28/06/2013
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[Mise au Point] La Guerre Civile

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La Guerre Civile Gondolaise


Quand a-t-elle commencé ? Pourquoi ? Si vous demandez à un paysan local, quelque part dans la campagne, il vous répondra qu'il ne sait plus; ou plutôt qu'il ne sait pas, qu'il est né avec... En des temps immémoriaux, il semblait que cette guerre faisait déjà rage. De mémoire d'ancêtre, le doyen du village (62 ans) vous dira qu'ainsi il en a toujours été et qu'à jamais il en sera ainsi, dans ce pays meurtri...
Quand, comment, pourquoi la guerre ? Heureux êtes-vous si vous trouvez la réponse dans ce résumé du conflit gondolais, des années 1920 à nos jours.


Photographie d'une colonne de population fuyant la famine dans la région de Porzh-Erwan

Avant la guerre

Depuis le moyen-âge, plusieurs peuples importants ont su s'affirmer comme les acteurs incontournables de la péninsule de Kwamale (où se trouve la RDLG). Le royaume Kwandaoui (≈ 300-1200 ap JC) a fait la gloire de l'ethnie du même nom. L'Empire Likra a longtemps revendiqué le droit de régner sur la région. Ne parlons pas des royaumes Pitsi ou Douele, qui ont eu aussi leurs âges d'or. Toute cette histoire passée, mise à mal par l'arrivée des premiers eurysiens en 1456 mais surtout par l'entreprise méthodique d'assimilation du CMAO (colonie gallèsante), a tenté de refaire surface tout au long du XXème siècle. Préservée dans les villes ancestrales comme Togubele, les traditions de toutes ces peuplades entrent en conflit depuis toujours, et la décolonisation n'allait pas régler la question. Dès que le lien avec la métropole a commencé a s'effriter, le Gondo a vu la création des premiers groupements armés nationalistes et ethniques. Ceux-ci ont d'ailleurs été un facteur déterminant d'instabilité, et même le point déclencheur de la guerre : en 1923, lorsque les Likra se soulèvent à Porzh-Erwan.
Un autre facteur de dissention dans le pays a été l'orientation politique a choisir pour le jeune État indépendant. De nombreux courants politiques n'ont pas hésité à prendre les armes contre l'occupant, réclamant par la suite leur part du gâteau.

Avant de commencer à parler des guerres, il faut bien saisir plusieurs choses :

  • Le Gondo n'est un pays que parce que ses colonisateurs en ont tracé les frontières, l'état-nation a été imposé par le haut.
  • Le Gondo existe depuis suffisamment longtemps pour qu'un sentiment national existe, principalement dans les grandes métropoles littorales. Il profite aux Kwandaouis.
  • La guerre en 2010 est très clairement dans l'une de ses phases les plus calmes depuis longtemps même si l'arrivée d'acteurs internationaux risque d'envenimer les choses.

Carte représentant les principales ethnies au Gondo
Carte représentant les principales ethnies au Gondo.
En blanc, de multiples ethnies moins importantes.

La Guerre coloniale (1923-1958)

Quand en 1923, les Likras se rebellent à Porzh-Erwan contre l'État du Gondo, pays sous tutelle gallèsante et gouverné par des eurysiens, la guerre coloniale éclate. Elle oppose l'armée des colons au corps expéditionnaire de Gallouèse. Dans le même temps, un groupe de rebelles indigène inter-ethnique prend les armes contre les pieds-noir. Ils conquièrent le pouvoir en 1929, faisant du Gondo un pays autochtone. Ce nouveau gouvernement s'appuie sur l'administration de l'ancien État pour continuer la guerre contre le corps expéditionnaire gallèsant, qui quittera l'Afarée en 1958.

Mais les séparatistes ne sont pas satisfaits par un tel dénouement. La population Likra révoltée en 1923 se constitue en Organisation de l'Armée Indépendante (OAI) et continue de lutter contre toute forme d'envahisseur. En 1935, les pitsi proclament la République Indépendante Pitsi (RIP) qui prend aussi les armes contre le gouvernement et parvient à conquérir une vraie autonomie.

