26/06/2013
03:49:42
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Conférence d'officialisation de l'Union des Nations Evasiennes

16H Palacio del Gobernabor, Covadonga

Palacio del Gobernador


La conférence allait bientôt débuter, sur une longue table se dressaient les Triumvirs Siliquéens, Leone Vaillancour, le Gobernador de Naveces ainsi qu'aux deux extrémités de la table les représentants de la République Travienne et du Milouxitania. Au premier rang devant eux se tenaient les représentants des nations ayant répondu présent à cet événement. Une masse de journaliste assis eux aussi confortablement étaient situés en arrière plan et avaient à leur disposition des micros pour poser leurs questions quand on leur donnait la parole. Il y avait des journalistes issus des pays de l'Organisation ainsi que des journalistes internationaux venus couvrir l'événement.

Salle de Conférence

Lorsque tous étaient installés et que le silence commençait à se profiler, Maximino Fernàndez Fernàndez prit la parole, après tout ils étaient tous réunis au sein de son lieu de travail. Lieu d'ailleurs où le Traité créateur de l'UNE avait été érigé.

"Bonjour à tous et à toutes, j'aimerais avant tout commencer par vous remercier de votre présence, nous sommes heureux de voir que l'Union des Nations Evasiennes peut intéresser un certains nombre de gens. Je vais vous faire un petit récapitulatif de ce qu'est l'UNE et de ses racines."

"Crée par la signature du traité de Covadonga au printemps 2010, l'Union des Nations Evasiennes est un espace politique, économique et culturel d'environ 121 millions d'habitants au sud-ouest de l'Eurysie, cumulant un produit intérieur brut considérable de 2 050 milliards de $. Les membres fondateurs ne sont nul autres que la Manche-Silice, la Youslévie ainsi que nous-même le Royaume de Naveces. Nous avons depuis peu pu accueillir les premiers Partenaires de l'Organisation, la Travie et le Milouxitania. Bien sûr, l'adhésion à l'UNE comme membre ou partenaire est soumis à un certain nombre de conditions, nous vous avons fourni à chacun des copies de ces dernières (Membre et Partenaire)."


Le Gobernador arrêta son monologue le temps que tous passe un coup d'oeil rapide sur les feuilles reçues et lorsque le silence se profila à nouveau, il poursuivit.

"Avant de continuer, je vous invite à demander la parole si vous avez une question, qu'il s'agisse de diplomate ou de journalistes. Il y a-t-il déjà des questions ?"

Après ces quelques mots, une femme au fond de la salle leva la main, le Gobernador lui fit signe de poser sa question et cette dernière s'exécuta.

"Rosa Netinguez Romino pour La Noche Periodistas. Bonjour à tous et à toutes merci de m'accorder la parole ma question est la suivante. L'Union des Nations Evasiennes a-t-elle pour ambition de s'étendre et si oui, cette expansion se résumera-t-elle à l'Evasie ou à l'Eurysie ? Merci !

Le dirigeant Naveceo écouta la question de la journaliste avec attention avant de lui répondre calmement.

"La première intention de l'UNE n'est pas forcément de s'étendre, cependant si une nation selon nous intéressante au développement de l'Organisation venait à déposer sa candidature, nous en discuterions et pourrions l'accepter. Les membres de l'UNE devront pour le moment être des pays Evasiens mais ce caractère pourrait changer au cours du temps. Le rôle de Partenaire lui ne nécessite pas forcément de se trouver en Evasie."

"Maintenant que les bases ont été posées, j'invite Madame Vaillancour, Directrice du Conseil de Youslévie à prendre la parole pour vous expliquer les objectifs de l'Organisation et surtout si vous avez des questions n'hésitez pas !"
Le délégué Aquitagnois demande la parole au nom du Gouvernement du Royaume, et l'obtient.

