L'Ordre des Clarisses Sylvestres Adoratrices du Seigneur (OCSAS) est un ordre monastique féminin contemplatif et semi érémitique issu de l'Ordre des Clarisses de la Charité duquel viennent ses membres fondateur. Il fut fondé à la fin des années 2010 par une dizaine de religieuses qui ne se retrouvaient plus dans la vie du monde et qui aspiraient au désert.
Le mode de vie auquel aspirent les sœurs de cet Ordre est ce que l'on nomme le semi-érémitisme, c'est à dire un mode de vie basé sur une grande solitude qui cependant n'est pas total, les sœurs se retrouvant tout les jours à la messe. Outre la messe, elles ont le dimanche le chapitre, qui est une réunion en communauté durant laquelle les problèmes pratiques sont discutés et qui est suivie d'une récréation.
En ce qui concerne la vie quotidienne de chacune des religieuses, elle est rythmée principalement pas deux temps : la prière et le travail. La prière c'est évidemment l'office des heures, c'est à dire le bréviaire, que les sœurs disent ou chante en intégralité, en incluant donc toutes les heures, petites comme grandes. A cela s'ajoute également les oraisons, que l'on essaie de faire les plus longues. Le travail est le pendant matériel de la prière, outre qu'il permet de gagner les quelques sous nécessaires au fonctionnement de la communauté, il est aussi une récréation physique à la tension mystique qu'implique une vie contemplative.
Une sœur errante ou en passe de construire son ermitage.
En ce qui concerne l'habitat, il est fort variable et dépend du désert (lieu générique dans lequel une communauté d'ermites est installée). En foret ce sera des cabanes, en montagne des chalets, en colline des habitats troglodytes, ect... L'érrance est aussi pratiquée bien qu'elle soit plus dangereuse et fastidieuse et dangereuse pour les femmes que pour les hommes
En ce qui concerne la fin de cet ordre, elle n'est pas la charité comme c'est le cas de l'OCC, elle est la vie contemplative. C'est une vie de silence, de solitude et de prière par laquelle on accède à Dieu. C'est la voie royale, la voie mystique, celle par laquelle on accéde à Dieu, ici sur terre, via l'esprit et grâce aux exercices difficiles par lesquels on quitte la société des hommes pour celle des anges et via celle-ci on peut commencer à appréhender bien modestement ce en quoi consiste la participation à la divinité des bienheureux du Ciel.
Le mode de vie auquel aspirent les sœurs de cet Ordre est ce que l'on nomme le semi-érémitisme, c'est à dire un mode de vie basé sur une grande solitude qui cependant n'est pas total, les sœurs se retrouvant tout les jours à la messe. Outre la messe, elles ont le dimanche le chapitre, qui est une réunion en communauté durant laquelle les problèmes pratiques sont discutés et qui est suivie d'une récréation.
En ce qui concerne la vie quotidienne de chacune des religieuses, elle est rythmée principalement pas deux temps : la prière et le travail. La prière c'est évidemment l'office des heures, c'est à dire le bréviaire, que les sœurs disent ou chante en intégralité, en incluant donc toutes les heures, petites comme grandes. A cela s'ajoute également les oraisons, que l'on essaie de faire les plus longues. Le travail est le pendant matériel de la prière, outre qu'il permet de gagner les quelques sous nécessaires au fonctionnement de la communauté, il est aussi une récréation physique à la tension mystique qu'implique une vie contemplative.
En ce qui concerne l'habitat, il est fort variable et dépend du désert (lieu générique dans lequel une communauté d'ermites est installée). En foret ce sera des cabanes, en montagne des chalets, en colline des habitats troglodytes, ect... L'érrance est aussi pratiquée bien qu'elle soit plus dangereuse et fastidieuse et dangereuse pour les femmes que pour les hommes
En ce qui concerne la fin de cet ordre, elle n'est pas la charité comme c'est le cas de l'OCC, elle est la vie contemplative. C'est une vie de silence, de solitude et de prière par laquelle on accède à Dieu. C'est la voie royale, la voie mystique, celle par laquelle on accéde à Dieu, ici sur terre, via l'esprit et grâce aux exercices difficiles par lesquels on quitte la société des hommes pour celle des anges et via celle-ci on peut commencer à appréhender bien modestement ce en quoi consiste la participation à la divinité des bienheureux du Ciel.
La mère Victoire est originaire de Prima, elle est issue de la famille comtale des Hautebec. C'est une abbesse énergique connue autant voir davantage pour ses compétences techniques en terme de vie sauvage que pour sa piété extatique. Elle a rassemblée autour d'elle celles de l'OCC qui ne veulent plus vivre dans le monde. Elle partage leur en grande partie leur désir bien que ses attributions d'abbesse l'obligent à voir plus de monde qu'elle ne voudrait.
Nombre de maisons : 0
Nombre de religieuses : 10
néant ....