Du côté politique, de même troubles existent. En 1933 à Sainte-Loublance, le régime multi-ethnique est remplacé par un Royaume Kwandawoui. Mécontente, une Armée Républicaine du Gondo (ARG) se constitue, regroupant plusieurs ethnies dont des blancs restés sur place. Elle prend le pouvoir en 1945 et obtient en 1958 le départ du corps expéditionnaire gallèsant. Une junte militaire se constitue en 1946 pour rétablir l' "ordre légitimiste kwandaoui" incarné par le roi. Pour lui faire face, un autre groupe voit le jour : la République Socialiste du Gondo est déclaré indépendante à Cereira en 1951.


Des troubles antérieurs

À cette époque post-indépendance, le pays est divisé en plusieurs factions luttant pour le contrôle d'un même territoire. Les différents groupes de combats constituent les prémices des mouvements armés d'aujourd'hui. Les évènements de cette période sont aussi les plus marquant de l'envenimement du conflit.

En 1958, le Gondo est donc libéré de toute emprise coloniale et la guerre devient officiellement civile. En 1959, l'ARG se reconstitue et reprend l'offensive. En 1963, la République Socialiste du Gondo parvient à s'imposer à Sainte-Loublance comme l'État central du territoire. Elle n'appliquera pas de politique communiste, trop occupée à tenter de pacifier le pays et à se faire reconnaître comme le gouvernement central. Pour ce faire, son armée envahit la République Indépendante Pitsi à partir de 1969. Les crimes de guerres qui ont été commis lors de cette campagne son toujours le sujet du enquête au Gondo, et son impact est majeur sur la société actuelle. Les pitsi réclament la reconnaissance de cet épisode comme un génocide. En 1971, la junte militaire Kwandaoui coupe les axes de communication entre la pointe de Kergouël et le reste du pays, créant un désastre humanitaire, une famine historique chez les Likras et dans la région de Porzh-Erwan.
En 1974, la junte Kwandaoui prend le pouvoir par un coup d'État sur la république socialiste et installe une dictature militaire, qui est alors le synonyme d'une période plus calme dans les conflits.

L'émergence des acteurs actuels

Cette période de calme connaît tout de même quelques évènements militaires. La RIP dépose les armes en 1976. La région de Port-en-Truite se remet alors de ses traumas et ne connaîtra plus de conflits armés pendant quelques années. L'OAI poursuit ses efforts mais souffre de nombreuses divisions au sein de son commandement, que la junte n'exploite pas. En 1983, après 9 ans de dictature mais d'ordre, l'ARG chasse les militaires du pouvoir dans une action spectaculaire et imprévisible au cœur de la capitale gondolaise. C'est l'étincelle qui rallume le brasier. Mais cette fois, de façon beaucoup moins organisée. Les base des groupes armées du débuts du siècles ont été laissées de côté, et c'est une myriade de mouvement indépendants qui se rassemblent les uns contre les autres. La IIIème république gondolaise n'arrive donc pas à fédérer. Surtout lorsque, en 1991, son ancienne organisation de lutte se sépare de ses cadres dirigeants pour former, sous l'impulsion de Yahnik Sangaré, l'Armée Démocratique. Elle réclame la démocratie directe. Elle finit par devenir une armée révolutionnaire communiste au fil des ans et sous l'influence de puissances étrangères comme le Grand Kah.
Chassés du pouvoir, certains officiers de la junte se regroupent au sein du Groupement Armé Légitimiste Kwandaoui (GALK). Ce mouvement bien équipé en matériel et formé au combat est la principale menace au gouvernement dans les années 1990. Il est dirigé d'abord par le colonel Doué, éliminé au profit du lieutenant-colonel Rémien-Belleville, lui-même chassé par le capitaine Melwa.
Dans le nord du pays, plusieurs mouvement pitsi prennent les armes contre le sud du pays, tortionnaire et illégitime. C'est notamment en 1987 que le Mouvement Indépendantiste Pitsi voit le jour. Il fusionne en 2002 avec le Mouvement Pitsi Liberté pour former le Mouvement Indépendantiste Pitsi - Liberté.
Enfin, parmi les mouvements likras qui se divisent et s'affaiblissent dans les années 1990, le Mouvement Likra (créé en 1962) marque les esprit par une attaque au bazooka sur la préfecture de Togubele, ville hors de l'ethnie Likra. Cette organisation commence alors à gagner en influence, pour la première fois en 20 ans.

