'avocat du sieur Haranburu, maître Hermocopide, a répondu par une allocution défendant son client faîte à la presse devant un Palais de Justice youslève:

Maître Hermocopide a écrit :
Ce n'est pas la première fois qu'Iban Haranburu est victime de ces accusations mensongères. D'habitude nous avons l'habitude de laisser passer et de ne pas nous soucier des dires mais dans ce cas-là nous avons choisi de porter plainte pour protéger l'intégrité de M. Haranburu. Nous sommes en effet dans un contexte particulier où nous ne pouvons nous permettre de voir un haut placé du christianisme se faire insulter de la sorte, d'autant plus que M. Cassenière n'a visiblement pas prit la peine d'enquêter et de se baser sur des faits avérés mais plutôt sur des rumeurs et des bruits de couloirs.
Au delà de ces accusations mensongères, je voudrais aussi dénoncer le parti-pris flagrant de ce soit-disant journaliste qui n'a cessé de dénigrer l’Église Catholane dans son article bien mois informatif que propagandiste. Je trouve cela dommage que cet homme salisse en même temps une institution suivit par des milliards de personnes, un homme de foi mais aussi la profession de journaliste qui se passerait bien de poids comme lui.
J'aimerai aussi pointer du doigts le racisme latent entourant les paroles de ce monsieur. Oui mon client est Vasque, oui mon client est né et a passé la majeure partie de sa vie à Baltos, tristement réputée pour être le fief de l'Orga, néanmoins cela fait-il de lui automatiquement un homme mauvais ? Un Vasque originaire des milieux défavorisés de Baltos ne peut-pas réussir sans mouiller dans des histoires sombres ?
Monsieur Cassenière n'a fait que répéter dans son article que mon client était un représentant d'une fausse Église corrompue mais si son Église à lui , la soit-disant "Vraie Église", est basée sur l'intolérance et la xénophobie, alors je vous garantie que mon client est bien heureux d'être accusé par cette homme. Ça montre en effet la vertu de son œuvre en opposition avec le dégoûtant labeur de celui que j'aurais le plaisir de rencontrer au tribunal.

Le Chancelier à la Diplomatie Aquitagnoise, le Grand-Duc Alfred d'York, a alors contacter son homologue youslève afin de lui demander d'interceder auprès de l'Eglise Catholique de Youslèvie pour qu'elle retire sa plainte de diffamation déposée à l'encontre du sieur Cassenière, et pour lui signaler que le Gouvernement déposait une plainte pour diffamation et blasphème à l'encontre de maître Hermocoipide.

La Ministre aux Affaires Étrangères youslève a répondu que la République étant démocratique, elle ne pouvait intercéder de la sorte. Ce qui n'a pas manqué de provoqué la colère de Sa Majesté le Roy, qui signifia au Gouvernement youslève que maître Hermocopide serait poursuivit par la justice royale et que les relations youslèvos-aquitagnoises étaient mises entre parenthèses.

Le Tribunal Royal condamna maître Hermocopide à un an de prison avec une caution de 150 000 A£, et la justice youslève condamna le sieur Cassenière à une amende de 10 000 $. Suite à cela, les gouvernements de ces deux pays ont décidé de débuter une réconciliation, en incitant leur citoyen respectif à payer ce qu'ils devaient à la justice.
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L'affaire Milouxitane


L'année 2010 a été marquée par l'affaire Milouxitane, qui renversa, pour ainsi dire, l'ordre diplomatique eurisyen. Le bon Roy Philipe VII avait réunit en la bonne ville de Bavoir, en Aquitagne, les dirigeants traviens, milouxitans et youslèves, accompagnés de leurs ministres respectifs, afin de leur proposer le fameux Traité Olympe. Ledit traité devait acter la création d'une ligne ferroviaire éponyme, partant de Flaviume, traversant la Travie et le Milouxitania, et prenant sa fin sur le littoral youslève, afin de faciliter le transit des marchandises et des capitaux, de favoriser le commerce, et surtout afin de permettre aux sujets de Sa Majesté d'accéder aux stations balnéaires milouxitanes et youslèves. Le nom Olympe avait été choisi par la Couronne, car dans l'histoire hellénistique, il était un lieu où les peuples se réunissaient. Cette ligne aurait donc été un lien, un trait d'union entre les peuples.

Chacun des quatre partis avait réussi à s'entendre avec les autres quant aux conditions de la construction. Il était convenu que le tracé éviterait les espaces naturels protégés, et que la ligne serait gérée par une entreprise publique crée spécialement pour cela, au financement participatif. Ainsi, le Traité a put être signé.