"Honorables Chefs d'État, je vous remercie de votre accueil. La Couronne est vivement intéressée par votre Union, et souhaiterai entreprendre des relations économiques et commerciales avec vous. Cependant, les temps qui courent ont amené le Royaume a vivement prendre ses distances avec le Milouxitania, du fait de son inquiétude vis à vis des relations de ce dernier avec les nations communistes et des faits de tentative d'ingérence dont nous avons été les victimes. Nous avons rappelé notre ambassadeur en Milouxitania pour ces raisons, et levé un embargo sur les marchandises de ce pays. Note question est donc la suivante: quel rôle le Milouxitania joue et jouera à l'avenir au sein de l'UNE? Des relations avec l'UNE impliquent elles d'être en bons thermes avec ce pays? Nous aimerions une réponse d'un des membres de l'Union, et si elle le souhaite de la Présidente du Milouxitania. Merci."
Avant que Leone Vaillancour ne continue avec les objectifs, une question fut posée par le Chef de Cabinet du Chancelier à la Diplomatie du Royaume d'Aquitagne, le Gobernador y répondit donc clairement.

"Monsieur le délégué Aquitagnois, nous vous remercions de vous intéresser à notre projet, je vais donc vous répondre du mieux que je le peux. Alors avant tout le Milouxitania a obtenu le rôle de Partenaire de l'UNE, c'est-à-dire qu'il a accès au marché commercial de l'Organisation mais il n'est pas membre. Quant à son avenir au sein de l'Organisation, nous ne pouvons malheureusement le prédire, comme dit plus tôt, nous ne cherchons pas forcément à nous étendre donc il n'est pas certain que le Milouxitania adhère à l'UNE comme membre prochainement. Cependant, cela pourrait arriver dans le futur si le Milouxitania le demande au moment opportun et que tous les membres de l'Organisation vote en sa faveur. Le rôle de Partenaire ne vous demanderait pas d'entretenir de bonnes relations avec les autres Partenaires de l'Organisation, seulement envers ses membres. Ainsi vous ne pourrez pas être allié avec une nation hostile à la Youslévie, à la Manche-Silice ou au Naveces. J'espère avoir été le plus clair possible que vous avez compris là où je voulais en venir."

"J'invite donc désormais Madame Vaillancour à poursuivre à moins que Madame Culio, Présidente de Milouxitania n'ait une objection."
La Présidente était reconnaissante, dans le fond, envers le Gobernador qui n'avait pas parlé des quelques désaccords qui les divisaient un peu ces derniers temps. Elle répondit donc en choisissant soigneusement ces mots :

Très cher Gobernador, je ne vois pas vraiment quelle sorte d'objection je pourrais faire. Il ne m'appartient pas de décider si oui ou non une nation, quel que soit notre relation que nous entretenons avec elle, peut adhérer à l'Union. Il est vrai que nous sommes assez tendus avec l'Aquitagne ces derniers temps (même si la question de l'embargo reste à définir), mais cela ne change en rien nos relations et nous ne voudrions pas nous ingérer dans les affaire internes de l'organisation.

Cependant, nous aimerions encore une fois renouveler notre scepticisme quant à votre incompréhension de la question : en aucun cas nous nous rapprochons du bloc communiste, disons plutôt que nous nous éloignons de la ligne fixée par l'ONC et ses partenaires.
Leone Vaillancour s'apprêtait à prendre la parole quand le délégué aquitagnois leva la main. Elle écouta donc la question puis les réponses du Gobernador naveceos et de la Présidente milouxitane.
Une fois que Mme Culio eu finit la Directrice s'empressa de rebondir pour ne pas avoir à attendre encore et ainsi rendre la conférence plus dynamique :
"L'Union des Nations Evasiennes a pour but de faire triompher les échanges et la cohésion entre les pays évasiens mais aussi leurs voisins, d'où la possibilité de devenir une État partenaire de l'UNE.
Mon explication est volontairement floue car je souhaite laisser le soin à M. Heran Romeretegui de détailler plus en profondeur les objectifs de l'Union ainsi que les moyens mis en place pour y arriver. Monsieur Romeretegui a été choisis par les trois pays membres de l'UNE pour devenir le premier porte parole de l'organisation. On ne peut pas faire plus "Evasien" que lui, connu pour être le premier Directeur vasque du Conseil de la Youslévie, il a aussi des liens très étroits avec le Naveces et la Manche-Silice, où il dirigeait un prestigieux club de football avant d'accepter de nous rejoindre pour ce projet. Je lui laisse donc la parole."