La situation en 2010

Dans les années 2000, le gouvernement de la IVéme République du Gondo a réussi à trouver un équilibre au sein de la société. Malgré quelques temps difficiles pour les Kwandaouis, représailles des grandes années du GALK, la population des côtes et des villes s'apaise. Les mouvements pitsi se sont retirés dans l'arrière pays, sous l'impulsion du MIPL. Le GALK a commencé à essuyer de sérieux revers, et est aujourd'hui en voie de reddition selon les autorités. Ils gardent malgré tout la main sur du matériel de qualité et représentent une menace, passés sous le commandement du caporal Alkwera en 2009. Le vrai ennemi de cette décennie est de loin le MLL : le Mouvement de Libération Likra, gigantesque fédération de mouvements de l'est du pays. Il est l'œuvre de Patience Anihilé-Sangwa, femme politique likra arrêtée en 2005, qui est officiellement décédée selon le pouvoir en place. C'est un point de tension tenace qui pousse aujourd'hui le Président Désiré Flavier-Bolwou a relancer l'offensive contre les rebelles, malgré des années de d'apaisement qu'il avait lui-même voulu.
Enfin, l'Armée Démocratique n'est plus une menace depuis qu'elle s'est retiré au nord, dans les montagnes, mais contrôle malheureusement la frontière fortunéenne, empêchant le gouvernement d'agir contre l'émigration.

carte représentant les zones de contrôle des rebelles au Gondo
Carte représentant les zones de contrôle des rebelles au Gondo
Source : Ministère de l'intérieur et des Armées



A VENIR : UNE FICHE PAR MOUVEMENT REBELLE
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Les Forces en présence

Dernière mise-à-jour : 08 décembre 2012


Voici un résumé de l'Histoire, l'organisation et les ressources de chaque partie prenante de la Guerre civile gondolaise.

La carte résumant les positions de chaque camp le 08 décembre 2012
les positions rebelles sur une carte de la RDLG, 8 décembre 2012.



L'Armée Républicaine Libre du Gondo

logotype du ministère de l'intérieur et des armées

Il s'agit de l'armée de la République Démocratique Libre du Gondo, c'est-à-dire l'État gondolais reconnu comme tel par la communauté internationale. Ce sont eux qui disposent de la très large partie du territoire et de la population du Gondo. Leur chef est officiellement le Président de la République, à savoir Désiré Flavier-Bolwou (73 ans), au pouvoir depuis 7 ans. Mais de façon opérationnelle, le chef d'État-Major Arnaud Terry est aux commandes, en liaison avec le ministre de l'intérieur et des armées Jean-Claude Mbihan.

nombre de soldats professionnels : 4 000 Personnels

arsenal :
  • 4 000 armes légères d'infanterie niveau 1

Le Mouvement de Libération Likra

logotype du Mouvement de Libération Likra

Le "M.L.L." est une fédération de mouvements rebelles à l'est du pays, chacun aux aspiration différentes mais au but commun : faire tomber la IVème République. Certains de ces mouvements sont politiques, mais la plupart sont des mouvements qui réclament une plus grande reconnaissance des likras : soit indépendantiste, soit autonomiste, soit fédéraliste, etc. Le mouvement est sans doute le plus puissant aujourd'hui au Gondo. Il est le seul à tenir une métropole : celle de Togubele, et leurs positions sont bien défendues. Le Mouvement est dirigé dans l'ombre par Patience Anihilé-Sangwa (59 ans) ancienne femme politique d'opposition. Officiellement déclarée morte par le gouvernement, elle est en réalité activement recherchée pour sédition. Le visage publique du MLL est incarné par son Porte-Parole Mohamed Gadiel. Publiquement, le mouvement est une fédération sans chef mais à la décision collégiale. Il est soutenu officieusement par Novigrad via ses services secrets. En vert sur la carte.

