13/06/2013
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[Politique] Activités Politiques

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Activités politiques en Lendavie


Présidence de la République : Kristjan Šimen (Mouvement Radical)
Prochaines élections en 2014


Gouvernement
Premier ministre : Gabriele Webern (MR)
Coalition au pouvoir : MR + INI + GDC + UV


Composition du Parlement National
Prochaines élections en Octobre 2010

Carte des élections législatives




Composition de la Chambre Républicaine
Prochaines élections en 2012

6678
Paysage Politique Lendave - Aout 2010


Le Mouvement Radical (MR)


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Président : Gabriele Webern, actuel premier ministre

Parti actuellement en majorité au parlement, avec 168 députés. Le parti est assez populaire depuis l’arrivée au pouvoir de Krisjan Šimen, et la politique mise en place depuis reste assez convaincante pour les électeurs.

Sur le plan économique, le MR soutient le procédé de passage à une économie d’autogestion en Lendavie, en donnant le contrôle d’au moins 50% de l’entreprise aux employés, tout en maintenant une forte participation de l’état dans celle-ci.

Sur le plan intérieur, le MR propose une vision dans la continuité des derniers gouvernements, à savoir le maintien d’une République Fédérale, mais avec un pouvoir fort et centralisé, partagé entre l’exécutif et le parlement.

Enfin, le MR a pour volonté de s’ouvrir à l’international, en nouant des relations économiques avec tous les pays. Le parti est un soutien fort de la démocratie Kaulthe, mais défend une approche diplomatique dans la résolution du conflit.


L’Union Populaire Lendave (UPL)

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Président : Joso Omahen, ancien président de la République de Nokijie, député de Nokijie

Seconde force du parlement et premier parti d’opposition avec 106 députés, l’UPL défend une vision libérale de l’économie, sur le principe de la liberté d’entreprendre. L’état doit se contenter d’encadrer les entreprises et la concurrence, sans intervenir dans l’économie. Il prône également un renforcement de la privatisation des entreprises.

L’UPL est également partisan du renforcement de l’autonomie des Républiques, au détriment de l’état Lendave, et propose notamment comme mesure de permettre aux Républiques Lendaves de contrôler elles-mêmes leurs finances, en opposition au système actuel contrôlé par l’état. Cette vision a permis à l’UPL de gagner de nombreuses voix aux élections de 2006, en marquant une opposition claire a système social Lendave, et joue sur certaines revendications individualistes et autonomistes.


Le Parti Socialiste Lendave (PSL)


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Président : Liam Zorman, député du Dolentern

Parti membre de la coalition au pouvoir, avec 85 députés, le PSL est l’un des principaux partis Lendaves. Cependant, la crise économique traversée par le pays en 2005, ainsi que les difficultés du gouvernement d’alors à y faire face, lui a couté la présidence et la majorité aux élections de 2006.

Le PSL prône un fort interventionnisme de l’état dans la vie économique en général, sans toutefois s’opposer au modèle autogestionnaire des radicaux, avec lesquels ils ont toujours composé au gouvernement. En revanche, le PSL est opposé à la mise en place de la concurrence aux entreprises d’état, et propose une renationalisation de certains secteurs, comme le transport ferroviaire.

Il est également partisan de l’instauration d’un pouvoir centralisé et fort, qu’il a contribué à mettre en place après la domination communiste.

En revanche, il tend ces dernières années à s’éloigner du MR concernant la politique extérieure, uen majorité des députés du PSL s’opposant par exemple à l’autorisation de la traversée des troupes Kaulthes en territoire Lendave. Cette démarcation a créé une division au sein du PSL, partagés sur ces questions de politiques extérieure.


Le Nouveau Parti Communiste (NPC)


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Présidente : Laura Mariæ, députée du Balavode au Parlement

Avec 30 députés obtenus aux élections en 2006, le NPC est en perte de vitesse depuis les années 80. Membre éphémère du gouvernement après la crise de 2005, le parti a payé la mauvaise gestion gouvernementale, et en est ressorti affaibli.
Le NPC souhaite le retour au premier plan de l’état dans la société et dans l’économie. Proche de la doctrine marxiste, sa volonté est également un retour à la collectivisation et à la planification.