H.R
Même si Heran Romeretegui, dont la barbe avait poussée, était flatté d'entendre son curriculum vitae long comme le bras exposé sous ses meilleurs hospices, il n'oubliait pas que la personne qui lui faisait toutes ces louanges était, à ses yeux du moins, une vipère. En effet, il ne portait pas Leone Vaillancour dans son cœur, loin de là, il avait déjà eu maille à partir avec elle quand ils étaient des parlementaires puis des membres éminents du Conseil et détestait à pe près tout chez celle qui était devenue sa successeuse.
S'il avait accepté ce poste c'est uniquement par devoir, le Vasque aimait profondément son pays et rêvait déjà un peu d'une organisation semblable durant son mandat. Il avait donc accepté de partir dans cette nouvelle aventure, délaissant le club de Castelisière qu'il dirigeait jusque là avec un certain brio.
Il prit donc la parole :
"Merci beaucoup, Madame Vaillancour, de me laisser la parole. L'UNE a donc pour objectif de garantir une meilleure coopération économique entre les pays du golfe évasien. L'article 4 sur la libre circulation du traité de Covadonga, acte de naissance de l'UNE, permet donc une libre circulation des individus, des services, des marchandises et des capitaux de part et d'autres des frontières des trois pays membres que sont la Youslévie, le Naveces et la Manche-SIlice.
L'UNE peut aussi avoir un rôle de catalyseur économique tout en protégeant les marchés. En effet, les pays membres peuvent décider d'ouvrir certains de ces marchés à d'autres sociétés originaires des autres pays membres. Néanmoins, un pays ne peut être forcé d'ouvrir un marché, il peut être conseillé mais la décision ne peut être prise que par lui et lui seul. Cette clause permet de garder une souveraineté indispensable.
L'UNE a aussi un rôle militaire défensif. Chaque pays doit en aider un autre si ce dernier est menacé. Le Naveces et la Manche-Silice ont par exemples aidés la Youslévie, en position délicate face à l'UNCS dernièrement.
Enfin, une clause peut être activée si l'Union des Nations Evasiennes fonctionne bien. Cette clause permet l'ouverture de discussions sur la possible adoption d'une monnaie unique au sein d'une union monétaire.
C'est tout pour moi, si vous avez n'importe quelle question..."

Aurora Tasis, ministre des Affaires Etrangères répondit présente à l'invitation envoyée par le Royaume de Naveces, en réponses aux relations diplomatiques construite entre les deux pays depuis l'année précédente. A vrai dire, si Aurora Tasis a décidée d'y assister, c'était pour marquer un coup dans les relations avec les trois pays fondateurs, qui pour l'instant restent purement diplomatique. Pourtant, suite à l'échange d'ambassadeurs entre Péronas et le Royaume de Naveces ainsi que la Youslévie, une rencontre de promotion de la culture hispanique aurait dû avoir lieu, cependant, Péronas n'a jamais donné de nouvelles. La présence donc de la Ministre des Affaires Etrangères ici, permet en quelques sortes de montrer à ces deux pays la volonté de vouloir voir perdurer ces relations diplomatiques.

C'est donc dans un pays qu'elle n'a jamais visitée, et dont aucun représentant Péron n'a jamais mis le pied qu'Aurora Tasis met le pied pour la première fois. C'est l'image d'un pays en plein développement économique auquel Aurora Tasis va assister, de son arrivée à l'aéroport jusqu'au lieu de la conférence de presse, le tout escorté par les services Naveceos.

Aurora Tasis salua l’intégralité des invités à son arrivée, cependant, elle ne donna aucune importance à la princesse Keiko Burujoa, directrice du département des affaires étrangères et son mari, le prince Shu Burujoa, directeur du département de l'Économie, tout deux, représentants de l’Empire Burujoa.

Elle alla ensuite s’installer dans la salle de conférence, prête à écouter ce qui allait se dire concernant cette nouvelle Union. Elle était curieuse d’en savoir plus sur le plan économique, militaire, culturel, migratoire et tout ce que cela allait avoir comme répercussion.