nombre de soldats professionnels : 5 500 personnels (piochés dans les réserves du Gondo)

arsenal :
  • 5 500 armes légères d'infanterie niveau 1 (piochées dans les réserves du Gondo)

Le Mouvement Indépendantiste Pitsi - Libertés (MIPL)

logotype du Mouvement Indépendantiste Pitsi - Libertés

[justify]Le Mouvement Indépendantiste Pitsi - Libertés est la fusion du Mouvement Indépendantiste Pitsi et du Mouvement Pitsi Liberté, opérée en 2002 sur les cendres de l'Armée de la République Indépendante Pitsi dans le Nord du Gondo. Il a connu ses heures de gloire dans les années 1980-1990, mais est aujourd'hui cantonné dans l'arrière-pays pitsi, au sud de Port-en-Truite, sans trop que les autorités s'en soucient. Il est dirigé par Mwamba Etoto (47 ans), ancien officier de l'armée gondolaise, ayant déserté lors du génocide de 1970. Il a une emprise très forte sur ses hommes qui l'admirent. Le mouvement constitue une petite armée qui organise des raids vers la côte, mais ne parvient que rarement près de Port-en-Truite. En jaune sur la carte.

nombre de soldats professionnels : 650 personnels (piochés dans les réserves du Gondo)
Note à moi-même : 2500 soldats pro en formation (EmpireNord)

arsenal :
  • 650 armes légères d'infanterie niveau 1 (piochées dans les réserves du Gondo)
  • 2 500 armes légères d'infanterie niveau 3 (piochées dans les réserves du Gondo)

L'Armée Démocratique

logotype del'Armée Démocratique

L'Armée Démocratique a été créée en 1991 suite à la rupture entre l'Armée Républicaine du Gondo, qui a permis la restauration de la démocratie (IIIème République), et les élites politiques ayant récupérées le pouvoir. Si elle réclamait autrefois la démocratie directe, elle rassemble aujourd'hui les révolutionnaires communistes et communalistes du pays. Elle est dirigée depuis les débuts par le charismatique général Yahnik Sangaré (55 ans). Pour continuer à se fournir en armes et garder le contrôle sur ses hommes, Sangaré a accepté que l'armée soit un mouvement communiste qui milite maintenant pour rétablir la République Socialiste du Gondo. Elle est officieusement soutenue par le Grand Kah et la Loduarie Communiste. En violet sur la carte.

nombre de soldats professionnels : 1300 personnels (piochés dans les réserves du Gondo)
nombre de soldats réservistes : 1300 personnels (piochés dans les réserves du Gondo)
nombre de soldats conscrits : 15 000 personnels (piochés dans les réserves du Gondo)

arsenal :
  • 1300 armes légères d'infanterie niveau 1 (piochées dans les réserves du Gondo)
  • 1300 armes légères d’infanterie niveau 10 (piochées dans les réserves du Gondo)
  • 15 000 armes d’infanterie niveau 9 (piochées dans les réserves du Gondo
NB : l’Armée Démocratique est susceptible d’avoir accès à d’autre armement, dont l’existence est tenue secrète.