A la différence du Parti Comuniste Lendave au pouvoir entre 1959 et 1982, le NPC prône un renforcement de l’échelon communal de la politique, en donnant plus de pouvoir aux communautés locales, basé sur le découpage en départements du territoire.
Le NPC a pour volonté de se rapprocher des états communistes du monde, et s’oppose à la politique actuelle du gouvernement.


Le Groupe Démocratique du Centre (GDC)

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Président : Fermo Massimo, républicain de Biscère

Le GDC compte actuellement 29 députés au parlement. Sa ligne politique, notamment en matière économique, est assez proche de celle du MR. Il adhère au principe d’autogestion, tout en revendiquant vouloir faire plus de place à la concurrence dans certains secteurs encore fermés.

Côté politique, il plaide un état centralisé et fort, mais dans les mains du parlement et de la Chambre Républicaine, en limitant les pouvoirs du président. Le GDC demande également une plus grande ouverture à l’international du pays, en négociant de nouveaux accords commerciaux.


L’Union Verte (UV)

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Président : Erik Lanner (Ministre de l’Environnement et du Territoire)

L’UV compte actuellement 21 députés, et est membre de la coalition actuellement au pouvoir. Le parti est très populaire chez les jeunes lendaves, et prône un écologiste apolitique, ce qui lui a permis de rassembler les mouvements écologistes dans tout le pays, mais également de participer à presque toutes les coalitions gouvernementales depuis son entrée au parlement.

Sur le plan économique, il demande une réduction de la production afin de limiter l’impact écologique des différentes activités. Il est à l’initiative de nombreuses mesures de lutte contre la pollution ou de limitation des émissions de GES en Lendavie. Proche du courant décroissant, il prône également la limitation des transports individuels.

L’UV est très proche du gouvernement en place, mais a toujours déclaré vouloir participer activement au gouvernement, peu importe le parti au pouvoir.


Le Front Populaire Lendave (FPL)


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[b]Président :
Karl Jurkoviè, député de Nokijie

Le FPL, avec 18 députés au parlement, est un parti proche des mouvements autonomistes en Lendavie. Il demande notamment une plus grande indépendance des République vis-à-vis de l’état, en matière financière notamment. Sa ligne économique est assez libérale, et prône la non-participation de l’état dans l’économie, ainsi qu’une réduction de l’impôt en Lendavie.


Le Parti Libéral Uni (PLU)

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Président : Josef Breuer, député de Notranie

Le PLU, avec 14 députés, est le principal parti libéral de Lendavie. Ses membres demandent une plus grande ouverture de l’économie Lendave, et notamment une privatisation de tous les secteurs. Sur le principe non opposé à l’autogestion, il demande néanmoins qu’il ne soit pas imposé aux entreprises, dans le but de laisser la liberté à chacun de choisir.

Il demande surtout une ouverture économique du pays aux capitaux étrangers, pour soutenir l’économie intérieure, assez refermée.


Initiative (INI)


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Président : Martin Happel, républicain du Dolentern

Fondé en 2005 par Matin Happel, Initiative n’est pas représenté au parlement, mais compte 24 élus à la Chambre Républicaine.
Ce nouveau parti, très populaire, défend un modèle économique hybride, entre autogestion et libéralisme économique, en mettant l’état en retrait des affaires économiques. Ce parti prône également la libre concurrence économique dans tous les secteurs, afin de dynamiser l’économie Lendave. Du côté social, Initiative défend le modèle social en vigueur en Lendavie, à savoir des services publics gratuits et accessibles.

Concernant la politique intérieure, le parti demande un renforcement du pouvoir des Républiques dans la société, et surtout de la Chambre Républicaine, qu’il juge parfois trop limité.
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