Les représentants kah-tanais étaient au nombre de trois. Deux hommes, un petit asiatique et un latino à lunettes, et une femme, grande, d’ethnie nord-afaréenne. Dans l'ensemble ils ressemblaient à des civils, portant des vêtements adaptés au climat humide et chaud de la région, de grosses chaussures de marche, et des vestes où l'on avait coud un patch indiquant "OMPM".
Ils s’étaient comporté très poliment avec les loduariens, observant leur installation avec une certaine curiosité et évitant soigneusement de parler entre eux, ou de dire quoi que ce soit de plus que le strict nécessaire aux soldats qui les avaient interrogés à leur arrivée. Lorsqu'ils aperçurent le commandant, les représentants vinrent à sa rencontre. Le latino lui tendit la main.
– Merci de nous recevoir. Je m'appelle Pedro Espina. Puis il indiqua ses deux collègues. Voici Wan Ah et Charifa Laroui. Nous venons ici pour essayer d’établir un canal officiel entre vous et l’OMPM. Il sourit d'un air entendu. Nous avons tout intérêt à nous parler, je crois.
Ils s’étaient comporté très poliment avec les loduariens, observant leur installation avec une certaine curiosité et évitant soigneusement de parler entre eux, ou de dire quoi que ce soit de plus que le strict nécessaire aux soldats qui les avaient interrogés à leur arrivée. Lorsqu'ils aperçurent le commandant, les représentants vinrent à sa rencontre. Le latino lui tendit la main.
– Merci de nous recevoir. Je m'appelle Pedro Espina. Puis il indiqua ses deux collègues. Voici Wan Ah et Charifa Laroui. Nous venons ici pour essayer d’établir un canal officiel entre vous et l’OMPM. Il sourit d'un air entendu. Nous avons tout intérêt à nous parler, je crois.