Le Groupement Armé Légitimiste Kwandaoui (GALK)

drapeau du Groupement Armé Légitimiste Kwandaoui

Le Groupement Armé Légitimiste Kwandaoui est l'un des plus vieux mouvement encore en lice dans la course au pouvoir. Historiquement l'un des plus influent, et de loin, c'est aujourd'hui l'un des mieux équipé et des mieux commandé, par des militaires des anciennes forces spéciales. Ils recrutent toujours dans l'armée gondolaise. Leurs chefs sont les anciens généraux de la junte militaire gondolaise, au pouvoir entre 1974 et 1983. Les opérations sont dirigées par des officiers plus jeunes, recrutés postérieurement. Ce mouvement rebelle trouve ses origines dans le Royaume Kwandaoui moderne, qui a régi le pays entre 1933 et 1945, et plus généralement, dans le mouvement de rébellion militaire qui a suivi en 1946. Le GALK est pour un État centralisé, d'ordre, appuyé sur l'histoire des Kwandaoui qu'ils estiment légitimes pour diriger le pays au détriment des autres ethnies. En bleu sur la carte.

nombre de soldats professionnels : 18 personnels (piochés dans les réserves du Gondo)

arsenal :
  • 18 armes légères d'infanterie niveau 1 (piochées dans les réserves du Gondo)
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Les Archives et les Mises à Jour



Ici vous trouverez les archives des fiches supérieures ainsi que les notifications de mise à jour des informations.



1. La carte du Gondo en été 2010

carte représentant les zones de contrôle des rebelles au Gondo

2. La carte du Gondo le 25 décembre 2010

La carte résumant les positions de chaque camp le 25 décembre 2010
les positions rebelles sur une carte de la RDLG, 25 décembre 2010.

3. La carte du Gondo le 19 novembre 2011

La carte résumant les positions de chaque camp le 19 novembre 2011
les positions rebelles sur une carte de la RDLG, 19 novembre 2011.
373
31 août 2011
Mise à Jour


Actualisation des forces du Groupement Armée Légitimiste Kwandaoui en conséquence de la bataille face à la collation gouvernementale.

- 200 personels
- 200 armes légères d'infanterie niveau 1



Actualisation de l'arsenal de l'Armée Démocratique après donation de la part des brigades internationales kah-tanaises.

+ 1 300 armes légères d'infanterie niveau 10
+ 15 000 armes légères d'infanterie niveau 9
433
19 novembre 2011
Mise à Jour


Mise à jour de la carte.

514
25 janvier 2012
Mise à Jour


Après délai, ajout des 2 800 soldats supplémentaires de l'Armée Démocratique que représentent les volontaires Kah-tanais et les nouveaux gondolais enrôlés.

+ 1 300 recrues formées (réservistes)
+ 15 000 guerilleros révolutionnaires (conscrits)


Actualisation des forces républicaines suite à la formation dispensée par l'armée clovanienne.

+ 1 000 personnels (professionnels)
+ 1 000 armes légères d'infanterie de niveau 1


Actualisation des forces du MLL suite à un choix du joueur.

+ 1 000 personnels (professionnels)
+ 1 000 armes légères d'infanterie de niveau 1
346
10 novembre 2012
Mise à Jour


Suppression de 332 soldats du Groupement Armé Légitimiste Kwandaoui suit au succès de l'Opération Chrysope (Napoleski). Ce sont des déserteurs et des abattus, ainsi que les 200 soldats rendus aux autorités clovaniennes. Les 18 soldats restants représentent le commando dirigé par Alkwera, évaporé dans la nature.

- 332 personels
- 332 armes légères d'infanterie niveau 1
595
08 décembre 2012
Mise à Jour


Mise à jour de la carte.

  • Nette progression de l'Armée Démocratique au Sud-Ouest : Opération Rectitude (Vasterien)
  • Progression de l'Armée Démocratique au Nord-Est : consolidation des positions (joueur)
  • Disparition du Groupement Armé Légitimiste Kwandaoui : Dissolution du GALK suite à une victoire décisive (Napoleski) et une reddition (PatateS)
  • Apparition d'une Zone Grise : L'ARL s'en est retiré et l'AD est en train d'en prendre le contrôle (joueur)

Rappel : Les autres mouvements ont peu agit pour trois raisons :
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