Elle écouta attentivement l’intervention des différents intervenants, puis lorsque la parole fut donnée aux journalistes et représentants, elle leva la main. En attente qu’on l’interroge, elle prit des notes de la question du représentant de l’Aquitagne ainsi que des éléments de réponses apportées.

Après que chacun ait finit de répondre, elle fut enfin interrogée, elle prit la parole :

Mesdames, messieurs les chefs d’Etats, et représentants des chefs d’Etats, je me présente, Aurora Tasis, Ministre des Affaires Etrangères de Péronas. Je tiens, avant toute chose et au nom de la République Démocratique de Péronas, vous remercier de votre invitation et je tiens à souligner que Péronas est fier de voir une nouvelle Union émerger, cette fois, non pas de pays totalitaires et autoritaires, mais cette fois, de pays libres et garantissant sans aucun doutes les droits fondamentaux.

Je voulais cependant vous poser des questions concernant la création de cette Union, je laisse à qui de droit me répondre :

  • Les défis inhérents à une union de cette envergure peuvent être nombreux, des disparités économiques aux différences culturelles et politiques. Comment prévoyez-vous relever ces défis et mettre en place des stratégies d'inclusion sociale et économique qui réduiront les écarts et créeront un environnement propice à la croissance et à la prospérité pour tous les citoyens de cette union trinationale ?

  • Une union de cette nature nécessite une coordination et une harmonisation efficaces des politiques et des réglementations dans divers domaines. Pouvez-vous partager avec nous les plans concrets pour aligner vos stratégies économiques, politiques de sécurité et mesures environnementales afin de maximiser les avantages mutuels de cette union ?

  • En plus des aspects économiques et politiques, le succès à long terme de cette union dépendra également de la participation et de l'engagement de vos citoyens. Pouvez-vous nous décrire en détail les initiatives prévues pour encourager les échanges culturels, renforcer le sentiment d'appartenance commune et promouvoir une identité partagée au sein de cette union trinationale ?



Enfin, elle se rassit, attendant la réponse à chacune de ces questions, qui elle sait, ne tardera pas à faire réfléchir chacun des intervenants tant les questions sont simples mais complexes.
Les Triumvirs étaient restés en retrait depuis le début de la rencontre. Ils trouvaient le format baroque. Chefs d'États, représentants de gouvernements et journalistes n'épargnez aucune question aux membres fondateurs de l'UNE.

Officiellement, pour l'instant, l'Union des nations évasiennes s'était peu manifestée. La conférence aurait eu une autre saveur si seulement les trois de l'UNE avaient obtenu l'organisation tant convoitée de l'Eury, le championnat d'Eurysie du football. Grand'messe diplomatique dans les loges et liesse dans les stades, cette manifestation sportive aurait été idéale pour porter l'UNE sur les fonds baptismaux... Mais la Clovanie avait raflé la mise et il fallait donc présenter un projet qui n'en était qu'à ses prémices.

Vittorio IV était enthousiasmé par la présence de la princesse Keiko du Burujoa. Il s'imaginait déjà apparenté compte tenu des promesses de fiançailles de sa fille avec Ettore, son fils. Le monarque connaissait les tensions entre Burujoa et Péronas. Il fallait pourtant répondre à la longue question d'Aurora Tasis, la ministre des Affaires Etrangères de Péronas.

"Excellence, j'ai peur de ne pas pouvoir répondre en détail à vos demandes. Je me fais vieux et suis un peu dur de la feuille.

Si je me souviens bien vous avez démarré par les grandes disparités entre nos pays. Le Naveces, ses 16 millions d'habitants sont en moyenne bien plus riches que les 60 millions de Youslèves. Nous sommes une mosaïque de peuples et de cultures qui ont longtemps pensé avoir des destins individuels indifférents aux autres.

Pour l'instant, l'UNE est une construction descendante dans la mesure où ce sont des gouvernements qui ont mis cette idée à l'agenda. Le succès de notre organisation repose à la fois sur notre faculté à rendre cet espace politique et économique crédible au plan international mais également auprès de nos citoyens.

C'est bien simple. Si lors des prochaines échéances électorales, des opposants à l'UNE prennent le pouvoir, ils peuvent réduire à néant tous nos efforts. Aussi, nous ne négligerons aucun aspect.