Seulement quelques semaines après le sommet, Sa Majesté le Roy exprima le besoin de s'entretenir au téléphone avec madame Culio, Présidente du Milouxitania, ce que celle-ci accepta. Au cours de cet entretien, le monarque demanda à madame la Présidente s'il était envisageable que la compagnie aérienne milouxitane, Jupitair, puisse desservir la capitale aquitagnoise. Madame Culio lui répondit que cela était possible, mais à une condition: que le Royaume accepte d'accueillir en son sein l'ONG Sauvegarda, réputée engagée dans la défense des homosexuels. Le Roy lui répondit qu'il était très louche qu'un chef d'État étranger demanda l'implantation d'une Organisation Non-Gouvernementale, et que de ce fait cette demande était irrecevable. La Présidente insista, et Le Roy lui dit qu'en tout les cas, la doctrine prônée par Sauveguarda était tout à fait contraire aux principes catholiques, et donc à la constitution. Mais Madame Culio est un personnage des plus têtus, et commence à expliquer au souverain que son devoir est de protéger des hommes et des femmes qui sont nés sous sa responsabilité, et qui ont d'autres orientation sexuelles que les autres - hum -.

Le Roy Philipe ne suportait pas une chose: c'est le déni de sa légitimité, et les tentatives d'ingérence envers le Royaume. Madame Culio venait donc de dépasser les bornes. De plus, la Couronne était on ne peut plus refroidie par les échanges économiques encouragés par le Gouvernement milouxitan avec la dictature loduarienne, et avait beaucoup de mal à tolérer l'absence totale de tact diplomatique. Il décida donc de retirer le Royaume du Traité Olympe, et de rappeler l'ambassadeur de la Couronne à Ilios. D'autres pays amis de l'Aquitagne firent également le choix de couper leurs relations diplomatiques avec le Milouxitania, comme la Youslèvie, pour la raison économique et géopolitique évoquée plus haut, qui se retira elle aussi du Traité Olympe, et la Clovanie, qui fût comme le Royaume visée par une tentative d'implantation de Sauvegarda.

Après de longs mois durant lesquels Madame Culio commit de nouvelles esclandres diplomatiques, n'ayant de cesse d'affectuer des sorties critiquant l'honorable et sage Union Médiane des Traditionalistes, la République entra en repentance, car elle se rendit compte qu'elle n'avait somme toute tout intérêt à être amis avec ceux qu'elle critiquait. Elle envoya donc une missive au Chancelier à la Diplomatie, demandant un nouvel échange d'ambassadeurs.

Le Roy Édouard Ier, qui était entre temps monté sur le trône, accepta le retour d'un représentant milouxitan, mais refusa catégoriquement de renvoyer un ambassadeur, voulant ainsi marquer son désaccord avec la politique milouxitane, qui prône la paix avec l'UNIL mais commerce avec l'UNCS.
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Accord de coopération policière a écrit :

Accord de coopération policière entre l'Aquitagne et la Travie

Article Premier - Le présent accord met en place une coopération policière entre les deux pays signataires.
Article 2 - Est créé un fichier commun des personnes recherchées. Les deux états signataires s'engagent à l'actualiser le plus fréquemment possible.
Article 3 - En cas d'interpellation d'un individu inscrit au fichier commun, les forces de l'ordre compétentes du pays doivent en informer les autorités de l'autre pays signataire.
Article 4 - Si un État signataire demande une extradition judiciaire d'une personne détenue dans l'autre État signataire, les responsables des extraditions chargés de discuter des conditions de l'exécution de cette demande.
Article 5 - Aucun détenu ne peut être extradé vers l'autre État si le crime ou le délit pour lequel il est poursuivi n'est pas puni dans cet etat.
Article 6 - Est déclaré responsable des extraditions pour la Travie le Ministre de l'Intérieur placé sous l'autorité du président.
Est déclaré responsable des extraditions pour l'Aquitagne le Chancelier à l'Intérieur

Signé par Monsieur Mathieu Dupuy, Président de Travie, et Sa Majesté Le Roy Philipe VII, Roy d'Aquitagne, le 30 octobre 2010
Palais présidentiel, Trave, Travie
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Pacte d'Amitié Aquitano-travien a écrit :

Pacte d'Amitié Aquitano-travien

Article Premier - Le présent pacte vise à mettre en place une amitié perpétuelle entre les deux partis.
Article 2 - Le Royaume Fédéral d'Aquitagne reconnaît le République de Travie comme étant légitime à gouverner, et la République de Travie reconnaît la Couronne comme étant légitime à gouverner.
Article 3 - Les États signataires s'engagent à signer un Accord de Coopération des forces de police.
Article 4 - Les États signataires s'engagent à ouvrer pour la paix entre les deux partis.
Article 5 - Sont actées par le présent pacte l'ouverture d'une Institut Travienne à Flaviume et celle d'une Institut Royal d'Aquitagne à Trave
Article 6 - Le Royaume et la République s'engagent à relier leurs territoires par un réseaux ferroviaire fiable.
Article 7 - La Travie octroie aux sujets Aquitagnois le régime d'entrée jaune sur son territoire, et l'Aquitagne s'engage à fournir les mêmes droits aux citoyens Traviens.

Signé par Monsieur Mathieu Dupuy, Président de Travie, et Sa Majesté Le Roy Philipe VII, Roy d'Aquitagne, le 30 octobre 2010
Palais présidentiel, Trave, Travie
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