Le Triumvirat de Manche Silice était justement plutôt en faveur de l'harmonisation des trois États fondateurs avec un mécanisme de péréquation, de partage des fruits de la croissance et de mutualisation de grandes fonctions économiques (or des domaines réservés dits stratégiques).

Pour l'instant, la priorité est mise sur des projets de liaisons d'infrastructures, nos pays étant pour le moment insuffisamment reliés. Nous avons d'ores et déjà créé cet espace économique intégré avec l'abandon de droits de douane et l'instauration d'une libre circulation des biens et des marchandises. En Youslévie et au Naveces, un conglomérat de l'agro-alimentaire a ainsi ouvert une vingtaine de franchises. Tout cela aurait pris beaucoup plus de temps sans la dynamique de l'UNE. Je pense que le commerce va permettre de dépasser nos différences.

Nous réflichissons également à la création de programmes de divertissement télévisuel commun sous la forme d'un concours de talent mais nous n'en sommes qu'aux balbutiements du projet.

A bien des titres Mme Tasis, vos demandes précédent nos travaux. Je ne sais pas si nos voisins évasiens veulent compléter"

Les deux triumvirs élus, Firmino Costa et Anselmo Martinez restaient en retrait. Leurs prédécesseurs avaient engagé la Manche Silice dans l'UNE, ils n'y étaient pas foncièrement opposés mais avaient d'autres sujet sur l'ouvrage et restaient donc circonspects.
Le Gobernador suivait la discussion avec attention, il était heureux de voir que l'UNE était une source de curiosité pour bon nombres de pays du monde. La ministre des Affaires étrangères du Péronas prit la parole pour poser une flambée de question, Maximino Fernàndez Fernàndez se disait que ce serait par la suite l'occasion de discuter de leur relation diplomatiques. En effet, les deux nations avaient déjà prit contact sans pourtant échanger d'ambassade. Le Triumvir répondit de manière complète aux nombreuses question de Mme. Tasis, il proposa à ses homologues de compléter si nécessaire ce que le Gobernador fit avec plaisir.

"Dans la continuité du rapprochement des peuples Evasiens, comme l'a dit Mr. le Triumvir, sont sommes entrain de faire d'importants travaux de ralliement entre nos trois nations. Nous pensons qu'en plus de faciliter le commerce, ce sera bénéfique au niveau du tourisme et donc de la propagation de nos cultures respectives. Aussi, notre gouvernement va aussi grandement soutenir les erasmus étudiants qui pourront très certainement avoir lieu en Youslévie ou en Manche-Silice. La jeunesse jouera un rôle clé dans le développement de nos relations futures."

"En ce qui concerne l'harmonisation, nous ne sommes pas parvenus à nous mettre d'accord sur le plan stratégique de cette dernière. Nous avons donc fait primer la souveraineté de chaque Etat concernant cela. Cependant, au fil des mois l'UNE harmonisera très certainement des politiques pour les rendre plus efficaces, par exemple nous allons très prochainement nous entretenir au sujet de la pègre Evasienne. Aussi, il est aussi à l'avenir question de créer une monnaie commune au sein de l'UNE qui pourra être vouée à terme à remplacer nos monnaies nationales."

"D'autres questions ?"
Aurora Tasis pris des notes avec attention de ce que Vittorio IV énonça ainsi que des réponses du Gobernador. Elle les trouva très complète et la pertinence des réponses semblait la convenir. Elle reprit la parole après le Gobernador qui l'a invité à faire cela pour terminer ses questions :

Je pense que c'est bon pour moi, je tiens à vous remercier des éléments de réponses apporté. Sachez encore une fois qu'au vu des éléments de réponses apporté, la République Démocratique de Péronas soutient fortement cette union et nous espérons qu'elle arrivera à se développer comme ce que vous énoncez, ce qui ne pourrait qu'être bénéfique. Je tiens encore également une énième fois à vous remercier de nous avoir invité.

Enfin, elle fit une révérence en signe de respect puis se rassit et attendait de savoir qui serait la prochaine personne à parler.
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